Père sachant ce qu'il y a de mieux pour elle

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Envoyer de l'amour : Le Mot d'Amour



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A l’occasion du mariage de votre fille, vous souhaitez faire un discours pour lui dire toutes ces belles choses qu’un père peut dire à sa fille en une si belle journée. C’est en effet un événement important dans sa vie et dans celle de toute votre famille. En tant que papa, votre discours est parmi les plus émouvants attendus pour votre fille, la mariée. C’est un exercice qui peut s’avérer délicat, que de coucher sur le papier vos émotions et vos sentiments de père, mais aussi vos vœux de bonheur et vos félicitations. A ce titre, pour vous inspirer et vous aider à tourner votre discours, voici un modèle de discours de mariage du père de la mariée que vous pouvez personnaliser à votre guise.
Avant toute chose, toutes mes félicitations à vous deux , les jeunes mariés en ce jour qui est le vôtre !
Je ne t’apprends rien en te disant que je suis plus à l’aise derrière la caméra que devant, donc tu ne seras pas surprise de savoir que cet exercice n’est pas celui où je me sens le mieux. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien, et tu le sais, que j’admire autant ton talent à trouver toujours les mots qu’il faut pour décrire le bon sentiment ou exprimer la bonne émotion.
Néanmoins, si, de mon côté, je m’exprime mieux les mains dans le cambouis ou la peinture, cela me tenait foncièrement à cœur de te dire ces quelques mots en ce jour si important qu’est celui de ton mariage.
Toi si petite dans mes bras, moi qui me sentais si gauche et puis au final, cette évidence, ce lien indéfectible et cette joie avec ta mère de construire notre famille.
Parmi les moments importants dans la vie d’un homme et les souvenirs essentiels et les plus heureux, la venue d’un enfant est au sommet.
Année après année, je t’ai vue grandir dans toutes les étapes de ta vie. Bébé, petite fille, adolescente, jeune fille et aujourd’hui jeune femme.
J’ai essayé de t’accompagner du mieux que je pouvais avec ta mère dans tes apprentissages et tes expériences, dans tes choix et tes projets. Et j’espère de tout mon cœur avoir réussi à t’apporter mon aide, mon soutien et ma force pour que tu construises ton chemin.
En ce qui concerne tes qualités et tes valeurs, je n’ai aucun doute et je suis fier de voir la jeune femme que tu es devenue. Ouverte d’esprit, bienveillante, intelligente, compatissante. Mais aussi déterminée et résiliente, tu n’as jamais baissé les bras. Toujours joyeuse, tu as toujours été le rayon de soleil de notre maison. Maison dans laquelle il y a un vide certains jours maintenant que tu n’es plus là… Le papa que je suis dirait que tu frôles la perfection !
Maintenant, tu es une femme en effet. Depuis que (prénom du marié) est entré dans ta vie, tu as pris ton envol et tu rayonnes de bonheur. J’en suis très heureux pour toi et j’ai confiance en toi, en lui, en vous. Je sais que vous prendrez soin l’un de l’autre.
Donc oui, nous y voilà, c’est officiel aujourd’hui, tu as quitté définitivement notre foyer pour fonder le tien avec l’élu de ton cœur, ton mari. C’est une étape naturelle même si elle laisse souvent un pincement dans le cœur des parents. Mais on ne fait pas des enfants pour les garder pour soi et chez soi indéfiniment. Non, on les élève et on les aide à se construire pour qu’ils aient ensuite les outils et la force de bâtir leur propre vie à l’extérieur du foyer parental.
C’est un grand bonheur de te voir t’épanouir depuis plusieurs années aux côtés de (prénom du marié ), de savoir que tu as trouvé celui fait pour veiller sur toi, avec qui partager tes joies et tes peines. Tous les deux en effet, vous avez su vous trouver. Deux amoureux, qui ne demandent qu’à transformer leurs rêves en une douce réalité.
Je vous souhaite une longue vie ensemble, heureuse et pleine d’amour. Sachez que vous me trouverez toujours à vos côtés pour vous aider et vous soutenir.
 Et à toi, (prénom du marié ), je te confie ma merveilleuse fille, une de mes raisons de vivre, ce que j’ai de plus précieux, prends-en grand soin.
A vous tous ici réunis, je vous propose de lever nos verres pour porter un toast aux mariés.
Tous mes vœux d’amour et de bonheur aux jeunes mariés ! »
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"Si vous ne les respectez pas, je vous promets qu'elles n'auront pas besoin de moi pour vous remettre à votre place."
