Pétasses font une pause pendant le boulot

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Par Alex - 10/06/2015 12:23 - France - Le Mans

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Édité par mfenestraz Auteur parrainé par Rozenn
Image d'illustration : femme battue / violence envers les femmes (A.GELEBART/SIPA).
J’ai reçu la première gifle à peine deux ans après notre rencontre, il y avait eu bien des insultes et des menaces auparavant. Ce soir-là, j’ai voulu m’enfuir mais dans la nuit il est venu me chercher, m’a couverte de mots d’amour, et je suis restée. La violence physique s’est alors peu à peu installée, moins fréquente au début que les insultes, les humiliations, les punitions.
Le langage ordurier apparut et augmenta au même rythme que la violence.
Il voulait voir ma peur Il était très prudent, il évitait les coups qui laissent des traces. Il me poussait violemment et, lorsque ma tête partait un peu loin, me retenait par les cheveux pour éviter qu’elle ne cogne sur le mur. Il me saisissait par les oreilles et secouait ma tête, j’avais des douleurs dans le cou, mais rien n’était visible.
Il me lançait du café au visage, de plus en plus chaud, et menaçait de le lancer bouillant. Il me menaçait de mort et d’étranglement, avançait ses doigts sur mon cou, mimait le geste. Si je voulais m’éloigner de notre lit, il m’y ramenait de force, me traînait, et le viol s’ensuivait. Il lançait ses poings à quelques centimètres de mon visage. Il voulait voir ma peur. Il la préparait, il l’annonçait en se balançant sur sa chaise ou en poussant à fond la chaîne stéréo. Avec lui j’ai appris à haïr la musique. Omniprésente, elle précédait, accompagnait mon angoisse et ma peur, grandissait sous les insultes, aggravait les humiliations. La musique servait la terreur. 
À la fin, quand il a compris que j’avais commencé à parler, il s'est déchaîné et a voulu me tuer. Mais en toute impunité, sans trace visible de violence. Le balancement annonçait les violences
Il a deux visages complètement opposés. Et il peut en changer au passage d’une porte. Il m'a très vite menacé pour que je cesse de travailler (je suis sage-femme) et œuvré pour que je cesse d’écrire. J’ai ainsi laissé le roman que j’avais commencé. Après 11 ans sans nouvelles, mes éditeurs me croyaient morte. Il est insensible au chaud et au froid. J’ai souffert du froid. Nous dormions la fenêtre ouverte, il l’exigeait, été comme hiver. Il dormait nu et m’obligeait à faire de même ; je devais "être à disposition", il le disait et refusait que je me couvre. Nous mangions dehors par tous les temps. Je déjeunais dehors en janvier et en février, avec des gants, transie. Il fallait sans cesse aller réchauffer les plats, lui se balançait sur sa chaise. À table, dedans comme dehors, ce balancement annonçait les violences. J’avais des pièces interdites dans la maison, notamment la grande pièce à vivre. Il a éloigné tous mes amis, m’a complètement isolée ; j’ai vécu 11 ans sans télévision, sans journaux, pratiquement sans radio, sans téléphone. Mon nom n’apparaissait plus nulle part. Je travaillais 365 jours par an, et parfois la nuit, dans le jardin.
Un homme brillant et charmeur Au début je suis partie plusieurs fois sur la route, à pieds, dans la nuit. Il y avait 15 km pour rejoindre la gare, un bois à traverser. Je revenais. Il me couvrait alors de mots d’amour et je me sentais coupable d’agir ainsi. Je l’avais "énervé". Mais il m’aimait tant qu’il me pardonnait. La faute était sur moi, toujours. Devant les autres, il me montrait un amour indéfectible, vantait mes qualités, me portait aux nues. Mais en privé, j’étais "une pétasse, feignace, une salope et une pute". Dans le registre "Mon amour /Saloperie" il était d’une redoutable efficacité. "Mon amour" devant les autres, "Saloperie" en privé. Au centre de sa personne, seul Dieu vénéré, était l’Argent. Il n’éprouvait pas de sentiment. Je ne l’ai jamais vu triste, ni même chagriné. Si les événements ou les personnes ne pliaient pas sous sa volonté, il débordait de rage et de haine, mettait tout en œuvre, son intelligence aidant, pour redresser la barre et vaincre. Cependant, si vous le rencontriez, il vous aurait séduit en quelques minutes. Il vous impressionnerait, vous fascinerait peut-être, car vous sauriez très vite la liste de ses diplômes et ses belles réussites. Brillant, charmeur, entreprenant, son intelligence et sa culture se révèleraient avec superbe, vous enchanteraient. De plus, c’était un excellent violoniste. Je n’ai jamais mis de nom sur son comportement. Dans les années 90, on ne parlait pas autant qu’à présent de perversions narcissiques . 
