Papy Suce

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Papy Suce

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

Quand mes parents ont divorcĂ©, il y a eu une pĂ©riode oĂč j'ai Ă©tĂ© sĂ©parĂ© d'eux et mes grands-parents paternels m'ont accueilli dans leur maison. J'y Ă©tais comme un coq en pĂąte, choyĂ©, traitĂ© avec tendresse. Ma grand-mĂšre veillait surtout Ă  faire oublier ce divorce qui m'avait beaucoup affectĂ© car j'avais quinze ans Ă  l'Ă©poque et je ne comprenais pas tout. Mon grand-pĂšre veillait quant Ă  lui Ă  me faire devenir un homme. Il avait Ă©tĂ© militaire et un sportif de haut niveau. À soixante et un ans maintenant, il conservait un corps d'athlĂšte par des exercices quotidiens et j'admirais son endurance.

Il m'imposa une discipline difficile pour un jeune garçon : lever Ă  6 h, puis footing, douche, ensuite petit-dĂ©jeuner, avant que je parte au lycĂ©e. Ce rĂ©gime, presque militaire, mon propre pĂšre l'avait subi et il s'en Ă©tait trouvĂ© bien. À 38 ans il Ă©tait beau, en pleine forme, et adorĂ© par les footeux, Ă©tant un coach professionnel. Je rĂȘvais de lui ressembler.

J'Ă©tais installĂ© dans sa chambre, celle qu'il avait occupĂ©e jusqu'Ă  son dĂ©part pour Poitiers oĂč il allait ĂȘtre bidasse. Un fils unique tout comme moi, un peu secret, introverti, qui vivait dans un monde Ă  lui. J'ignorais tout sur son enfance et mĂȘme sur son adolescence, pĂ©riodes dont il ne parlait pas. Il demeurait de son sĂ©jour un grand carton plein de papiers dont je fis un jour l'inventaire et je tombai sur un cahier. C'Ă©tait le journal de mon pĂšre, dont les premiĂšres pages manquaient. Une date, 1980, il avait tout juste 16 ans. Je lus avec aviditĂ©.

"Minuit. Il est encore venu et m'a forcé à le sucer. Il vient toutes les nuits maintenant. Je ne sais pas lui refuser, il est si tendre, il est si fort. Maman ne se doute de rien."

"Aujourd'hui il n'est pas venu, je n'ai pas dormi de la nuit. Je l'ai attendu, attendu. Puis je me suis branlé la bite. Je suis accro à son gros zob, j'ai besoin de l'avoir en bouche."

"Ça fait trois jours qu'il ne vient plus et je suis en Ă©tat de manque."

"Hier soir je me suis levé et je suis allé dans sa chambre. Papa dormait prÚs de maman. J'ai tiré le drap vers le bas et j'ai baissé son pyjama. J'ai pris sa grosse queue dans ma bouche et j'ai commencé à sucer. TrÚs vite elle est devenue raide et a gonflé entre mes joues. Papa ne s'est pas réveillé, il a juste gémi un peu quand son sperme m'a envahi. Je suis retourné dans ma chambre avec son jus entre mes dents. Je l'ai gardé un bon quart d'heure, le temps de juter à mon tour."

J'ai posé le cahier à temps pour ne pas juter sur les pages. Mon imagination aidant, j'avais l'image de mon pÚre en train de sucer mon papy et franchement, j'en pouvais plus. La sexualité des parents est un tabou ou un fantasme. Moi, j'avais des mots sur une page, elle devenait réalité et c'est papa qui racontait. Ce qui m'excitait plus que tout, c'est que j'avais presque son ùge à l'époque de ses fellations, lesquelles duraient depuis... depuis ? Impossible de le savoir puisque manquaient les premiÚres pages. Ce que je savais, en revanche, c'est qu'il partageait son plaisir. Lui il avait un partenaire, moi je n'avais que ma main droite.

