Orgie au couvent

Orgie au couvent




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Orgie au couvent




Société


Santé


Histoire


Culture


Sciences


Environnement


Animaux


Insolite







Podcasts





Vidéos





Les magazines








Mon profil



Mes notifications



Mes articles sauvegardés





Déconnexion





Mon profil



Mes notifications



Mes articles sauvegardés





Déconnexion






Société


Santé


Histoire


Culture


Sciences


Environnement


Animaux


Insolite





UN SITE DU GROUPE © PRISMA MEDIA - GROUPE VIVENDI 2022 TOUS DROITS RÉSERVÉS

Non, non, vous ne rêvez pas. À Avignon, la cité des papes, un dicton médiéval dit : « On ne peut traverser le pont d'Avignon sans rencontrer deux moines, deux ânes et deux putains. »
Officiellement, l’Église n’approuve pas la prostitution, puisqu’elle ne conçoit la sexualité que dans un but de reproduction, et encourage les prostituées à se repentir. Mais dans les faits, elle tolère la pratique, jugeant qu’il est ainsi moins « dangereux » pour un homme de se tourner vers une fille de joie que de commettre le pêché de sodomie, par exemple. Cette tolérance a poussé certaines autorités ecclésiastiques à carrément organiser la prostitution.
À partir du XIIème siècle, elles prélèvent des taxes sur les bordels hébergés au sein même des couvents et des monastères ! Au XIIIe siècle, les canonistes admettent la recevabilité des profits tirés de la prostitution à condition que la fille exerce par nécessité, et non par vice et plaisir. L’évêque de Langres ou l’abbé de Saint-Etienne à Dijon perçoivent ainsi sans rougir les revenus des maisons de prostitution. À Rome aussi la débauche est omniprésente. En 1477, il y a 6 300 prostituées reconnues officiellement dans la ville. Sixte IV (1414-1484) décide de tirer parti de cet impôt du plaisir. il a l’idée originale de taxer toutes les prostituées et les prêtres concubinaires dans les Etats pontificaux, y compris Rome . il récoltera ainsi plus de 30 000 ducats par an, ce qui lui permettra de financer la chapelle Sixtine. A partir de la Renaissance, la prohibition finit par l’emporter: les ravages de la syphilis et le rigorisme religieux consécutif à la Réforme expliquent en partie ce revirement.
La série documentaire "La science des émotions" propose un voyage au cœur de nos émotions, de leur impact...

La date approximative du crime. Différentes espèces colonisent successivement le cadavre au fur et à...

La bonne santé de nos neurones. Un jeu vidéo suffit à tester nos capacités… et pourrait aider à diagnostiquer...

Avoir un teint de pêche, particulièrement chez la femme, est synonyme d’un grand potentiel reproducteur....
Instrument de pouvoir, arme de séduction, la voix est tour à tour rassurante et exaltante. Mais elle...

Historique! Le 3janvier dernier, une sonde chinoise se posait sur la face cachée de la Lune. En raison...
Depuis1850, les archéologues explorent la terre des pharaons, dont les trésors semblent inépuisables....

Qu’on la nomme distanciation sociale ou distanciation physique, les nouvelles normes sanitaires nous...

Peu de constructions sont nimbées d’autant de mystères que les moais, ces monumentales statues à visage...
La ressemblance entre la Joconde et sa version érotique, la "Joconde Nue" est frappante. Des analyses...

Qui en étaient les premiers habitants ? Où se cache l’église construite pour rendre hommage à saint...

Oui pour un avion s’il est trop proche de celui qu’il suit. La faute aux turbulences de sillage, un...
L’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, joyau de l’art gothique et emblème de la capitale française,...
Et si la peinture révélait le degré de confiance et de sympathie à travers le temps ? C'est ce qu'ont...

Emprisonnés dans les plaques de glaces des montagnes de Lendbreen, en Norvège, des centaines d'artefacts...