Je continuais à l'admirer J’ai mis longtemps à comprendre à quel point j’allais vers la déchéance et la mort. Comment mon jardin allait devenir mon cimetière. J’étais "sa chose", mise en esclavage, mais je ne mettais pas de nom sur ce que je vivais. Je savais pourtant les leurres et les grands mensonges qui constituaient l’essence même de sa vie, son double visage, son double langage. Et comment, sous couvert de belles paroles, de belles musiques, il prônait le Mal absolu. J’entendais les mensonges, les ordres contradictoires, les insultes, les menaces de mort ; je voyais comment il niait mon existence, s’appropriait mon énergie, mon élan vital d’espérance, comment il vidait mon corps, ma vie, comment il attirait mon air dans ses poumons.
Cependant, j’étais incapable d’analyser tout cela ; décervelée, je continuais à l’admirer. Et quand, devant ses amis, il me disait tout son amour en me prenant dans ses bras, j’oubliais tout, j’étais dans un paradis, oubliant qu’au bout des bras, il y avait des poings.
J'ai senti le danger  Je travaillais 12 à 14 heures par jour dans mon jardin. Tous les jours.
La nuit, j’y allais à la lampe torche. Il était immense, 14 hectares, dont 3 hectares de massifs et de roseraies. Il est devenu magnifique. HB m’octroyait deux jours par an, en juin, pour le faire visiter. Je travaillais toute l’année pour ces deux journées, mais bientôt, il ne supporta plus les compliments que je pouvais recevoir.
Il interdit les visites et menaça de détruire le jardin au broyeur. Le jardin était ma création, il avait remplacé l’écriture, je devins comme un artiste qui ne peut plus montrer ses œuvres. J’étais déjà très mal, mais là, j’ai commencé à sombrer. Je faisais des visites "sauvages", la peur au ventre, et une journaliste venue visiter mon jardin perçut ma peur et mon affolement.
Elle m’obligea à me rendre au CIDFF (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles), et là j’ai rencontré celle que j’appelle Florence dans mon livre, la directrice du centre, et qui m’a sans doute sauvé la vie. Quand j’ai cessé de l’admirer, quand l’alouette est sortie du miroir, j’ai senti le danger pour ma vie. Car s’il percevait que je ne l’admirais plus, je ne lui servais plus. La "chose" que j’étais perdait sa fonction et devait disparaître. Mais même alors, j’ai été incapable de partir, de quitter mon jardin voué à la destruction.
Quand HB comprit que j’avais commencé à parler, il tenta de me tuer. J’ai été sauvée par une succession de petits miracles et par ma chienne berger allemand qui, un jour, alors que j’étais à terre et blessée, a glissé sa tête entre mon visage et les poings qui menaçaient de me tuer. Grace au CIDFF, j’ai enfin réussi à porter plainte, HB a été reconnu coupable de violences conjugales. Lui n’a jamais rien avoué et se dit victime d’un complot. Il n’a eu qu’un rappel à la loi. Et puis, l’écriture. J’ai retrouvé ce bien précieux que j’avais cru perdu. J’ai écrit ces 14 années de violences. " Cris dans un jardin ", d’abord écrit sur un blog anonyme, est devenu un livre. HB a détruit mon jardin, il a broyé mon œuvre et ma pensée, palpitante ; mais l’écriture sauve mon jardin en le gardant à jamais vivant, tel que je l’ai aimé, et me sauve aussi. 
Il me couvrait alors de mots d’amour et je me sentais coupable d’agir ainsi. cependant, si vous le rencontriez, il vous aurait charmé en plusieurs min...
Je vous recommande aussi la lecture bien sûr des livres de la psychiatre Isabelle Nazaré-Aga

A lire aussi "Lorsque le prince n'est plus charmant" de Susan Forward chez InterEditions = votre propre évaluation en 100 pages de votre relation, qui vous aidera fort à "bouger".
Les femmes qui subissent cela sont bien plus nombreuses qu'on ne le dit, elles croient dans un 1er temps que l'autre va changer, que ce n'est que passager, puis les reproches voire les coups se rapprochent, les temps de répits sont de plus en plus courts ... et il redevient pour un court instant un être adorable... jusqu'à ce que sa face "je veux tes qualités, je veux te manger, je te dominer" quelques soient les moyens pour combler le vide qu'il ressent par vos qualités ... le domine à nouveau .... et le temps passe.
Cela concerne tous les milieux sociaux, absolument tous...
Il n'existe qu'une seule solution : partir, le quitter clandestinement car sinon il vous enfermera, vous battra ou pire vous tuera.
