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gragolzz a posté le 21 novembre 2016 à 17h47
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diabolosatanas a posté le 21 novembre 2016 à 17h47
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paris_mon_amour a posté le 21 novembre 2016 à 17h47
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abolition_des_revenus_du_capital_61 a posté le 21 novembre 2016 à 17h47
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mortargent a posté le 21 novembre 2016 à 17h47
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Pendant six ans, Cassandra a souffert de vaginisme, une contraction musculaire qui empĂȘche toute pĂ©nĂ©tration vaginale. Elle a vu plein de spĂ©cialistes â ça empoisonnait sa vie sentimentale. Puis « tout sâest dĂ©bloqué ».
Je rencontre Cassandra dans un café parisien, à deux pas de la rédaction de Rue89. Elle fume clope sur clope. « Je ne suis pas trÚs détendue », dit-elle, communiquant son stress, incitant son interlocuteur à enchaßner les cigarettes.
Cassandra nâa pas lâhabitude de parler de sa sexualitĂ© Ă des inconnus. Surtout, elle dĂ©teste prononcer le mot « vaginisme ». Câest pourtant comme ça quâelle sâest prĂ©sentĂ©e par e-mail :
Le vaginisme est une contraction musculaire qui empĂȘche toute pĂ©nĂ©tration vaginale. Cassandra en a souffert pendant six ans. Ăa a empoisonnĂ© sa vie sentimentale, sa vie tout court.
Aujourdâhui, Cassandra va mieux. Elle a mis les moyens pour vivre une sexualitĂ© Ă©panouie, mais elle a rĂ©ussi.
Et câest ce quâelle veut dire aux « nanas qui souffrent » et Ă ceux (celles) qui les accompagnent. Cassandra compare le vaginisme Ă un tunnel â un tunnel dont on peut voir le bout :
Pendant toute mon enfance, Ă lâĂ©cole ou dans mon cercle familial, je parlais trĂšs peu de sexualitĂ©. Mes premiers souvenirs remontent au lycĂ©e. A 16 ans, jâai roulĂ© mon premier patin, complĂštement bourrĂ©e. Ce fut lâĂ©veil. Jâen ai roulĂ© Ă plein de mecs et je me suis frottĂ©e Ă bon nombre dâentre eux, sans envisager de baiser. Je voulais attendre le « bon », lâhomme de ma vie. Finalement, Ă 17 ans, jâai voulu le faire avec mon copain.
Ensemble depuis un an, un soir, on se chauffe, on se tripote, ça part en prĂ©liminaire. « Allez, on y va ! » MĂ©ga nerveuse, je ne pouvais pas mâempĂȘcher de rire. Quand il sâest approchĂ© de mon sexe, je lâai coincĂ© avec mes cuisses. A lâĂ©poque, je ne comprenais pas : je le voulais en moi et, en mĂȘme temps, je ne le voulais pas. Il a essayĂ© de rentrer mais la « porte » Ă©tait complĂštement fermĂ©e. Il pouvait essayer de « taper », « taper », « taper », jamais ça nâallait rentrer. Plus il forçait, plus ça faisait mal.
Le lendemain, jâai appelĂ© ma meilleure copine. Je nâai omis aucun dĂ©tail. Elle mâa fait tout un speech sur le fait dâĂȘtre vaginale ou clitoridienne, quâen fait je nâĂ©tais probablement que clitoridienne, en me disant que, dieu merci, elle Ă©tait « les deux Ă la fois ». Merci la pote !
Je suis allée voir un gynécologue , un vrai connard. Son diagnostic :
Jâai fait ce quâil me disait, ça nâa strictement rien arrangĂ©. Vraiment un connard.
PlutĂŽt ironique comme situation. Au dĂ©but, jâĂ©tais persuadĂ©e que lâhomme de ma vie serait mon « dĂ©puceleur ». Ensuite, un homme que jâaime. Jâai revu Ă la baisse mes exigences quand jâai compris que ça bloquait. Je me disais : « Nâimporte qui ferait lâaffaire ! Baisez-moi, allez-y, baisez-moi ! »
Je me rappelle ce mec, beau parleur, dĂ©bitant tout un discours sur la fiertĂ© quâil avait Ă ĂȘtre le premier. Dans ma tĂȘte, jâen avais rien Ă foutre, je pensais : « Fais-le, fais-le, fais-le, un point câest tout ! » Avec lui non plus, ça nâa pas marchĂ©. Les muscles contractĂ©s, mon vagin ne laissait rien passer.