Je passai un trÚs long moment à réfléchir à cette affaire. Quel bouleversement dans ma vie ! Je découvrais des pans entiers de l'adolescence de Papa et cela me troublait beaucoup. Un album de photos jaunies se trouvait sur une étagÚre. Je l'avais souvent compulsé sans m'y attarder cependant, mais conscient que dans ma famille on était plutÎt séduisant. Je le repris et l'étudiai. Là, c'est Papa à 14 ans, il porte crùnement sa casquette, il tient une raquette de tennis. Là c'est Papa à 17 ans, mon grand-pÚre à cÎté de lui, son bras lui entoure les épaules. Il y a une complicité entre eux, ils se regardent dans les yeux. Papy est beaucoup plus costaud, il est en tenue militaire et a un air d'autorité dans son visage aux traits virils. Je scrute la bouche de mon pÚre. Elle est charnue, bien dessinée, c'est elle qui suce chaque nuit la grosse queue de mon Papy. Une troisiÚme photo datée juillet 84, Papa a 20 ans, il est beau et trÚs bien gaulé, et toujours avec mon grand-pÚre qui a alors 43 ans, il pose devant l'objectif. On voit leurs braguettes gonflées comme la mienne à cet instant. Je sors ma bite et je me branle.

Il est 6h30 du matin, je me douche aprĂšs le footing. Papy est lĂ  qui me regarde et je sens mon pĂ©nis bander. Est-ce que ma bite est dans les normes ? Est-ce que j'ai la mĂȘme que mon pĂšre ? Est-ce que j'ai la mĂȘme que Papy ? En ce cas elle serait trĂšs grosse car il est dit dans le journal que grand-pĂšre a un mĂ©ga zob. Pourquoi me mate-t-il dans la douche ? Comme le sous-off Ă  l'armĂ©e, comme mon pĂšre dans les vestiaires, ça fait partie de leur mĂ©tier, je me fais sĂ»rement des idĂ©es. N'empĂȘche que je suis trĂšs troublĂ©.

— Tu deviens un homme, mon garçon, et c'est un homme qui te le dit.

Papy regarde en connaisseur mon corps de 15 ans qui s'étoffe, mes abdos déjà dessinés, ma queue de 17 cm. Je la mesure tous les jours depuis un an et demi déjà lorsque j'ai fait ma puberté et elle continue à grandir. Je sors de la douche et me sÚche, c'est l'heure du petit-déjeuner.

Le soir je reprends la lecture du journal de mon paternel, ma main glissée dans mon caleçon.

"Il me décharge dans la gorge et j'avale son jus délicieux. Au début ça me rebutait mais beaucoup de mois ont passé et maintenant j'en ai besoin. Il dit que c'est ma récompense car je suis bien discipliné. Je fais tout ce qu'il me demande. Hier il m'a un peu branlé."

"Maman a fait une tarte aux pommes pour l'anniversaire de Papa, il vient d'avoir ses 40 ans. Il est vraiment en pleine forme et il paraßt dix ans de moins. Quand il a soufflé ses bougies, j'ai crié "Bon anniversaire". Il m'a regardé tendrement. "

"Cette nuit Papa est venu et on a fait un 69. C'Ă©tait la premiĂšre fois de ma vie que j'avais une bouche sur moi. C'Ă©tait extraordinaire, on a dĂ©chargĂ© en mĂȘme temps puis on a mĂ©langĂ© nos spermes. C'Ă©tait aussi la premiĂšre fois que je faisais une pelle au jus. Je suis amoureux de mon pĂšre."

Je pose le cahier sur le lit et je me replie sur le dos pour pouvoir me jouir dans la gueule. Mes exercices quotidiens m'ont donnĂ© une certaine souplesse et je peux mĂȘme avec ma langue titiller le bout de mon gland. Je ne suis pas encore en mesure de me sucer complĂštement, mais cela ne saurait tarder. J'accĂ©lĂšre ma masturbation et je m'inonde le visage. J'en avale autant que je peux.

Mon pĂšre est venu aujourd'hui me faire une petite visite, accompagnĂ© par un monsieur que je n'ai jamais rencontrĂ©. C'est un homme de 45 ans, extrĂȘmement bien gaulĂ©, trĂšs brun, avec un beau visage. Un prof de gym dans un lycĂ©e. Ils ont l'air d'ĂȘtre trĂšs amis. Mon papy fait un peu la gueule.