Après la série de clichés de l'Univers qui a enchanté le monde entier, le télescope spatial Webb dévoile...

Le bébé panda, mascotte du zoo de Beauval, a enfin un nom. Ce sera Yuan Meng ce qui signifie « la réalisation...
Découvert en 1901 dans une épave à près de 40 mètres de profondeur, ce joyau vieux de 2000 ans et permettant...

Depuis le XVIIIe siècle, les dessins qui marquent la peau des mafieux japonais traduisent leurs valeurs.


Politique Monde Économie Culture Opinions Débats Tendances 2049 Écologie Vidéos
Image du film "Les Innocentes" d'Anne Fontaine. (MANDARIN CINEMA - AEROPLAN FILM - MARS FILMS / ANNA WLOCH)
Abonnez vous pour ajouter à vos favoris
PIONEER DJ Casque PIONEER DJ HDJ-X5BT-W WHITE - 109,98€
Objectif Prévention Inhibiteur de feu Objectif Prévention OPINHIBITEUR50 - 62,60€
Pour réagir, je me connecte Connexion
Sandralise a posté le 20 février 2016 à 19h17
Pour réagir, je me connecte Connexion
Thierry_M a posté le 11 février 2016 à 16h03
Pour réagir, je me connecte Connexion
Schtroumpfette a posté le 10 février 2016 à 12h47
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complète. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
La nuit commence ici, en Pologne, dans une forêt gelée. Les nuages courent bas, l’orage de la guerre est passé. Terres de sang, terres de douleur : au milieu, un couvent. C’est là que se déroule une tragédie muette, celles des "Innocentes " , le nouveau film d’Anne Fontaine, qui raconte un abject viol de masse. Le pire, c’est que cette histoire a bien eu lieu, que la réalité est bien au-delà du cauchemar.
1945 : la guerre est finie. Une jeune Française, Mathilde, travaille sous l’uniforme dans une unité de la Croix-Rouge en Pologne. La mission : soigner les soldats français. Dans un pays carbonisé par la haine, Mathilde (Lou de Laâge) est sollicitée par une religieuse polonaise (Agata Buzek). On lui demande de la discrétion, les autorités ne doivent pas être mises au courant. C’est que l’affaire est délicate : dans un couvent hors du temps, Mathilde découvre une nonne enceinte. Peut-elle s’en occuper ? Oui. Sans en référer ? Oui.
Que s’est-il passé ? demande-t-elle. La supérieure se tait. Puis le vœu de silence tombe : les troupes soviétiques sont passées par là. Les religieuses ont été violées. Nous sommes en territoire communiste, désormais, la religion est l’opium du peuple, les nonnes sont des ennemies du prolétariat. Peu à peu, Mathilde commence à accompagner ces femmes condamnées à l’enfer sur terre. Elles sont toutes des crucifiées...
Lou de Laâge incarne Mathilde, médecin française de la Croix-Rouge. ( Mandarin Cinema - Aeroplan Film - Mars Films / Anna Wloch)
"Le hasard m’a mis ce récit entre les mains. A la seconde, j’ai su que c’était pour moi", dit Anne Fontaine, la réalisatrice. En 2014, alors que son film " Gemma Bovery " sort sur les écrans, un ami, Philippe Maynial, acteur et producteur, confie à Anne Fontaine les notes de sa tante, Madeleine Pauliac. En lisant ce journal tenu par une femme médecin en 1945, la cinéaste découvre une portion d’histoire oubliée.
Juste après la capitulation du Reich millénaire, Madeleine Pauliac, 32 ans, médecin-lieutenant de la Croix-Rouge, résistante qui a ravitaillé les maquis et participé à la Libération de Paris, est envoyée en Pologne avec une mission de rapatriement des soldats français. Il y a, en Europe, 20 millions de déplacés, il faut les ramener chez eux – s’ils ont encore un "chez eux". A Varsovie, Madeleine Pauliac découvre une situation dramatique. La population manque de tout, les Soviétiques occupent le terrain avec brutalité, la ville a été rasée.
Les rapports sont tendus avec les autorités occupantes. Madeleine Pauliac écrit un rapport en août 1945, transmis au cabinet du général de Gaulle, pour faire un état de lieux. Et participe à 200 missions menées avec l’"escadron bleu", une unité d’ambulancières. 
Lors de l’un de ses déplacements à Gdansk, une religieuse la contacte : on a besoin d’elle, mais il ne faut rien dire à personne. Un peu étonnée par le secret qu’on lui impose, la Française accepte de rester silencieuse. Elle suit la nonne et découvre, atterrée, un couvent où une quarantaine de nonnes vivent dans la douleur et la prière. Quand les Allemands sont arrivés, au début de la guerre, ces femmes ont été violées. Quand ce fut le tour de l’Armée rouge, elles l’ont été à nouveau, certaines jusqu’à 40 fois de suite. 20 religieuses sont mortes. Certaines des survivantes sont enceintes. Non seulement ces femmes n’ont aucun recours sanitaire, aucune aide à espérer des Soviétiques, mais elles veulent éviter le scandale.
