Partage d'une asiatique entre deux étudiants

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Partage d'une asiatique entre deux étudiants


Publié le 28/09/2021 à 07h00
- Modifié le 28/09/2021 à 08h52




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Vous lisez actuellement : Deux étudiantes demandent à leurs camarades blancs de quitter une bibliothèque



Par Biglotron le 02/10/2021 à 11:55




Par Grisonnant le 01/10/2021 à 22:22




Par OP44 le 29/09/2021 à 15:43


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J eudi dernier, deux étudiantes de l’université Arizona State University aux États-Unis ont posté sur leur compte Instagram une vidéo devenue virale. Filmée par l’une des deux jeunes femmes, la vidéo montre les étudiantes demandant à deux de leurs camarades blancs de quitter la bibliothèque universitaire où ils étudiaient, car ils seraient « offensants ». Alors qu’ils étaient en train d’étudier dans une des bibliothèques universitaires du campus, deux étudiants ont été vertement sermonnés par deux jeunes femmes se revendiquant militantes Black Lives Matter . En cause, un autocollant figurant sur l’ordinateur de l’un des deux garçons comporterait l’inscription « Police Lives Matter ».
Tout en les filmant, les deux jeunes filles apostrophent leurs camarades : « Vous êtes offensants. Police Lives Matter ? C’est notre espace. Vous rendez cet espace inconfortable », s’exclament-elles. Renommé par l’université « espace d’apprentissage multiculturel », l’intitulé de la bibliothèque devient rapidement une source de discorde entre les deux binômes. « Vous êtes blancs, comprenez-vous ce que signifie un espace multiculturel ? Ça veut dire que vous n’êtes pas le centre du monde ! » s’énerve l’une des deux étudiantes. Estomaqué, l’un des garçons lui demande à son tour si, pour elle, « les Blancs n’ont pas de culture », avant d’être copieusement réprimandé : « Blanc n’est pas une culture ! Vous pensez que la blancheur est une culture ? ! » En colère, les deux étudiantes s’écrient que l’ASU (Université d’État Arizona) fait subir des violences aux élèves en protégeant des personnes comme les deux garçons.
�� This insanity is happening on college campuses pic.twitter.com/BrVxICZYqP
S’ils n’osent pas trop se défendre, l’un des garçons finira par réagir après que l’une des deux filles lui crie que « les hommes blancs pensent qu’ils peuvent occuper notre espace. […] C’est le seul endroit du campus où vous n’êtes pas le centre du monde et vous essayez toujours d’être le centre du monde, ce qui est une connerie d’homme blanc cis ! ». Agacé, ce dernier finit par répondre : « Je ne suis pas raciste, je suis juste en train d’étudier. Je paie les mêmes putains de frais de scolarité que vous, je travaille 60 heures par semaine tout en allant à l’école parce que mes parents ne me donnent pas d’argent ! »
Après leur avoir reproché d’être blancs, les jeunes femmes se concentrent sur l’autocollant « Police Lives Matter ». Pour elles, il vient défendre les policiers qui « tuent des gens comme moi et comme nous » l’accusant de faire la « promotion de nos meurtriers ». Même si les garçons sont défendus par l’un de leurs camarades, ils finiront par quitter les lieux sous la pression des deux étudiantes.
Si cette vidéo choque beaucoup d’internautes, elle pose également débat. En effet, outre le fait que l’un des deux garçons porte un tee-shirt « Je n’ai pas voté pour Joe Biden », l’autocollant en lui-même fait réagir. Sous la vidéo du tiktokeur @timothegram, suivi par près d’un demi-million d’utilisateurs et qui a abordé le fait divers, les commentaires se déchaînent, le contraignant à publier des précisions : « Ce qui avait été d’abord reproché à cet étudiant blanc, c’était d’avoir cet autocollant “Police Lives Matter”. […] Même si le slogan est un peu différent, apparemment, les gens l’associent à “Blue Lives Matter” ». Ce mouvement, né en 2014 en contestation du mouvement Black Lives Matter à la suite de l’assassinat de deux policiers, fait écho aux propos de l’une des deux étudiantes qui affirme d’ailleurs que l’autocollant serait « affilié aux nationalistes blancs ».
« La question est : est-ce de la provoc de sa part car il se trouvait dans une bibliothèque multiculturelle avec un tel autocollant sachant ce que ça pouvait peut-être déclencher chez des gens ou bien est-ce que c’était vraiment innocent du genre sa maman est policière et il veut la soutenir ? » explique le vidéaste Timothée à ses abonnés. Ce dernier finit tout de même par s’interroger : « Est-ce que c’est en fait l’autocollant qui te dérange ou est-ce que c’est parce qu’il est blanc dans un espace multiculturel ? »
Pour le moment, l’université n’a toujours pas réagi à la vidéo.
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Le racisme brut de décoffrage, ou le wokisme mis à nu.

