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Feuille du dessus d'une carte à jouer, supportant l'impression des...
Lequel de ces substantifs masculins se finissant par le son [oir] ne prend pas de « e » ?


Harmonisation : Robert Ledent
Voir la partition


Vidéo enregistrée en 2010 à l'occasion du 75e anniversaire de la Chorale de l'ULB © Jean Corbreun 2010.


1. Elle avait ses quinze ans à peine
Quand ell' sentit battr' son coeur
Un beau soir, près du mec Gégène
Marinette a cru au bonheur.
C'était l' jour d' la fêt' nationale
Quand la bombe éclate en l'air
Elle sentit comme une lame
Qui lui pénétrait, dans la chair.

Par devant, par derrière,
Tristement comme toujours,
Sans chichis, sans manières,
Elle a connu l'amour
Les oiseaux dans les branches
En les voyant s'aimer
Entonnèr'nt la romance
Du quatorze juillet.

2. Mais quand refleurit l'aubépine,
Au premier souffl' du printemps,
Fallait voir la pauvre gamine
Mettre au monde un petit enfant.
Mais Gégène, qu' était à la coule
Lui dit: " Ton goss', moi j' m'en fous!
Si tu savais comm' je m' les roule
A ta plac' moi j' lui tordrais l' cou."



3. Mise au banc de la cour d'assises
Et de c'ui de la société
Ell' fut traitée de fill' soumise
A la veill' du quatorze juillet.
Elle entendait son petit gosse
Qui appelait sa maman
Tandis que le verdict atroce
La condamnait au bagn' pour vingt ans.

Par devant, par derrière,
Tristement comme toujours,
Elle est mort' la pauvr' mère
A Cayenne un beau jour,
Morte avec l'espérance
De revoir son bébé
Dans la fosse d'aisance
Où ell' l'avait jeté.

Elle avait ses quinze ans à peine
Quand ell' sentit battr' son coeur
Un beau soir, près du mec Gégène
Marinette a cru au bonheur...


Le marteau de l'horloge, en ébranlant la nuit,
Avait depuis longtemps fait résonner minuit;
Et pourtant bien qu'elle eût travaillé sans relâche,
Rosine n'avait pas encor fini la lâche
Qu'il faillait accomplir pour que le lendemain
Elle puisse donner à son enfant du pain ...
La nuit, quand j'avais fait ma "pige" à la gazette
Et que je regagnais ma petite chambrette,
Elle était au travail, et souvent le soleil
Se levait sans qu'elle eut pris sa part de sommeil.
. . . . . . . . . . . . . . . . . .
Elle avait vingt-cinq ans quand elle sentit battre
Son cœur aux doux propos d'un séduisant bellâtre,
Qui, mettant à profit un instant d'abandon,
L'offrit en holocauste au malin Cupidon ...
Mais le temps de l'amour, cette si douce chose,
Ne dura que le temps d'effeuiller une rose;
Car le beau séducteur, de sa paternité
Ne voulant pas avoir responsabilité,
S'enfuit fermant l'oreille aux voix de la nature,
Laissant à Dieu le soin de sa progéniture,


Puisse-t-il quelque jour connaitre le remords,
Demander son pardon et réparer ses torts ! ...

Mais au petit enfant il restait une mère
Qui, malgré ses tourments, et sa douleur amère.
Sut faire son devoir, et qui, depuis deux ans,
Impose le respect, même aux plus médisants,
Même à celui qui croit que l'honneur ne réside
Que chez la vierge au front gracieux et candide.

Il est temps d'en finir avec le préjugé,
Qu'entretient avec sein le haut et bas clergé,
Et de rendre l'estime à toute fille-mère
Affrontant les soucis et la noire misère,
Pour élever l'enfant d'un sinistre gredin
Qui, trop souvent, n'a plus pour elle que dédain.

Rien n'est digne, à mes yeux, comme une brave fille,
Remplissant son devoir de mère de famille,
Sans souci du mépris des méchants et des sots,
Du perfide venin des cuistres, des cagots.


1. C'était un' gamin' de seize ans
Ayant perdu tous ses parents,
Une simple couturière
Sans toilette et sans manière,
Mais plus beaux que tous les trésors,
Elle avait de blonds cheveux d'or
Et des yeux bleus de mystère
Plus précieux encor.

