Passionément mignonne

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Passionément mignonne
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Passionnément humain
par Sébastien Philippe • 15 déc., 2020 •

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Texte en 2 parties (le passionné - la passionnée)
« La passion est une très forte émotion tournée vers une
personne, un concept, ou un objet produisant un déséquilibre psychologique (l'objet de
la passion occupe excessivement l'esprit). Elle se traduit en effet par un
sentiment d'excitation inhabituelle alternant plaisir et souffrance du fait de la
baisse importante de la sérotonine
(neuromédiateur
responsable de l'état émotionnel de bonheur) et de
l'augmentation de la dopamine
(neuromédiateur provoquant la sensation de plaisir) qui active le système de
récompense. Ce mécanisme est particulièrement marqué dans le cas de
la passion amoureuse. La personne passe ainsi généralement d'un état d'euphorie à une sensation
de manque vis-à-vis de l'individu, de l'activité ou de l'objet sur lequel elle
se focalise. Dans les cas les plus extrêmes, la passion peut donner lieu à une
situation d'obsession
(dont l'amour
obsessionnel et la dépendance affective) et de dépendance conduisant la
personne qui la connaît à faire des choix néfastes, opposés à son bonheur, à ses intérêts ou
à ceux de ses proches voire à commettre un crime passionnel ou
aboutir à un suicide. »
Wikipédia.
La sagesse nous dicte la patience et la vieillesse
nous apprend la sagesse. Et pourtant, à l’aube de nos vies, ce n’est pas de
patience ou de sagesse dont nous avons besoin, mais de vivre à l’excès.
Et quoi de mieux pour vivre à l’excès que la passion. Profiter
des derniers instants, brûler la chandelle par les deux bouts. Mais finalement,
qu’est-ce-que la passion ?
Nous sommes souvent animés par des paradoxes, par des dissonances
entre nos actions et nos pensées, parfois même entre nos pensées elles-mêmes,
et la passion en est un exemple flagrant. Aimer à l’extrême, souffrir à l’extrême.
A en croire la définition de la passion, il s’agirait d’un déséquilibre
psychologique lié à la baisse de la sérotonine et l’augmentation de la dopamine
dans notre cerveau. Nous serions donc confrontés à un désordre hormonal lié à l’hypothalamus.
Chaque personne possède un système limbique différent. Un peu comme pour la douleur,
chaque individu à ses propres ressentis face aux stimulus internes.
Même si beaucoup connaissent le mot « passion »
et les qualificatifs qui y sont associées, il s’avère que peu ont connu cette
dualité déchirante d’émotions extrêmes.
Pour quelle raison ? d’un point de vue amoureux,
ce que considèrent la plupart comme l’amour serait-il une passion pour certains ?
Que ceux-ci n’auraient pas d’autres choix que d’aimer passionnément ? Et si
c’était le cas, pourrait-on conclure que la passion serait l’apanage de
certains chanceux (ou malchanceux selon) de leur (dys)fonctionnement hormonal/cérébral ?
La comparaison des émotions individuelles est délicate
parce qu’elles sont impalpables. Nous ne pouvons mesurer l’amour, par exemple,
que par les incidences qu’il génère en nous. Et ces incidences ne sont autres
que nos actions et réactions.
Vous connaissez certainement le jeu avec une
marguerite (et je ne parle pas du jeu sexuel avec Marguerite !) : je
t’aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie.
Je trouve la métaphore assez parlante. La plupart des
gens sont capables de nuances dans leurs sentiments parce que leurs émotions
sont « régulées » par le cerveau. Est-ce le cas pour tout le monde ?
Et si les récepteurs chimiques étaient saturés d’hormones chez certains ?
et s’ils étaient tout simplement incapables de demi-mesure ?
En poussant la réflexion en ce sens, les gens
passionnés auraient simplement cette particularité de ne pas avoir le choix que
de vivre intensément. 
A mon sens, il n’existe pas d’amour passion sans
amoureux passionnés. Malheureusement, dans ces cas-là, il reste difficile de se
synchroniser émotionnellement et les excès en font que ces amours demeurent
difficiles à tenir dans le temps. De là à dire que les gens passionnées sont
incapables d’être amoureux simplement comme tout le monde, il n’y a qu’un pas,
car il leur serait nécessaire de « basculer » d’un état à l’autre. La
bascule étant complexe car, comme pour toute personne, la confiance en l’autre
doit est absolue pour se lâcher entièrement.
