Pas de visage pas de problème

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Rédigé le 28/08/2013 , mis à jour
le 26/11/2015
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Alzheimer Raconte Le magazine de la santé Sport et santé Ejaculation précoce
Quel est ce visage que je ne saurais reconnaître ? Certaines personnes souffrent d'une incapacité à reconnaître une personne par son visage. Il ne s'agit pas d'un trouble de la mémoire ou d'un problème d'acuité visuelle, mais bien d'une incapacité à attribuer une identité aux visages, à reconnaître un visage comme étant familier. Ce trouble neurovisuel s'appelle la prosopagnosie.
La prosopagnosie est un mot barbare qui vient du grec : prosopon qui signifie le visage, et agnosis qui signifie l'absence de reconnaissance, l'ignorance. Les premières descriptions de ce trouble remontent au XIXe siècle, mais c'est un neurologue allemand, Joachim Bodamer, qui, en 1947, isole cette incapacité à reconnaître les visages d'autres troubles de la reconnaissance.

Car il ne faut pas confondre la prosopagnosie avec l'agnosie, un trouble de la reconnaissance des objets. Cette incapacité spécifique de la reconnaissance des visages est la conséquence d'un dysfonctionnement cérébral . La partie du cerveau responsable de la faculté à reconnaître les visages est le gyrus fusiforme - la partie médiane des lobes occipitaux et temporaux. La prosopagnosie peut être causée soit par une lésion de cette partie du cerveau, soit par de mauvaises connexions entre cette zone et les autres.

La plupart du temps, une lésion de cette partie du cerveau est consécutive à accident (un AVC , un traumatisme crânien , une tumeur , un hématome). On parle alors de prosopagnosie acquise - par opposition à une prosopagnosie congénitale liée, elle, à un mauvais développement chez le petit enfant de cette même partie du cerveau.

Une prosopagnosie peut aussi être causée par un processus dégénératif, comme la maladie d'Alzheimer . Mais dans ce cas, les lésions touchent le cerveau plus largement, et la prosopagnosie est alors associée à beaucoup d'autres troubles, dont des troubles de la mémoire.

Une difficulté à reconnaître les visages ... Cela peut arriver à tout le monde de temps en temps. Mais lorsque ce trouble se répète et s'installe, y compris à l'égard des proches, cela devient gênant... L'origine de la prosopagnosie est mystérieuse. Ce défaut de reconnaissance n'est pas dû à un problème de vision ni à un défaut de mémoire ou de langage. Et d'une personne à l'autre son dégré de gravité est très variable.

Parfois les patients craignent d'être atteints de la maladie d'Alzheimer . Une consultation neuropsychologique permet alors de rassurer les patients.

Alain, 75 ans, cache à tout le monde sa prosopagnosie , qui lui pose des difficultés dans sa vie de tous les jours. Il nous parle de sa maladie et de son impact sur son quotidien.

Normalement, quand on regarde un visage, on focalise notre regard sur le centre, entre les yeux, ce qui représente le point optimal pour avoir une vue d'ensemble du visage et le reconnaître d'un trait, en une fraction de seconde.

Le sujet prosopagnosique , lui, n'arrive pas à construire cette image globale du visage. Il ne perçoit qu'un kaléidoscope, des détails ; il est donc obligé d'analyser le visage élément par élément pour tenter, parfois en vain, d'identifier la personne.

Dans d'autres cas, le sujet prosopagnosique est tout à fait capable d'analyser le visage, mais il n'arrive pas à le mettre en relation avec ce qu'il connaît : il ne fait pas le lien entre ce qu'il perçoit et ce qu'il a déjà vu.

Comment traiter la prosopagnosie . Il est impossible de restaurer cette déficience du cerveau. Mais il existe des méthodes de rééducation : il s'agit de ré-automatiser par un nouveau chemin et de nouvelles stratégies, le processus de reconnaissance du visage …

La prévalence de la prosopagnosie est impossible à chiffrer : c'est un trouble rarissime. Qui plus est, beaucoup de sujets prosopagnosiques ne s'en plaignent pas, car ils ont eux-mêmes mis au point des stratégies compensatoires. Ils se raccrochent à des détails autres (la voix, le rire, le parfum, la couleur des cheveux, une blouse blanche, le contexte, etc) et vivent très bien de cette façon. Même des parents d'enfants sévèrement prosopagnosiques peuvent totalement l'ignorer, puisque leur enfant les reconnaît non pas à leur visage mais à leur voix, leur démarche ou leur façon de parler. Le trouble de leur enfant peut donc rester totalement invisible.

