Orgasme après orgasme

Orgasme après orgasme




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Orgasme après orgasme


Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .

5.1 Origine physiologique de l'orgasme

5.1.1 Avis divergents des études modernes
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables ( comment faire ? ) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
Cette section peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées (janvier 2020) . Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit.

↑ Revenir plus haut en : a b et c Mah K, Binik YM, « The nature of human orgasm: a critical review of major trends », Clinical Psychology Review , vol. 21, n o 6,‎ août 2001 , p. 823–56 ( PMID 11497209 , DOI 10.1016/S0272-7358(00)00069-6 )

↑ (en) Bob Schwartz , The One Hour Orgasm : A New Approach to Achieving Maximum Sexual Pleasure , Breakthru Publishing, mai 1992 , 179 p. ( ISBN 0-942540-07-7 )

↑ (en) Kenneth Mah, Yitzchak M. Binik, « Do all orgasms feel alike? Evaluating a two-dimensional model of the orgasm experience across gender and sexual context » , The Journal of Sex Research ,‎ mai 2002 ( lire en ligne [ archive du 11 mai 2013 ] , consulté le 27 août 2012 )

↑ « Study of the sexuality of women after a total hysterectomy versus subtotal hysterectomy by laparoscopy in Nantes CHU » [ archive ]

↑ « Le sexe ? C'était bien mieux pour les femmes sous le régime communiste », L'Obs ,‎ 15 août 2017 ( lire en ligne [ archive ] )

↑ Excitation sexuelle dans le cerveau - Doctissimo [ archive ] Le plaisir sexuel n'aurait pas son siège seul dans les parties génitales mais pour une large part dans le cerveau, selon des études récentes

↑ Les femmes ont (parfois) de bonnes raisons de simuler l'orgasme [ archive ] sur lefigaro.fr, 2014

↑ (en) « Male and Female Orgasm: Not So Different? » [ archive ] , sur psychologytoday.com (consulté le 18 juin 2020 ) .

↑ « Un lapin très excité, aidé par un harem de lapines sous antidépresseur, pourrait bien avoir résolu le mystère de l’orgasme féminin » [ archive ] , sur gurumed.org , 2 octobre 2019

↑ (en) Mihaela Pavlicev, Andreja Moset Zupan, Amanda Barry, Savannah Walters, Kristin M. Milano, Harvey J. Kliman & Günter P. Wagner, « An experimental test of the ovulatory homolog model of female orgasm » , PNAS ,‎ 30 septembre 2019 ( DOI 10.1073/pnas.1910295116 ) .

↑ (en) Mihaela Pavlicev, Gunter Wagner, « The Evolutionary Origin of Female Orgasm » , Journal of Experimental Zoology , vol. 326, n o 6,‎ 2016 , p. 326-337 ( DOI 10.1002/jez.b.2269 ) .

↑ (en) Thierry Lodé , « A brief natural history of the orgasm » , All Life , vol. 13, n o 1,‎ 1 er janvier 2020 , p. 34–44 ( ISSN 2689-5293 et 2689-5307 , DOI 10.1080/21553769.2019.1664642 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 12 juillet 2020 )

↑ Maïa Mazaurette , « Les hommes au défi du rapport sexuel idéal » [ archive ] , sur lemonde.fr , 13 octobre 2019 (consulté le 13 octobre 2019 ) .

↑ « 10 vérités sur le plaisir féminin - Il n'y a qu'un seul orgasme féminin » [ archive ] dossier Elle.fr

↑ Élisa Brune , Labo sexo. Bonnes nouvelles du plaisir féminin , Odile Jacob , 2016 , p. 195

↑ Ovide , Métamorphoses [ détail des éditions ] [ lire en ligne [ archive ] ] , III , 316-338.

↑ (en) Joseph G. Bohlen , James P. Held et Margaret Olwen Sanderson , « The male orgasm: Pelvic contractions measured by anal probe » , Archives of Sexual Behavior , vol. 9, n o 6,‎ décembre 1980 , p. 503–521 ( ISSN 0004-0002 et 1573-2800 , DOI 10.1007/BF01542155 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 26 janvier 2022 )

↑ « L’orgasme prostatique, un vrai bonheur, se réjouit Binge Audio » [ archive ] , sur Télérama.fr (consulté le 19 mai 2019 )

↑ « Comment initier un homme au massage prostatique ? », Le Monde ,‎ 19 mai 2019 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 19 mai 2019 )

↑ Mantak Chia et Douglas Abrams Arava , L'homme multi-orgasmique : L'énergie sexuelle masculine , Tredaniel, 1998 , 306 p. ( ISBN 978-2-85707-892-0 )

↑ Elysa - Les pleurs féminins après l'orgasme. [ archive ]

↑ [1] [ archive ]

↑ (en) Petridou E, Giokas G, Kuper H, Mucci LA, et Trichopolos D. « Endocrine correlates of male breast cancer risk: a case-control study in Athens, Greece » British Journal of Cancer 83, 1234-1237, 2000.