En dehors du domaine amoureux, ces personnalités entraînent
ce qu’elles font dans une spirale passionnée. Que ce soit dans le travail, dans
les loisirs, la musique… tout est vécu intensément.
Finalement, qu’est-ce-qui nous définit ? la question,
maintes fois posées, est pourtant sa réponse est le fondement de notre personnalité.
Sont-ce nos actions ? nos réactions ? nos
émotions ? nos sentiments ? notre intelligence ? nos expériences ?
notre environnement ? notre passé ?
Même si notre personnalité peut être définie par toutes
ces caractéristiques et bien plus encore, certaines ont plus de poids que d’autres
en fonction des individus.
Je dirais qu’en partant du postulat décrit plus haut, nos
émotions donc, par incidence nos actions et réactions face à elles, peuvent
prendre une part importante de nos vies. D’où l’importance de ne pas les
ignorer.
Pour ma part, et très égoïstement et sans prétention
aucune, je peux l’affirmer aujourd’hui, c’est la passion qui me définirait le mieux.
La Passion, je pensais l’avoir vécue pendant 18 ans.
Cette Passion amoureuse qui est censée nous encenser, nous déborder, nous
rendre fou. Mais non, je me suis trompée. Je n’ai pas vécu LA PASSION. Je n’ai vécu
que sa quête. Je n’ai fait que courir après elle, que la désirer et l’envier.
Pensant parfois l’avoir touché du doigt…mais qu’ai-je donc vécue depuis tout ce
temps ?
La quête d’un chemin non abouti, un chemin sans
passion finalement, je me suis fourvoyée. Si nous regardons son étymologie nous
pouvons donc comprendre uniquement que son sens premier, je pense que son étymologie
reflète uniquement le chemin qui mène à elle, car elle, est bien plus raisonnée.
Oui, oui…la passion est raisonnée car, unifiée dans le temps, et constante.
Stable, elle nous permet de vivre pleinement notre vie.
« Il nous vient du verbe latin « patior », qui
signifie « souffrir », « éprouver », « endurer », « supporter », et du substantif
« passio », qui désigne la « souffrance » et la « maladie ». La « passion »
serait donc, au sens premier, un état de souffrance et de dépendance, d’attente
passive. Nous retrouvons cette acception dans notre verbe « pâtir », et dans «
la passion de Jésus-Christ », expression qui évoque l’ensemble des épreuves
endurées par le Christ jusqu’à son supplice et à sa mort. Nous savons que la «
passion » a également été considérée par divers auteurs comme une « maladie de
l’âme », nécessitant la recherche de « remèdes ».
Mais le concept a évolué ; la psychologie, et plus
particulièrement encore la psychanalyse, définit aujourd’hui la passion comme
un état affectif qui se manifeste par un attachement exacerbé, exclusif et
durable à un objet, au point de dominer la personnalité du sujet et de
déterminer son comportement »
« Attachement exacerbé » : sentiment intense, sa
vivacité est particulière ; cet attachement serait alors l’unique besoin et non
une envie…On peut relater cela à une drogue consciente.
« Exclusif » : exigence d’une allégeance unique à un
objet ou un être, tout autre désir est relativisé, refoulé, passé en second
plan. Le passionné attirerait donc le narcissique en quête d’être l’objet de
tous les désirs ? encore une autre réflexion…restons centrés et passionné
par la Passion (rire) !
« Durable » : contrairement à d’autres phénomènes
psychiques telle que les pulsions ou les émotions, la concentration de
l’intérêt du sujet passionné s’inscrit dans une certaine permanence !
Le comportement et la personnalité s’en transforment :
le coup de foudre amoureux par exemple, marque une rupture dans l’équilibre
intérieur, le passionné va ressentir et vivre de façon complètement différente,
que ce soit dans ses : émotions, sentiments, désirs, que dans ses besoins.