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Quel est le point commun entre Brad Pitt et Philippe Vandel ? Ils sont incapables de se souvenir de l’apparence d’une personne qu’ils ont déjà rencontrée.
On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs… Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en sont généralement rendu compte sur le tard.
A l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Longtemps, ils racontent s’être sentis vaguement coupables. « Je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom. Mettez-vous à leur place. Comment auraient-ils pu imaginer que, pour la majorité des gens, le cerveau a cette exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde… alors qu’il en a croisé des milliers tous dotés d’un nez, de deux yeux et d’une bouche à peu près placés aux mêmes endroits ?
C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir – logé dans la région occipito-temporale droite du cerveau – que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale, qui peut aller jusqu’à une incapacité totale (on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants) de la forme congénitale (des difficultés plutôt qu’une impossibilité totale). A en croire une des rares études sur le sujet, conduite auprès d’étudiants allemands en 2006, 2,5 % de la population mondiale en souffrirait.
Parmi les cas célèbres, celui de Jane Goodall, spécialiste des primates — avec les singes, elle ne s’en sort pas mieux, mais ils prennent moins la mouche. Quand elle s’est rendu compte de l’atypisme de ses difficultés, elle a contacté le neurologue britannique Oliver Sacks. Qui lui a non seulement expliqué que ce handicap portait un nom, mais qu’il en souffrait lui aussi. Dans L’Œil de l’esprit (Seuil, 2012) , le neurologue raconte d’ailleurs sa propre prosopagnosie. Ou comment il s’est déjà excusé en se cognant contre son reflet dans une glace. Ou comment il n’a pas reconnu son enfant dans un groupe de chérubins.
Mettre un nom sur son problème n’a pas empêché Jane Goodall de se sentir coupable. « C’est humiliant, parce que la plupart des gens pensent que j’invente un truc élaboré pour m’excuser de ne pas les reconnaître parce que je ne m’intéresse pas à eux », raconte-t-elle dans son autobiographie. Elle s’en sort en feignant de reconnaître tout le monde et s’excuse si quelqu’un lui signale ne pas la connaître. « C ela provoque parfois des situations étranges, mais ce n’est pas pire que l’inverse. »
Chroniqueur radio et télé, Philippe Vandel a, lui, adopté la stratégie opposée. « Ch aque jour à l’accueil de France Info, il y a entre quatre et six personnes, je ne sais pas qui sont ces gens… Alors je fonce, je marche tête baissée. Et si quelqu’un vient me parler, tant mieux. » Il a déjà imprimé plus d’une vingtaine de fois la page de Wikipedia consacrée à la prosopagnosie pour ceux qui ne le croyaient pas.
Dans les émissions auxquelles il participe, il note les positions de chacun autour de la table. « D ans le milieu de la télé, ce handicap est compliqué à gérer ! Je suis souvent entouré de gens imbus de leur personne qui ne comprennent pas qu’on ne les reconnaisse pas… Et je me retrouve dans des soirées avec tous ces mecs habillés en costume noir avec une chemise blanche sans cravate. »
Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à scruter les gens ( « ça ne sert à rien » ), mais pallie sa prosopagnosie en gribouillant ses carnets de reporter (« Gros nez ». « Pull bleu ». « Sacoche »). Dans un article, elle avoue avoir déjà écrit « ont déclaré machin et truc » quand elle n’était plus sûre de l’identité de celui qui parlait. « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers qui me sont interdits… », lâche-t-elle, rêveuse.
Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. Neuropsychologue au service de neurologie du CHU de Toulouse, Thomas Busigny, qui a étudié la prosopagnosie pendant dix ans, confirme. « C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. »
« Moi, celui que je préfère, c’est Ribéry » , avoue Philippe Vandel, qui peut en revanche avoir du mal à suivre un match de foot : « Dès qu’un joueur change de coupe de cheveux, je ne le reconnais plus… » S’accrocher aux détails est typique des stratégies compensatoires que déploient les prosopagnosiques. Jane Godall dit courir après les grains de beauté, même chez ses chimpanzés. « Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques , relève Thomas Busigny. Elles sont sensibles à la démarche, regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Une de mes patientes reconnaît les gens à leur chien ou à leur voiture. »
Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix. « Mes patients, qui jamais ne me reconnaîtraient dans la rue, me reconnaissent si je leur téléphone » , observe Thomas Busigny.
Prosopagnosique notoire, le directeur général délégué aux programmes à France Télévisions, Bruno Patino, jongle avec toutes sortes de stratégies. Plus jeune, quand il animait des groupes d’enfants, il se faisait des fiches avec leurs expressions favorites. Au travail, il s’est d’abord imprimé un trombinoscope à réviser chaque matin ( « ça ne servait à rien » ). Puis il a mémorisé les numéros de bureau. Des astuces qui ne marchent pas à tous les coups : à une station de taxi, il a pris son beau-père pour un collègue. Souvent, l’entourage s’adapte.
L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son « coming out » de « non-reconnaissance des visages » dans une interview au magazine Esquire : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi » , déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur.
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Medisite > Bien-être et beauté > Beauté > Visage > Ce que votre visage révèle de votre santé
L’aspect de votre chevelure, celui de votre peau… Nombreuses sont les parties de votre visage qui trahissent votre état de santé. Quels sont les signes à repérer ? Le Dr Mathieu Jousset, médecin généraliste chez S.O.S médecins, dresse la liste des symptômes qui peuvent annoncer de sérieux problèmes de santé.
Planet Publishing,
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Publié par Louise Ballongue , le 10/09/2019 à 16:17
Yeux rouges, teint jaune, paupières tombantes… Les signes sur votre visage en disent long sur votre état de santé. Voici la liste des signes à surveiller de près.
"Le teint jaune ou les yeux jaunes ( ce que l'on appelle "ictère" ) peuvent annoncer une maladie hépatique, un problème d’évacuation de la bile ou une hémolyse, c'est-à-dire une destruction des globules rouges", révèle le Dr Jousset.
Cette couleur jaunâtre est assez révélatrice et peut parfois indiquer un problème de santé assez grave, comme un calcul biliaire coincé dans les voies biliaires ou encore une anomalie du fonctionnement du foie (hépatite, cirrhose... etc).
Ce jaunissement du teint ou des yeux provient d’une accumulation excessive de bilirubine dans le sang.
"Très souvent, un teint grisâtre est le témoin d’une infection sévère et de la mauvaise tolérance de cette infection", informe le Dr Jousset.
Celle-ci peut être localisée dans n’importe quel endroit du corps. Cette grave infection peut s’accompagner de douleurs, de fièvre, d’une tension anormalement basse ou encore d’autres signes de gravité que la couleur du teint.
Depuis toujours, le teint blanc ou très pâle peut être le témoin d’une anémie sous-jacente.
Que signifie-t-il vraiment ? "Un teint très pâle peut avoir différentes origines. Il peut représenter un manque de globules rouges (anémie), un problème de moelle, une carence en
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