Partir pour une bonne pipe

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Partir pour une bonne pipe

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C'est par l'intermédiaire du minitel que j'ai fait la rencontre de Denis, son annonce était à peu près ainsi formulée: "mec viril, 50 ans, bien monté, cherche vide-couilles pour ce soir". Sans hésiter, je réponds immédiatement et donne mon numéro de téléphone. Il me rappelle dans la minute et nous prenons rendez-vous chez moi à huit heures du soir.

C'est un grand type assez baraqué, cheveux grisonnants et à vrai dire pas très beau, mais ça m'est complètement égal. Je le fais entrer dans mon salon et lui demande s'il veut boire un verre, il accepte et je nous sers deux whiskys. Je l'ai reçu uniquement vêtu d'une légère robe de chambre en soie très courte.

Tandis que je remplis les verres, il me caresse les fesses et découvre mon sexe glabre. Il me dit qu'il aime bien ça et me demande de me mettre nu. Il continue de me caresser et je m'agenouille entre ses cuisses tout en buvant mon verre. Je commence à déboutonner la braguette de son pantalon, il me laisse faire et continue de me caresser. Il me dit que j'ai la peau aussi douce que celle d'une femme, il n'est pas le premier à me faire cette réflexion.

Je découvre son slip rouge, il enlève alors sa chemise, effectivement la bosse que fait son sexe semble indiquer un bel objet... Il m'aide à ôter son pantalon et le voici maintenant uniquement vêtu de son slip. Il est debout et je fais glisser le sous-vêtement, il est extrêmement poilu et sa queue jaillit tel un diable de sa boîte. Elle est splendide, il ne bande pas et elle est déjà de belle taille, il n'a pas menti le bougre! Elle est épaisse et puissante, la peau est brune et parcourue de grosses veines presque violettes, le gland décalotté est d'un rouge très foncé avec un méat béant et très brillant. Je la caresse et la soulève pour la porter à mes lèvres, elle est chaude et lourde, très agréables au toucher. Entre ses cuisses, deux grosses couilles velues pendent bas comme je les aime. Je les prends alors dans mes mains pour les caresser, elles sont fraîches et je les sens glisser entre mes doigts avec délectation.

Je prends alors son gland brûlant entre mes lèvres et commence par en sucer le bout tout en le branlant maintenant doucement avec mes deux mains car il y a de la place... Il commence à bander et sa queue devient alors majestueuse. Elle est aussi dure qu'un morceau de fer, elle est très raide et tend à vouloir se dresser verticalement et je dois l'attirer vers le bas pour pouvoir mettre le gland à hauteur de mes lèvres. Le gland est à l'échelle, il ressemble à un gros champignon, il est presque noir et brillant et il remplit aussitôt ma bouche. Ma langue le parcourt maintenant et je commence à le sucer. Denis s'assoie alors sur le canapé, écarte les cuisses et me laisse m'occuper de sa queue et de ses couilles sans parler.

Je lui bouffe maintenant les couilles sans cesser de lui branler et lui caresser la queue. J'adore bouffer les couilles, les prendre l'une après l'autre pour les sucer comme de gros bonbons. Bien qu'elles soient de belles tailles j'arrive à avaler le paquet entier et je sens maintenant les deux testicules qui roulent dans ma bouche... Il frotte son mollet sur mon sexe et me fait alors bander. Je suis très excité et je ne peux me retenir de jouir sur sa peau. Je relâche les couilles, j'ai quelques poils qui restent sur ma langue et le paquet dégouline de ma salive.

Je reprends ma pipe. Mes lèvres vont maintenant régulièrement sur la longue hampe. Elle pénètre de plus en plus profondément et j'ai envie de lui faire une "gorge profonde" malgré sa grosseur. J'aime faire des gorges profondes et c'est ma spécialité. Je positionne bien ma tête en prolongement de la queue, je remplis mes poumons d'air et c'est parti! J'ouvre volontairement l'entrée de mon pharynx, le gland bouscule ma luette, depuis longtemps j'arrive sans difficulté à refréner l'envie de vomir, il glisse alors dans ma trachée. Denis semble apprécier ma prestation car il gémit en me caressant les cheveux. L'énorme queue glisse doucement, je ne peux bien sûr plus respirer. C'est fait, j'ai le nez dans sa toison, tout le phallus est en moi mais je suis à bout de souffle et je dois le retirer. L'homme est épaté:

— On ne m'a jamais fait un truc pareil!

Je souris et reprends une pipe plus classique. Il ne veut pas jouir trop vite et nous faisons une pause. Je lui sers un nouveau verre, il débande doucement, mais sa queue conserve quand même une certaine fermeté, ma salive coule sur la peau.