J’ai passé ma vie à chercher la passion amoureuse,
j’ai voulu la coller à certains, j’y suis presque arrivée ! non sans rire…
j’ai cru aux belles histoires que l’on peut voir dans les films. Alors que la
Passion m’apparait telle une évidence, j’en conclut que je suis un être doué de
passionnalité. (on peut inventer des mots non ! ), me reste plus qu’a
partager cette douance… 😉 
Lili apparut en dernier au grand
désarroi de Bob.
La moitié des frères préféra faire
demi-tour plutôt que d’affronter la horde de femmes visiblement remontées.
-    Les inconscients. Ils ont ouvert les portes de
l’enfer… fit Jean-Claude.
A l’évocation des enfers, Bernard
détacha machinalement sa fiole d’eau bénite et sa croix. Il entonna des psaumes
de protection.
Brigitte, son ex femme s’avança
indiquant aux autres qu’elle avait le lead sur cette réunion improvisée. Lili
n’aimait pas Brigitte. Elle copia et se plaça devant celle-ci.
-    Deux mâles alpha, le spectacle va commencer, ricana Serge en grignotant des cacahuètes.
Brigitte, ex commando des forces
spéciales et commandant d’une garnison n’avait pas pour habitude de se laisser
marcher sur les pieds. Elle se tourna vers sa concurrente.
-    Ma mignonne, tu vas me faire le plaisir de retourner
dans les rangs, je gère ça.
Pour contrer l’outrecuidance de
cette femme trop autoritaire à son goût, Lilli tenta une intimidation qui se
solda par une prise de 
Bob se dit qu’avec elle et
Jean-Claude, les fêtes de famille, ne devaient pas être tristes.
La dénommée Lucienne, nouvelle
meilleure copine temporaire de Lilli et ancienne catcheuse poids très très
légers tenta un armbreaker (non valide au Scrabble), une prise de catch censée
mettre la victime au sol par le biais, comme son nom l’indique dans la langue
de Shakespeare, du bras. Malheureusement, la frêle attaquante se heurta à un
biceps plus gros que ses deux cuisses réunies. Elle tira si fort sur le membre
de Brigitte qu’elle en perdit son stérilet. 
Lucifer487 tenta de s’interposer
entre les lionnes. Brigitte l’attrapa par les parties. Game over pour le pauvre
Lucifer qui lâcha un gloussement morbide en guise de capitulation.
-    Le fou ! Il n’est pas de taille ! s’inquiéta
Jean-Claude.
-    Il ne va pas s’en sortir, annonça Jean-Bernard.
-    10€ qu’il devient eunuque avant la fin de la journée.
-    Tenu, ricana Serge, une bière dans une main et du pop
corn dans l’autre.
Nul ne savait où il avait bien pu
planquer tout ça.
Voyant leur chef en difficulté, les
geeks se postèrent en position de combat, arme au poing. Les pointeurs lasers
tous dirigés vers la femme à abattre.
Les billes de peinture verte plurent
sur la pauvre Brigitte qui lâcha Baptistounet. 
Le second de Lucifer487 ordonna de
stopper le tir.
Brigitte, recouverte de peinture
verte, était dans une colère que même Jean-Claude n’avait vu auparavant.
-    On dirait Hulk. C’est Hulkette ricana à nouveau Serge
qui déjeunait un cassoulet sorti de nulle part.
-    Brigitte pas contente ! hurla la peinturlurée
victime qui semblait avoir perdu la raison.
Bob chercha Patrick du regard, mais
ne le trouva pas. Il faut dire qu’en voyant ces dames, il se rappela que la
moitié d’entre elles s’était retrouvée dans sa couche. 
Lilli jubilait. Son ennemie directe
était évincée, mais elle devait se méfier de ces adulescents (valide au
Scrabble) attardés.
Les deux clans se faisaient
désormais face, oubliant la présence des frères qui semblaient se délecter de
la scène. 
Des insultes fusèrent tandis que
Lucifer487 regagnait son groupe sous le regard amusé de Serge, qui s’était
assis et dégustait un Chaussée aux moines agrémenté d’un ballon de Père Benoit.
Interlude pour que vous, lecteur
assidu, puissiez vous remettre de toutes ces émotions. 
Finalement, les frères sortis trop
tôt étaient revenus, prévenus par Bernard retourné à l’Abbatiale pour remplir
sa gourde d’eau bénite, au cas où. Il détache également une croix en bois fixée
au mur. Avec ce qu’il venait de voir, rien ne serait de trop pour se protéger. 
