Pascal a du boulot avec ce mec bien monté
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Pascal a du boulot avec ce mec bien monté
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Article mis à jour le 28/03/19 15:58
Caroline Michel
Mis à jour le 28/03/19 15:58
En 2019, nous avons décidé d'interroger des femmes, comme vous, comme moi, afin qu'elles nous racontent leur dernier rapport sexuel. Pour Virginie, 31 ans, c'était avec Raphaël, celui qui s'apprête à devenir son amant... Et ça s'est passé comme ça...
C'était le 7 février, un jeudi, tard dans la nuit. Et c'était avec Raphaël*, l'ami d'un ami d'un ami… Pour être plus précise, j'ai rencontré ce garçon lors d'une soirée il y a un an déjà, chez Fabien*, un copain de mon mec. Raphaël est un ami d'enfance de Fabien, donc nous le voyons de temps en temps. La première fois que nous avons discuté, c'était en "contre-soirée" dans la cuisine. Je m'en souviens très bien. Il venait de lire Sapiens, une brève histoire de l'humanité . Il avait un air intello qui me séduisait pas mal. Je buvais ses paroles. Au fil de la soirée, j'ai beaucoup cherché sa présence, sans grande arrière-pensée, disons que j'aimais bien discuter avec lui. Evidemment, mon mec était là – on est ensemble depuis trois ans – mais je ne culpabilisais pas. Je n'en étais pas à ce stade.
Notre relation a démarré sur Messenger. Après cette première rencontre, nous avons beaucoup échangé. Titres de bouquins à lire, faits d'actualité… Un peu de blagues et puis un peu nos vies aussi. En parallèle, on s'est recroisé trois fois en soirée. Exaltés, animés, nous poursuivions nos conversations dans la vie réelle, un peu hors du temps.
J'ai fini par ressentir un empressement à me connecter, à lui parler. Une certaine tension s'est installée. Une peur aussi, de notre part à tous les deux, puisqu'il est également en couple. Il y a eu des semaines de silence, simple mesure de précaution. Mais le silence, en réalité, ne fait qu'entretenir le désir. Pire, il le décuple: on sait pourquoi on se tait, on se tait parce qu'on ne doit pas craquer, parce qu'il est plus sage de s'éloigner , alors on y pense d'autant plus, on se demande s'il faut, ne faut pas. Un soir, début février donc, Raphaël m'a envoyé un message pour que l'on prenne un verre tous les deux. J'ai beaucoup hésité. J'essayais de me convaincre que ce rendez-vous pouvait tout à fait être un rendez-vous en "tout bien tout honneur". Mais puisque je n'en ai pas touché mot à mon mec, puisque j'avais bien conscience de flirter avec les limites, j'ai compris que je filais un mauvais (ou bon ?) coton.
J'ai accepté, parce que j'avais envie. Bien entendu, un léger sentiment de culpabilité m'a envahie. Mais léger. Très léger. Face à Raphaël, j'ai oublié. J'étais bien, détendue, dans un monde qui me convenait parfaitement. Nous avons passé la soirée à discuter de tout et de rien, jusqu'à ce que je monte chez lui. Sa copine n'était pas là. Nous tremblions. L'émotion, l'envie, le "juste avant". Nous ne nous sommes pas sautés dessus. Il n'y avait rien de bestial dans ce premier rapport. C'était plutôt un rapport "de débutants", parce que nous étions frileux. Non pas à cause de notre écart et de cette foutue étiquette "infidèles", mais parce que nous nous sentions tellement connectés que nous ne voulions pas foirer ce premier contact. C'était joli, magique et bon. J'ai pris du plaisir et lui aussi. Un plaisir très cérébral j'ai envie de dire.