Je me rappelle en avoir parlĂ© Ă ma grand-mĂšre, croyante et plutĂŽt « coincĂ©e ». Je suis extrĂȘmement proche dâelle. Elle mâa sortie : « Oh ! Ma pauvre chĂ©rie ! » Cette phrase, je lâai prise comme une grosse bombe dans ma gueule. Putain ! Si mĂȘme ma grand-mĂšre, que je considĂšre comme totalement asexuĂ©e, que jamais je nâimaginerais faire lâamour avec un homme, que jamais je nâai entendue prononcer le mot « sexe », si elle, elle me dit « oh ! Ma pauvre chĂ©rie  ! », ça veut bien dire que je rate quelque chose de trĂšs important.
Pour essayer de trouver une solution Ă mon problĂšme, jâai dĂ» ouvrir mes cuisses Ă un milliard de spĂ©cialistes. Des ostĂ©opathes, des psychologues, des gynĂ©cos, des magnĂ©ticiens, des Ă©nergiseurs... Jâai mĂȘme participĂ© Ă des constellations familiales. Certains mâont permis dâavancer, dâautres pas du tout. Avant que je ne sois indĂ©pendante, mes parents assumaient les dĂ©penses. Quand bien mĂȘme ne voulaient-ils pas imaginer leur fille Cassandra se faire prendre, ils payaient pour...
Parmi les « spĂ©cialistes » existent de nombreux cons. Je me rappelle dâune psy. A peine entrĂ©e dans son cabinet, elle me demande si on considĂšre le sexe comme quelque chose de sale dans ma famille. Ensuite, elle enchaĂźne directement sur ma relation avec mon pĂšre. Un autre thĂ©rapeute, lui, Ă©tait sĂ»r que jâavais Ă©tĂ© victime dâun viol. Consciente ou convaincue de la « facultĂ© dâoubli » du cerveau, jâen suis mĂȘme venue Ă investiguer dans ma famille.
Mais non, le vaginisme ne dĂ©coule pas automatiquement du viol, ou dâune agression sexuelle, ou mĂȘme de quoi que ce soit en lien direct avec la sexualitĂ©. Il faut que les gens se mettent ça dans la tĂȘte.
Je veux vraiment faire passer un message aux nanas qui rencontrent ce type de problĂšme. Il faut quâelles aillent en chercher les causes au-delĂ de la dimension physique. Jâai lu pas mal dâarticles, notamment un sur Rue89 , qui tâexpliquent : « Vous allez mettre un truc de plus en plus gros, genre un dilatateur, pour Ă©carter votre vagin, et ça ira mieux »âŠ
En faisant ça, tu forces ton corps. Tu rĂšgles peut-ĂȘtre le symptĂŽme mais tu ne rĂšgles pas le problĂšme. Les causes peuvent venir dâailleurs, et nâavoir aucun rapport avec le sexe en soi.
Pour moi, cette pĂ©riode a durĂ© six longues, trĂšs longues annĂ©es. Je ne voyais pas le bout du tunnel. Le vaginisme, câĂ©tait mon problĂšme, avec un grand P, le problĂšme de toute ma vie.
Vers mes 20 ans, je suis restée plusieurs années avec un mec, on réussissait à le faire une fois par an⊠Entre chaque occasion, de trÚs longues pauses. Logiquement, ça crée beaucoup de tensions.
Tu enlĂšves quelque chose Ă ton mec. Un ex, dont jâĂ©tais trĂšs amoureuse (et lui aussi) mâa rĂ©pĂ©tĂ© Ă plusieurs reprises : « Tu me castres, Cassandra. » Câest violent. Il mâa trompĂ©e. Je ne lui en ai pas voulu une seule seconde. JâĂ©tais juste pĂ©trifiĂ©e sur place de penser que cette connasse, cette pĂ©tasse, elle, avait pu lui faire lâamour et pas moi.
Avec le recul, je trouve que mes copains ont Ă©tĂ© patients. Aucun ne mâa vraiment fait chier avec ça. Et aucun nâest parti quand je le lui ai annoncĂ©...
Vers ma 24e annĂ©e, tout sâest dĂ©bloquĂ©. Dâabord petit Ă petit, principalement via mon travail avec mon ostĂ©opathe. Puis, gros dĂ©clic : je venais dâemmĂ©nager avec un nouveau mec. EmmĂ©nager avec lui mâa mise en confiance je crois. On lâa fait une fois, ça a marchĂ©, on nâa plus arrĂȘtĂ©. Je nâavais plus aucun blocage. Au contraire, je voulais tout le temps avoir des rapports sexuels. Lui nâen pouvait plus.
