Oui c'est lui qu'on voit

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Oui c'est lui qu'on voit

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C'est ce qu'on voit chaque fois que le gouvernement change.




That is what happens every time the government changes.



C'est ce qu'on voit depuis l'époque de la Confédération.




It has been seen back to the time of Confederation.



C'est ce qu'on voit dans les données de Statistique Canada.




This is what the Statistics Canada figures show.




What we see today is the result of this approach.



Dans la situation actuelle, c'est ce qu'on voit .




We see this in the current situation.




That's stuff you watch on television.



C'est ce qu'on voit dans le premier épisode.




And that's kind of the... Well, you see that in the first episode.



C'est ce qu'on voit souvent au Maroc.



C'est ce qu'on voit en premier sur un visage.




The chin is one of the foremost things you see on a person's face.



C'est ce qu'on voit avec son coeur.



C'est ce qu'on voit quand on a un candidat potentiel au programme.




It's something we use to see if you're a potential candidate for the program.



C'est ce qu'on voit dans mon travail avec Hoagland.




That's what we're seeing in my work with Hoagland.



C'est ce qu'on voit partout dans le monde.




That is shown throughout the world.



C'est ce qu'on voit dans le quatrième chapitre d'Amoris laetitia.




It is what we see in the fourth chapter of Amoris Laetitia.



C'est ce qu'on voit dans la première phrase.




This can be gleaned from the first sentence.



C'est ce qu'on voit dans les rues en ce moment.




That is what we have seen on the streets.


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Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas
XII. Droit au Travail, Droit au Profit.
( Chateaubriand . Mémoires d’outre-tombe .)


Dernière modification il y a 9 ans par Wuyouyuan


Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n’engendrent pas seulement un effet, mais une série d’effets. De ces effets, le premier seul est immédiat ; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit . Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas ; heureux si on les prévoit .

Entre un mauvais et un bon Économiste, voici toute la différence : l’un s’en tient à l’effet visible ; l’autre tient compte et de l’effet qu’on voit et de ceux qu’il faut prévoir .

Mais cette différence est énorme, car il arrive presque toujours que, lorsque la conséquence immédiate est favorable, les conséquences ultérieures sont funestes, et vice versâ .
— D’où il suit que le mauvais Économiste poursuit un petit bien actuel qui sera suivi d’un grand mal à venir, tandis que le vrai Économiste poursuit un grand bien à venir, au risque d’une petit mal actuel.

Du reste, il en est ainsi en hygiène, en morale. Souvent, plus le premier fruit d’une habitude est doux, plus les autres sont amers. Témoin : la débauche, la paresse, la prodigalité. Lors donc qu’un homme, frappé de l’effet qu’on voit , n’a pas encore appris à discerner ceux qu’on ne voit pas , il s’abandonne à des habitudes funestes, non seulement par penchant, mais par calcul.

Ceci explique l’évolution fatalement douloureuse de l’humanité. L’ignorance entoure son berceau ; donc elle se détermine dans ses actes par leurs premières conséquences, les seules, à son origine, qu’elle puisse voir. Ce n’est qu’à la longue qu’elle apprend à tenir compte des autres [2] . Deux maîtres, bien divers, lui enseignent cette leçon : l’Expérience et la Prévoyance. L’expérience régente efficacement mais brutalement. Elle nous instruit de tous les effets d’un acte en nous les faisant ressentir, et nous ne pouvons manquer de finir par savoir que le feu brûle, à force de nous brûler. À ce rude docteur, j’en voudrais, autant que possible, substituer un plus doux : la Prévoyance. C’est pourquoi je rechercherai les conséquences de quelques phénomènes économiques, opposant à celles qu’on voit celles qu’on ne voit pas .