Appelez sans hésiter le n° de téléphone dédié = le "3919" : vous y serez écoutée, les idées claires vous reviendront après la sidération de votre raison induite par ses comportements 'aberrants', des actes utiles et efficaces vous seront conseillés, appelez et n'hésitez surtout jamais à rappeler (anonymat garanti).

Courage et bataille au RV = le meilleur de vous-mêmes, nécessaire pour sortir enfin des griffes de ce personnage hautement toxique !
14 années à "subir" ce que vous décrivez ? C'est à se demander qui est le pervers(e) des deux.
vous portez bien votre nom Victor, surtout ne changez rien!!
d'accord avec victor gogol : à ce niveau, on se demande lequel est le pervers !
et j'en parle en connaissance de cause.....
Travailler 14 heures par jour , cela fait de 7 h du matin à 22 heures (en prenant une seule pause d'une heure!) ....pas de télé, radio, journaux pendant 11 ans !!!
.... et puis QUOI encore ???
à se demander si les "pervers ordinaires" qu'on croise le sont vraiment ???
Je suis flatté que vous reconnaissiez en moi le grand Victor et Nicolas Gogol. Je ne change donc rien.
Mister Gogol comme l'a dis Mathilde votre nom vous sied au plus haut point ;-)
Je ne serai pas vulgaire mais vous dirais juste de bien relire le témoignage de Marie. Et à ce moment là vous vous rendrez compte qu'elle a tenté de fuir mais a toujours été rattrapée. Alors ma question est la suivante : pourquoi sous entendez vous que ce pourrait être elle la pervers dans l'histoire ?
J'ai moi aussi vécu avec un pervers narcissique pendant 3 ans et peut vous dire que je la comprends aisément. Et ait tenté moi aussi de m’échapper et malheureusement toujours rattrapée. Donc avant de parler réfléchissez ;-)
Mais peut être faites vous partie de ces personnes manipulatrices narcissiques ? Je ne vois que ça pour que vous osiez penser à défendre ce type de personnes.
Sur ce bonne journée Mister Gogol !
Je suis très flatté de savoir que le nom de Nicolas Gogol, l'auteur des "Âmes Mortes", m'aille bien (j'aurais bien voulu employer le verbe "seoir", puisque c'est celui que vous employez, mais il ne possède pas de subjonctif présent). En réponse à votre réquisitoire que je soupçonne d'être "pro domo" je me permettrai de citer Marie elle-même: "Cependant, j’étais incapable d’analyser tout cela ; décervelée, je continuais à l’admirer. Et quand, devant ses amis, il me disait tout son amour en me prenant dans ses bras, j’oubliais tout, j’étais dans un paradis, oubliant qu’au bout des bras, il y avait des poings." Faut-il un commentaire?
Vous ne savez pas de quoi vous parlez Moi je reconnais bien mon ex;ami dans tous les articles que j'ai lu sur ce sujet. C'est personne sont souvent très intelligentes et possédent deux visages. Ils choisissent pas une femme mais une proie, Et savent très bien celles qui peuvent le devenir Des femmes généralement fragiles et pleine d'admiration pour leur intelligence suivi d'un statut social enviable.
Nous sommes admiratives et tombons amoureuse car il fait tout pour cela, cadeaux, bijoux, fleurs et un amour excessif qui dans mon cas s'est traduite en une jalousie morbide Pour éviter cela, je ne sortais plus, il mettait du scoth sur la porte, des traits de craie sur les roues de ma voiture et aucune de mes amies étaient assez bien pour moi. Ils savaient tout sur leur famille jamais à la hauteur et je me suis retrouvée totalement isolée dans un palace dorée.
J'ai eu tort de donner ma démission dans mon travail sous prétexte, que j'étais fatiguée et que je n'avais pas besoin d'argent ce qui était vrai. Il a fait entrer mon fils dans l'armée et je me suis retrouvée seule et sans défense. Les coups pleuvaient si j'embrassais un ancien collègue rencontré dans la ville. Il cassait tout. Et ensuite me repayer de nouveaux meubles et me couvrait de bijoux.
Lorsque nous faisions l'amour, il me disait qu'un jour il me tuerait, je n'osais plus aller sur le bateau. Je l'aimais tout simplement sans voir que je sombrais dans la dépression. Quand ma fille a eu 18 ans Je
Que voulez-vous que comprennent les gens qui n'ont jamais côtoyé ces personnages. C'est comme la dépression tout le monde en fait sans savoir que la vraie dépression est une maladie mortelle.
Je l'ai vécu durant 7 ans et je comprends la succession des petits miracles aussi, quand on commence à comprendre et à parler.
Aujourd'hui, il s'agit des violences après séparation, dont on parle peu et qui s'exercent presque aussi en tout impunité.
Ils se servent des lois, des enfants et autres.