— Est-ce que ton fils est au courant ? demande-t-il Ă  son ami Ă  voix basse. Il finira bien par apprendre pourquoi vous avez divorcĂ©.

— Je ne sais pas comment l'annoncer. Tu ne pourrais pas t'en charger ?

— Non c'est ta responsabilitĂ©. Reviens seul la semaine prochaine, d'ailleurs nous avons Ă  causer. Ça ne peut pas continuer comme ça, il va bientĂŽt avoir 16 ans et je ne pourrai pas rĂ©sister. Tu me connais mieux que personne, il est trop beau et trop bandant.

— Je te demande de patienter. Six mois, c'est trop te demander ? Je te promets que dans six mois le problĂšme sera rĂ©glĂ©.

— Et quand bien mĂȘme cela serait ? Cela n'a pas dĂ©truit ma vie, ça a Ă©tĂ© la plus belle chose qui me soit jamais arrivĂ©e.

J'écoutais de toutes mes oreilles et comprenais à demi-mot. Mon pÚre était homosexuel et il vivait avec cet homme, c'était la cause de son divorce. Ils devaient faire des 69, des pelles au jus et d'autres choses. Mon papy était au courant et s'inquiétait à mon sujet. " Tu me connais" avait-il dit. Je ne le connaissais pas encore.

Au lycĂ©e j'avais rencontrĂ© un garçon un peu plus ĂągĂ©. Nous nous Ă©tions liĂ©s d'amitiĂ© et passions toutes les pauses ensemble, Ă  fumer dans les urinoirs, prĂȘts Ă  jeter nos cigarettes si le moindre pion se pointait. Nous faisions semblant de pisser et nous comparions nos deux bites. La mienne avait encore grandi car j'approchais de mes 16 ans et faisait 18 cm. Elle Ă©tait aussi bien plus grosse que celle de Renaud, mon ami, qui Ă©tait mon aĂźnĂ© d'un an.

— Putain, tu as une bite Ă©norme, me dit-il tout en se branlant. Je la voudrais bien dans mon cul. T'as dĂ©jĂ  enculĂ© un mec ?

— Enculé ? Qu'est-ce que ça veut dire ?

— Mis ta queue dans un cul, ballot !

Alors lĂ , je tombais des nues. Je n'avais pas imaginĂ© qu'une telle chose fĂ»t possible. Je connaissais la fellation mais la sodomie, j'ignorais. Je ne voulus pas ĂȘtre pris en flagrant dĂ©lit d'ignorance et je dis d'un air assuré :

— Évidemment que je l'ai fait, mais je n'aime pas les mots grossiers.

— Tu prĂ©fĂšres "sodomisĂ©" ? Moi j'aime bien le mot "enculĂ©". Mais le rĂ©sultat est le mĂȘme. Sodomise-moi, s'il te plait !

— Samedi aprùs-midi chez moi. On aura la maison pour nous, mes parents seront au boulot.

Je m'étais engagé sans savoir car je n'avais aucune idée de la façon de procéder. Le soir je repris le journal, ma main droite dans mon caleçon et commençai à me branler.

"Papa m'a sucĂ© longuement et a mis un doigt dans mon cul. C'est une sensation dĂ©licieuse qui dĂ©passe en intensitĂ© ce que j'ai connu jusqu'ici. Avoir la queue et le cul pris, c'est une expĂ©rience formidable. Je ne peux m'empĂȘcher de penser qu'il a des annĂ©es de pratique. Quand il Ă©tait sous-officier, il a dĂ» baiser des soldats, mais je n'ose pas le questionner. Quand il m'a mis un second doigt, lĂ , j'Ă©tais au bord de l'extase. Il s'est mis debout derriĂšre moi et tout en se masturbant la bite, il a introduit un troisiĂšme. "Tu sens que je te masse la prostate ?" m'a-t-il dit en tournant ses doigts. Je ne connaissais pas ce mot, mais j'ai dit oui Ă  tout hasard. "Quand tu seras assez ouvert, je pourrai t'enculer, mon fils". Il a dĂ©chargĂ© sur mon trou. J'Ă©tais terriblement frustrĂ©."