Madeleine Pauliac, alors, plonge dans une semi-clandestinité : elle assiste aux accouchements, soigne les religieuses, les réconforte. Aucune justice n’est possible : les soldats nazis ont disparu, et les hommes de troupe russes ne se sentent nullement coupables. Les officiers considèrent qu’il s’agit simplement d’une récompense après la lutte, le viol étant une juste rétribution de guerre. Madeleine Pauliac, toutes les nuits, va se rendre dans cette communauté blessée, et s’occuper de ces femmes qui ont fait vœu de chasteté.
Sur le terrain, c’est la cacophonie : habillée et ravitaillée par la 7e armée américaine, placée sous l’autorité du général Catroux, dépendante du bon vouloir de l’administration militaire soviétique, Madeleine Pauliac, comme ses cons œ urs, échappera de peu aux tentatives de viol de soldats russes imbibés de vodka. Avec ses 11 ambulancières, elle va néanmoins se dépenser sans compter. Sur les photos d’époque, on voit les femmes de l’"escadron bleu" emmitouflées dans des blousons d’aviateur, des pantalons de grosse serge, moufles aux mains et godillots aux pieds.
Anne Fontaine sur le plateau des "Innocentes". (Mandarin Cinema - Aeroplan Film - Mars Films / Anna Wloch)
Quant aux religieuses polonaises, leur histoire va rester enfouie : désormais sous le joug stalinien, elles sont hautement indésirables. Les abbayes vont être désertées, les églises parfois rasées, les prêtres jetés en prison ou tués. Quand Anne Fontaine, pour le tournage du film, effectué en Pologne, se rendra sur les lieux, elle constatera que personne n’a entendu parler de cette histoire. Le mur de Berlin s’est effondré, Dieu est revenu en Pologne, le pays repart de zéro.
Justement, Dieu. Elevée dans la religion catholique ("Mon père, Antoine Sibertin-Blanc, était organiste à Lisbonne, ma mère, elle, restaurait des vitraux..."), Anne Fontaine a tenu à se replonger dans le silence de la foi, pour "les Innocentes " . Elle-même mère adoptive d’un enfant asiatique, elle a confronté son expérience à celle des nonnes, dans une abbaye bénédictine : deux retraites successives, rythmées par les matines, les laudes, les vêpres, les complies, l’office des lectures, la messe, les chants, la prière. La foi est-elle un état éternel ? Non. Comme le dit l’un des personnages, "24 heures de doute et une minute d’espérance".
A la fin du film, une bonne sœur, son bébé entre les bras, roule vers un avenir inconnu, dans un pays gangrené par l’Armée rouge. Staline et Jésus, Dieu et diable : pour "les Innocentes " , il n’y a pas de rédemption, pas de solution, sinon celle d’une damnation par la chair. Madeleine Pauliac est morte en 1946, en Pologne, accidentellement. Nul ne sait ce que sont devenues les religieuses, mais les enfants de ces soeurs, ces bâtards de Notre Seigneur, aujourd’hui, sont quelque part, autour de nous. Si Dieu existe, il leur doit des excuses.
>> "Les Innocentes " , par Anne Fontaine, en salles le 10 février.
"Le hasard m’a mis ce récit entre les mains. A la seconde, j’ai su que c’était pour moi"!!
Le hasard s'appelle les freres Altmayer qui ont lu le scénario de Sabrina Karine et d'Alice Vial....et qui l'ont proposé a Anne Fontaine.....Histoire tirée de faits réels, mais completement inventée parces deux jeunes filles!!!
http://www.legroupeouest.com/sortie-en-salles-des-innocentes-groupe-ouest-2011/
Il suffit d’interroger Wikipedia :
L'historien Américain Robert J. Lilly dans son ouvrage La Face cachée des GIs estime que 11 040 viols ont été commis par les GIs en Allemagne (2 040 en Angleterre et 3 620 en France).
Selon l'historien Perry Biddiscombe, les Français ont commis « 385 viols dans la région de Constance; 600 à Bruchsal; et 500 à Freudenstadt. » Les soldats français se livrèrent à « une orgie de viols » dans le district de Höfingen, près de Leonberg. À Stuttgart, des milliers de femmes sont victimes des Français, lors de la prise de la ville.
Beaucoup de viols ont été commis par l’armée britannique sous les effets de l'alcool ou de stress post-traumatique. Un aumônier en chef de l'armée Britannique a déclaré que « ça violait à tour de bras. » Il a ensuite ajouté que « celles qui ont souffert de viol l'ont probablement mérité ».