↑ (en) Davey Smith G, Frankel S et Yarnell J. « Sex and death : are they related ? Findings from the caerphilly Cohort Study » BMJ 315,1641-1644.

↑ (en) Olcay Cem Bulut , Dare Oladokun , Burkard M. Lippert et Ralph Hohenberger , « Can Sex Improve Nasal Function?—An Exploration of the Link Between Sex and Nasal Function » , Ear, Nose & Throat Journal ,‎ 4 janvier 2021 , p. 014556132098144 ( ISSN 0145-5613 et 1942-7522 , DOI 10.1177/0145561320981441 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 10 septembre 2021 )

↑ (en) « Cat communication, upside-down rhinos, and submarine cockroaches sweep the 31st Ig Nobels » [ archive ] ( DOI 10.1126/science.acx9077 , consulté le 10 septembre 2021 )

↑ « Journée mondiale de l'orgasme : trois, deux, un jouissez ! » [ archive ] , metrofrance.com .

↑ « Pourquoi certains hommes sont-ils infatigables au lit? » [ archive ] , sur sante.lefigaro.fr , 14 décembre 2018 (consulté le 25 janvier 2019 )

↑ Revenir plus haut en : a et b (en) Heath Robert G. « Pleasure and brain activity in man » The journal of nervous and mental disease 154/1:3-18, 1972

↑ Genaro A. Coria-Avila , Deissy Herrera-Covarrubias , Nafissa Ismail et James G. Pfaus , « The role of orgasm in the development and shaping of partner preferences », Socioaffective Neuroscience & Psychology , vol. 6, n o 1,‎ 1 er janvier 2016 , p. 31815 ( PMID 27799080 , PMCID PMC5087697 , DOI 10.3402/snp.v6.31815 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 25 novembre 2020 )







La dernière modification de cette page a été faite le 15 août 2022 à 11:22.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu










Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire
déplacer vers la barre latérale
masquer

L' orgasme (du grec : ὀργασμός / orgasmós , de ὀργᾶν / orgân , « bouillonner d'ardeur ») est la réponse physiologique qui a lieu au maximum de la phase d' excitation sexuelle . L'orgasme libère notamment deux neuropeptides , l' ocytocine et la prolactine , qui provoquent une profonde sensation de bien-être. Il est d'ailleurs souvent synonyme de jouissance extrême.

Il est généralement associé, chez l' homme , à l' éjaculation et à des contractions musculaires rythmiques des muscles du périnée ; chez la femme , à la rétraction du clitoris , à des contractions musculaires rythmiques périnéales et vaginales ainsi qu'à l' éjaculation .

L'orgasme humain résulte le plus souvent de la stimulation du pénis ou du clitoris , même si d'autres zones érogènes du corps peuvent être sollicitées. Les recherches contemporaines mettent également en évidence le rôle décisif des stimulations psychologiques . Toutes ces stimulations peuvent être appliquées individuellement, en couple ou en groupe (dans ces différents cas, on peut parler de masturbation , de préliminaire ou de rapport sexuel ).

La définition de l'orgasme est assez incertaine. La revue scientifique Clinical Psychology Review (en) recense ainsi 26 acceptions différentes, dont aucune n'est consensuelle [ 1 ] . Dans la pratique médicale, on retient une définition assez restreinte : l'orgasme désigne une succession de mouvements musculaires dans le cadre d'une activité sexuelle ; ces mouvements s'accompagnent généralement d'une accélération du rythme cardiaque et du rythme respiratoire. L'orgasme ferait ainsi référence à la libération soudaine d'une importante tension sexuelle.

En dehors de cette définition restreinte, l'identification des phénomènes physiologiques liés à l'orgasme est matière à débat. Parmi les points portant à controverse, la communauté médicale s'interroge sur l'existence d'orgasmes féminins causés par la seule stimulation du point G , ou d'orgasmes continuels capables de durer plusieurs minutes, voire une heure [ 2 ] .