Le sexe devenait un nouvel enjeu. AprĂšs le « si tu restes avec moi sans mâobliger Ă baiser, ça signifie que tu mâaimes », jâinstaurais le « si tu ne me baises pas tous les jours, ça signifie que tu ne mâaimes pas ».
Comment je dĂ©finirais ma sexualitĂ©Â ? Je dirais quâelle est⊠euh, agitĂ©e, compliquĂ©e, trĂšs importante, trĂšs compliquĂ©e. Je ne souffre plus de vaginisme. En revanche, je peux dire que mon Ă©tat psychologique influe Ă©normĂ©ment sur ma libido. Ma sexualitĂ©, câest le meilleur thermomĂštre de mon bien-ĂȘtre.
Par exemple, en ce moment, ce nâest pas trop lâĂ©clate dans ma tĂȘte. Quelques problĂšmes familiaux. Dans ce cas, toute la zone situĂ©e autour de mon vagin dit : « Fous-moi la paix, bordel ! Tu mâoppresses. »
Bon, avant-hier, avec mon copain, on lâa quand mĂȘme fait. On matait un film, il avait trĂšs envie de moi. Il mâa dĂ©shabillĂ©e et mâa fait un long cunnilingus. Toute la crispation autour de mon vagin sâest envolĂ©e, les muscles se sont dĂ©tendus. Jâavais envie quâil me pĂ©nĂštre. Jâai vraiment pris mon pied.
En ce moment, du coup, on fait lâamour environ une fois par semaine. Je ne le laisse pas tomber pour autant. Tous les deux jours environ, je lui fais une fellation jusquâĂ ce quâil jouisse. Jâavale pas tout le temps.
Ce nâest pas lui qui « mâoblige » ! Le voir, le matin, avec son sexe en Ă©rection, sâauto-exciter, câest mignon, jâaime ça, jâaime quâil ait tout le temps envie de moi, câest flatteur. Je fais alors un petit effort et lâenvie revient.
Quand jâen parle, je me rends compte quâune grande partie de ma sexualitĂ© a tournĂ© autour du sexe sans pĂ©nĂ©tration vaginale , notamment la sodomie. La premiĂšre fois que jâai fait ça, jâavais vraiment lâimpression de faire lâamour. Je parle du vrai acte dâamour entre deux personnes qui sâaiment. Assouvir son besoin Ă lui dâĂȘtre en moi, mon besoin quâil soit en moi. Je nâai eu aucun blocage. Câest curieux, hein, il sâagit aussi dâune pĂ©nĂ©tration, dâune intrusion en quelque sorte, mais ça ne possĂšde pas la mĂȘme dimension psychologique.
Je consulte une ostĂ©opathe gĂ©niale. Câest elle qui mâa suivie tout au long de mon parcours. Lâautre fois, elle mâa fait comprendre un truc super important : mon vagin, câest lâinconnu total . Ăa mâa fait rĂ©agir : « En fait, Cassandra, ton mec, il connaĂźt bien plus ton vagin que toi. Cette zone qui est la tienne, putain, tu ne la connais pas ! » Me mettre un doigt, ça me crispe. Le jour oĂč jâai rĂ©ussi Ă en rentrer un, ma rĂ©action : « Ah ouais, câest comme ça en fait ! » Et aujourdâhui, jâexpĂ©rimente le vibro. A 29 ans... Il mâen a fallu du temps.
Pour ce qui est de la contraception , avaler des trucs chimiques, jouer avec cette zone-lĂ , ça ne me plaisait pas du tout. Jâutilise un contrĂŽleur de fertilitĂ©. De lâextĂ©rieur, ça ressemble Ă un petit boĂźtier, en fait, non, ça ne ressemble Ă rien, mais lâintĂ©rieur est hautement sophistiquĂ©. Il calcule ta tempĂ©rature tous les jours et au bout dâun moment, il connaĂźt ton cycle. Rouge, tu es en pĂ©riode dâovulation, tu mets la capote ou tu ne fais rien. Jaune, tu fais attention, plutĂŽt capote. Vert, câest la fĂȘte !