FÉMINISME - Il y a de ces pères qui surprotègent leurs filles parce qu'elles sont femmes. Qui les restreignent dans leurs sorties, leurs comportements, par crainte de ce qui pourrait leur arrive. Qui jouent au beau-père agressif face à ceux qui les approchent. Et il y a Jeff Welch. Sur Facebook et sur Instagram , ce père de cinq filles donnait, ce dimanche 3 septembre, des conseils à tous ceux qui voudraient sortir avec elles.
Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils prennent à rebrousse-poil les postures possessives traditionnelles. Il n'interviendra pas si on ne respecte pas ses filles, écrit-il. Parce qu'il sait qu'elles sauront très bien remettre à leur place ceux qui leur nuisent. Un discours féministe devenu viral, et partagé près de 22.000 fois sur Facebook, aimé près de 1500 fois sur Instagram .
Père de cinq filles de 16 (pour deux d'entre elles), 13, 12 et 7 ans, Jeff Welch a été débordé par les réactions, partages, appels de grands médias. Interrogé par Today , il explique sa démarche : "Je comprends le besoin de protéger vos filles. Je le comprends. Mais ce genre de postures entre père et filles que je critiquais précisément n'a rien à voir avec un 'instinct protecteur', mais vient rappeler leur domination sur les femmes et renforcer la croyance selon laquelle les femmes ont besoin d'avoir des hommes qui prennent soin d'elles."
Il commence à parler sexualité avec la plus âgée de ses filles, raconte-t-il, "mais sur des sujets comme ça, je sens vraiment qu'il vaut mieux écouter que parler." Pour lui, ses enfants ne doivent pas avoir l'impression qu'il faut l'assentiment du père pour toutes les décisions importantes de leur vie.
"Je n'élève pas des princesses", commentait sur Facebook celui qui se décrit comme écrivant "des poèmes, des coups de gueule et des jurons". Face à la viralité de son texte, il s'est senti obliger de partager un de ses écrits plus anciens, dans lequel il explique ce que signifie, pour lui, être féministe.
"Le bonheur est différent pour chacun de nous. Que l'on soit un homme ou une femme. Peu importe à quoi cela ressemble, je les soutiendrai entièrement, parce que c'est ça être féministe, pour moi."
"Je me considère comme féministe, et je le dis dans toutes les significations que ce mot a pris, mais j'ai aussi compris que, pour moi, cela va prendre un sens plus large que ceux que l'on associe souvent à ce mot.
J'ai trois filles qui passent plus de temps avec leur mère qu'avec moi. Toutes les trois sont très religieuses, et j'ai joué un rôle important à les éduquer comme ça avant que je n'abandonne ces choses. Elles n'ont cependant jamais été contraintes à ça. Que ce soit par moi, ou par leur mère. C'est juste ce qu'elles sont maintenant, et cela pourrait être le cas pour toujours.
Mon aînée veut très sérieusement devenir missionnaire. C'est qu'elle est tellement généreuse. Est-ce que je voudrais plutôt qu'elle devienne PDG ? Oui. Oui je le voudrais, mais devinez quoi ? Mon avis sur le type de femme qu'elle devrait être n'est pas pertinent.
Ce n'est pas mon devoir, en tant que père, ou que féministe. Mon devoir est de l'aimer, et de faire en sorte que, quoi qu'elle devienne, c'est parce qu'ELLE le voulait. Je veux que mes filles se sentent libres d'être CE QU'ELLES SONT, et si cela veut dire être missionnaire ou femme au foyer avec beaucoup trop d'enfants ou quoi qu'il LEUR convienne... ÇA c'est la vie que je veux pour elles.
Le bonheur est différent pour chacun de nous. Que l'on soit un homme ou une femme. Peu importe à quoi cela ressemble, je les soutiendrai entièrement, parce que c'est ça être féministe, pour moi."
Il a beau avoir un mug de l'année "meilleur papa de l'année", il l'assure : "je n'ai jamais été nominé à ce prix". Avant tout, il ne veut que le bonheur de ses filles. Et il est heureux de voir tous les retours positifs sur son texte, qui montrent "un changement d'attitude envers les femmes dans notre culture".
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Devenir père est une grande aventure, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’une petite fille. Les repères vont être différents, les besoins peut-être aussi. L’homme qui va avoir le rôle du protecteur et de celui qui écoute ... c’est maintenant.
Bébé, une petite fille a les mêmes besoins qu’un petit garçon. Inutile de la couvrir de poupées ou de couleur rose. Un nourrisson a simplement besoin de votre présence, de biberons lorsqu’elle a faim et de contacts. Changer les couches sera d’autant plus facile qu’il n’y a pas de risques d’être arrosé. La vulve demande d’être bien nettoyée, avec douceur car les lèvres intérieures sont fragiles.
Donner le bain, à manger, la bercer, sont des moments importants dans les premiers instants de vie, car ils permettent au papa d’entrer en contact et de faire connaissance. Celle qui va devenir l’une des femmes de sa vie a besoin de sentir son odeur, d’entendre sa voix, de toucher sa barbe ou ses poils de bras.
