Orgie avec deux belles adeptes de dp

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par Au Feminin
Créé le 12/12/2012 à 00:00 , modifié le 12/12/2012 à 00:00

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Accueil / Mariage / aufeminin.TV / Son enterrement de vie de jeune fille va trop loin et fait le tour du web !

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Les nouveaux adeptes de la course à six pattes

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Loisirs sportifs

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Séance d’entraînement pour Alexandre avec Maestro, son berger australien. La longe élastique ne doit jamais être tendue à son maximum et le chien doit toujours être devant. Sinon, son maître et coureur est pénalisé voire éliminé.
Emilie Maréchal et Alexandre Sausseau viennent de créer leur association à François.
Il y a huit ans, Alexandre découvre le trail, la course à travers chemins aux dénivelés parfois surprenants. Vexé de n’avoir pu suivre le rythme imposé par celui qui l’avait convaincu de courir, Alexandre entame une vraie préparation. Entraînements réguliers, hygiène de vie renforcée, tout pour devenir un vrai compétiteur. « Et puis, voici un an et demi, avec Émilie, ma compagne, on voulait un chien et on se disait que lorsqu’il serait en âge, je l’emmènerai courir avec moi dans la campagne ». Maestro, un berger australien, entre dans la famille et se prend au jeu du jogging régulier. L’harmonie entre le couple homme-chien s’installe, l’un et l’autre se prennent au jeu. « C’est comme cela que j’ai découvert le canicross » confirme Alexandre, installé avec Émilie à François où ils viennent de créer le premier club départemental de canicross affilié à la Fédération des sports et loisirs canins. Avec une seule devise, « Le chien d’abord ». Le respect de l’animal, quelle que soit sa taille, son enthousiasme, ses qualités physiques, ses faiblesses aussi, est une priorité. « A pied, on utilise pour nous, un baudrier, pour le chien un harnais relié par une longe élastique de deux mètres. Le chien doit toujours être devant, jamais derrière et s’il tire trop, on doit l’éduquer pour qu’à la moindre tension, il comprennen qu’il doit ralentir ». Alexandre y veille de très près, soucieux d’appliquer les règles fédérales, de défendre l’esprit « de ce sport d’équipe dans lequel l’homme et le chien forment un vrai binôme ». Avec des commandements appropriés. Les classiques « droite », « gauche » ou « stop » mais aussi « en avant », « devant » et « au pied » quand le parcours propose une descente rapide. Le chien doit alors rester à côté de son maître plutôt que de se laisser emporter par l’euphorie de l’élan. Une seule devise : “ le chien d’abord ” Les épreuves officielles se multiplient. Canicross court (entre 4 et 6 km) ou Canicross long (de 6 à 8 km). Avec un « Chien d’or », challenge national annuel établi sur la base de cinq courses. Dans toutes les épreuves, à l’arrivée, c’est le museau du chien qui bloque le chrono. « Des épreuves très surveillées par les commissaires sur le tracé. Si le chien n’est pas devant le coureur, celui-ci reçoit une pénalité et peut-être disqualifié ». Newton, le chien d’Émilie, est encore trop jeune pour se lancer dans la course mais bientôt, le couple pourra partager le même plaisir dans les chemins qui relie François à Chauray ou ailleurs. Sans jamais oublier d’être vigilants, en étant toujours attentifs à l’état de fatigue du chien, leur complice sportif, leur inséparable source de motivation. « Quand on court régulièrement comme je le fais, on peut atteindre, seul, les 14 km/h. Avec le chien, on arrive assez vite à 16 km/h » confirme Alexandre. nr.niort@nrco.fr Pour contacter Canibales 79 voici son adresse mail : canibales79@gmail.com

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Publié le

23/10/2017 à 07:55
| Mis à jour le

23/10/2017 à 15:21

A pied, en VTT ou bien encore en trottinette, ils courent avec leurs chiens. Une vraie communion avec l’animal que propose Canibales 79.
Journaliste, directeur de la Nouvelle République des Deux-Sèvres

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Publié le

23/10/2017 à 07:55
| Mis à jour le

23/10/2017 à 15:21

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