Avez-vous jamais été témoin de la fureur du bon bourgeois Jacques Bonhomme, quand son fils terrible est parvenu à casser un carreau de vitre ? Si vous avez assisté à ce spectacle, à coup sûr vous aurez aussi constaté que tous les
assistants, fussent-ils trente, semblent s’être donné le mot pour offrir au propriétaire infortuné cette consolation uniforme : « À quelque chose malheur est bon. De tels accidents font aller l’industrie. Il faut que tout le monde vive. Que deviendraient les vitriers, si l’on ne cassait jamais de vitres ? »

Or, il y a dans cette formule de condoléance toute une théorie, qu’il est bon de surprendre flagrante delicto , dans ce cas très simple, attendu que c’est exactement la même que celle qui, par malheur, régit la plupart de nos institutions économiques.

À supposer qu’il faille dépenser six francs pour réparer le dommage, si l’on veut dire que l’accident fait arriver six francs à l’industrie vitrière, qu’il encourage dans la mesure de six francs la susdite industrie, je l’accorde, je ne conteste en aucune façon, on raisonne juste. Le vitrier va venir, il fera besogne, touchera six francs, se frottera les mains et bénira dans son cœur l’enfant terrible. C’est ce qu’on voit .

Mais si, par voie de déduction, on arrive à conclure, comme on le fait trop souvent, qu’il est bon qu’on casse les vitres, que cela fait circuler l’argent, qu’il en résulte un encouragement pour l’industrie en général, je suis obligé de m’écrier : halte-là ! Votre théorie s’arrête à ce qu’on voit , elle ne tient pas compte de ce qu’on ne voit pas .

On ne voit pas que, puisque notre bourgeois a dépensé six francs à une chose, il ne pourra plus les dépenser à une autre. On ne voit pas que s’il n’eût pas eu de vitre à remplacer, il eût remplacé, par exemple, ses souliers éculés ou mis un livre de plus dans sa bibliothèque. Bref, il aurait fait de ses six francs un emploi quelconque qu’il ne fera pas.

Faisons donc le compte de l’industrie en général .

La vitre étant cassée, l’industrie vitrière est encouragée dans la mesure de six francs ; c’est ce qu’on voit .

Si la vitre n’eût pas été cassée, l’industrie cordonnière (ou
toute autre) eût été encouragée dans la mesure de six francs ; c’est ce qu’on ne voit pas .

Et si l’on prenait en considération ce qu’on ne voit pas , parce que c’est un fait négatif, aussi bien que ce que l’on voit , parce que c’est un fait positif, on comprendrait qu’il n’y a aucun intérêt pour l’industrie en général , ou pour l’ensemble du travail national , à ce que des vitres se cassent ou ne se cassent pas.

Faisons maintenant le compte de Jacques Bonhomme.

Dans la première hypothèse, celle de la vitre cassée, il dépense six francs, et a, ni plus ni moins que devant, la jouissance d’une vitre.

Dans la seconde, celle où l’accident ne fût pas arrivé, il aurait dépensé six francs en chaussure et aurait eu tout à la fois la jouissance d’une paire de souliers et celle d’une vitre.

Or, comme Jacques Bonhomme fait partie de la société, il faut conclure de là que, considérée dans son ensemble, et toute balance faite de ses travaux et de ses jouissances, elle a perdu la valeur de la vitre cassée.

Par où, en généralisant, nous arrivons à cette conclusion inattendue : « la société perd la valeur des objets inutilement détruits, » — et à cet aphorisme qui fera dresser les cheveux sur la tête des protectionistes : « Casser, briser, dissiper, ce n’est pas encourager le travail national, » ou plus brièvement : « destruction n’est pas profit. »

Que direz-vous, Moniteur industriel , que direz-vous, adeptes de ce bon M. de Saint-Chamans, qui a calculé avec tant de précision ce que l’industrie gagnerait à l’incendie de Paris, à raison des maisons qu’il faudrait reconstruire ?

Je suis fâché de déranger ses ingénieux calculs, d’autant qu’il en a fait passer l’esprit dans notre législation. Mais je le prie de les recommencer, en faisant entrer en ligne de compte ce qu’ on ne voit pas à côté de ce qu’ on voit .