Si jâai atteint ma plĂ©nitude sexuelle ? Ah non, lĂ , je nâespĂšre pas ! Ăa me rappelle une phrase de mon ostĂ©opathe, celle que jâadore :
Jâai sursautĂ©Â : « Oh, yes ! Jâai encore quelque chose de mieux qui mâattend ! »
Si vous me trouvez vulgaire, il fallait me censurer : visiblement vous avez eu moins de scrupule à le faire pour les commentaires des 2 pages manquantes.
Le fait dâĂȘtre contrariĂ© ou sous pression nâexcuse en rien le recourt Ă un vocabulaire vulgaire, spĂ©cialement lorsquâil sâagit de propos tenus dans le but dâĂȘtre diffusĂ©. Lâensemble aurait eu beaucoup plus dâimpact en pondĂ©rant la forme.
Par exemple :
« Je suis allée voir un gynécologue, un vrai connard. »
Inutile de prĂ©ciser que ce gynĂ©cologue est un connard, le lecteur sâen rendra compte par lui mĂȘme en lisant son diagnostique.
« Parmi les â spĂ©cialistes â existent de nombreux cons. »
Sans blague ? Est ce que ça apporte quelque chose Ă lâhistoire ? Non.
Etc etc etc... DĂ©solĂ© mais ça rend lâensemble indigeste, et tant pis si je passe pour un troll pour lâavoir fait remarquĂ© dans les commentaires (ça ne sert pas à ça Ă la base ?).
HĂ© oui . Il existe des nanas encore plus compliquĂ©es que les normales alors que pourtant ça parait impossible de battre le record quand on part dĂ©jĂ dâaussi haut.
Je confirme, les Parisiens sont des beaux parleurs qui nâont rien dans le slip.
« en page 3 »
Il nây a quâune page et 36Â commentaires.
Avant tout merci pour ce tĂ©moignage qui parle dâun problĂšme physique et psychologique qui dĂ©range beaucoup de couples et surtout de femmes.
Ma compagne ne souffre pas vraiment de la mĂȘme pathologie que celle dĂ©crite ici, mais cela sâen rapproche beaucoup. Elle a un vagin trĂšs trĂšs Ă©troit et qui se « resserre â trĂšs rapidement. Du coup, toute pĂ©nĂ©tration alors quâelle nâest pas â trĂšs trĂšs excitĂ©e est particuliĂšrement douloureuse, quand bien mĂȘme ne serait-ce que le petit doigt ( dĂ©solĂ© pour les dĂ©tails mais pas moyen de dĂ©crire sans ).
Il y a un cĂŽtĂ© physique Ă cette situation, aggravĂ© ou devrais-je dire complĂ©mentĂ© par un Ă©tat psychique. Chose qui semble ĂȘtre aussi en partie le cas de notre tĂ©moin. Le cĂŽtĂ© psychique est mĂȘme primordial en la matiĂšre.
Pour ma part cela ne me dérange pas du tout. Au contraire, étant un amoureux inconditionnel des trÚs trÚs longs préliminaires, je me régale à tout faire pour que ma compagne ait le plus de plaisir possible et ce sans la moindre douleur causée par la pénétration.
Ceci dit, je suis persuadĂ© que lâĂ©tat dâesprit prime sur beaucoup de choses lorsque le corps et en particulier le sexe a des problĂšmes. Câest un long travail sur soi Ă faire, sur ses envies, ses blocages, son rythme et ses sensations.
Il faut ensuite partager ces Ă©lĂ©ments avec son compagnon, lui faire comprendre le processus, le faire participer Ă ses dĂ©couvertes, lâaider Ă comprendre son rythme des envies, des sensations etc... Et Ă partir delĂ , construire une relation saine et particuliĂšrement enrichissante.
Pour avoir eu dâautres partenaires dans ma vie, je ne me suis rĂ©ellement dĂ©couvert quâavec ma compagne actuelle. Jâapprends Ă©normĂ©ment sur les femmes, leurs besoins, leurs sensations, Ă analyser leur rĂ©actions, leur souffle, le moindre frisson ou frĂ©missement, le mouvement des yeux sous les paupiĂšres fermĂ©es, les minuscules crispations des muscles, le moindre mouvement de doigts, de tĂȘte, et surtout Ă ne considĂ©rer dâabord et avant tout leur plaisir et non le mien.
Autant jâai pu prendre plaisir Ă de brefs et passionnĂ©s Ă©lans amoureux, autant ce que je ressens Ă construire pendant des heures sâil le faut le plaisir de ma compagne est infiniment plus plaisant Ă mes yeux. La mise en scĂšne, les jeux, les attouchements, les pauses, les courbes des envies quâon fait monter puis descendre lĂ©gĂšrement pour remonter encore plus haut, les mots, les gestes lents, trĂšs lents, sont beaucoup plus passionnants quâune Ă©treinte plus classique .