L’auteur écrit-il sur un film dénonçant le viol en temps de guerre, ou fait-il part de son anti-communisme ?
Très bel article jusqu'à la dernière phrase.
Ce n'est pas Dieu qui doit des excuses à ces femmes pour lesquelles il n'aura été que leur seul réconfort et espoir de salut qu'elles ont du abandonner à cause de ces viols abominables! Mais bel et bien aux soldats communistes de la Russie soviétique et certainement à l'état russe qui a encouragé ce genre d'exactions nauséabondes de par leur anti-cléricalisme et leur haine de Dieu forcenée.






540 pages de témoignages sexuels de femmes perverses !







Mentions légales





Créer un site gratuit avec e-monsite

Signaler un contenu illicite sur ce site





Refuser



Paramétrer



Accepter


Marie avait 21 ans quand elle a rejoint sa congrégation religieuse pour y accomplir son noviciat . Ce qu'elle va expérimenter dans son couvent dépasse l' imagination sexuelle la plus fantasmatique ! Marie, qui a aujourd'hui 27 ans, ne livre pas un témoignage à charge contre son ancienne congrégation mais au contraire elle relate avec force de détails les perversions sexuelles dont elle divinement jouit ; pas seulement entre soeurs du couvent mais aussi avec les frères du monastère voisin ). Il va sans dire qu'il s'agit là d'un témoignage pornographique à ne pas mettre entre des mains pudibondes ! A réserver exclusivement aux lecteurs avertis ! 
journal-intime-de-femmes.e-monsite.com dépose des cookies pour améliorer votre expérience de navigation,
mesurer l'audience du site internet, afficher des publicités personnalisées,
réaliser des campagnes ciblées et personnaliser l'interface du site.

?
Permet d'analyser les statistiques de consultation de notre site


Ces deux cochonnes se mangent la moule et s’enfoncent dans leur vagin lesbiens tous ce qu’elles ont à la portée
Il casse la chatte d'une étudiante 18 ans de sa femme
Nikita Bellucci traçant le sperme jusqu'à l'aire libre

Report Page