Péruvienne prise par derrière

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Péruvienne prise par derrière





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miley omr
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Sourisverte2



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Si y'en avais qui étais coulé sur ma vulve






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Tu dis que le rapport est arrivé hier ? Tu peux prendre la pillule du lendemain, jusqu'à 72h après le rapport, et la pillule du surlendemain jusqu'à 120h après le rapport. Attention aux rapports après la prise de cette pillule car le risque est accru !
Après la prise de la pillule tu DOIS faire une prise de sang (dosage béta hcg) 23 jours après le rapport. La pdl va perturber le cycle, donc tu ne pourras pas te fier à tes règles, d'où l'utilité de la prise de sang









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je veu po que mes parent le sache est là, j'ai po de pillule ni je sais po comment aller prendre une prise de sang






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La pilule du lendemain est gratuite pour les mineures. Tu vas dans n'importe quelle pharmacie.

Voir: https://isolation-qualitative-durable.com/?source=vivre






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28 déc. 2017 à 20:38




Si du liquide pré-éjaculatoire a coulé sur ta vulve, il va falloir faire un dosage beta-hcg (prise de sang) 23 jours après la prise de risque









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d'içi 1semaine j'aurais po de malaise ou autres






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28 déc. 2017 à 21:25




Le seul signe médical de grossesse est l'absence de règles.. le reste peut être pris à part et venant d'autre chose.









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Ah, mercii bcp de votre aide dans ce cas j'attend si mes regle ne vienne po là je saurais la réponse par moi meme






xplom



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28 déc. 2017 à 22:29




bonsoir Andy a mis le lien post 4 sur ce sujet
https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/forum/affich-2256646-les-filles-aidez-moi-rapport-non-protege-enceinte#p2257487





