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Que regarder ce week-end ? Les 4 films et docus Ă  voir absolument selon ELLE



Que regarder ce week-end ? Les 4 films et docus à voir absolument selon ELLE ©20th Century Studios/Hulu/Disney+


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Tanneguy de Kerpoisson






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Chaque semaine, la rédaction de ELLE vous aide à choisir ce que vous allez regarder le week-end sur vos écrans. Suivez le guide.
Vous avez du mal Ă  supporter ces fortes chaleurs ? Allez donc profiter de la clim' des cinĂ©mas ou installez-vous confortablement dans votre canapĂ©. Alors oui, on sait, ce n’est pas facile de faire un choix lorsque l’on se perd dans les catalogues gigantesques des plateformes...Pour vous aider, nous avons fait le tri. Au programme cette semaine : de l’animation, de l’horreur, de la science-fiction et un documentaire particuliĂšrement gourmand.
1719, dans les vastes plaines d’AmĂ©rique du Nord. Membre du peuple autochtone Comanche, Naru (Amber Midthunder), une jeune femme maligne et intrĂ©pide devenue experte dans le maniement du tomahawk, rĂȘve de se voir attribuer le statut de guerriĂšre. ProblĂšme : ce titre honorifique est normalement rĂ©servĂ© aux hommes de la tribu. TĂȘtue, elle dĂ©cide quand mĂȘme d’aller couper la tĂȘte d’une grosse bestiole pour prouver sa valeur. Malheureusement, la chasseuse se transforme en proie lorsqu’elle croise la route d’une crĂ©ature extraterrestre sanguinaire et surpuissante... Bien au-dessus des diverses suites dĂ©jĂ  donnĂ©es Ă  « Predator », film de science-fiction horrifique culte rĂ©alisĂ© par John McTiernan en 1987, « Prey », prĂ©quel gore et haletant sur l’émancipation fĂ©minine, est la preuve, s’il en fallait une, qu’il vaut parfois mieux miser sur la simplicitĂ© pour faire mouche. Le long-mĂ©trage est court (Ă  peine 1h30), l’histoire est prĂ©cise, sans fioritures, et les lignes de dialogues entre les personnages sont limitĂ©es au strict minimum pour laisser place Ă  des silences terriblement angoissants
 On regrette peut-ĂȘtre que certaines bestioles, grossiĂšrement rĂ©alisĂ©es en images de synthĂšse, ne respirent pas l’authenticitĂ©. Mais le rĂ©alisateur Dan Trachtenberg (« 10 Cloverfield Lane ») a eu l’intelligence de tourner son film dans de sublimes dĂ©cors naturels, ce qui nous a fait avaler la pilule. DĂ©jĂ  un classique pour les fans du genre. - Tanneguy de Kerpoisson
À tout juste 18 ans, Sam, une orpheline au grand cƓur particuliĂšrement malchanceuse, ne peut pas faire un pas dans la rue sans perdre ses clĂ©s, rater son bus ou marcher dans une crotte de chien. Quand elle accepte un petit boulot dans une grande quincaillerie, les ennuis continuent. C’est bien simple : tout ce qu’elle touche se renverse, se dĂ©chire et se casse. Au bout du rouleau, la jeune femme tombe par hasard sur un chat noir. Encore un signe qui montre que rien ne va ? Pas du tout ! Bien malgrĂ© lui, Bob - c’est le nom du fĂ©lin - va faire dĂ©couvrir Ă  Sam le « pays de la chance », un monde fĂ©erique peuplĂ© de lutins, de lapins et de cochons qui parlent oĂč la poisse n’a pas sa place. On pourrait vous parler en longueur du retour aux affaires du producteur John Lasseter (le crĂ©ateur de « Toy Story », accusĂ© en 2017 de « comportement inadĂ©quat » par ses ex-collĂšgues de chez Pixar, revient ici en qualitĂ© de producteur). Mais on prĂ©fĂšre vous parler du film. Parce que malgrĂ© ses quelques dĂ©fauts - animation simpliste, morale naĂŻve - « Luck » est une Ɠuvre diablement fun et bienveillante qui vous fera passer un moment dĂ©licieux. Le tout repose sur une galerie de personnages irrĂ©sistibles. Vous vous attacherez forcĂ©ment Ă  Sam et Ă  son optimisme Ă  toute Ă©preuve
