Partage de plaisirs avec le boss

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Partage de plaisirs avec le boss
«C’est littéralement un « plaisir partagé » d’explorer ce thème avec un parent et encore plus avec un groupe de parents. C’est tellement pas menaçant! Et le fait d’en écouter un raconter un moment heureux donne plein d’idées aux autres».
«J’avais étendu toutes les cartes des plaisirs partagés et c’était émouvant de voir l’enthousiasme et la fierté avec lesquels les parents nous racontaient ce qu’eux faisaient avec leur jeune».
Le thème des plaisirs partagés réfère à des moments heureux de la vie quotidienne. Les illustrations expriment des situations de réussite dans l’exercice des rôles de parent et d’enfant, les deux étant une source de gratification l’un pour l’autre. C’est un outil de choix pour les intervenants qui mettent l’accent sur le renforcement du lien d’attachement parent-enfant. On retrouve trois séries d’illustrations qui présentent des situations de plaisirs adaptés selon l’âge de l’enfant (0 à 2 ans; 2 à 5 ans; 6 à 11 ans).

Exemples d’utilisation

Selon le contexte, on peut étendre à toute la famille l’identification de certains moments de plaisirs que l’on partage tous ensemble, ou encore ceux que l’un ou l’autre aimerait faire davantage.


Dans un contexte de garde partagée, il est souvent intéressant que l’enfant puisse parler des moments de plaisirs qu’il a déjà vécus ou qu’il partage parfois avec sa mère, avec son père, ses grands-parents, etc. et de pourquoi il apprécie tout particulièrement ces activités.


Il peut aussi être pertinence de revoir comment certains événements (p.ex.: immigration, divorce, arrivée d’un deuxième enfant, déménagement, maladie, etc.) ont modifié le contexte des plaisirs partagés avec l’enfant;


Le thème des plaisirs partagés est particulièrement bien adapté à un contexte d’échange dans un groupe de parents. Les parents sont habituellement fiers de raconter aux autres les situations de plaisirs partagés avec leur enfant et les anecdotes viennent nombreuses.


Proposer au parent d’échanger avec l’enfant sur des activités de plaisirs qu’il aimerait expérimenter, ou vivre plus souvent. Explorer plus concrètement avec lui comment cela pourrait être possible, etc.



Pertinence clinique

Le thème des plaisirs partagés représente l’outil le plus «rafraîchissant» de la Trousse, joyeux mélange entre les thèmes qualités d’un enfant et compétences parentales. La frontière est d’ailleurs souvent mince entre les thèmes compétences parentales et plaisirs partagés, car le fait de vivre des situations de plaisir réciproque avec son enfant est considéré comme étant l’une compétence parentale importante.


Comme ce thème réfère à des situations de réussite et à des moments heureux de la vie quotidienne, le contenu des échanges peut aider l’intervenant à découvrir le parent et sa réalité familiale sous un angle moins négatif que celui qui teinte souvent le contexte d’un suivi psychosocial.


Les plaisirs partagés est un thème susceptible d’alimenter de façon simple et concrète l’attachement réciproque entre le parent et l’enfant.