Nous reprenons un petit quart d'heure plus tard. Il veut que je commence par lui bouffer le cul, il se met alors à quatre pattes, les cuisses écartées, ses grosses couilles pendent lourdement. Je les saisis et glisse mon visage entre les deux fesses poilues. Ma langue trouve la rosette, ça sent évidemment un peu mais je ne déteste pas. Je glisse le bout dans le trou ouvert et afin de pouvoir la rentrer plus encore, j'ouvre grand la bouche pour la plaquer autour de l'anus. Il gémit quand ma langue pénètre complètement. Je ne cesse bien entendu de caresser et de branler son sexe maintenant en parfaite érection.

Quand il est pleinement satisfait, il se retourne et se couche sur la moquette et nous entreprenons alors un 69. Tandis que je le suce, il me bouffe le cul, me branle et me suce même. Je recommence alors à bander et il me suce maintenant. Il sait y faire car j'arrive à jouir une seconde fois! Il ne reçoit pas dans la bouche et il me fait décharger sur son torse. Il s'assoie et je reprends ma pipe. Il est très endurant car ça fait maintenant plus d’une heure que mes lèvres vont et viennent sur sa bite ou que mes mains la branle pendant que je lui bouffe les couilles.

Je sens alors que le membre se dresse davantage. Denis gémit et me demande si je reçois dans la bouche. Je lui fais signe que c'est oui et il se relâche en poussant des gémissements. J'aime cette voluptueuse sensation de chaleur qui se dégage dans la bouche lorsque le sperme se répand dedans. Il a un très fort goût âpre très agréable, il est épais et abondant car il jouit ainsi pendant de longues secondes. Je déglutis doucement et je laisse la queue débander dans ma bouche.


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A partir de quelle taille pénienne en érection les femmes prennent-elles vraiment du plaisir ? La réponse avec une étude relayée par le site spécialisé Men’s Health.
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Publié par Rédaction , le 12/05/2016 à 11:46
Les femmes n’ont pas forcément le fantasme des grands membres en érection, selon une étude du journal Psychology of Men & Masculinity relayée par le site spécialisé Men’s Health , mais plutôt d’un engin dans la moyenne, soit environ 15 centimètres . En érection, le pénis mesure (la verge étirée en partant du pubis jusqu’au bout du gland) entre 12 et 17 cm, avec une moyenne de 15,4 cm selon un sexologue interrogé par Medisite . A 50 ans, la verge perd 1,5 cm à cause du manque d'exercice.
"La mythologie du pénis surdimensionné provient des désirs des hommes et non pas des femmes. Elle vient de la façon dont les hommes se jaugent ", explique Brandy Engler, sexologue de Los Angeles (Etats-Unis) interrogé par Men’s Health . Les hommes quant à eux, penchent donc plus pour un idéal de presque 18 cm , ce qui pourrait devenir gênant et inconfortable pour certaines femmes, selon le sexologue.
En fait, il s’agirait plus de bien se servir de son engin et d’avoir une bonne connexion psychologique avec son partenaire que de tout baser sur la taille du pénis, selon les chercheurs. La circonférence du pénis n’est pas non plus en reste, selon une étude de 2015 publiée dans la revue PlosOne : 12 cm de circonférence en érection (la moyenne) serait plus important que la longueur pour les femmes.
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Nous lançons une nouvelle série sur Rue69  : Vie de baise . Il s’agit de lire et de raconter vraiment la sexualité, ni celle qu’on voit au cinéma, ni celle que l’on lit dans les livres. Nous avons l’espoir de documenter la vie sexuelle des Français. Qu’elle soit extravagante ou tout à fait banale. Si vous avez envie de vous prêter au jeu, écrivez-nous sur contact[at]rue89.com, avec «  Vie de baise  » en objet. Rue89