Je n'ai pas aimé la fin du rapport, le saut dans la réalité. Il était presque minuit, j'avais dit à mon mec que je voyais des copines. Je me suis rhabillée en vitesse, j'ai pris un taxi. Durant le trajet, j'étais partagée, complètement bancale. Je venais de passer un merveilleux moment et en même temps, j'étais dégueulasse, pas sympa, irrespectueuse. J'ai mal dormi. C'est un de mes pires souvenirs. Ce moment où l'on se couche à côté de l'être aimé en se demandant ce que l'on a fait, en culpabilisant mais surtout, en culpabilisant de ne pas tant culpabiliser, parce qu'une partie de notre corps – et de notre cœur – est encore vautrée dans d'autres draps…
Je ne sais dire comment, mais ma culpabilité s'est évanouie assez rapidement. Quelques jours après notre étreinte, Raphaël et moi avons repris nos discussions en ligne. Nous ne sommes pas revenus sur notre rapport, mais il était là dans nos esprits. Ce que j'ai aimé, c'est que tout était "normal". Si après l'amour, j'ai eu du mal à retomber dans la réalité car elle était synonyme de " mon couple, mon mec ", le fait de discuter avec Raphaël comme si tout était logique, pas si grave et ordinaire, m'a réconciliée avec la réalité. Etre en couple et fréquenter Raphaël : deux réalités qui s'épousaient parfaitement à mes yeux et formaient ma réalité.
Je suis amoureuse de mon mec, je veux avancer le plus loin possible avec lui, j'adore les moments que nous passons ensemble, notre regard commun sur les choses, les gens, le boulot, la vie, les voyages et le quotidien, mais j'aime la parenthèse que m'offre Raphaël, j'aime la teneur de nos conversations, j'aime ses cheveux mal rangés, sa voix un peu grave, la musique que l'on écoute et les doutes que l'on partage à se répéter que l'on fait "une même connerie ensemble" , ce qui ne fait que renforcer notre complicité et notre désir.
Pour l'instant, nous nous sommes revus une fois pour faire une balade. Pas de sexe. La seule amie à qui j'en ai parlé trouve ça étrange. Pour elle, si nous ne cherchons pas à nous voir pour coucher, c'est qu'on est au-delà de l'infidélité, c'est qu'on est dans un schéma amoureux qui petit à petit va nous conduire à quitter nos partenaires respectifs. Franchement, je n'en sais rien. C'est vrai que je ne me sens pas infidèle. J'ai plutôt l'impression d'avoir rencontré mon alter ego, avec qui je ne me projette pas dans le quotidien, mais que j'ai besoin de voir, de toucher, d'écouter. En parler me fait mal au ventre. Et en parallèle, je prends toujours autant de plaisir avec mon mec, de jour comme de nuit, parce que ça n'a rien à voir, parce que c'est autre chose, c'est une construction.
Je sais que Raphaël est en train de devenir mon amant, parce que je suis prête – et même enthousiaste - à mener cette double vie. Parce que j'ai envie de faire l'amour avec lui. Parce qu'il est mon secret. Voilà, c'était mon dernier rapport sexuel.
C'était le 7 février, un jeudi, tard dans la nuit. Et c'était avec Raphaël*, l'ami d'un ami d'un ami… Pour être plus précise, j'ai rencontré ce garçon lors d'une soirée il y a un an déjà, chez Fabien*, un copain de mon mec....
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Justin Bieber
Justin Bieber, filmé dans sa chambre : ''Il est bien monté et très bon au lit''
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Fan des corgis, des iconiques Spice Girls, de la princesse Diana et adepte de tea time, Tom Spencer aime notamment relater la vie des membres de la couronne britannique mais n’est jamais contre un petit détour outre-Atlantique.
Tatiana Neves, connue pour avoir filmé Justin Bieber en train de dormir dans sa chambre au Bresil, est l'invitée d'un cocktail à Sao Paulo, le 7 novembre 2013.