Merci pour les "phantasmes des abonnés extrémistes" du Point. Que voilà une rhétorique propice au dialogue et au débat.
Je me demande quelle place ces activistes 2. 0 réserveront aux familles comme la mienne unissant un "mâle blanc" à une créole, avec de beaux enfants métis. Je suppose que nous ne rentrerons pas dans les (petites) cases prévues pour classer les bons sujets et les autres...
En attendant, je suis enchanté d'expliquer à mes enfants toute la richesse et la diversité de leurs origines, le patos en moins.

Leurs idiot. E. S (!) utiles squattent tous les espaces de discussion, même sur des thèmes qui à priori n'ont pas-grand chose à voir avec la politique. Même la musique classique, par exemple, n'est pas épargnée. Sous prétexte que pendant des siècles les femmes et les "non-blancs" y étaient peu représentés, maintenant il faudrait imposer non seulement des quotas, mais la parité, aussi bien pour les interprètes, que pour le répertoire.
Quelques femmes courageuses tentent de s'interposer, comme la violoniste Zhang Zhang (on remarquera au passage que les Asiatiques, eux, ont su rattrapper leur retard grâce à leurs seuls talent et travail ! ), mais d'une façon générale il est impossible de discuter avec ces militant. E. S( re !) sous peine d'excommunication et de reductio ad hitlerum.
Ce n'est plus seulement de la bigoterie bien-pensante, comme on pouvait encore le croire il y a 10 ou 20 ans, on n'est pas loin en effet des "Gardiens de la Révolution Islamique d'Iran" et des "Gardes Rouges " de Mao. Et ça fait peur.
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Cet article date de plus de sept ans.