" J'ai cherchĂ© la dĂ©finition de "prostate" dans le dictionnaire et j'ai trouvé : glande sexuelle situĂ©e au-dessous de la vessie et en avant du rectum mĂąle. Je me suis doigtĂ© hier soir et j'ai retrouvĂ© le bonheur que papa m'avait procurĂ©. J'ai joui sans mĂȘme me branler."

"AprĂšs deux nuits seules dans mon lit, papa est venu hier soir et il m'a remis ses trois doigts. J'ai cru dĂ©faillir de plaisir. Je lui ai dit : "Encule-moi". Son gland a frottĂ© sur ma raie et s'est pointĂ© Ă  mon entrĂ©e, puis il a crachĂ© sur mon trou. J'ai serrĂ© les dents, j'ai gĂ©mi, mais le gros gland a pris sa place. Papa n'est pas allĂ© plus loin, il s'est contentĂ© de bouger un petit peu dans mon anus pendant que je branlais ma queue. On a joui tous deux en mĂȘme temps."

Samedi j'ai retrouvé Renaud, le lycéen des urinoirs. Il a une chouette baraque et nous étions seuls tous les deux dans sa chambre au premier étage.

— Si c'est ta premiùre sodomie, je vais te masser la prostate, comme ça, ton cul s'ouvrira.

— La prostate, c'est quoi ce truc-là ?

— C'est une glande sexuelle, ballot, rĂ©pondis-je d'un air supĂ©rieur. SituĂ©e tout prĂšs du rectum mĂąle.

— Ben merci pour l'information, je sais que je ne suis pas une femelle. Mais ce n'est pas ma premiùre fois, seulement ta queue est trùs grosse et il faudra y aller mollo.

— Beurk, ça c'est vraiment dĂ©gueulasse. Contente-toi de m'enculer.

Pas question de préliminaires avec ce mec, c'était relou. Je lui crachai sur la rondelle et je mis ma bite à son trou. Je poussai mon gland en avant et Renaud se mit à gueuler. Je rangeai ma bite dans mon slip.

— Qu'est-ce que tu fais ? me dit Renaud.

— Je me casse, t'es mĂȘme pas pĂ©dĂ©, t'es juste un puceau prĂ©tentieux. Franchement, j'ai aut' chose Ă  faire.

Je laissai Renaud le cul nu. Je n'avais pas envie de lui, j'avais le journal de mon pÚre pour me branler et décharger, c'était cent fois plus excitant. On ne dira jamais assez à quel point l'esprit de famille est puissant. Une fois revenu dans ma chambre, je me masturbai tranquillement en repensant à mon Papy.

Mon pÚre est revenu hier et en présence de Papy, il m'a finalement expliqué ce que j'avais déjà compris. Homosexuel depuis toujours, il avait cru, par le mariage, modifier son orientation. Au début, fidÚle à ma mÚre, il avait fait tout son possible pour vivre une vie d'hétéro. Malgré ses bonnes résolutions, un jour il avait succombé et retrouvé les habitudes liées à sa nature profonde. Quand il avait rencontré Hervé, le prof de gym que j'avais vu, ils étaient tombés amoureux et vivaient maintenant ensemble dans la maison avec maman. DÚs qu'elle aurait trouvé du travail, elle aurait son appartement et je pourrais choisir alors avec qui vivre, lui ou elle. Une question me taraudait.

— Oui, officiellement nous le sommes. Dans les faits, c'est plus compliquĂ© comme je viens de t'expliquer.

— Viens dans le bĂ»cher avec moi, dit mon Papy trĂšs Ă©nervĂ©. Il faut qu'on parle sĂ©rieusement.

Ils se dirigÚrent tous deux vers le bûcher à dix mÚtres de la maison. Je les suivis subrepticement, voulant assister à l'échange. Caché derriÚre un tas de bois, je pus les voir et les entendre.

— Tu as dit six mois, dit Papy, moi je dirai au moins un an. Ta femme n'a ni emploi ni logement.