Trottinant gentiment le matin, le soir,
Il fallait la r'garder passer sur l'trottoir,
Toute jolie,
La p'tit' Lilie
Et chacun se disait devant ses grands yeux,
Où semblait se r'fléter tout l'azur des cieux
C'est un ange qui passe dans la vie,
La p'tit' Lilie



2. Un beau jour sans penser à mal
Ell' fit connaissance dans un bal
D'un rôdeur de la barrière,
Ell' se donna toute entière.
Mais lui qu'aimait pas travailler
Il lui fit quitter l'atelier
En lui disant tu vas m' faire
Un meilleur métier.

Trottinant tristement quand venait le soir,
Il fallait la r'garder passer sur l' trottoir
Toujours jolie
La p'tit' Lilie
Et chacun se disait devant ses grands yeux
Où semblait se r'fléter tout l'azur des cieux
Ell' n'est pas fait' pour cette vie
La p'tit' Lilie



3. Mais bientôt elle en eut assez
Alors ell' voulut se sauver
C'était l'heure où l' gaz s'allume
Il la suivit dans la brume.
Lâch'ment, comme une brute, dans le dos
Il lui planta son grand couteau,
Ell' tomba sur le bitume
Sans dire un seul mot

Un agent qui faisait sa tournée le soir,
La trouva étendue morte sur le trottoir
Toujours jolie
La p'tit' Lilie
Car la mort avait mis dans ses grands yeux bleus
Un sourir' comme en ont les ang's dans les cieux,
Elle est r'montée dans sa patrie
La p'tite Lilie


1. Comme ell' n'avait qu'seize ans à peine
Ell' sentit battre son coeur
Un beau jour, Paulot, mon Bébert
La pauvrette avait cru au bonheur.
C'était l' jour d' la fêt' nationale
Ousque la bomb' pète en l'air
Ell' sentit comme un grand coup d'flamme
Un frisson qui pénétrait sa chair.

Par devant, par derrière,
Tristement comme toujours,
Sans chichis, sans manières,
Elle a connu l'amour
Les oiseaux dans les branches
En les voyant s'aimer
Entonnèr'nt la romance
Du quatorze juillet.



2. Mais quand refleurit l'aubépine,
Au premier souffle du printemps,
Fallait voir la pauvre gamine
Mettre au monde un tout petit enfant.
Mais Bébert, qu' est l' type à la coule
Lui dit: " Ton morpion, moi j' m'en fous!
Tu peux l' fair', moi j' me les roule
A ta plac' je lui tordrais le cou."

Par devant, par derrière,
Tristement comm' toujours,
Fallait voir la pauvr' mère,
Et son goss' de huit jours,
En fermant les paupières
Ell' lui tordit l' kiki
Et dans l' trou des ouatères
Elle a jeté son p'tit.



3. Mise au banc de la cour d'assises
Comme à c'ui d' la société
Ell' fut traitée de fill' soumise
Au lend'main du quatorze juillet.
En entendant l' verdict atroce
Qui la condamn' au bagn' pour vingt ans.
Elle songeait son pauvre gosse
Qu'ell' ne reverrait plus maintenant

Par devant, par derrière,
Tristement comme toujours,
Elle est mort' la pauvre mère
A Cayenne un beau jour,
Morte avec l'espérance
De revoir son bébé
Dans la fosse d'aisance
Là ousqu'ell' l'avait mis.


1. Alle avait ses seize ans à peine
All' sentit battre son coeur
Un beau soir, pour le mec Eugène
Marinette a cru au bonheur.
Et le soir d' la fêt' nationale
Quand la bombe s'pète en l'air
All' sentit au contact(e) du mâle
Un frisson lui parcourir la chair.

Par devant, par derrière,
Tristement comme toujours,
En fermant les paupières,
Alle a connu l'amour
Les oiseaux dans les branches
En les voyant s'aimer
Entonnèr'nt la romance
Du quatorze juillet.



2. Mais quand refleurit l'aubépine,
Au premier jours du printemps,
Hélas, la pauvre gamine
Mit au monde un petit enfant.
Mais l'Ugène, qu'est un mec à la coule
Lui dit: " Ton lardon, j' m'en fous!
Tu l'a fait, maint'nant, j' me les roule
A ta plac', je lui tordrais le cou."

Par devant, par derrière,
Tristement comm' toujours,
Fallait voir la pauvr' mère,
Et son goss' de huit jours,
Sans chichis, sans manières
Alle y a tordu l' kiki
Et dans l' trou des vatères
Alle a jeté son petit.