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En tournée en Amérique du Sud avec son spectacle Believe Tour , dont un documentaire intitulé Believe Movie devrait être tiré, Justin Bieber accumule les frasques : concert écourté pour cause de maladie, accusations de vandalisme après des graffitis, fans surexcités... Autant de déboires qui ne sont rien en comparaison du scandale provoqué par la visite de Justin Bieber dans un bordel de Rio de Janeiro au Brésil, suivi quelques jours plus tard par la diffusion d'une vidéo, prise à son insu lorsqu'il dormait, par une jeune fille qui s'exprime aujourd'hui...
La vidéo, réalisée par une certaine Tatiana Neves qui l'a elle-même dévoilée sur le Net, a rapidement atteint 17 millions de vues sur YouTube ! On pouvait y découvrir la belle brune brésilienne dans la chambre à coucher du manoir de Rio de Janeiro loué par Justin Bieber, lequel dormait paisiblement. La jeune fille, mannequin de son état, a d'abord été présentée comme une possible prostituée, une information réfutée par les représentants de la star qui ont parlé d'une simple invitée du chanteur à la soirée qu'il donnait. Une fiesta qui a tout de même donné lieu à une torride nuit d'amour...
" C'était merveilleux et inoubliable, il est très beau nu et a un corps bien musclé. Croyez-moi, il est bien monté et très bon au lit ", a déclaré Tatiana Neves au journal The Sun . La jeune femme, qui a démenti être une prostituée lors d'une interview télévisée sur la chaîne brésilienne Globo TV's Fantastico, a expliqué que c'est le Biebs qui l'a conviée chez lui. " Il m'a téléphoné et m'a invitée. Il m'a demandé si je voulais venir dans sa maison pour une fête ", affirme-t-elle. Quant à la vidéo, elle explique l'avoir réalisée pour prouver à son amie qu'elle avait bien passé la nuit avec Justin Bieber...
Célibataire depuis plusieurs mois, après sa rupture avec Selena Gomez , le jeune Justin Bieber (19 ans) en profite pour faire n'importe quoi avec les filles. En tournée mondiale, le chanteur a visiblement eu besoin de soulager un instinct primaire et il s'est donc naturellement rendu au bordel Centauros dans la nuit du 31 octobre 2013 au 1er novembre. L'interprète de Boyfriend est ensuite rentré à son hôtel en compagnie de deux prostituées. Un scandale qui vient ternir l'image du jeune homme, pourtant auréolé du prix de meilleur artiste masculin aux MTV EMA 2013 , le 10 novembre.
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Alors que le nom de David Guion était apparu dans la short-list du LOSC pour le poste d’entraineur. Nous étions en train d’interviewer son frère (Pascal). Attaquant du LOSC au début des années 1980, est toujours amoureux du club. L’ancien ailier des Dogues s’est montré enthousiaste pour répondre à nos questions.
Champion de France de D2 en mai 1978, l’équipe première alors dirigée par José Arribas s’apprête à retrouver l’élite. C’est lors de cette intersaison que vous rejoignez le club ?
Oui, c’est ça, vers 14 ans. Je joue alors pour le Stade Olympique Maine, l’un des clubs de ma ville natale du Mans. A l’époque l’entraineur du SOM (Monsieur Gendry) est ami avec José Arribas, et lui glisse mon nom pour rejoindre les cadets du LOSC. J’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont laissé le choix, entre poursuivre à proximité du domicile familial, ou intégrer le centre de formation lillois. (Le SOM fusionnera en 1985 avec l’US du Mans, pour former le MUC 72… devenu en 2010 le Mans FC, NDLR)
Quitter la famille à 14 ans, sans les moyens de communication actuels, ce ne doit pas être simple. Comment se passe votre intégration dans le Nord ?
Je garde un excellent souvenir de mon arrivée. J’y ai découvert une région, et des gens très accueillants. Au LOSC, c’est Charly Samoy, ancien gardien de l’équipe première, devenu entraineur puis directeur sportif, qui m’a fait signer. Il devait y avoir aussi Jean Parisseaux, le directeur du centre de formation. Je logeais à l’internat sous la tribune de Grimonprez-Jooris. Le centre de vie était flambant neuf, puisque le stade venait d’être inauguré (en 1975 NDLR).
