Pamela apprend le français à Brandon en lui montrant ses fesses parfaites
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Pamela apprend le français à Brandon en lui montrant ses fesses parfaites
Publié le 16/10/07 à 00h00
— Mis à jour le 16/10/07 à 15h13
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People Halle Berry apprend le français
Halle Berry veut absolument que son futur enfant soit bilingue. Gabriel Aubry, le mannequin canadien francophone qui partage sa vie tente donc d’inculquer les premières leçons à sa chérie. Mais la route est longue avant de maîtriser parfaitement la langue de Molière…
«C’est difficile d’apprendre aujourd’hui le français mais nous voulons que notre enfant soit bilingue. Le français est une langue difficile, surtout à plus de 40 ans», a déclaré la belle avant de poursuivre sur ses méthodes d’apprentissage: «Je colle des post-it un peu partout dans la maison. C’est comme ça que Gabriel a appris l’anglais. Si vous les voyez tous les jours, vous intégrez le vocabulaire au fur et à mesure».
Le bébé devrait voir le jour dans les semaines à venir. Il s’agit du premier enfant du couple.
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Thouars
Ils lui enseignent le français il leur apprend ses recettes
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Titre
Tout le monde a ensuite mis la main à la pâte pour réaliser ses recettes asiatiques.
Mathieu a impressionné les participants avec son savoir-faire professionnel.
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Publié le
15/04/2013 à 08:38
| Mis à jour le
28/04/2017 à 05:32
A la façon dont Mathieu découpe la viande, le public de l'atelier n'a pas l'ombre d'un doute : Mathieu est un professionnel de la restauration. A son accent, il comprend aussi que le français n'est pas sa langue maternelle. En arrivant du Cambodge pour travailler dans le restaurant asiatique de sa tante à Thouars, il y a 8 ans, Mathieu ne parlait pas un seul mot de français. « Je ne savais même pas dire bonjour » , sourit ce cuisinier de 35 ans. Aujourd'hui, il a obtenu la nationalité française, sa femme Dany – qui travaille à présent au chantier d'insertion de Rigné – l'a rejoint en 2010, avant l'arrivée de leur petit Julien, et il parle un français parfois encore hésitant mais parfaitement compréhensible.
C'est avec Ca.Li.Co, un atelier du centre socioculturel de lutte contre l'illettrisme, mené par Fabienne Petit et des bénévoles, qu'il a appris la langue française. Si la coordinatrice de Ca.Li.Co n'a pas pu s'empêcher de corriger sa conjugaison par moments, lors de l'atelier cuisine asiatique, c'est bien lui, l'apprenant, qui a enseigné son savoir culinaire. « Le but de cet atelier, c'est de mixer les publics, de leur permettre de se connaître, car les apprenants de Ca.Li.Co ne vont pas forcément aux autres ateliers du centre socioculturel comme l'Echappée belle » , explique Fabienne Petit. Lors de cet atelier, les recettes du poulet au curry, du bœuf aux cacahuètes et de la banane au sirop de lait de coco ont réussi à lier les participants : après avoir admiré la technique de Mathieu, chacun – bénévoles et apprenants – a mis la main à la pâte, dans une bonne humeur communicative, puis dégusté ces plats chinois préparés à la cambodgienne.
> L'atelier CaLiCo propose des cours de français payants aux étrangers qui veulent s'améliorer par confort, mais surtout, elle dispense ses cours gratuitement à des Français illettrés ou en difficulté avec leur propre langue ou des personnes venues de l'étranger, qui viennent spontanément ou sont, le plus souvent, orientées là par d'autres services. > Actuellement, près de 45 « apprenants » bénéficient de l'aide de Fabienne Petit, coordinatrice de ce service et de 15 bénévoles formés en interne. Un renfort de bénévoles serait le bienvenu. Fabienne Petit souhaite d'ailleurs développer de nouveaux ateliers en fonction des besoins de chacun.
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Publié le
15/04/2013 à 08:38
| Mis à jour le
28/04/2017 à 05:32
A la façon dont Mathieu découpe la viande, le public de l'atelier n'a pas l'ombre d'un doute : Mathieu est un professionnel de la restauration. A son accent, il comprend aussi que le français n'est pas sa langue maternelle. En arrivant du Cambodge pour travailler dans le restaurant asiatique de sa tante à Thouars, il y a 8 ans, Mathieu ne parlait pas un seul mot de français. « Je ne savais même pas dire bonjour » , sourit ce cuisinier de 35 ans. Aujourd'hui, il a obtenu la nationalité française, sa femme Dany – qui travaille à présent au chantier d'insertion de Rigné – l'a rejoint en 2010, avant l'arrivée de leur petit Julien, et il parle un français parfois encore hésitant mais parfaitement compréhensible.
C'est avec Ca.Li.Co, un atelier du centre socioculturel de lutte contre l'illettrisme, mené par Fabienne Petit et des bénévoles, qu'il a appris la langue française. Si la coordinatrice de Ca.Li.Co n'a pas pu s'empêcher de corriger sa conjugaison par moments, lors de l'atelier cuisine asiatique, c'est bien lui, l'apprenant, qui a enseigné son savoir culinaire. « Le but de cet atelier, c'est de mixer les publics, de leur permettre de se connaître, car les apprenants de Ca.Li.Co ne vont pas forcément aux autres ateliers du centre socioculturel comme l'Echappée belle » , explique Fabienne Petit. Lors de cet atelier, les recettes du poulet au curry, du bœuf aux cacahuètes et de la banane au sirop de lait de coco ont réussi à lier les participants : après avoir admiré la technique de Mathieu, chacun – bénévoles et apprenants – a mis la main à la pâte, dans une bonne humeur communicative, puis dégusté ces plats chinois préparés à la cambodgienne.
> L'atelier CaLiCo propose des cours de français payants aux étrangers qui veulent s'améliorer par confort, mais surtout, elle dispense ses cours gratuitement à des Français illettrés ou en difficulté avec leur propre langue ou des personnes venues de l'étranger, qui viennent spontanément ou sont, le plus souvent, orientées là par d'autres services. > Actuellement, près de 45 « apprenants » bénéficient de l'aide de Fabienne Petit, coordinatrice de ce service et de 15 bénévoles formés en interne. Un renfort de bénévoles serait le bienvenu. Fabienne Petit souhaite d'ailleurs développer de nouveaux ateliers en fonction des besoins de chacun.
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