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Et si nos zones érogènes ne se résumaient pas au gland du clitoris et aux seins ? Oui, parce que quand on cherche bien, on ne trouve pas moins de 22 zones érogènes à stimuler. Inventaire corporel (et jouissif).
Les zones érogènes se divisent en deux grandes familles : les zones érogènes dites primaires (celles qui mettent plus ou moins tout le monde d’accord, comme le clitoris, le vagin, les fesses…) et les zones érogènes dites secondaires, qui sont davantage personnelles et contextuelles (certaines personnes adoreront qu’on leur caresse l’oreille le lundi ou les doigts de pieds à la plage). De quoi en conclure que nous avons toujours à découvrir. Alors entre les zones volcaniques accessibles et connues et celles qui méritent un peu d’investigation, il y a de quoi faire. Découvrez notre inventaire pour un maximum d’inspiration et – évidemment – de nouveaux plaisirs (féminins).
On commence par le chef, le boss, le roi, on a nommé le gland du clitoris , qui n’est autre que la partie émergée de l’organe clitoridien. Situé au sommet de la vulve et plus ou moins caché sous son capuchon (tout dépend des corps), il adore être caressé avec délicatesse (et bien entendu avec les doigts, la langue, un oreiller ou encore des jouets). Une touche de lubrifiant lui fera toujours plaisir : plus c’est humide, plus c’est agréable (à sec, ça pourrait vite donner la sensation d’un ongle crissant sur le tableau).
Les parois vaginales sont peu innervées mais l’entrée du vagin… si. Elle demeure une zone très sensible. Alors plutôt que de foncer au bout du tunnel, prenons le temps de trainasser dans le hall d’entrée. Il y fait bon vivre.
Ah le fameux point G, celui qui nous donne du fil à retordre (oui, encore). Seulement, aujourd’hui, on sait que le point G n’est pas une zone magique à trifouiller dans l’objectif de jouir (spectaculairement). Cette zone est en réalité la zone de carrefour entre le vagin et le clitoris, puisque le clitoris (s’il nous fallait une image) est assis les jambes écartées sur le conduit vaginal. Ce lieu, surnommé la fourche (car de là naissent les racines et les bulbes de clitoris) est donc accessible par caresses internes, tandis que les mouvements des va-et-vient et les contractions du périnée accentuent le contact entre les organes.
Le deep spot , soit « point profond » en français, serait en réalité composé de deux points au niveau du col de l’utérus. Il y aurait donc le « front deep spot », situé du côté antérieur de l’utérus – que l’on appelle également le point A pour « antérieur », et le « back deep spot », situé à l’arrière, côté anus. Mais pourquoi deux points ? Parce que le col de l’utérus « plonge » dans le vagin telle une petite goutte d’eau, si bien qu’il existe un cul de sac de part et d’autre de cette petite goutte. Pour atteindre ces points, la pénétration se doit donc d’être… profonde. Mais si on n’aime pas ça, on passe son chemin.
On oublie souvent la vulve. Or, ce n’est pas parce que la vulve se voit et se présente comme une première étape qu’il faut la sauter (dans le mauvais sens du terme). Les petites lèvres et les grandes lèvres sont très intéressantes à stimuler, tout comme le vestibule – la muqueuse qui se situe autour du méat urinaire et descend à l’entrée du vagin. Derrière, se trouvent (en plus) les bulbes vestibulaires, reliés au clitoris. Pendant l’excitation, ils gonflent (parce qu’ils sont contents). Donc caresser la vulve , ça fait plaisir.
L’anus ne lubrifie pas naturellement mais il est généreux en sensations. L’usage d’un lubrifiant permettra de partir à sa découverte, et on n’oublie pas que l’entrée de l’anus, c’est très bien aussi.
Cet ensemble de muscles en forme de banane qui s’étend du pubis à l’anus est agréable à stimuler. On masse la zone entre l’entrée du vagin et celle de l’anus, et on n’hésite pas à contracter son périnée pendant la pénétration vaginale ou même des caresses externes dédiées au clitoris. On sait que le clitoris est mobile sous les contractions périnéales, et plus il est agité, plus il nous gâte.
Oui, on peut se concentrer uniquement sur les tétons, qui se mordillent, se caressent, se pincent… A vous de voir. Toujours étant que la stimulation des tétons accentue généralement le plaisir.
Une fois les tétons rencontrés, les seins demandent eux aussi à être regardés et… touchés. On peut donc les caresser dans leur entièreté et jouer à n’oublier aucune zone de peau. Défi.
A ce niveau-là, c’est chacun son truc, toujours étant que ça peut fonctionner. Du lubrifiant – toujours – permettra d’apprécier. Le cas échéant, on laisse tomber.
Ah, la nuque… Zone tellement cachée (et sexy) qu’on la néglige. Pourtant, pendant l’amour, elle a toute sa place : et que je te saisis la tête, et que je t’embrasse… Et que je te masse aussi ! Les massages sont d’excellents préliminaires alors profitons-en et commençons par la nuque.
Vous jouissez (presque) chez le coiffeur ? Comme quoi, gratter gentiment (ou masser, disons) le cuir chevelu est une excellente idée. Place aux cheveux (avant de les tirer).
A vous de voir, mais les oreilles sont sensibles et procurent d’agréables sensations : devant, derrière… A l’intérieur, on sait que la présence de récepteurs sensoriels encourage parfois à mettre… la langue. Oui, il fallait y penser.
Un bon baiser est très excitant. En ça, les lèvres méritent toute notre attention, de quoi prendre le temps de s’embrasser vraiment et oser quelques accrochages (je te mords) ou caresses langoureuses (je te lèche).
Le bas du dos est riche en émotions ! Alors avant de foncer sur les fesses, choisissons de descendre très lentement, exactement comme on le ferait du ventre à la vulve. Des baisers dans le bas du dos sont les bienvenus. Si on est seule, on se cale un coussin et on dandine en prenant du plaisir, une sorte de massage maison au top qui, en plus de ça, nous offre une cambrure de rêve.
Maintenant, on a le droit de toucher les fesses, de les caresser ou de les empoigner. Et de les saluer avant de se diriger vers la zone génitale (emprunter de nouveaux chemins, c’est cool).
Frissons garantis (un peu comme sous la douche, quand on se démène avec un grattoir). Alors on s’amuse, on se gratte le dos, on se masse…
Voilà une zone ultra-sensible (et fréquemment zappée). Or, elle est un peu le terrain qui nous conduit au sexe. S’y attarder, c’est faire le pari de laisser l’excitation monter (très haut).
Ça vous chatouille d’ici ? Certes. Tout le monde ne court pas après les pieds (huhu). Mais qui sait ce que l’excitation, quand elle atteint des sommets, est capable de nous dicter ? Plus on prend du plaisir, plus on s’abandonne. L’occasion de tendre le pied, zone très innervée, pour mieux le prendre.
On oublie combien les doigts sont dotés de capteurs sensoriels. Grâce à eux, le toucher prend une autre dimension, alors imaginez au lit… D’ailleurs, on n’hésitera pas à jouer avec ses doigts, qui se promènent sur le sexe de l’autre, mais qui peuvent aussi se balader dans la bouche (et dans sa propre bouche quand on se masturbe).
Le plaisir est (aussi) visuel. Profitons du spectacle pour jouir !
Le cerveau, vraiment ? Oui, le cerveau un organe sexuel comme un autre, puisqu’il est convenu que le plaisir, ça se passe aussi dans la tête. D’ailleurs, à chaque fois qu’une partie de votre corps est stimulée, c’est bien grâce à votre cerveau que vous ressentez d’étonnantes sensations. Alors bon, au pire, on l’oublie, mais sachons qu’il est toujours dans la course…
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