Publié le 21/04/2015 14:25


Mis à jour le 21/04/2015 14:26



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Margot est étudiante mais elle doit mener une double vie pour boucler ses fins de mois. Elle se dévoile dans un documentaire diffusé, mardi à 20h40, sur France 5.
Mères célibataires, étudiantes, elles sont nombreuses à devoir travailler comme escort-girls pour arrondir leurs fins de mois. Une double vie qui n’est pas forcément facile à assumer. Sarah Lebas et Damien Vercaemer ont recueilli les confidences de cinq d’entre elles, dans un documentaire intitulé "Escort girls, une vie dans l’ombre" , diffusé mardi 21 avril, à 20h40 sur France 5, dans "Le monde en Face" .
Si certaines ont dû se résoudre à cette vie pour élever leurs enfants, d’autres le font pour payer leurs études. Dans cet extrait, Margot raconte son expérience d’étudiante en droit sans le sou, obligée de cumuler deux emplois pour subvenir à ses besoins.
De guerre lasse, la jeune femme a fini par s'inscrire sur un site, sur les conseils d’une amie, pour faire financer ses études par des hommes d’affaires, qu’elle accompagne lors de sorties dans des grands restaurants et avec qui elle doit se montrer "gentille" . "Je me souviens du premier homme qui m’a donné une enveloppe avec 600 euros en espèces. Pour moi, c’était un mois de salaire de job étudiant" , se confie-t-elle.
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In book: Interactions communicatives et psychologies: approches actuelles (pp.117-122) Edition: Paris: Presses de la Sorbonne Nouvelle Editors: I. Olry-Louis & C. Chabrol
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et apprent issage entr e étudia nts
 , M aîtr e d’Ensei gnemen t et de Recherc he, Unive rsité de Gen ève, Suiss e
Mots clés : intera ctions en tre étud iants , distr ibuti on des infor mati ons, dép endanc e
infor matio nnelle , menace p our les co mpétence s
De nombreuses études soulig nent les aspect s positi fs du trava il en groupe dan s
lequel la coopération entre les me mbres est favorisée ( voir Buchs, F ilisett i, Butera
et Quiamza de, 2004). Ce type de travail favoriserait la qualité des relations entre
les membres et c elle de l ’app rentissage. Cependant, le travail en groupe prend
des formes variées e t son efficacité est vari able. Il est alors di fficile de déterminer
quelle forme est la plus appropriée dan s une situation donnée, d ’au tant plus que
peu de recherches ont étudié comment les aspects positif s prennent place.
L ’ objectif des études présentées est d ’étud ier dans quelles c onditions et par quels
processus différentes formes de travai l en groupe sont le s plus efficaces, en arti-
culant la littérature sur l ’appr entissage c oopératif ( Johnson et Johnson, 2002) et
sur l’influence sociale (Mugny , B utera, Quiamzade, Dragu lescu et T omei, 2003).
Ces deu x approches ont été intégrée s en étud iant l ’impact de l’i nterdépendance
des ress ources su r les interactions entre les étud iants, e t les relations entre c es
Dans toutes les études r éali sées, les étudiants universitaires ont travaillé en
binôme su r deux te xtes. L’interdépendance des ressourc es a été manipulée pa r
l’intermédi aire de l a d istribution des in formations, e t des rôles ont été as signés
afin de facil iter les écha nges. Dan s l a c ondition d ’indépendance des res sources
(travail sur des informations identiques ), les deux partenaires lisa ient silencieuse-
ment l e premier texte, puis l’ un des étudiants jouait le rôle d e responsable et résu-
mait les informations à son partena ire. L es rôles étaient i nversés pour le second
texte. Da ns la condition d’ interdépendance positive des ressourc es (travail sur
Buchs, C. (2007). Partage de l'information et apprentissage entre étudiants. In I. Olry-Louis & C. Chabrol (Eds.),
Interactions communicatives et psychologies : approches actuelles (pp. 117-122). Paris : Presses de la Sorbonne Nouvelle.
des i nformations c omplémen taires), chaque étudia nt ne lisait qu’ u n seu l tex te
et prenait connai ssance de l ’autre texte par l’ intermédiaire de son partena ire. La
question centrale peut être p osée en c es termes : dans quelles conditions es t-il
plus bénéfique de faire travailler les étudia nts sur des informations identiques ou
sur des informations complémentaires ? Pourquo i ?
L ’ hypothèse proposée e st que l’i nterdépendance des ressources contribuerait à
modeler deux dynamiques différentes l ors de l’appren tissage coopératif entre étu-
diants. Le tr avail sur des informations identiques pourrait favoriser des échanges