— Papa, je fais tout mon possible. Et notre fils est bien chez toi.

— Garçon, ce n'est pas le problĂšme, tu sais comment ça va finir. Tu le sais, tu te le rappelles, je ne pourrai pas m'en empĂȘcher. La premiĂšre fois avec toi, c'Ă©tait ici dans ce bĂ»cher.

— Je m'en souviens parfaitement, dit mon pĂšre d'une voix Ă©tranglĂ©e.

— Oui, ça s'est passĂ© comme ça, dit mon grand-pĂšre d'une voix rauque.

Il prit les épaules de mon pÚre et il pesa de tout son poids. Mon pÚre tomba à genoux. Papy déboutonna sa braguette et sortit une bite énorme qu'il força dans la bouche ouverte. Son visage congestionné exprimait un désir bestial, Mon pÚre commença à sucer en poussant des cris de plaisir. Il sortit sa pine à son tour et sa main se mit en action. J'avais sous les yeux un spectacle des plus excitants et je n'y fus pas insensible, ma queue était dure comme du bois et je me branlai furieusement. J'aurais voulu me joindre à eux, mais je ne voulais pas gùter le moment de leurs retrouvailles. La grosse pine de Papy, deux fois plus épaisse que la nÎtre, focalisait mon attention. Je savais, à cause du journal, que mon pÚre l'avait prise en cul. Comment avait-il pu s'en sortir sans des dommages irréversibles ? Est-ce que l'anneau rectal des hommes était à ce point extensible ? Plus tard je connus le fisting et je sus que c'était possible.

Mon pĂšre dĂ©chargea le premier mais il resta la bouche ouverte pour prendre le jus paternel. Ce fut une vraie cataracte, un geyser de sperme jaunĂątre qui s'Ă©crasa sur son menton, sur ses lĂšvres et mĂȘme sur ses yeux.

— Pas plus d'un mois, reprit mon pĂšre. Moi aussi, ça m'a semblĂ© long.

Je compris que leur relation continuait en dépit du fait que mon pÚre avait un amant beaucoup plus jeune, beaucoup plus beau.

— Je suis accro à ta grosse bite, dit papa en se relevant.

Ceci était il y a huit mois et j'habite toujours chez Papy. Moi aussi je tiens un journal, un cahier de physique entamé dont j'ai viré les premiÚres pages. Voici ce que j'ai écrit le 2 juillet de cette année :

"Papy est venu à minuit et m'a mis sa queue dans la bouche. "Suce-moi, mon chéri" m'a-t-il dit. Je l'ai pompé avec plaisir et j'ai avalé son vieux foutre. J'espÚre qu'il reviendra demain."


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
© Tous droits rĂ©servĂ©s. Étienne de ACA.

Je suis l'amant de mon ami d'enfance, le beau Frédéric, de ses 5'11" et son poids de 170 lbs, musclé comme un beau sportif, ces cheveux bruns/blonds bouclés et ses beaux yeux bleus et surtout son beau gros 8" uncut que j'adore sucé et avalé, lui préférant surtout défoncer mon petit cul, qu'il a eu juste pour et vierge.

Comme il me dit, mon surnom amical, qu'il m'a donné, bout d'cul. Me va bien de mes 5'5" et mes 140 lbs, une taille de 26, j'ai les cheveux et les noirs d'un noir charbon et un beau 6", qu'il aime bien manger.

Presque tous les jours, au retour de nos cours, Frédéric passe chez moi, dans ma chambre, sans ce douché, comme il dit, il aime ma senteur de bout d'cul et de mon cul, qu'il aime lécher en bon 69, avant de me pénétré à fond de son beau gros 8". Pour me faire hurler, plus je gueule, plus ca le rend mùle et viril.

Ce jour là. Il était grimpé par-dessus moi et m'enculait à fond de son super 8" grognant que j'avais, un si beau petit cul chaud, me faisant crier,

— Encore plus Ă  fond, encore, oui Prend moi FrĂ©dĂ©ric, je suis Ă  toi mon amour.

Comme j'ai entendu mon pÚre me crié?

— Mon fils est entrain de se faire baisser par un autre homme.