En 2014, j’ai été invité pour les 70 ans du club. J’en ai profité pour faire un détour par la Citadelle avec quelques collègues de promo, et ça nous a faits mal au cœur de voir la plaine vierge… sans aucune trace de nos souvenirs d’adolescents.
Votre génération (joueurs nés en 1963-1964) est assez exceptionnelle, puisque les supporters apprécieront également les éclosions de Pascal Plancque, Eric Péan, Luc Courson, Thierry Froger, Michel Titeca, Eric Prissette ou Rudi Garcia…
C’est vrai que c’était quelque chose. Nous aurions pu faire une équipe complète avec des joueurs formés au club. Je pense que c’était la « philosophie Arribas » de s’appuyer sur le centre. L’objectif était de construire sur la durée une équipe à son image : loyale, modeste mais amoureuse du beau jeu. Arnaud Dos Santos a tenté de poursuivre son œuvre (1982-84)… (José Arribas est l’emblématique entraineur du « jeu à la nantaise ». Il termina sa carrière de technicien par un passage remarqué à Lille (1978-1982).)
C’est justement Arnaud Dos Santos qui vous lance avec les pros ?
Quand je suis arrivé en cadet, Dos Santos était encore joueur, il n’a pris sa retraite de joueur qu’en 1981, puis est devenu adjoint d’Arribas. Quand il a pris la tête de l’équipe première, c’était donc la parfaite continuité. Il me lance à l’âge de 17 ans, et ça a créé quelques remous.
Le club avait recruté Albert Gemmrich à l’intersaison 1982. Attaquant expérimenté qui était même international français… Donc les dirigeants ne voyaient pas d’un bon œil qu’un jeune de 17 ans, joue à sa place.
Vous souvenez-vous de vos débuts avec l’équipe première ?
Je me souviens juste que c’était à l’extérieur, contre Rouen.
C’est bien ça, le 10 septembre 1982, lors de la sixième journée de D1. Quel bilan tirez-vous de cette saison 1982/83 ?
Je suis vraiment jeune, l’équipe aussi (23 ans de moyenne d’âge), on termine treizièmes mais c’est un bon apprentissage pour moi. Je dispute une dizaine de matchs. Et le parcours en Coupe de France est intéressant, puisqu’on atteint les demi-finales.
1983, c’est aussi l’année de votre sacre européen, avec l’équipe de France Juniors ?
Un sacré souvenir également cet Euro des moins de 18 ans. La compétition se déroulait en Angleterre et nous étions trois joueurs lillois, avec Prissette et Lauricella. En demi-finale on joue l’Italie, puis on remporte le titre contre la République Tchèque. Nous avions joué dans l’ancien stade de Tottenham : White Hart Lane ! Autant dire que ça sentait le football !
Dos Santos est reconduit pour une saison, pourtant vous ne jouez pas beaucoup plus de matchs en 1983-1984 ?
Je débute la saison titulaire, mais tout bascule lors de la 12 ème journée. On reçoit Monaco et au milieu de la première période, alors que je file seul au but, Juan Ernesto Simon, le libéro monégasque, me tacle par l’arrière. S’en suit une saison galère… Je suis opéré, puis plâtré. Un tendon de la cheville nécessitera neuf mois de repos. C’est ce qui explique mon temps de jeu réduit cette saison-là.
Lorsque vous revenez dans le groupe, la donne a changé, c’est désormais le Belge Heylens qui est à la tête des pros ?
Oui, c’est l’été 1984, les Bleus sont champions d’Europe, puis champions Olympiques. Mais du côté du LOSC, je pense qu’on a fait le mauvais choix. Charles Chamoy pouvait choisir entre Jean Parisseaux (voir plus haut), qui connaissaient bien les jeunes, ou Georges Heylens, qui faisait des merveilles en Belgique. Il a choisi le Belge, et un changement d’identité. Pour moi, ce choix a tout cassé !