L’ensemble des frères s’était
regroupé autour de Bob. Patrick, agrémenté d’un bonnet et de lunettes pour
passer inaperçu, proposa de profiter que les puceaux et les jouvencelles se
battent en duel pour filer à l’Anglaise et emprunter le tunnel le moins exposé.
Un murmure d’approbation se fit
sentir dans l’assemblée. 
Discrètement, ils pénétrèrent dans le
tunnel. Mais, à la traine, Serge fit malencontreusement tomber son barda empli
d’ustensiles en tout genre. Le vacarme alerta les protagonistes du duel.
-    Ils s’enfuient ! hurla de sa voix rauque un des
soldats boutonneux. 
En un instant, les deux groupes fusionnèrent
dans un élan de colère et se ruèrent vers le pauvre Serge qui tentait de
ramasser son lourd fardeau.
-    Saint mère de Dieu, que ma mort soit rapide,
pria-t-il.
-    Laissez-le, il nous faut leur chef ! ordonna
Lili.
Il faut dire que Lili était
rancunière et n’avait toujours pas avalé leur séparation avec Bob. 
Les moines n’avaient qu’une petite
avance sur le furieuses, non donné par Patrick.
Bob, Patrick, Jean-Claude et les
autres avançaient doucement à la lumière d’une unique lampe torche.
C’est lorsqu’une des tortues ninja déboula en roulade
que Bob se demanda si tout le monde n’avait pas pris du saucisson aux herbes ce
matin.
La tortue ninja tenta quelques
acrobaties dignes de Jackie Chan, mais malheureusement, le manque
d’échauffement lui valut un claquage musculaire lorsqu’il tenta un high kick sur
la personne de Patrick qui mangeait tranquillement un morceau de sauciflard de
la veille qu’il avait retrouvé dans la poche de son jeans.
L’affrontement battait son plein.
Jean-Claude filait des grosses baffes à tous ceux qui tentaient de l’approcher.
Il faut dire que Jean-Claude avait des paluches énormes.
Les geeks super héros tombaient
comme des mouches. Mais c’était sans compter sur Lucifer487 qui dégaina son
taser et visa « Big Hands », surnom donné à Jean-Claude. Ce dernier
tomba au sol et se contractait au gré des décharges.
Une voix caverneuse se détacha du
brouhaha ambiant. C’était Gandalf le blanc qui s’était mis en barrage de
l’entrée d’un des 4 corridors.
C’est à ce moment qu’une sonnerie de
téléphone retentit. La musique de Ghostbusters résonna sur les parois du hall.
Lucifer487 s’écarta du groupe et décrocha. Patrick en profita pour se glisser
derrière le chef de bande ennemie et lui subtilisa son outil de communication
sans fil. Il jeta un coup d’oeil à l’écran, « Maman chérie »
- Salut maman chérie, c’est
Patrick !
Baptiste, alias Lucifer487 tenta de
récupérer son bien, mais fut empêché par Jean-Claude qui lui attrapa les bras.
- C’est qui Patrick ? c’est
encore un copain bizarre de mon Baptistounet ?
- Eh bien vous lui direz que je
l’attends pour dîner et que les tripes vont refroidir !
- Je lui transmets. Vous êtes
célibataire ?
Jean-Claude relâcha sont étreinte et
libéra le jeune Baptiste visiblement gêné.
Le groupe de super héros s‘éclipsa
discrètement
- Bon, d’après vous, quel tunnel
devons nous emprunter ? Questionna Patrick une fois les gêneurs partis.
Tout d’abord, Bob précisa que le
tunnel d’où venaient les geeks était forcément à éliminer. Serge proposa alors
de faire un « pouf pouf » pour déterminer lequel explorer en premier.
La proposition fut débattue pendant
presque 20 min. Lucien essaya d’imposer sa vision sous prétexte qu’il avait
fait tellement de mauvais choix dans sa vie qu’en choisissant deux tunnels, ça
serait forcément le dernier le bon.
