Partie sexuelle dans un manoir

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Partie sexuelle dans un manoir

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Pour le fondateur de « Playboy », ce manoir devenu mythique était bien plus qu'une simple maison lui permettant de s'adonner avec une poignée de célébrités à sa passion pour le sexe. Il était une déclaration jetée à la face de la société américaine en faveur de la libération sexuelle et du droit à choisir sa vie.
Par Tristan Gaston-Breton (historien d'entreprises)
Près de 42.000 dollars ! Tel est le prix auquel a été vendu, lors des enchères organisées à Los Angeles en décembre 2018, le célèbre peignoir en soie de Hugh Hefner, le fondateur du magazine « Playboy », décédé un an plus tôt. Le vêtement mythique n'est d'ailleurs pas la seule « relique » à trouver preneur ce jour-là. Il y a aussi la machine à écrire avec laquelle le journaliste devenu homme d'affaires a écrit, en 1953, son premier article - partie pour 162.000 dollars - ou bien encore le « Viagra Ring », la bague en or cachant une petite pilule bleue que Hefner portait en permanence au doigt, acquise, elle, pour 22.400 dollars. Tous ces objets proviennent du célèbre Manoir Playboy de Los Angeles, que Hefner s'était résigné à vendre peu de temps avant sa mort.
« L'antre du sexe », « le repère du vice et du crime », « le temple de la décadence », « le paradis des débauchés »… Rares sont les lieux à avoir suscité autant de critiques et de fantasmes. Son existence est indissociable de celle de Hugh Hefner. Pour le fondateur de « Playboy », ce manoir devenu mythique et auquel seuls une poignée de happy few avaient accès était bien plus qu'une simple maison lui permettant de s'adonner en toute tranquillité à sa passion pour le sexe. Il était une déclaration jetée à la face de la société américaine, une profession de foi parfaitement assumée en faveur de la libération sexuelle et du droit à choisir sa vie, fût-elle celle d'un débauché ; il était le pendant, vivant et bien réel, de son magazine.
Ce manoir mythique comporte une piscine, une grotte aquatique, un bar sous-marin, des espaces de jeu, un Jacuzzi et un zoo privé où l'on peut admirer des oiseaux exotiques et des singes. AFP
En réalité, il n'y a pas un mais deux manoirs Playboy. Le premier ouvre en effet en 1959 à Chicago. A ce moment, Hugh Hefner n'a même pas trente ans et est déjà un homme riche. Surprenant parcours que celui de ce fils de bonne famille né à Chicago en 1956. Son père est comptable et sa mère enseignante. La famille compte parmi ses ancêtres un gouverneur de Plymouth. Conservateurs et méthodistes, les parents Hefner rêvent de faire de leur fils… un missionnaire ! La vie en décidera autrement.
Mobilisé en 1944, le jeune homme écrit des articles pour un journal militaire. Le début d'une passion. La paix revenue, il décroche plusieurs diplômes en psychologie, en histoire de l'art et littérature, en sociologie et en « écriture créative » - une méthode qui consiste à rendre les techniques rédactionnelles accessibles à tous. Loin d'être un simple « jouisseur », le fondateur de « Playboy » défendra toujours une dimension intellectuelle qui le poussera à aller contre les idées dominantes de ses contemporains.
Embauché en 1950 comme rédacteur dans une revue de Chicago, Hefner en démissionne deux ans plus tard lorsque son patron lui refuse une augmentation. C'est alors qu'il a l'idée de créer un magazine de « divertissement pour homme » comportant des photos de femmes nues mais aussi des articles sur la mode et l'art de vivre. Ce type de magazine n'est pas alors une nouveauté aux Etats-Unis. Il en existe depuis les années 1880. En 1951, une publication très proche de celle que s'apprête à lancer Hefner a même vu le jour sous le nom de « Modern Man ».
Dans l'affaire, le jeune homme ne fait que « surfer » sur une vague : celle issue des bouleversements provoqués par la fin de la Seconde Guerre mondiale. A l'heure de la consommation de masse naissante, les gens veulent vivre normalement, renouer avec les plaisirs de l'existence, se déhancher au rythme du rockabilly qu'incarnera bientôt à la perfection Elvis Presley, en finir en un mot avec le puritanisme d'autrefois. La société américaine, peu à peu, se désinhibe. Il y a de la place pour un magazine de qualité s'adressant spécifiquement aux hommes et mêlant articles de fond et érotisme, pense Hugh Hefner.
