Orgie totale à l'hôpital

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Orgie totale à l'hôpital
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Volume 29, Issue 1 , January–March 2020 , Pages 21-27
© 2019 Elsevier Masson SAS. All rights reserved.
Sexologies, Volume 29, Issue 2, 2020, pp. 68-81
Droit, Déontologie & Soin, Volume 13, Issue 3, 2013, pp. 339-347
Sexologies, Volume 29, Issue 2, 2020, pp. 47-56
Décrire la perception du harcèlement sexuel, évaluer sa prévalence au travail et déterminer ses conséquences psychologiques, professionnelles et sexuelles par la passation d’un auto-questionnaire anonyme chez 164 infirmières exerçant à l’hôpital Razi, la Tunisie.
Le taux de réponse était de 78,04 %, soit 128 infirmières. L’âge moyen était de 34,9 ± 9,6 ans. Au total, 71,1 % étaient mariées. Les formes verbales n’étaient pas considérées comme un harcèlement sexuel chez le tiers des femmes interrogées. Toutes les infirmières ont considéré que les formes physiques sont des formes de harcèlement sexuel. La prévalence du harcèlement sexuel au travail était de 64,8 % (40,9 % était des formes verbales). Le profil du harceleur était un homme, plus âgé que la victime et était un collègue dans 44,6 % des cas. Les conséquences négatives sur le travail étaient présentes dans 48,1 % des cas et les conséquences psychologiques dans 39,8 % des cas. Onze infirmières ont présenté un retentissement du harcèlement sur leurs vies sexuelles.
Le harcèlement sexuel est fréquent en milieu de travail et particulièrement chez les infirmières. La perception des différents types de harcèlement sexuel est variable à cause des interprétations personnelles. Ses répercussions négatives aussi bien sur la santé mentale, physique et sexuelle de la victime que sur sa vie professionnelle imposent des mesures urgentes afin de réduire ce fléau.
The aim of this study was to describe the perception of sexual harassment, evaluate its prevalence at work and to determine its psychological, professional and sexual consequences by passing an anonymous self-questionnaire to 164 nurses practicing at Razi Hospital, Tunisia.
The response rate was 78.04% (128 nurses). The average age was 34.9 ± 9.6 years. In all, 71.1% were married. Verbal forms were not considered as a sexual harassment in one third of women surveyed. All nurses considered physical forms to be forms of sexual harassment. The prevalence of sexual harassment at work was 64.8% (40.9% were verbal forms). The stalker's profile was a man, older than the victim and a colleague in 44.6% of cases. Negative effects on work were present in 48.1% of cases and psychological consequences in 39.8% of cases. Eleven nurses presented harassment repercussions on their sexual lives.
Sexual harassment is common in the workplace and especially among nurses. The perception of different types of sexual harassment is variable because of personal interpretations. Its negative repercussions on the victim's mental, physical and sexual health as well as on his professional life impose urgent measures to reduce this scourge.
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Publié le 26/08/05 à 00h00
— Mis à jour le 04/03/06 à 04h39



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Marseille Hôpital Nord: fermeture totale du bloc, bis
Le répit aura été de courte durée. Alors que la veille, la direction de l’hôpital Nord avait décidé la fermeture partielle du bloc opératoire, les agents du service ont refusé hier matin de poursuivre le travail face à la persistance des mystérieux malaises qui touchent une partie d’entre eux depuis le 11 août. C’est la deuxième fermeture totale du bloc après celle de quatre jours, la semaine dernière. Lundi, les douze salles du bloc avaient rouvert jusqu’à la réapparition des malaises, entraînant la décision mercredi de fermer cinq d’entre elles. « Mais le soir même, nous avons de nouveau ressenti les symptômes, raconte un agent du service. J’ai eu les yeux gonflés toute la nuit alors que j’avais travaillé dans l’une des salles non fermées ! » Les employés ont alors décidé de cesser le travail hier matin. « Le personnel a exercé son droit de retrait », a expliqué hier Danielle Ceccaldi, déléguée CGT de l’hôpital Nord. Les agents ont donc été transférés vers les autres services de l’hôpital. L’enquête épidémiologique lancée mercredi auprès des agents est en cours. « La médecine du travail nous dit de faire des examens, mais chacun fait différemment, déplore un agent du bloc. Rien n’est uniformisé. » Parallèlement, les analyses continuent pour déterminer l’origine de ces symptômes. L’Agence régionale de l’hospitalisation (ARH) a précisé hier dans un communiqué que « les investigations s’orientent autour de la présence de solvants », depuis que les résultats fournis par les « renifleurs » (capteurs) installés dans le bloc ont révélé hier des traces de toluène. L’inhalation de cette substance toxique peut provoquer des symptômes similaires à ceux ressentis par le personnel. « Une piste pas exploitable : les quantités décelées sont trop infimes », rétorque-t-on du côté de la direction de l’hôpital, qui écarte aussi la piste du monoxyde de carbone, lui aussi détecté par d’autres capteurs. « Ces capteurs semblent également réagir à la simple présence d’alcool, poursuit la direction. On n’a pas avancé d’un pouce, mais nous continuons à chercher. » « La réouverture du bloc ne sera effective que lorsque tout risque aura été maîtrisé », assure l’ARH, précisant qu’« à ce jour, aucun patient opéré dans ce bloc n’a été incommodé ». Ce qui n’est pas le cas des standardistes de l’hôpital Nord qui, depuis hier, sont assaillis par les questions du public. Stéphanie Harounyan

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