ainsi que des confrontations de positions dans la mesure où l es étudiants peuvent
comprendre diff éremment les informations. Ces conf rontations pourra ient être
bénéfiques pou r l ’app rentissage (Do ise et Mugny , 1997 ; Johnson et Johnson,
199 5 ; Perret-Clermont et Nicolet, 2001 ; voir aussi Buchs, Butera, Mug ny et
Darnon, 2004). Cependant, ce trava il accentuera it également l’é valuation
réciproque des compétences. Cet accent sur la comparaison socia le des compé-
tences orienterait le s étud iants vers une ré gulation relationnelle des interactions
au détriment d’une régulat ion épistémique (Mugny et al ., 2003) et stimulerait
la compétition, renda nt le s interactions moins positives. En effet, la rég ulation
relationnelle a un effet néfa ste pour l ’ap prentissage (Da rnon, Buch s et Butera,
Par ail leurs, lorsque les étudiants travai llent sur des informations c omplémen -
taires, chac un est dépendant du partenai re pour accéder aux informations. Cette
dépendance informat ionnelle réciproque renforcerait la pertinence de la relat ion
avec le partenai re et la responsabilité ind ividuelle (Cohen et Cohen, 199 1) . Elle
favoriserait un investis sement plus importa nt de s partena ires dans l a transmi s-
sion des i nformations (L ambiotte et al ., 1987). De plus, tr availler sur des infor-
mations complémentaires soul ignerait la nécessité de co ordonner les points de
vue c omplémen taires et faciliterait la décentration. L a décentrat ion serait béné-
fique pour la qua lité de s rel ations entre les par tenaires (Gruber, 20 00), pour le
traitement des informations (Hug uet, Mugny et Pérez, 1 991- 1992) a insi que
pour les stratégies de ra isonnement (Butera et Buchs, sous pres se) . Cependant,
un m auvais apport inform ationnel pourra it entraver les bénéfice s du travai l sur
Ces hypot hèses ont été testée s à la fois dans un contexte natu rel d’apprentissage
et en laboratoire. En effet, t rois études ont été réal isées sur plusieurs s éances lors
de travaux d irigés de ps ychologie soci ale. Il s’agissait donc de réelles situ ations
d’appren tissage à l’université portant sur un conten u pertinent pour la formation
Partage de l’in formati on et appren tissage ent re étudiant s
des ét udiants. Les interactions sponta nées entre les étud iants ont été fil mées ou
appréhendées par l ’intermédia ire de questionnaires. Trois autres ét udes ont été
réalisé es en laboratoire sur une seule séa nce.
La première étude (Buchs et Butera, 2001) a mis en évidence que le tr avail sur
des informations compl émentaires renforce la coopération et l’invest issement des
étudiants, mai s ne facilite pas forcémen t l’ apprentissage. Les écoutants dans cette
condition ont obtenu les moins bonnes performa nces. Plusieurs éléments sou li-
gnent que la qualité de l’apport in formationnel e st u n élément importa nt da ns
cette condition. Il se peut qu e la difficulté des textes pro posés n’ ait pas permis aux
responsables de restituer c orrectement les in formations. A insi d ans l a deux ième
étude, des textes plus abordables ont été proposés.
La deuxième étude souligne qu ’ avec des textes pl us abordables, no n seulement les
écoutants trava illant sur des in formations complémen taire s n’on t pa s été péna-
lisés, m ais la performance a été meilleu re suite à un travail sur des informations
complémentaires plutôt qu ’identiques. Paral lèlement, travailler su r des in forma-
tions identiques a renforcé les confrontations de points de vue e t les activités
liées à la comparaison sociale des c ompétences (activités dites relationnelles) .
Ces activités relationnelles constituent une va riable méd iatrice de l ’ effet négatif
du travai l sur des informat ions identiques sur la performanc e différée (Buchs,
Butera e t Mugny , 2004). Cette ét ude souligne un lien négatif entre la c ompé-
tence perçue du pa rtenaire et la per formance des ét udiants lors d ’un travail sur
des informations identiques alors que ce lien a été positif lors d’un travail sur des
Ce dernier résultat a été répliqué dan s une troisième étude dans laquelle la com-
pétence du pa rtenai re a été manipulée grâce à la qua lité d’ exposé d’un c ompère (il
s’ agit d’un as sistant du c hercheur qui prend la plac e d’un étudi ant). Le compère
était entra îné à faire un exposé du texte soit brilla nt, soit moyen. L e contenu
informationnel était sensiblement simi laire da ns ces deux conditions, mais la
précision du vocabulai re, l ’o rganis ation du ré
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