Après avoir songé à le baptiser « Stag Party » (soirée entre hommes), il se décide pour Playboy, terme qui désigne un homme aimant s'amuser et multiplier les conquêtes féminines. Après avoir levé 8.000 dollars auprès de ses amis - et de sa mère qui, par amour pour son fils, a tout de même donné 1.000 dollars - il lance le premier numéro en décembre 1953. Son coup de génie est d'avoir tout misé sur Marilyn Monroe dont le portrait accapare la couverture. A l'intérieur, les lecteurs peuvent découvrir des photos totalement inédites de l'actrice entièrement nue destinées initialement à orner un calendrier pour soldats et que Hefner a achetées à un imprimeur pour une poignée de dollars. C'est un triomphe : 50.000 exemplaires sont écoulés en quelques jours.
En 1959, « Playboy » tire déjà à plus de 500.000 exemplaires. Entre-temps, le fondateur a lutté, dans ses colonnes, contre la ségrégation qui règne dans les Etats du Sud, défendu les homosexuels, interviewé des militants des droits civiques ou des artistes d'avant-garde… Depuis 1953, il a commencé à ouvrir des clubs privés pour gentlemen. Il a également créé les fameuses « bunnies », ces serveuses costumées en lapin qui travaillent dans les clubs Playboy, et les « playmates », les modèles qui posent dans son magazine et dont certaines feront de belles carrières d'actrice. Le manoir Playboy de Chicago est de la même veine. L'esprit du magazine doit s'y décliner pleinement. Il en est la « vitrine » privée, au même titre que les clubs en sont la manifestation publique et les bunnies l'expression fantasmée.
« Hef » », comme on commence à l'appeler, a déboursé 400.000 dollars pour cette vaste demeure de deux étages bâtie en 1899 et située en plein coeur du quartier huppé de Gold Coast. Et, bien davantage pour aménager une piscine tropicale dont la cascade cache une grotte, une salle de jeux, un bar sous l'eau, un bowling, un sauna et un cinéma. Le maître des lieux a aménagé ses appartements au rez-de-chaussée. Les playmates y disposent de leur propre chambre, les bunnies de Chicago se partageant pour leur part une pièce pour quatre et devant s'acquitter d'un loyer. Le manoir se veut un lieu d'accueil, un refuge, pour la communauté Playboy. Mais pas seulement ! « Si vous êtes fidèle, ne sonnez pas », avertit d'emblée une plaque en cuivre posée bien en évidence sur la porte d'entrée.
Dès le début des années 1960, l'endroit est réputé pour ses soirées de folle débauche, entre sexualité débridée, consommation d'alcool et de drogues, et excès en tout genre. Attirés par la réputation sulfureuse de Hefner et le succès de son magazine, John Lennon, les Rolling Stones, Warren Beatty ou Barbra Streisand figurent très tôt parmi les habitués. D'innombrables histoires circulent sur ce qui se passe derrière les murs de l'édifice : les Rolling Stones y auraient passé quatre jours de débauche totale, Keith Richards aurait manqué de mettre le feu à la salle de bains, John Lennon aurait fait un trou avec sa cigarette dans une toile de Matisse, Mick Jagger aurait été mordu aux fesses par une bunny délurée…
Anecdotes que tout ceci ? En partie seulement : « Hef » ne fait rien pour mettre un terme à ces rumeurs. Elles participent de la légende de « Playboy », suscitent la curiosité, lui attirent de nouveaux fidèles. Quand il ne reçoit pas chanteurs et acteurs, le sulfureux homme d'affaires ouvre les portes de son manoir à des événements culturels ou scientifiques. Un très sérieux congrès de sociologie s'y tient ainsi en 1967. Hefner y fait une brève allocution d'accueil sur la sociologie de la sexualité. Le soir venu, les respectables scientifiques sont pris en charge par une cohorte de bunnies.
Tout ce bruit et tous ces excès finissent par provoquer quelques problèmes de voisinage. A Chicago, la bonne société ne supporte plus la présence de ce lieu de perdition qui entache la réputation de Gold Coast. En 1970, une sombre affaire de trafic de drogue - très probablement montée par la police - fait la une de la presse locale. L'affaire est classée sans suite mais l'assistante de Hefner, mise personnellement en cause, se suicide. Pour le fondateur de « Playboy », dont le magazine se diffuse désormais à près de 10 millions d'exemplaires dans le monde entier, le moment est venu de quitter Chicago pour des cieux plus cléments. C'est sur la côte ouest, à Los Angeles, qu'il s'installe en 1974. C'est là, dans le quartier résidentiel de Holmby Hills, qu'il ouvre la même année le second manoir Playboy.