3. Mise au banc de la cour d'assises
Comme à c'ui de la société,
La jeun' femm' fut tendre et soumise
Un beau soir du quatorze juillet.
All' croyait entendre son gosse
Qui appelait sa maman
En entendant l' verdict atroce
Qui la condamne au bagn' pour quinze ans.

Par devant, par derrière,
Tristement comme toujours,
Alle est mort' la pauvr' mère
A Cayenne un beau jour,
Morte dans l'espérance
D'entendre son bébé
Lui chanter la romance
Du quatorze juillet.


La partition a été publiée en février 1948 dans l'Universitaire médical, journal du cercle de Médecine de l'ULB. On notera l'absence du nom de l'auteur. Manque également la première moitié du premier couplet !


L'illustration est extraite de
Chansons Cochonnes
Chansons estudiantines traditionnelles
adaptées en bandes dessinées par L-M
CARPENTIER - MALIK - JIDÉHEM - KOX
couleurs LAURENT album 48 pages cartonné couleur format 22-29cm
Editions Topgame

La chanson, par sa facture, semble dater de le fin du 19e ou du début du 20e siècle. Nous avons trouvé dans "La Musette", un texte que nous reproduisons ci-dessous.
Intitulé Devoir Maternel , il est dédié à Mademoiselle E... D... et dû à Eugène Paris de Vannes.


Avec une fin moins tragique, l'histoire relatée ci-dessus est très proche de La romance du 14 juillet .

D'autre part nous avons retrouvé le texte d'une chanson datant de 1912 intitulé La p'tite Lilie ; les paroles sont de Ferdinand-Louis Bénech et la musique d'Eugène Gavel :

Tout comme la Romance, il s'agit d'une valse lente, la chanson compte également 3 couplets avec refrains différents. La mélodie est totalement différente mais il est très fréquent que la tradition orale modifie et simplifie profondément celle-ci. De même dans les diverses interprétations, les paroles ont parfois été légèrement modifiées. Par contre l'histoire est très proche de notre "Romance du 14 juillet"; seul manque l'enfant mais il est très vraisemblable que pour en permettre la diffusion, elle a été volontairement édulcorée.

Les interprètes se sont succédé depuis Georges Vorelli (1883-1932) jusqu'à Lina Margy (1909-1973) en passant par Jean Lumière (1895-1979) et Annie Flore (1912-1985).
Il semble donc s'agir de l'ancêtre direct de la Romance.

La Romance du 14 juillet est ce que l'on appelait une chanson d'atelier ; cela est également confirmé par sa présence sur un disque éponyme de Pierre Chapo.
En voici une version interprétée par le groupe Les souliers à bascule (http://souliersabascule.canalblog.com/).
Mentionnons également une version assez différente, à connotation très parisienne, chantée par la chorale Cucec de Clermont-Ferrand.

L'ancien rédacteur de cette revue, Léon Keimeul, s'est prétendu l'auteur de la chanson; il l'aurait écrite à l'occasion d'une visite, à l'ULB d'étudiants français de médecine. Rien ne confirme cette information, bien au contraire.
En effet, nous avons retrouvé cette chanson dans deux bréviaires datés de 1947: le premier, un bréviaire français, intitulé 69 chansons et le second, Tonus , un bréviaire suisse publié à Lausanne.
Une autre source, que nous n'avons pas pu vérifier, figure dans l'humour lyonnais publié en 1981 ; on peut y lire : "Les paroles de la romance du 14 juillet ont été très exactement composées le 13 juillet 1932, nous écrivait le Dr Guy Bertrand, en 1964".