Pourtant, avec le recul, les supporters du LOSC gardent une bonne image du passage de Georges Heylens .
Oui c’est plutôt un avis personnel. Je lui en veux d’avoir recruté « ses » joueurs, plutôt que de construire avec l’équipe en place. Peut-être que c’était une décision de plus haut, du président Jacques Amyot ?
Mais avoir dispersé aux quatre coins du championnat des joueurs qui se connaissaient depuis les cadets, c’était dommage. En continuant à progresser ensemble, nous aurions pu faire des ravages.
Pour les supporters, c’est différent. Son arrivée coïncide avec le recrutement de joueurs comme Desmet ou Vandenbergh, qui assuraient le spectacle à Grimonprez. Ils doivent en garder un bon souvenir, même si les résultats étaient mitigés (un classement moyen de douzième sur les cinq saisons de Heylens en D1, et une moyenne de spectateurs inférieure à 9.000 personnes, NDLR).
On comprend que ça n’était pas l’entente cordiale avec le coach. Vous faites pourtant une saison pleine lors de sa première année (35 matchs et 4 buts en D1).
J’ai du temps de jeu, alors que je n’ai que 20 ans. Mais c’est en coulisse que ça se gâte. Lorsque l’on nous échange Michel Titeca et moi-même, contre Cyriaque Didaux en provenance de Rouen.
Et comment ! Avec le recul, je n’aurai jamais dû accepter de rejoindre Rouen. Comme je vous l’ai dit, je n’avais que 20 ans, pas encore le caractère suffisant pour répondre au président Amyot que le deal n’était pas correct. Comme les jeunes joueurs d’aujourd’hui, j’aurais du me faire représenter, faire pression davantage. Utiliser le fait que j’étais encore sous contrat avec Lille pour quelques années, pour tenter de conserver ma place.
Dans l’équipe type de l’époque, quel joueur vous impressionnait le plus ?
Je vais vous répondre Joel Henry , peut-être parce qu’en tant qu’ailier j’observais davantage les joueurs offensif. Je le trouvais phénoménal. Au milieu, notre numéro 6, Stéphane Plancque envoyait du lourd aussi !
Et Rudi Garcia ? Etait-il fidèle à sa réputation d’ego surdéveloppé… ?
C’est vrai que Rudi Garcia, a toujours eu une ambition supérieure à la normale. Ça le rendait peut-être un peu hautain. Ou alors anxieux vis-à-vis de ses concurrents. J’aurai aimé avoir plus caractère étant jeune, ça m’aurait peut-être permis d’avoir une carrière plus longue au plus haut niveau, donc je ne peux pas le juger sur ce point.
Mais, ce n’est un secret pour personne, qu’en 2009, c’est lui qui est à l’origine du départ de Pascal Plancque, alors entraineur de la CFA du LOSC. Même 25 ans plus tard, l’entente ne semblait pas au beau fixe entre les deux… ( rires ). Je ne suis pas objectif, car j’adore Pascal, c’est un super mec, et je suis ravi du boulot qu’il effectue actuellement à Nîmes.
Passons désormais au volet « Coupe de France », et les deux parcours jusqu’en demi-finale en 1983, puis 1985.
De par ses cinq finales consécutives d’après-guerre, le club a toujours eu une relation particulière avec cette compétition… C’est vrai que retrouver les demies, alors que le LOSC n’y avait plus accédé depuis 30 ans, avait fait parler dans la presse. En 1983, je suis encore stagiaire et pas souvent aligné, mais en 1985 je participe davantage au parcours, en marquant d’ailleurs lors du fameux 5-1 contre Bordeaux.
« Puis on l’emporte 5-1 en prolong’, le terrain est envahi… La folie »
En effet, après une défaite 3-1 chez le cha
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