Il faut que le lecteur s’attache à bien constater qu’il n’y a
pas seulement deux personnages, mais trois dans le petit drame que j’ai soumis à son attention. L’un, Jacques Bonhomme, représente le Consommateur, réduit par la destruction à une jouissance au lieu de deux. L’autre, sous la figure du Vitrier, nous montre le Producteur dont l’accident encourage l’industrie. Le troisième est le Cordonnier (ou tout autre industriel) dont le travail est découragé d’autant par la même cause. C’est ce troisième personnage qu’on tient toujours dans l’ombre et qui, personnifiant ce qu’on ne voit pas , est un élément nécessaire du problème. C’est lui qui nous fait comprendre combien il est absurde de voir un profit dans une destruction. C’est lui qui bientôt nous enseignera qu’il n’est pas moins absurde de voir un profit dans une restriction, laquelle n’est après tout qu’une destruction partielle. — Aussi, allez au fond de tous les arguments qu’on fait valoir en sa faveur, vous n’y trouverez que la paraphrase de ce dicton vulgaire : « Que deviendraient les vitriers, si l’on ne cassait jamais de vitres [3] ? »

Il en est d’un peuple comme d’un homme. Quand il veut se donner une satisfaction, c’est à lui de voir si elle vaut ce qu’elle coûte. Pour une nation, la Sécurité est le plus grand des biens. Si, pour l’acquérir, il faut mettre sur pied cent mille hommes et dépenser cent millions, je n’ai rien à dire. C’est une jouissance achetée au prix d’un sacrifice.

Qu’on ne se méprenne donc pas sur la portée de ma thèse.

Un représentant propose de licencier cent mille hommes pour soulager les contribuables de cent millions.

Si on se borne à lui répondre : « Ces cent mille hommes et ces cent millions sont indispensables à la sécurité
nationale : c’est un sacrifice ; mais, sans ce sacrifice, la France serait déchirée par les factions ou envahie par l’étranger. » — Je n’ai rien à opposer ici à cet argument, qui peut être vrai ou faux en fait, mais qui ne renferme pas théoriquement d’hérésie économique. L’hérésie commence quand on veut représenter le sacrifice lui-même comme un avantage, parce qu’il profite à quelqu’un.

Or, je suis bien trompé, ou l’auteur de la proposition ne sera pas plus tôt descendu de la tribune qu’un orateur s’y précipitera pour dire :

« Licencier cent mille hommes ! y pensez-vous ? Que vont-ils devenir ? de quoi vivront-ils ? sera-ce de travail ? mais ne savez-vous pas que le travail manque partout ? que toutes les carrières sont encombrées ? Voulez-vous les jeter sur la place pour y augmenter la concurrence et peser sur le taux des salaires ? Au moment où il est si difficile de gagner sa pauvre vie, n’est-il pas heureux que l’État donne du pain à cent mille individus ? Considérez, de plus, que l’armée consomme du vin, des vêtements, des armes, qu’elle répand ainsi l’activité dans les fabriques, dans les villes de garnison, et qu’elle est, en définitive, la Providence de ses innombrables fournisseurs. Ne frémissez-vous pas à l’idée d’anéantir cet immense mouvement industriel ? »

Ce discours, on le voit, conclut au maintien des cent mille soldats, abstraction faite des nécessités du service, et par des considérations économiques. Ce sont ces considérations seules que j’ai à réfuter.

Cent mille hommes, coûtant aux contribuables cent millions, vivent et font vivre leurs fournisseurs autant que cent millions peuvent s’étendre : c’est ce qu’on voit .

Mais cent millions, sortis de la poche des contribuables, cessent de faire vivre ces contribuables et leurs fournisseurs, autant que cent millions peuvent s’étendre : c’est ce qu’on
ne voit pas . Calculez, chiffrez, et dites-moi où est le profit pour la masse ?

Quant à moi, je vous dirai où est la perte , et, pour simplifier, au lieu de parler de cent mille hommes et de cent millions, raisonnons sur un homme et mille francs.

Nous voici dans le village de A. Les recruteurs font la tournée et y enlèvent un homme. Les percepteurs font leur tournée aussi et y enlèvent mille francs. L’homme et la somme sont transportés à Metz, l’une destinée à faire vivre l’autre, pendant un an, sans rien faire. Si vous ne regardez que Metz, oh ! vous avez cent fois raison, la mesure est très avantageuse ; mais si vos yeux se portent sur le village de A, vous jugerez autrement, car, à moins d’être aveugle, vous verrez que ce village a perdu un travailleur et les mille francs qui rémunéraient son travail, et l’activité que, par la dépense de ces mille francs, il répandait autour de lui.