Mais vous aurez surtout quelques fous rires. Coup de cƓur par exemple pour Jeff, une licorne mĂąle en surpoids parlant avec un fort accent bavarois. - Tanneguy de Kerpoisson
Jordan Peele nous avait terrifiĂ©s avec ses films « Us » et « Get Out » dĂ©nonçant le racisme en AmĂ©rique. Ici, le rĂ©alisateur quitte la banlieue de Los Angeles pour un ranch perdu de Californie. Un ovni cachĂ© dans un nuage aspire les ĂȘtres vivants, ĂȘtres humains comme chevaux. Si OJ, le hĂ©ros du film, et sa sƓur Emerald parviennent Ă  prouver son existence en postant des images sur les rĂ©seaux sociaux, ce sera le jackpot ! Sous couvert de science-fiction sauce western, « Nope » est une formidable critique de la sociĂ©tĂ© du spectacle. Dans sa premiĂšre partie, il mĂȘle Ă  la fiction des images d’archives : un extrait de « The Horse in Motion » (1878) montrant le premier jockey noir ; puis celui d’une vieille sĂ©rie tĂ©lĂ© dont la star Ă©tait un chimpanzĂ© devenu fou. L’hommage Ă  Spielberg est Ă©vident, un petit garçon tend son doigt pour toucher celui de l’animal. Comme Elliot et E.T. ! La seconde partie, consacrĂ©e exclusivement Ă  la chasse Ă  la soucoupe volante baptisĂ©e Jean Jacket, est magnifique. Un vrai bal cĂ©leste ! OpĂ©rant diffĂ©rentes mutations entre la mĂ©duse et le vagin, l’ovni se mate comme un objet dĂ©finitivement space. À « Nope », on dit un grand oui ! - Françoise Delbecq
ImaginĂ©e par les crĂ©ateurs de « Chef’s Table », oĂč des chefs de renommĂ©e internationale livraient les petits secrets de leurs plats les plus sophistiquĂ©s, cette sĂ©rie-documentaire nous emmĂšne Ă  la dĂ©couverte de la street-food, une cuisine moins prestigieuse, certes, mais beaucoup plus authentique. Et aprĂšs avoir parcouru l’Asie et l'AmĂ©rique latine, les producteurs la sĂ©rie ont dĂ©cidĂ© d’explorer les États-Unis Ă  travers six villes : Los Angeles, Portland, New York, La Nouvelle-OrlĂ©ans, Oahu et Miami. Au menu ? Des pizzas et des hot-dogs bien sĂ»r, mais aussi des mets moins connus comme les « grits aux crevettes » (prĂ©paration Ă  base de maĂŻs moulu) et le « po’boy » (sandwich Ă  la viande), deux spĂ©cialitĂ©s du sud des USA. On se rĂ©gale, bien sĂ»r, mais la sĂ©rie devient encore plus intĂ©ressante lorsqu’elle s’attache Ă  nous raconter l’histoire des ceux qui concoctent ces petits plats. Ainsi apprend-t-on Ă  connaĂźtre « Souseman Larry », un personnage attachant dans l’épisode consacrĂ© Ă  Miami. Ancien junkie, ce dernier a eu ce qu’il appelle une « épiphanie » aprĂšs une overdose et a dĂ©cidĂ© d’arrĂȘter la cocaĂŻne pour consacrer son temps Ă  la prĂ©paration et Ă  la vente du « souse », un bouillon Ă©picĂ© Ă  base de porc dont il a fait sa spĂ©cialitĂ©. Succulent. - Tanneguy de Kerpoisson
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Pourquoi les femmes aiment-elles vous regarder, globe oculaire Ă  globe oculaire tout en parlant ?
RĂȘveur paresseux ( 1900 – aujourd'hui ) · L'auteur a 3,8 k rĂ©ponses et 1,4 M vues de rĂ©ponse · 8 mo
Les femmes gays aiment-elles les gros seins ? Quelqu'en soit la réponse pouvez-vous dire pourquoi ?
Les femmes aiment-elles qu'on leur lĂšche le corps ?
Pourquoi certaines femmes deviennent-elles acariĂątre ?
Pourquoi les femmes sont-elles aussi compliquées ?
Pourquoi les femmes ont-elles des menstruations ?
Lieu : France · L'auteur a 90 réponses et 37 k vues de réponse · 8 mo
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Les femmes gays aiment-elles les gros seins ? Quelqu'en soit la réponse pouvez-vous dire pourquoi ?