Jean-Claude préférait le faire à
pile ou face, mais fut contré par Jean-Bernard, l’intello de l’Abbaye, qui lui
précisa qu’il y avait trois tunnels. Jean-Claude lui indiqua qu’il ne voyait
pas le rapport et que l’intello de service ferait mieux de ne pas le contredire
parce que lui, il avait une épée et que l’intello n’était pas si intello que ça
parce qu’il n’avait de bouclier.
Ce à quoi, l’intello avisa qu’il ne
voyait pas le rapport avec les tunnels. Jean-Claude, en guise de réponse, fit
goûter une salade de gros doigts à la joue droite de Jean-Bernard qui se
déforma sous la pression. (dédicace au frangin ;))
Alors que Jean-Bernard se frottait
la joue pour calmer la douleur, Kévin s'avança vers l'entrée d'un des tunnels.
- Les amis, pour trouver le trésor,
nous devons communier avec lui. Ecoutons ce qu'il a à nous dire.
- Il est temps pour nous aussi de
nous replier, coupa Serge. Si l’abbé ne nous trouve pas dans nos chambres, on
va passer un sale quart d'heure.
- Ok les gars, demain soir, même
heure, même endroit, lança Patrick.
Les frères acquiescèrent. Ils
avaient eu leur lot d’émotions pour la journée.
Le lendemain soir, comme convenu,
tous se retrouvèrent au bar clandestin, Plus motivés que jamais, les frères
étaient désormais rodés à l’exercice et s’étaient équipés. Kévin avait troqué
sa dernière compagne par un lasso et un chapeau. Jean-Claude avait transformé
une casserole de cuisine en heaume pour protéger le cerveau de la bande comme il
aimait à le rappeler régulièrement à ses congénères.
Patrick s'était armé d'une caméra
pour immortaliser l'épopée.
La troupe se mit en marche et se
retrouva rapidement en bas de l’escalier d’où partaient les 4 tunnels quand une
mauvaise surprise les stoppa net.
- C’est notre copain
Baptistounet ! ricana Patrick.
La troupe de super héros de la
veille s'était également donné rendez-vous. Mais cette fois-ci, ils avaient
troqué leur costume par des tenues paramilitaires et des armes de paintball.
Lucifer487 se détacha du groupe,
retira son masque et un rictus s’installa sur son visage juvénile.
Ses hommes s'écartèrent pour laisser
place à une surprise de taille. L'une après l'autre, les femmes, ex femmes ou
mères des frères firent leur apparition. Aucun d'eux n'était épargné.
- Petits cons de geeks de
merde ! gronda Jean-Claude en voyant Brigitte, son ex femme et ex
capitaine de garnison.
- Les merdeux ! Enchaîna
Patrick à l’apparition de Germaine, une sexagénaire avec qui il avait eu
une courte relation. Elle l’avait largué pour un mec plus jeune.
Lili apparut en dernier au grand
désarroi de Bob.

Alors ? Qu'en pensez-vous ? Je la trouve trop mignonne cette collection ! Cette carte est partie rejoindre mon tableau dans ma scraproom... dont celle déjà faite en mars dernier, et présentée fin avril (à RE-voir ICI !)

Veuillez demander l'autorisation avant de publier sur vos réseaux ou vos Pinterest les photos que JE partage ici. Je ne souhaite pas les retrouver aux hasards de mes balades sur le net, SANS mon autorisation. Ceci est un blog de partage, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut prendre les photos et les enregistrer ici ou là sans mon accord !


Merci de vos visites et de vos gentils commentaires qui font toujours plaisir à lire , et qui font vivre le blog !! Pour me contacter, me poser une question, me demander directement un patron/tuto/gabarit de kirigami gratuit, n'hésitez pas à m'écrire : sycreation@laposte.net

 Salut les scropines ! Salut les visiteurs non scrappeurs mais amateurs ! 
J'espère que vous allez tous bien ? 
Aujourd'hui je viens vous présenter une autre petite carte réalisée avec le set " Den Sweet Den " de chez Lawn Fawn ... Que l'on pourrait traduire par " douce tanière "... Et qui vit dans une tanière ??
Voici donc ma nouvelle carte avec cette petite famille ... Chut , Papa et le fiston sont en pleine sieste alors que Maman serre sa fillette dans ses bras pour un gros câlin ! (enfin c'est com
Une levrette super intense
Belle blonde se fait démonter
Une baise à plusieurs érotique et brutale

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