Pour acquérir ce château de style néogothique-Tudor de 2.000 mètres carrés sis au milieu d'un terrain de 2 hectares, l'homme d'affaires a dépensé 1 million de dollars. Comme la précédente, la demeure sert de résidence principale à Hefner. Comme elle aussi, elle comporte une piscine, une grotte aquatique, un bar sous-marin et des espaces de jeu. Mais il y a quelques nouveautés : un Jacuzzi a été créé dans le jardin, où l'on peut se livrer à ses ébats collectifs au milieu des bosquets et des arbustes. Avec l'autorisation de la municipalité, « Hef » a également aménagé un zoo privé où l'on peut admirer des oiseaux exotiques et des singes.
Les convives, eux, n'ont pas beaucoup changé : de Jack Nicholson - gros « consommateur » de playmates - à Pamela Anderson, en passant par Kirk Douglas, James Caan et, plus tard, Leonardo DiCaprio, on y retrouve nombre de stars de Hollywood. La plupart viennent en voisins. Pour éviter d'attirer l'attention, « Hef » a fait creuser un souterrain qui permet aux célébrités d'entrer et de sortir de la propriété en toute discrétion. Outre les bunnies et les playmates, Hefner emploie en permanence six ou sept jeunes femmes payées 1.000 dollars la semaine et qui doivent répondre à toutes les demandes des invités. Elles sont nourries, logées et disposent à volonté des services d'un coiffeur et d'une esthéticienne. Des escorts de luxe, en somme…
Les soirs de fête, « Hef » accueille invariablement ses convives en pyjama de satin et robe de chambre rouge. La semaine est réglée comme du papier à musique : le lundi est consacré à des séances de cinéma et des parties de jeu de cartes entre hommes, le mardi à la famille de Hefner - marié trois fois, l'homme d'affaires a quatre enfants -, le mercredi aux sorties en boîte de nuit, le vendredi aux « orgies », le samedi aux projections de vieux films et le dimanche aux « pool parties ». Le jeudi, jour de relâche, l'ennui est palpable…
Hugh Hefner et Crystal Hefner en peignoirs rouges lors de la fête d'Halloween, fin octobre 2015, dans le Manoir Playboy de Los Angeles. AFP
Le temps passant, cette existence vouée aux plaisirs et à la débauche suscite un nombre croissant de critiques. Dans les années 2000, plusieurs plaintes contribuent à attirer l'attention sur les frasques de Hugh Hefner. Il est question de viols collectifs, de harcèlement sexuel, d'abus sur mineures, le tout sur fond d'hygiène douteuse et de consommation de substances illicites.
Entendu par la justice, l'empereur du porno ne sera pas inquiété. Symbole de la libération sexuelle des années 1960 et 1970 et des excès en tout genre de la décennie suivante, le manoir, désormais, ne fait plus recette. En 2016, « Hef », alors âgé de quatre-vingt-dix ans, décide de le vendre. Proposé à 200 millions de dollars, il est finalement cédé pour la moitié de ce prix à l'homme d'affaires Daren Metropoulos, qui occupe la propriété attenante. Hugh Hefner ne profitera guère de son argent. Il meurt un an plus tard, le 27 septembre 2017.
Tous droits réservés - Les Echos 2022

Depuis les 60’s, la Playboy Mansion accueille les hédonistes bacchanales du Tout-Hollywood. Pensé comme un « Disneyland pour adultes » par son propriétaire, le Citizen Kane du cul Hugh Hefner, l’immense manoir gothique et sa mythique grotte sont devenus l’abri privilégié des Bunnies et des stars pour batifoler sous le regard bienveillant du pyjama de soie le plus célèbre de l’Histoire. Des Beatles en passant par les Rolling Stones ou Elvis Presley, la Mansion mérite sa sulfureuse réputation. Par Sandie Dubois.