Au premier coup d’œil, il semble qu’il y ait compensation. Le phénomène qui se passait au village se passe à Metz, et voilà tout. Mais voici où est la perte. Au village, un homme bêchait et labourait : c’était un travailleur ; à Metz, il fait des tête droite et des tête gauche : c’est un soldat. L’argent et la circulation sont les mêmes dans les deux cas ; mais, dans l’un, il y avait trois cents journées de travail productif ; dans l’autre, il y a trois cents journées de travail improductif, toujours dans la supposition qu’une partie de l’armée n’est pas indispensable à la sécurité publique.

Maintenant, vienne le licenciement. Vous me signalez un surcroît de cent mille travailleurs, la concurrence stimulée et la pression qu’elle exerce sur le taux des salaires. C’est ce vous voyez.

Mais voici ce que vous ne voyez pas. Vous ne voyez pas que renvoyer cent mille soldats, ce n’est pas anéantir cent millions, c’est les remettre aux contribuables. Vous ne voyez pas que jeter ainsi cent mille travailleurs sur le marché, c’est
y jeter, du même coup, les cent millions destinés à payer leur travail ; que, par conséquent, la même mesure qui augmente l’ offre des bras en augmente aussi la demande ; d’où il suit que votre baisse des salaires est illusoire. Vous ne voyez pas qu’avant, comme après le licenciement, il y a dans le pays cent millions correspondant à cent mille hommes ; que toute la différence consiste en ceci : avant, le pays livre les cent millions aux cent mille hommes pour ne rien faire ; après, il les leur livre pour travailler. Vous ne voyez pas, enfin, que lorsqu’un contribuable donne son argent, soit à un soldat en échange de rien, soit à un travailleur en échange de quelque chose, toutes les conséquences ultérieures de la circulation de cet argent sont les mêmes dans les deux cas ; seulement, dans le second cas, le contribuable reçoit quelque chose, dans le premier, il ne reçoit rien. — Résultat : une perte sèche pour la nation.

Le sophisme que je combats ici ne résiste pas à l’épreuve de la progression, qui est la pierre de touche des principes. Si, tout compensé, tous intérêts examinés, il y a profit national à augmenter l’armée, pourquoi ne pas enrôler sous les drapeaux toute la population virile du pays ?

Ne vous est-il jamais arrivé d’entendre dire :

« L’impôt, c’est le meilleur placement ; c’est une rosée fécondante ? Voyez combien de familles il fait vivre, et suivez, par la pensée, ses ricochets sur l’industrie : c’est l’infini, c’est la vie ».

Pour combattre cette doctrine, je suis obligé de reproduire la réfutation précédente. L’économie politique sait bien que ses arguments ne sont pas assez divertissants pour qu’on en puisse dire : Repetita placent . Aussi, comme
Basile, elle a arrangé le proverbe à son usage, bien convaincue que dans sa bouche, Repetita docent .

Les avantages que les fonctionnaires trouvent à émarger, c’est ce qu’on voit . Le bien qui en résulte pour leurs fournisseurs, c’est ce qu’on voit encore . Cela crève les yeux du corps.

Mais le désavantage que les contribuables éprouvent à se libérer, c’est ce qu’on ne voit pas , et le dommage qui en résulte pour leurs fournisseurs, c’est ce qu’on ne voit pas davantage , bien que cela dût sauter aux yeux de l’esprit.

Quand un fonctionnaire dépense à son profit cent sous de plus , cela implique qu’un contribuable dépense à son profit cent sous de moins . Mais la dépense du fonctionnaire se voit , parce qu’elle se fait ; tandis que celle du contribuable ne se voit pas , parce que, hélas ! on l’empêche de se faire.

Vous comparez la nation à une terre desséchée et l’impôt
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Trois mecs masqués baisent Sofia Valentine

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