sisiliati - 13 févr. 2014 à 19:32

sisiliati - 13 févr. 2014 à 20:04


amour lydia - 15 mars 2009 à 14:39

mad569 - 16 mars 2009 à 09:03


petiteLisaa - 5 sept. 2012 à 22:55

ju88 - 6 sept. 2012 à 22:33


lisa - 18 nov. 2016 à 14:36

joraline - 18 nov. 2016 à 14:50


Claire - 18 nov. 2011 à 21:45

lafouine. - 18 nov. 2011 à 23:21


StupideGirls - 7 sept. 2014 à 18:04

lafouine. - 8 sept. 2014 à 23:09

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Annales de géographie Année 1959 368 pp. 380-382
Monbeig Pierre. Mines et industries péruviennes. In: Annales de Géographie , t. 68, n°368, 1959. pp. 380-382.
Mines et industries péruviennes. — Vieux pays minier, le Pérou ne possède une véritable industrie lourde que depuis la construction récente de l'usine de Chim- bote, au débouché du Rio Santa, à 400 km au Nord de Lima. Auparavant, mis à part une trentaine de très modestes ateliers de fonte dans la banlieue de Lima, le Pérou ne possédait que deux installations métallurgiques. L'une, à La Oroya, avec un four à acier d'une capacité d'une demi-tonr\e, appartenait à la Cerro de Pasco Corporation. La seconde, installée près d'Arequipa, était la propriété de la Peruana Transport Corporation, société d'origine canadienne qui possède la majeure partie du réseau ferroviaire. Ces deux petites usines travaillaient uniquement pour répondre aux besoins internes des entreprises propriétaires. Le Pérou devait donc acheter hors de ses frontières à peu près tous les produits métallurgiques (100 000 t par an environ) et les objets métalliques (quelque 25 000 t) dont il avait besoin. Ce qui représentait de 12 à 15 p. 100 du montant total des importations. On attend de Chimbote 85 000 t de fonte et 66 000 t d'acier, soit près de la moitié des besoins actuels. Les causes du retard à l'essor de l'exploitation des minerais ferreux et des industries sidérurgiques sont classiques : connaissance insuffisante des ressources réelles, difficultés d'exploiter des gisements situés dans les hautes Andes, difficultés encore pour évacuer le minerai et construire les voies de communication, insécurité pour les installations hydroélectriques dans les vallées avec la menace de vidange des lacs
proglaciaires et le risque des « alluvions », c'est-à-dire des torrents de boues, cailloux et rochers1. Ainsi l'alluvion de 1951, qui ensevelit les premiers travaux entrepris dans la vallée du Santa pour la construction d'une hydrocentrale fournissant l'énergie à Chimbote. En outre, au Pérou comme dans les autres pays de l'Amérique latine, le manque de techniciens, la faiblesse du marché consommateur, les profits plus rapides et plus élevés que procuraient d'autres activités minières ou agricoles contribuaient à raréfier les capitaux susceptibles d'être investis dans l'exploitation des minerais ferreux et l'installation des industries de base. L'évolution qui s'est manifestée pendant la seconde guerre mondiale et plus encore dans les dernières années n'est évidemment pas limitée au seul Pérou. Il n'est pourtant pas sans intérêt de préciser l'allure qu'elle y a prise.
De conception péruvienne, le projet de Chimbote fut pris en main par les Américains à partir de 1942. Il consistait à utiliser le petit port bien abrité derrière des îlots à guano, à proximité de gisements anthraciteux dans la vallée du Santa où l'on prévoyait l'établissement d'une centrale localisée dans le Canon del Pato. Le minerai de fer viendrait par mer, de Marcona, à 250 km au Sud d'Ica, dans le Pérou méridional. Après la catastrophe de 1951, un organisme d'État, la Corporation peruana del Santa, conclut un accord avec un groupe d'entreprises (Consorcio de Ingenieros Contratistas Générales) appuyé par la Banque de Paris et des Pays-Bas pour la reprise des travaux dont le coût était estimé à plus de 25 000 000 dollars (juillet 1954). Deux ans plus tard on procédait à la mise en marche du train de laminoirs de Chimbote, travaillant des lingots importés et utilisant l'énergie fournie par une centrale thermique. Au début de 1958, le complexe sidérurgique a été officiellement inauguré. Il comporte une cokerie construite sur la base de plans allemands pour tirer parti de l'anthracite, des fours électriques, des laminoirs et une tréfilerie. Une ligne de transport de force de 138 000 V relie l'aciérie à la centrale souterraine du Canon del Pato. L'exploitation des deux éléments complémentaires doit être assumée pendant une période de quinze ans par la Sociedad de Gestion de la Planta Siderurgica de Chimbote y de la Central Hydroelectrica del Canon del Pato. La moitié du capital de cette société de gestion a été fournie par la Corporation del Santa, un quart par les entreprises péruviennes qui ont participé aux travaux de construction et le dernier quart par le groupe français. La direction est confiée à un ingénieur français. D'autres projets auxquels s'intéressent des Allemands et des Japonais permettent de penser que Chimbote ne sera pas longtemps la seule aciérie du Pérou.
La prospection minière n'est pas demeurée inactive. Il existe depuis 1941 une «banque minière» qui, s'appuyant depuis 1950 sur un code très libéral et sur une politique de liberté des changes, a pu facilement attirer les sociétés étrangères. Les gisements de fer de Marcona sont actuellement les plus exploités. Les réserves en sont estimées à 100 millions de t, avec une teneur de 60 p. 100, contenant moins de 0,5 p. 100 de soufre et très peu de phosphore. Sous ce minerai riche qui affleure le plus souvent, on évalue encore à une centaine de millions de t une couche de pyrites et magné- sites. La Corporation del Santa, propriétaire de Marcona, a accordé une concession d'exploitation de vingt ans à la Compania Minera Marcona ou Marcona Mining of San Francisco qui est une filiale de Y Utah Construction C°. A l'expiration de la concession, la Corporation du Santa deviendra pleine propriétaire de tout
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