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Lancé en décembre 53 à Chicago, Playboy est monté sur un coup de bluff par Hugh Hefner dit “Hef”, alors rédacteur d’Esquire. Il contacte les marques pour annoncer dans un magazine qu’il promet sexy et novateur… les fonds récoltés lui permettent de le produire et la chance continue de lui sourire quand il achète à un imprimeur des photos dénudées de Marylin Monroe jamais publiées pour lancer le titre. Le sexy est l’ingrédient magique du magazine mais sa ligne éditoriale exigeante pour dandys curieux et bachelors modernes font le reste. Très vite, le style de vie chic et décomplexé promu par le magazine fait des émules et le papier glacé ne suffit plus à contenir l’ambition de son fondateur qui décline l’esprit Playboy dans des clubs privés pour gentlemen à travers le monde (Dans “Les Diamants sont éternels” , on voit d’ailleurs la carte de membre de James Bond). Le filon sexy est personnifié par les “Bunnies”, dont le costume de petit lapin est inventé par Hef, qui trouve ça “plus sexy que topless” . Certaines célébrités ont d’ailleurs commencé leur carrière en tant que Bunnies, comme Debbie Harry, future chanteuse de Blondie, la super top Lauren Hutton ou même la puissante journaliste Barbara Walters qui aura porté le costume seulement quatre jours. Mais il manque encore au magnat un quartier général, véritable allégorie de l’art de vivre Playboy.
Debbie Harry en Bunnie, 1970. Photo : GAB Archive/Redferns
C’est à Chicago, bastion de l’empire que Hef ouvre la première Mansion en 1959. Plus manoir décadent que maison close, la propriété comprend une piscine tropicale dont la cascade cache une grotte, une salle de jeux, un bar sous l’eau que l’on atteint en glissant sur une barre, un bowling, un sauna et un cinéma. Les Playmates ont leur propre chambre, alors que les Bunnies se partagent une pièce à quatre. Dès l’entrée, une plaque de cuivre donne le ton avec la devise de la maison “Si Non Oscillas, Noli Tintinnare” (transposé par “si vous êtes fidèle, ne sonnez pas”). Hef est farouchement anti-drogues mais l’époque et ses invités, beaucoup moins. En 1972, les Rolling Stones y passent quatre jours de débauche entre substances, Bunnies délurées (dont une qui mordit les fesses de Mick Jagger) orgies dans le bain romain, sexe sous le piano à queue et meubles brûlés. Dans ses mémoires, Keith Richards raconte comment lui et son ami Bobby Keys ont failli causer un incendie dans la salle de bains, trop défoncés pour bouger quand le personnel de la maison fracassa la porte armée de seaux d’eau. Outré, Richards leur rétorqua “on aurait pu le faire nous mêmes. Comment osez vous surgir dans notre intimité ?” Il n’est pas le seul à avoir trop joué avec le feu ; John Lennon, brûla un Matisse avec sa cigarette lors d’une beuverie et l’oeuvre porte toujours le stigmate. Entre faste, sexe, et célébrités, la maison suscite les fantasmes à l’intérieur mais aussi à l’extérieur. Telle la mystérieuse demeure de Gatsby, pour le prude chaland, les murs de granit de la Mansion personnifient le vice estampillé Playboy, car en bon gentleman, Hugh Hefner est très discret sur ce qui se passe dans la maison, ce qui ne manque pas de susciter la paranoïa puritaine. Les discutables moeurs du magnat le placent dans le collimateur de la police et des censeurs qui lancent une chasse au lapin en montant de toutes pièces une affaire de drogues impliquant la Mansion. La justice promulgue un non-lieu mais l’assistante d’Hefner se suicide suite au scandale. Pour Playboy, il est temps de s’exiler.
1969, Hugh Efner entouré de ses bunnies. Photo : Hugh Efner, Instagram
En 1971, Barbi Benton, petite amie de Hef jette son dévolu sur un manoir de style “gothique - Tudor” à Los Angeles. La bâtisse est appelée “Playboy Mansion West” et Hef navigue de l’une à l’autre jusqu’à s’établir définitivement en 1974 en Californie où la politique en vigueur est plus souple. Hef décide de créer un lieu où tous les désirs deviennent réalité et s’y met en scène, n’abandonnant plus son pyjama uniforme depuis 1973. La propriété comprend 22 pièces mais aussi une salle de jeux, une cave à vins secrète du temps de la Prohibition, des courts pour parties de tennis tout nu...C’est aussi la seule maison de Los Angeles à avoir un permis de pyrotechnie et une des rares à avoir l’autorisation de posséder un zoo qui compte singes, oiseaux exotiques ou flamants roses. Alors qu’il passait beaucoup de temps à la Mansion dans les années 80, Michael Jackson confiait que c’était “pour les animaux” sans préciser si les lapins faisaient parties du lot. Hef accueille beaucoup de monde : ses fils appellent Jack Nicholson “Oncle Jack”, les acteurs Tony Curtis ou James Caan y vivent quelques temps, Leonardo Di Caprio, Col
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