Mary (Cameron Diaz) avec du sperme dans les cheveux dans “Mary à tout prix” des frères Farrelly
On peut m’éjaculer sur la figure, me sodomiser, me foutre une fessée… Si je suis dedans. Mais je ne veux pas me sentir forcée. Par contre, il y a des choses qui ne m’attirent pas : le sadomasochisme, les partouzes.
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gratefull_dead a posté le 21 novembre 2016 à 12h28
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a_da_ma_naga_le_11_11_2014_a_06_54_44 a posté le 21 novembre 2016 à 12h28
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uberto a posté le 21 novembre 2016 à 12h28
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a_gnobel a posté le 21 novembre 2016 à 12h28
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diabolosatanas a posté le 21 novembre 2016 à 12h28
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Quand Caroline parle de sa sexualité, elle fronce les sourcils, se gratte la tête, pince ses lèvres, et finit par dire, embêtée :
Soudain, une histoire éclot quelque part dans son cerveau. Une tente, des toilettes, un capot de voiture. La sortie d’un black-out, sa culotte dans la poche, son « officiel » qui tambourine à la porte alors qu’elle est dans d’autres bras.
« Et puis, il y a cette fois où... » Elle trouve une passerelle, dévie, pioche un exemple parmi sa « centaine » de relations, s’arrête, prend un air désolé : « J’en étais où déjà ? »
Entre les souvenirs, pixelisés par une connexion Skype qui laisse deviner que cette expat’ a des airs de Charlotte Gainsbourg, un fil rouge finit par émerger : « Je donnais mon cul pour un peu d’amour. »
C’est, dans une forme plus ramassée, ce qu’elle expliquait dans son e-mail, envoyé à la rédaction :
A y regarder de loin, Caroline était une toxico du cul. La masturbation ? Elle était accro. La baise d’un soir ? Tout pareil. Mais ce qu’elle décrit est plutôt un besoin violent de se sentir désirée, d’obtenir ce « shoot d’amour ».
Après des relations en filigrane et une parenthèse avec un type « qu’elle tenait par la queue », elle a fini par se marier et partir vivre loin, à l’étranger, dans un pays dont on taira le nom pour des raisons d’anonymat :
Ça fait huit ans qu’il sont ensemble. L’addiction s’est canalisée.
J’ai navigué entre une sexualité « normale » de couple et une sexualité libre et élargie : trucs à plusieurs, alcool, endroits divers, inconnus. Je traînais une sale réputation à l’école, mais j’ai toujours revendiqué cette sexualité libérée .
Pour moi, le sexe était un outil. Quelque chose de facile, de simple, qui me permettait de me sentir désirée. Comme si tout ce que j’étais se résumait à ma capacité à faire bander un homme.
Je pense avoir couché avec plus d’ une centaine de personnes . Mais je ne sais pas exactement combien... A chaque fois que j’y pense, je me souviens d’une autre histoire, enfouie jusque-là dans ma mémoire.
Depuis que je me suis mariée, j’ai une vie sexuelle apaisée. Comme une ancienne droguée , j’ai parfois une bouffée d’envie : le besoin de courir dans un bar, de boire, de me faire draguer par n’importe qui. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré mon mari. Mais je reste assez calme, même si je m’octroie le plaisir fou d’entretenir par-ci par-là quelques relations de séduction. Je me sentirais périr autrement.
Pour qualifier l’acte en public, j’utilise l’expression « faire l’amour ». Même à une époque où j’avais une sexualité assez folle, je restais pudique dans la manière d’en parler. Ma sœur se moquait de moi en disant : « Bite, bite bite. » Et je me bouchais les oreilles.
Par contre, quand je baise, j’aime dire des choses comme : « Elle est belle ta queue, j’aime ta bite, prends ma chatte. » Ces mots sont érogènes pour moi, je les aime bien. Si quelqu’un me dit : « J’ai la bite qui est dure », ça m’excite. Me faire traiter de salope, j’adore. D’ailleurs, j’ai un peu fait de téléphone rose. Pas pour gagner ma vie mais pour satisfaire le fantasme d’un amant.
L’image qui me troublait, enfant, est un extrait du film « Le Nom de la rose » . Il y a ce moment où le jeune moine arrive dans l’office où se trouve une servante crado cachée sous une robe de bure. Il s’approche, il la renifle. Ils baisent de façon animale. Ça m’a retournée. Je devais avoir 12 ans et je le regardais en boucle.
Mon fantasme tout à fait interdit ? Le frère de mon mari n’est pas mal. Mais c’est un truc vraiment interdit. Un jour, nous étions saouls tous les trois sur une plage. Et là, comme une fleur, à 3 heures du matin, je balance : « Ce que j’aimerais, c’est faire l’amour avec deux hommes. » Le malaise...
