Orgie sophistiquée

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Je suis tombé - via silence and sounds - sur la musique hyper sophistiquée néo-classique post-punk (?) de Leya. ce mélange de klaus nommi et de minimalisme new yorkais et de peau nue dont on sait pas si ça flotte ou ça poisse. c'est un peu comme une orgie au ralenti si tu veux. tiens écoute, c'est ici. https://leya.bandcamp.com/ je ne sais pas si j'aimerai encore demain... depuis quelques années les albums que je réécoute sont rares (sauf ceux que j'ai en vinyl que je surexploite). Hier soir avec du vin rouge (c'est une musqiue à vin rouge) ça me semblait décrire le comique de l'existence, en général... mais sous confinement en particulier. ça me semblait insister sur l'absurde du moment... Nos petites fenêtres à nos monades. le cyberespace devenu le seul espace public. c'est vrai que c'est un reve de gouvernement autoritaire, mais contrairement aux Klein et autres je ne pense pas que le grand capital soit ravi de cette situation. Nous allons








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J’ai travaillé un peu le matin, avec YA... on avait une dead line à 13h. lui à Marseille avant de prendre le dernier train pour rentrer en suisse (il pourra pas aller jusque Berlin, la frontière est fermée....), moi d'ici. J’étais très fatigué ce lundi 16 mars. Je payais encore mon week-end, où j’ai fait tout ce qu’il ne fallait pas faire. Notamment prendre de la drogue/me saouler avec des amis à la maison et ensuite passer la nuit chez E, qui revenait de France, peut-être chargée en horreurs cosmiques coronaiques. Vendredi soir nous avions aussi mangé au resto avec A, et je me sentais presque sale. C'est fou comme vendredi soir me parait déjà loin, comme déjà un temps de l'innocence - bon une innocence blessée mais pas encore totalement souillée. Le pizzaiolo a-t-il touché ma pizza après son passage au four ? Et la vaisselle ? La table ? Combien de personnes ont mangé sur cette chaise avant moi ? Ont-elles postillonné, ai-je un résidu sur mon pantalon ? Vais-je le ramene



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Oui! II sent la soupe chaude, très chaude. «Il», c'est Ben Bernanke, le président de la Réserve fédérale, la banque centrale américaine.


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Les articles publiés dans cette rubrique ne reflètent pas nécessairement les opinions de Nawaat.


Mhamed Mestiri
Mhamed Mestiri, Consultant en business development, Analyste économique à Nawaat.

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18A, Rue de Medine, 1002 Tunis-Belvédère.
Le fait de nourrir l’acte verbal violent avec la succession de paroles insultantes ou d’injures, peut mener vers un cercle vicieux qui aboutit à une violence physique. En effet, l’agression physique est en général l’aboutissement d’un cycle de discours de haine et d’intimidations, l’exemple de la radio des “Mille Collines” dans le génocide Rwandais ou de la presse dans la guerre civile Ivoirienne n’est pas loin. Notre pays en a déjà fait les frais au cours de sa transition démocratique. C’est cette même mécanique qui a conduit à l’agression de Youssef Essedik, de Hamadi Redissi ou de Abdelfettah Mourou. Ici, le parallèle est fait avec le discours de la haine des salafistes qui a été suivi de violence physique, notamment vis-à-vis des artistes lors des évènements d’El Abdellia.
Pour un site qui se prétend « satirique », Business News multiplie les dérives verbales et les diffamations. Le lexique des titres publiés par ce genre de presse se distingue par une violence verbale qui rajoute un cran à la tension du climat actuel dans notre pays.
Vincent Geisseir, chercheur à I’Institut Français du Proche-Orient, en a récemment fait les frais. Il subit actuellement une campagne d’intimidation provoquée par la publication de l’article « Vincent Geisser : analyste, laudateur ou mercenaire ? » par Nizar Bahloul, directeur de publication de Business News.
Cet article a engendré des représailles via une série de messages anonymes truffés d’insultes allant jusqu’aux menaces. Le politologue français vient de rendre public sur sa page facebook une menace de mort qu’il vient de recevoir :
tu ose critiquer tes maitres sale français puant le fromage et le porc ??? quand on te cassera ta sale gueule, tu comprendra la liberté d’expression sale esclave des juifs et du Qatar, la Tunisie est forte et nationaliste et on te jettera toi, tes rats islamistes et les traitres laics comme marzouki au cachot, tu pourra partager un bon moment dans les geôles ac tes amis Islamistes et ni tel aviv ni BHL ne pourront te secourir espèce de vendu, traitre, orientaliste malade qui fantasme sur les petites voilées… Tu es mort en Tunisie !!!!
Ce dérapage n’est pas isolé, il s’inscrit dans une série d’incidents qui viennent entacher cette campagne présidentielle. Celle-ci est de plus en plus marquée par une tension palpable à travers les invectives provenant des camps des deux candidats à la magistrature suprême. Comme le souligne Yassine Bellamine dans un récent article : « d’un côté comme de l’autre, une escalade d’injures et de discours abominables radicalise la campagne, relayée par une presse très loin de se sentir garante de la pacification politique, n’hésitant pas à faire choux gras de ces diatribes – oh combien pénibles-, rajoutant une couche à certaines provocations ».
Le lexique du langage de la violence
Les mots ont un poids ! Le champ sémantique de la violence se manifeste à travers l’utilisation de désignatifs et de termes qui construisent une corolle atour de la violence.
Etant donné que Mr. Geisser est un « chercheur étranger » comme le précise Nizar Bahloul, l’utilisation du terme « mercenaire » à son égard tendrait à le définir comme étant un corps d’une « armée régulière formée de soldats de nationalité différente de l’autorité qui les emploie et qui font payer leurs services ». Ceci assumerait que Mr. Geisser serait un combattant étranger qui prendrait part à un prétendu conflit dans notre pays. C’est un raccourci dangereux qui pourrait être très vite pris au mot par un certain public non averti.
Cela s’inscrit dans la lignée de deux articles similaires qui nourrissent l’actuelle spirale de violence verbale. Le premier article, paru dans La Presse , cible un collectif d’universitaires et de militants associatifs tunisiens formé de Hela Yousfi, Wejdane Majeri, Choukri Hmed, Shiran Ben Abderrazak et Sonia Djelidi. L’auteur y emploie les termes de « pamphlet sanguinaire », « tir au vitriol et au bazooka », « Nid de vipères », « odieux perdants, pataugeant dans les cloaques de l’indécence », « lobby », « société secrète », « déshonneur », « troufions », « apprenti-snipers à la solde »…
Quant au deuxième article, paru sur le site Tunis Tribune , il cible Vincent Geisser. C’est un véritable chef d’œuvre de violence verbale. On y trouve un florilège de vocabulaire xénophobe, antisémite et belliqueux. L’auteur y emploie les termes de « ingérence », « détruire mon pays », « traître », « desseins obscurs », « anarchie », « barbarie », « déstabiliser », « menace », « complot Islamo-sioniste », « machination », « ces étrangers », « ces chrétiens », « croisades islamiques ». C’est une construction sophistiquée d’une logique apocalyptique avec des expressions telles que « défenseurs de l’ext
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