— En plus, tu lui dis, encore et encore. Donc tu aime ça

Frédéric étais déjà à remettre ses jeans, quand mon pÚre lui à dis.

— C'est bien ton nom, le jeune, qui encule mon propre fils, dans ma maison.

— Alors FrĂ©dĂ©ric, reste Ă  poil et fini ce que tu as commencĂ©.

— Je t'es dis fini ton travail, en homme oĂč prĂ©fĂšre tu, que ton pĂšre vienne nous rejoindre, pour lui permettre de voir son fils enculĂ© mon fils.

— Alors. Montre-moi, ton savoir-faire.

Frédéric, rouge comme une tomate trop mûre, débandé, revient vers le lit, ne sachant quoi faire... Mon pÚre, nous dit sucé vous en 69 et aprÚs encule mon fils, que je vois ça, les préférences sexuels de mon fils. Nous avons commencé un 69 et à se sucé, nous avons re-bandé raide et mon pÚre m'à dit d'offrir mon cul a Frédéric, je me suis levé, debout bien penché et offrant mon cul a Frédéric, mon pÚre c'est approché de moi et m'a dis, de son timbre de voix calme.

— Si mon fils, peut sucer un homme, il peut sucer son pùre.

Il baissa ses pantalons et sorti un super trÚs gros 8" qu'il me mit dans la face et j'ai ouvert ma bouche, pour lui mangé sa belle grosses queue bandé raide, tout en lui cajolant ses deux grosses couilles poilus, tout en étant bien enculé pas mon amant Frédéric, mon pÚre se tourna, pour que je lui lÚche et mange son cul poilu...

— Non, pas si vite mon gars, si tu peux enculĂ© mon fils, tu peux te faire enculer par son pĂšre, installe-toi comme Martin.

— Pas de MAIS, penche toi et offre ton cul a son pĂšre, oubli pas que mon fils viens de cette queue lĂ , alors pour apprĂ©ciĂ© encore plus mon fils, tu te dois de sentir et goĂ»ter la queue qui la conçu, alors penche-toi.

FrĂ©dĂ©ric, tout penaud, se pencha me regardant dans les yeux, lui qui n'avait jamais Ă©tĂ© enculĂ©, mon pĂšre se cracha dans la main, se passa la main sur son gros gland et dans la craque des fesses de FrĂ©dĂ©ric et aussitĂŽt lui poussa sa queue dans son cul vierge, bien Ă  fond, d'un seul coup... FrĂ©dĂ©ric, ne dis pas mot, mais a voir les grimaces dans sa face, j'ai compris sa douleur, il en avait les yeux tout mouillĂ©s, dans un silence total, mon pĂšre lui a littĂ©ralement dĂ©foncĂ© son cul vierge et il a continuĂ© son manĂšge de va et vient pendant plus de dix minutes et mĂȘme FrĂ©dĂ©ric avait retrouvĂ© son sourire que j'aime tant, mon pĂšre lui a dis tourne-toi, maintenant tu va avalĂ© le sperme qui Ă  engendrĂ© mon fils que tu aime tant, FrĂ©dĂ©ric se tourna et se mit a sucĂ© la grosse queue de mon pĂšre qui lui donna de 5 a 6 grandes giclĂ©es de sperme a avalĂ© et FrĂ©dĂ©ric avala tout en silence. Mon pĂšre dit.

Maintenant a toi mon fils de goĂ»ter a la queue de ton pĂšre, met toi Ă  quatre pattes et il m'encula aussitĂŽt a fond de son gros 8 pouces, (super de sentir en soi, la propre queue qui vous Ă  crĂ©Ă©) il me dĂ©fonça virilement pendant de longues minutes avant de me faire tourner et de me faire avaler le mĂȘme sperme qui avait fais de moi, ce que je suis.

Mon pĂšre remis ses pantalons et nous dis.

— Mes enfants aimĂ©s vous, comme vous le mĂ©ritĂ©, mais de grĂące, laissĂ© votre mĂšre hors de ça, baissĂ© autant que vous voulez. Mais soyez prudent, mes fils.

— De rie
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