Il n'y a pas grand chose à comprendre, si ce n'est renforcer avec de l'aide professionnelle ce qu'ils ont pu exploiter en nous.

Moi, j'ai trouvé ce qui le rendait tout-puissant.
Quand je suis partie avec les enfants, il s'est enfin mis à travailler et, comme le veut son profil, à gagner beaucoup d'argent.
Il a refusé de payer la pension alimentaire durant une année, et pendant ce temps-là, il s'octroyait tous les pouvoirs.
En me terrorisant, en mettant des procédures en route pour m'écraser, enquêtes sociales qui malheureusement prouvaient aux juges que tout allait bien.

Et un jour, tandis qu'il me menaçait une fois de plus au téléphone, je lui ai raccroché au nez.
Quelques jours plus tard, j'ai chargé un huissier de récupérer ce qu'il devait, et ça a été la chute pour lui.
Perte de son appartement.
Il a démissionné de son travail comme il l'avait promis et pour le moment a disparu.
Donc, comme il ne prend plus ses enfants non plus (ils ne lui servent à rien pour le moment) , je n'ai plus a faire à lui depuis cinq mois maintenant.
Et, ô miracle, j'ai remonté la pente comme une flèche, sans même m'y contraindre !
Je reste vigilante, mais comme je v
Le pervers narcissique comme formation de la personnalité humaine, ça n'existe dans aucun bouquin de psychiatrie ni dans le DSM. Nous sommes tous des pervers narcissiques à certains moments de notre vie. Etre pervers par narcissisme c'est se comporter mal pour préserver l'image qu'on a de soit, ce qui n'a pas de sens. Le fait de vivre 14 ans avec quelqu'un et de dire au bout du compte que c'est un assassin, ça ne tient pas la route. C'est pervers de se soumettre à un pervers et pourtant quantité de gens le font chaque jour... Tout ce qu'il faut souhaiter aux victimes c'est de ne plus être des victimes. Cette logique est simpliste qui consiste à dire il y a un grand méchant d'un coté et une pauvre victime de l'autre.
En revanche, le trouble de la personnalité narcissique était dans le DSM, et a été retiré (ou est en passe de l'être). Motif : ça touche désormais trop de monde, ce n'est plus une pathologie, c'est la norme.
Le narcissisme est consubstantiel à l'homme, ce n'est pas un trouble psychiatrique.
Le narcissisme n'est pas une constante depuis le jour où l'Homme est apparu sur la Terre, jusqu'à aujourd'hui. Il suffit de regarder les différences entre les époques. Le narcissisme est incomparablement plus développé aujourd'hui, à l'époque des selfies, de la mode, du bling-bling, des stars, etc. Ce n'est pas pour rien que l'on a donné à notre époque le nom de "fétichisme de la valeur". La réification des rapports sociaux a engendré un modification des rapports humains sur le modèle des mécanismes de la valorisation de la valeur. Ce n'est pas du tout le même monde qu'il y a 200 000 ans, où il n'y avait aucune réification, et où personne ou presque personne n'essayait de se démarquer du groupe.
ce n'est pas le même monde mais ce sont les mêmes hommes...
Ce ne sont absolument pas les mêmes Hommes. La forme de pensée n'est plus la même. Il suffit de regarder les Hommes pour s'en aperçevoir. Les aspirations, les principes, les idées, les idéaux, les moeurs, les apparences, tout a changé. Parce que le moteur qui est derrière a changé. Michael Vendetta n'est pas l'équivalent interchangeable de l'homme des cavernes. L'un comme l'autre se sentiraient certainement très mal s'ils devaient échanger leurs places. L'homme des cavernes ne comprendrait pas l'intérêt de passer 2 heures par jour devant un miroir à faire des selfies toute la journée, et Michael Vendetta ne supporterait pas de n'être qu'un pion parmi d'autres, sans signe distinctif.
De tous temps les hommes mettent en idées ce qu'ils ne savent pas ressentir. Les idées c'est ce qui relève du délire humain et bien sur que ce délire change, quoi que on pourrait aussi en débattre. Ce que nous sommes biologiquement et ce qui nous fait avancer ce sont les sentiments qui sont les mêmes depuis la nuit des temps. Vous êtes un déclinologue de plus, ouvrez les yeux. Votre théorie du pion est paranoïaque. Vous êtes peut être un pion perdu dans le monde, mais vous pouvez aussi considérer que vous êtes le centre de votre monde, ce que vous faîtes par ailleurs très bien en idées.
Il n'existe pas de "théorie du pion". J'ai parlé explicitement de la théorie du fétichisme de la valeur, et de la théorie de la réification des rapports sociaux qui lui est liée. Qui elles, existent bien. V
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