Et surtout ; le bonheur, la chance de faire Ă©voluer le plaisir de sa compagne suffisamment pour quâaucune pĂ©nĂ©tration ne provoque la moindre crispation ou douleur est un Ă©merveillement permanent. Cela mâobligĂ© Ă non seulement apprendre parfaitement son corps et ses rĂ©actions, mais Ă renouveler sans cesse mes/nos expĂ©rimentations et Ă mettre Ă rude Ă©preuve ma/notre imagination. Et ça câest sublime.
Alors oui, le coup vite fait bien fait qui dure 5 min câest parfois trĂšs agrĂ©able quand lâoccasion sây prĂȘte, et câest vrai quâavec ma compagne on nây goĂ»te pas, mais nos Ă©treintes qui durent trĂšs trĂšs longtemps nous semblent tout aussi agrĂ©ables mĂȘme si moins spontanĂ©es ou impromptues.
Quoi quâil en soit, courage Cassandra, et surtout nâayez pas peur dâexpĂ©rimenter ce qui VOUS fait le plus envie Ă lâaide du partenaire ( ou de la partenaire ) qui vous comprendra et qui fera passer votre plaisir avant tout le reste. Et surtout prenez votre temps, tout votre temps pour vous dĂ©couvrir et partager vos besoins, vos envies, avec le ou la bon/ne partenaire qui saura vous faire passer avant tout autre chose.
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Publié par La Rédaction E-Santé , le 12/04/2018 à 10:31
Le plug anal est un sex-toy de forme conique: sa pointe plus fine permet une insertion en douceur. Sa base large Ă©vite quant Ă elle une pĂ©nĂ©tration trop profonde, tandis que son rĂ©trĂ©cissement final permet aux muscles de lâanus de se refermer. Il existe en diffĂ©rentes tailles et diverses matiĂšres. Il faudra donc faire attention Ă ne pas acheter un plug anal trop gros, au risque de provoquer des dĂ©chirures lors de lâintroduction.
Afin que lâinsertion du plug soit plus facile et non douloureuse, il est conseillĂ© de procĂ©der par Ă©tapes. Tout dâabord lubrifier lâanus avec un gel, puis introduire en premier lieu un doigt dans lâanus avec douceur afin de dĂ©tendre les muscles. Enfin, introduire dĂ©licatement le plug prĂ©alablement lubrifiĂ© et le faire sâenfoncer en le tournant doucement.
Lâinsertion dâun plug anal permet Ă lâhomme dâatteindre le point P ou point prostatique. En effet, le plug va stimuler la prostate et engendrer un orgasme dâune intensitĂ© dĂ©cuplĂ©e par rapport au traditionnel orgasme phallique.La bonne santĂ© sexuelle du couple passe aussi par des jeux Ă©rotiques. Le plug anal peut en ĂȘtre un. InsĂ©rĂ© dans lâanus de la femme, il va stimuler sa zone anale, en lien direct avec sa zone vaginale. De mĂȘme, la prĂ©sence du plug dans lâanus de la femme va induire une pression et une excitation au niveau du pĂ©nis de lâhomme. La position idĂ©ale avec un plug? La femme Ă quatre pattes, lâhomme Ă genoux derriĂšre elle.
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Comment enlever le calcaire sur un pommeau de douche ?
Accueil » La pomme de douche: astuce pour déboucher ses trous
Le dĂ©pĂŽt de calcaire sur la pomme de douche est un vrai calvaire que toutes les rĂ©gions connaissent. Il empĂȘche lâutilisation optimale de votre robinetterie en obstruant les trous du pommeau de douche et en crĂ©ant un dĂ©pĂŽt de tartre. La bonne nouvelle câest quâil existe une astuce simple et efficace qui peut vous permettre de remĂ©dier Ă ce problĂšme.
Retirez la pomme de douche. Câest super facile, il suffit de dĂ©visser lâarriĂšre oĂč la pomme de douche rejoint le tuyau de douche.
Il est probable quâil y ait de la rouille ou du calcaire rendant le travail plus difficile, mais appliquez simplement un peu plus de force.
Remplissez le sac de vinaigre et placez-y la pomme de douche, puis fermez le sac avec une
Nue sur la plage privée
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