Un autre de mes fantasmes est d’être initiatrice et de faire l’amour avec des adolescents. Attention, ce n’est pas tordu ! Quand j’enseignais en lycée, je me disais « Tous ces petits jeunes... », mais je n’ai jamais envisagé de coucher avec mes élèves (qui d’ailleurs avaient la majorité sexuelle). Je trouve juste qu’il y a un incroyable potentiel érotique et sexuel dans l’adolescence. Je voudrais être une « Milf » en fait : « the mother I’d like to fuck » (mère que j’aimerais baiser).
J’ai lu un peu de littérature érotique pendant mes études. Georges Bataille m’a mis dans un état second pendant un mois. J’avais l’impression de transpirer le sexe. Quand j’étais étudiante, j’ai fait un travail sur la condition de la femme en prenant des scènes « sans sexe » de films pornos. Celles où les filles miment l’amour. Aujourd’hui, je regarde parfois des vidéos amateurs. Une fois un copain m’a écrit pour me dire : « Regarde ce que j’ai trouvé sur toi. » C’était une vidéo avec mon nom. Mais ce n’était pas moi...
De la vie sexuelle de mes parents, je ne sais pas grand-chose. Pour moi, c’est un tabou. J’ai des souvenirs horribles de discussions entre ma mère et ma sœur. Il y avait toujours des questions débiles comme : « Est-ce que si tu couches avec un homme qui a une grosse bite, tu restes comme ça ? » Et ma mère qui répond : « Mais non, le vagin est rétractable. » Je trouvais cela horrible.
Mon père m’a surpris plusieurs fois en action avec mon mec du lycée et je me demande si ce n’était pas son inconscient qui le poussait à ouvrir la porte de la salle de bain au mauvais moment...
J’essaierai de parler de sexualité à mes filles, mais pas comme ma mère avec la haine des hommes. Et je ne leur dirai rien de ma vie sexuelle.
Je regrette toutes les fois où j’ai baisé par désespoir. Mais enfin, le temps que ça durait, j’avais l’impression qu’on m’aimait. Et je ne me suis jamais contrainte à faire l’amour. C’est juste que ce n’était pas très compliqué pour moi.
La première fois que je me suis masturbée, j’étais terrifiée. J’avais 10 ou 12 ans. J’étais dans la douche, chez mes parents. Sur le coup, je me suis dit : « Waouh ! Super ! » Et puis je suis devenue accro. Tu es toute seule avec ce plaisir, ce désir, dans ton lit avec les objets qui se trouvent sur ta table de nuit. Tu te dis : « Je l’ai fait hier, avant hier, il ne faut pas que je recommence. Il doit y avoir un truc mal parce que personne n’en parle. » C’était très culpabilisant. Un jour, j’ai vu un truc dans un magazine sur la masturbation pour les filles et je me suis dit : « C’est ça ! » Je découvrais ce qu’était l’orgasme. Je mettais un mot dessus.
La première fois, c’était à 17 ans. Ça n’avait aucun intérêt. C’était dans ma maison de vacances, sur mon petit lit, dans ma chambre. Ma mère était partie à une soirée. Je crois que c’était aussi sa première fois. On a fait cela très proprement et je me suis dit :
Quand je pense à toutes ces filles qui pleurnichaient : « Ça fait mal, on saigne... » Moi, j’étais en dessous de lui, mais j’avais l’impression de me voir du dessus, comme dans les films, et je me disais : « Oh là là, quel ennui ! » J’ai gardé cette optique-là : le sexe, on en fait tout un foin mais ce n’est pas grand-chose.
Après, j’ai rencontré mon amoureux du lycée. On a eu des relations sexuelles pendant quatre ans. C’était plus agréable, mais je n’ai pas eu beaucoup d’orgasmes avec lui. Surtout que j’avais atteint dans ma vie solitaire une telle efficacité orgasmique qu’il était difficile de me battre moi même.
Après cela, j’ai couché avec pleins de mecs, mais j’ai rarement eu des souvenirs merveilleux. C’est là que j’ai rencontré un homme avec qui je suis restée quatre ans. C’était la fois zéro, celle où ça a basculé . Après notre première baise, j’ai été manger une tablette de chocolat en me disant : « Folie ! » Il était très accro au sexe.
On a appris à se connaître, on parlait beaucoup, on s’inventait des scénarios, il me laissait seule avec un objet et me disait de l’attendre, je me branlais jusqu’à son retour ou bien on se filmait, il devenait fou à regarder les vidéos ; après l’une de nos multiples ruptures, il les a détruites…
Surtout, il avait très envie de moi et j’adorais cela. J’aime le désir que j’éveille. Il faut qu’on me dise : « J’en peux plus, je rêve de toi toutes les nuits, je me branle en pensant à toi. » Bon, il n’a jamais poussé mes limites, sauf peut-être en me demandant de faire le téléphone rose pendant l’acte. C’était chiant car je devais me concentrer sur le type au bout du fil en même temps que sur ce qui se passait dans mon lit.
On faisait des week-ends rock’n’roll, de débauche alcool et se
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