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Recherches universitaires sur les nouvelles voies de la critique policière
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Le sous-sol de l’immeuble du 11 rue Simon-Crubellier est un lieu plein de mystères et nous allons y revenir plusieurs fois au cours de ces enquêtes de voisinage. On connaît tous le plus célèbre d’entre eux, soit celui de la cave interdite du coin inférieur gauche ; mais dans une de mes enquêtes précédentes, j’ai découvert à quel point cette retentissante affaire avait sans nul doute joué comme un leurre, dispensant d’aller voir ailleurs, notamment ce qui se passait aux trois autres coins de l’édifice et singulièrement dans la cave du coin inférieur droit, tout aussi riche en intrigue que son opposée [1] .
Au début du chapitre LXVII de toutes les premières éditions du roman, consacré à la cave des Rorschash (d’autres étrangers de l’immeuble dont on ne sait jamais ni prononcer ni correctement orthographier le nom – à commencer par l’auteur lui-même d’ailleurs [2] ), on lit cette phrase d’apparence si banale que beaucoup sont passés à côté sans en relever l’inconséquence : 
Des lames de parquets récupérées lors de l'aménagement du duplex, ont été fixées sur les murs, devant des étagères de fortune.
Nous verrons un peu plus loin dans une autre enquête de voisinage [3] combien Perec, en bon lecteur de « La lettre volée », a souvent dissimulé par une platitude apparente du style maintes étrangetés de son univers. Quoi qu’il en soit, la dissimulation a ici si bien fonctionné que l’édition originale, les suivantes, et même celle de Bernard Magné dans « La Pochothèque » ont toutes entériné la construction escherienne de ces étagères sans plus s’interroger. Car comment ces lames de parquet de récupération peuvent-elles être en même temps fixées sur les murs et se situer devant des étagères de fortune ? 
À moins d’imaginer que les étagères ne soient dans le mur ou derrière le mur ? 
Nonobstant – un peu – la précision syntaxique et spatiale, aurait-on dû soupçonner là l’existence d’une cache, la possibilité d’une paroi double, quelque aménagement coupable ou même criminel ? Après tout il y en a d’autres, ou il y en eut d’autres, dans ces caves : ainsi, au chapitre LXIV, quelques pages avant celui-ci, a-t-on appris qu’à l’endroit où l’on plaça ensuite la chaufferie [4] , exista jadis un « réduit » clandestin où « pendant la guerre Olivier Gratiolet installa son poste de radio et la machine à alcool sur laquelle il tirait son bulletin quotidien de liaison » [5] , qu’il en « calfeutr[a] soigneusement toutes les issues avec des vieux paillassons, des chiffons et des morceaux de liège que lui donna Gaspard Winckler » , dissimula sa radio dans un jouet et son duplicateur à alcool au fond d’une malle, et que lorsqu’ « à la suite de l'arrestation de Paul Hébert, les Allemands, conduits par le chef d'îlot Berloux, vinrent perquisitionner dans les caves, […] ils jetèrent à peine un œil dans celle d'Olivier : c'était la plus poussiéreuse, la plus encombrée de toutes, celle où il était le plus difficile de croire qu'un “terroriste” pût se cacher. »
On voit donc bien qu’en matière de dissimulation réussie et d’escamotage de preuves, Gratiolet et Perec n’en sont certainement pas à leur premier coup réussi ! Je rappellerai en outre que le propriétaire de la cave qui nous occupe présentement, celle du chapitre LXVII, Rémi Rorschash, dont l’essentiel de la vie nous est narré au chapitre XIII, mena une existence d’aventurier riche en fréquentations interlopes (notamment dans les milieux du jazz ou du cirque), activités douteuses et trafics en tous genres ! Imaginer qu’il eût pu par exemple dissimuler dans sa cave le cadavre de Schlendrian, dont on apprend au chapitre XIII, qu’il aurait tout fait pour s’en venger [6] , n’est donc pas du tout infondé ! D’ailleurs, ces lames de parquet en lien avec l’aménagement du duplex Rorschash, « prestigieux duplex que La Maison française, Maison et Jardin, Forum, Art et Architecture d'aujourd'hui et autres revues spécialisées sont plusieurs fois venues photographier » , aménagé grâce au rachat des deux derniers appartements qu’Olivier Gratiolet « possédait encore dans l'immeuble en dehors du petit logement qu'il occupait lui-même » [7] , autrement dit logement d’un luxe tapageur fondé sur la quasi ruine d’un autre, ces lames de parquet donc ne sont-elles pas d’origine éminemment suspecte [8] ? 
Le premier à avoir soupçonné que quelque chose de louche s’était tramé dans cette cave fut sans nul doute Willy Wauquaire dans ses Outils pour « La Vie mode d’emploi » [9] . On peut en effet trouver dans la trousse constituée pour un démontage rapide du chapitre LXVII la « remarque » suivante : « “Des lames de parquet […] ont été fixées sur les murs devant des étagères de fortune.” Il me paraît plus plausible de les imaginer derrière ! » Reconnaissons à cette remarque un flair géométrique indéniable en même temps qu’une précision de lecture certaine où, certes, la plausibilité se trouve rectifiée.
Mais la pragmatique n’y trouve pourtant toujours pas son compte ! Car pourquoi placer contre le mur des lames de parquet avant de disposer par devant des étagères ? Pas pour en faciliter le rangement vertical, les étagères venant en quelque sorte coincer ces lames oblongues e
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