Les premiers sourires seront une joie partagée. Le père a ses propres centre d’intérêts et sa façon bien à lui de dialoguer avec sa fille. Il n’est pas là pour être la réplique de la maman, mais bien au contraire, son rôle est d’assurer son rôle de père, c’est à dire avec sa voix grave, ses envies (sport, musique, barbecue, coupe de l’Euro, etc.) et il va entraîner sa fille à partager ses passions. Pour elle cela va être enrichissant, et lui permettre de découvrir un autre monde que celui qu’elle avait partagé jusqu’à maintenant exclusivement avec sa maman durant les 9 mois de grossesse.
Pour devenir proche de sa fille, il suffit simplement de jouer et de discuter. Jouer en fonction de ses goûts à elle, mais aussi lui faire découvrir d’autres activités, qui peuvent être très variées :
La complicité peut s’entretenir également avec des rituels. Tous les mardis soirs, c’est papa qui lit l’histoire, ou bien tous les dimanches on épluche les patates ensemble pour faire des frites.
Pour une petite fille, son père est le premier homme de sa vie et c’est avec ce modèle qu’elle va se construire. Chaque père va montrer ce qui semble important pour lui, chez un homme : l’écouter, la protéger, l’encourager, la considérer à l’égal d’un garçon ... Toutes ces valeurs lui permettront de se sentir en confiance et de pouvoir avancer dans la vie en considérant le monde masculin comme un allié.
Comme l’explique Marcel Rufo, un enfant se construit en idéalisant son père. Même si au fond d’elle, elle ne sera jamais tout à fait dupe, cela lui permet de surmonter ses peurs. « Il est si essentiel pour un enfant d’avoir un père héroïque, que chez le moins doué ou le plus pathétique, elle réussira souvent à trouver une qualité, aussi minime soit-elle, qui lui permettra de le voir glorieux, fût-ce par intermittence ».
Cette force lui est transmise comme un glaive, et dans la cour de récré, les petites filles comparent leurs armures : « Mon papa, il fait les hamburgers meilleurs qu’au resto ». « Moi, mon père, il sait même faire des bulles avec son nez ... ».
Inutile de se mettre la pression, une simple présence, mais au combien importante, suffira à faire passer le père pour un héros, aux yeux de sa petite fille. « Le rôle du père est d’endosser cet habit, tout en sachant parfaitement qu’il flotte dedans et qu’il lui sera retiré un jour ».
Car oui, les pères doivent profiter de cet instant de grâce, car cet illusion ne dure malheureusement pas toute leur vie.
Viendra un temps où la petite fille, bercée au creux du bras, et qui marmonnait des « je t’aime mon papa, très, très très fort » aura grandit. Rassurée par un papa présent et sûr de lui, elle a observé les failles et les doutes aussi.
L’adolescence sonne la séparation de cette bulle de complicité pour permettre à la jeune fille de se faire sa propre notion du binôme qu’elle souhaite former, ou pas, avec un autre homme. Les pères pourront se sentir alors un peu mis de côté, même critiqués dans leurs actions, mais si la complicité est solide, l’écoute et les échanges vont permettre de traverser la crise.
Une adolescente aura besoin de se faire sa propre opinion, de ce qu’elle a reçu, de ce qu’elle souhaite conserver, de ce qu’elle ne veut plus. Pour le père, il s’agit alors de rester droit dans ses propres valeurs tout en acceptant que sa fille évolue.
Une relation de tendresse mutuelle peut alors s’instaurer et les échanges devenirs adultes.
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C’est toujours la même douleur. Qu’on ait 4 ans ou 40 ans, perdre un parent, c’est soudain se retrouver seule sur la route. Quatre femmes nous racontent comment elles ont surmonté cette épreuve et comment elles essaient de faire le deuil d'un père ou d'une mère.
Il aura fallu qu’il meure pour qu’enfin je comprenne que nous avions tous deux notre part de responsabilité dans nos malentendus. C’est peut-être ça, faire son deuil . Perdre mon père m’a fait ­l’effet de franchir une étape. J’ai réalisé que sur l’échelle qui mène "là-haut" je venais de me hisser à la dernière marche. Je n’ai jamais été aussi consciente de ma future disparition."























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Mes parents st en vie, mais immatures psychiatriques, je vis sans eux depuis que je suis adolescente. Mesquineries, moqueries, atteintes a mon image de la part de mon père que ma mere refuse d admettre comme il est, tt cela vs conduit a la solitude et a la difficulté de mener une vie solide avec de bons référents. Nous les orphelins au parents en vie mais toujours morts et abse
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