Les femmes aiment-elles qu'on leur lĂšche le corps ?
Pourquoi certaines femmes deviennent-elles acariĂątre ?
Pourquoi les femmes sont-elles aussi compliquées ?
Pourquoi les femmes ont-elles des menstruations ?
Qu'est-ce qui fait qu'une femme n'est pas attirante ?
Quels Ă©lements du physique masculin les femmes regardent-elles secrĂštement ?
Pourquoi les femmes se détestent-elles entre elles ?
Que vérifie une femme qui regarde les hommes ?
Pourquoi les femmes aiment-elles autant le chocolat ?
Est-ce que toutes les femmes sont des femmes fontaines si on insiste ?
Pourquoi les femmes sont-elles celles qui migrent le plus ?
Pourquoi les femmes ont-elles tant besoin de parler ?
Pourquoi les femmes aiment tellement les abdos ?
Quelle est la premiĂšre chose que les femmes regardent chez une autre femme ?
Les femmes gays aiment-elles les gros seins ? Quelqu'en soit la réponse pouvez-vous dire pourquoi ?
Les femmes aiment-elles qu'on leur lĂšche le corps ?
Pourquoi certaines femmes deviennent-elles acariĂątre ?
Pourquoi les femmes sont-elles aussi compliquées ?
Pourquoi les femmes ont-elles des menstruations ?
Qu'est-ce qui fait qu'une femme n'est pas attirante ?
Quels Ă©lements du physique masculin les femmes regardent-elles secrĂštement ?
Pourquoi les femmes se détestent-elles entre elles ?
Que vérifie une femme qui regarde les hommes ?
Pourquoi les femmes aiment-elles autant le chocolat ?
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Il y a des globes féminins forts intéressants à regarder, mais ce ne sont pas eux qui nous regardent.
Le contact visuel se fait plutĂŽt au centre de l'iris, c'est une sorte de cercle noir qui semble donner une ouverture sur l'Ăąme de la personne.
J'ai ouĂŻ dire que mĂȘme les hommes pouvaient apprĂ©cier ce genre d'interaction.
Il y a des globes féminins forts intéressants à regarder, mais ce ne sont pas eux qui nous regardent.
Le contact visuel se fait plutĂŽt au centre de l'iris, c'est une sorte de cercle noir qui semble donner une ouverture sur l'Ăąme de la personne.
J'ai ouĂŻ dire que mĂȘme les hommes pouvaient apprĂ©cier ce genre d'interaction.
"Globe oculaire à globe oculaire" 😆
C'est quand mĂȘme mieux de regarder la personne Ă  qui l'on parle que le plafond, non?
Elle analyse vos rĂ©actions, vĂ©rifie si vous ĂȘtes rĂ©ceptif Ă  ce qu'elle dit. Regarder l'interlocuteur est la base de la communication, ça fournit beaucoup d'informations.
Remarquez si elle vous regarde vraiment intensĂ©ment, peut-ĂȘtre que vous lui plaisez.

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Selma Blair : pourquoi elle a arrĂȘtĂ© de se regarder dans le miroir - ©Rivera CJ/Everett Collection/ABACA






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Depuis qu’elle a rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre atteinte de sclĂ©rose en plaques, en 2018, Selma Blair a changĂ© sa maniĂšre de voir les choses, et surtout concernant son apparence.
Le 21 octobre 2018, Selma Blair avait rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre atteinte de sclĂ©rose en plaques sur son compte Instagram . L’actrice avait brisĂ© un tabou en apparaissant avec une canne sur le tapis rouge lors d’une soirĂ©e aprĂšs les Oscars ou en dĂ©voilant une photo d’elle les cheveux rasĂ©es. Dans une interview accordĂ©e au magazine « InStyle », publiĂ©e mercredi 10 aoĂ»t, Selma Blair s’est confiĂ©e sur son approche de la beautĂ© depuis le dĂ©but de sa maladie .
« AprĂšs avoir eu un traitement, j’avais honnĂȘtement, arrĂȘtĂ© de me regar
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