Les définitions psychologiques ou neurologiques de l'orgasme sont encore plus hypothétiques [ 1 ] , [ 3 ] . Les sensations éprouvées varient grandement d'un individu à l'autre. Il est dès lors difficile d'inscrire l'ensemble des observations dans un cadre général. Les recherches contemporaines tendent néanmoins à s'accorder sur les points suivants :

L'orgasme résulte généralement d'une succession de stimulations régulières opérées sur les principales zones érogènes du corps humain :

Aux facteurs physiques s'ajoutent une multiplicité de facteurs psychologiques qui ne sont pas encore parfaitement identifiés par la communauté scientifique. Ces facteurs sont parfois suffisants. Un rêve érotique peut provoquer un orgasme indépendamment de toute stimulation physique. Inversement, un contexte psychologique défavorable n'empêche pas l'émergence d'un orgasme physique, strictement mécanique [réf. nécessaire] .

La plupart des recherches menées sur la psychologie de l'orgasme portent sur l'orgasme féminin [réf. nécessaire] . Elles admettent plus ou moins explicitement l'hypothèse d'un orgasme féminin plus introverti et plus complexe que l'orgasme masculin. Des analyses neurologiques comparées sur les réactions des deux sexes tendent aujourd'hui à infirmer cette hypothèse, de plus en plus attribuée à certains préjugés sociaux préalables [réf. nécessaire] .

Dans les années 1950, ce sont des sexologues tchécoslovaques qui ont débuté les recherches sur l'orgasme féminin : « Ils se sont concentrés sur l'importance de l'égalité entre des hommes et des femmes comme un composant principal de plaisir féminin. Certains ont même défendu l'idée que les hommes devaient partager le ménage et l'éducation des enfants, sans quoi il ne pouvait y avoir de sexe de qualité. » D'après une étude sociologique citée par le New York Times au sujet du ressenti sexuel des femmes d'Allemagne de l'Est et de l'Ouest après la réunification, les femmes est-allemandes avaient beaucoup plus d'orgasmes que les femmes ouest-allemandes, ce qui serait lié à leur condition plus égalitaire dans la société [ 5 ] .

L'orgasme est la troisième étape de la stimulation sexuelle, selon le modèle en quatre phases de la réponse sexuelle de Masters et Johnson .

Il peut être obtenu de deux façons différentes : avec partenaire (rapport sexuel) ou sans partenaire (masturbation).

Il peut se caractériser par des manifestations involontaires : baisse de la vigilance , dilatation des pupilles , lubrification des organes génitaux , vocalisations (râles, cris, soupirs, etc. ), respiration accrue — dont l'apport d'oxygène décuple les sensations — , spasmes faciaux, contractions musculaires diverses (le coït étant physique par nature, de par ses « va-et-vient »), rougissement de la peau, excitation des mamelons , etc. , pour aboutir au « point de non-retour » qui déclenche une intense jouissance physique [ 6 ] .

La survenue du plaisir conclut la phase en plateau par la relâche de la tension sexuelle, accompagnée d'une série de contractions musculaires rapides entourant les régions de l’ anus , des muscles du périnée et des organes génitaux, avec éjaculation de sperme ou, moins fréquemment, de fluides chez la femme.

Simuler l'orgasme est une pratique fréquente qui peut avoir des objectifs multiples [ 7 ] .

Une sensation euphorique généralisée est ressentie, qui sera dès lors accompagnée de la dernière phase : la résolution de la tension sexuelle, puis un apaisement.

Contrairement à une idée reçue largement répandue, il n'existe pas de différence de durée significative entre les orgasmes masculins et féminins [ 8 ] .

De manière générale, quand une femme approche de l’orgasme, le clitoris en érection se retire sous le prépuce clitoridien , et les petites lèvres enflent, deviennent plus foncées et plus sensibles. Lorsque l’orgasme est imminent, le vagin diminue de volume, environ 30 % , se gorge de sang, comme le révèle le photopléthysmographe vaginal , et les muscles de l’ utérus se contractent.

Au moment même de l'orgasme, l'utérus, le vagin et les muscles du bassin subissent une série de contractions musculaires. La lubrification naturelle du vagin est alors intense.

Après l'orgasme, l'afflux de sang disparaît, ce qui fait que le clitoris sort du prépuce et reprend sa taille normale, en moins de 10 minutes.

L'origine de l'orgasme féminin a suscité de nombreuses études, théories et mythes.

Dans la théorie classique initiée par Freud, on distinguait deux types d'orgasmes chez la femme. Le premier, chronologiquement, serait l'orgasme clitoridien, considéré comme basique ou infantile ; le second, l'orgasme vaginal, nécessiterait un apprentissage pour les femmes, et serait selon Freud « l'orgasme de la femme mature ». [réf. nécessaire]

Comme l'orgasme masculin associé à l'éjaculation (il favorise le transfert du sperme et donc des spermatozoïdes dans le corps féminin) et consistant « en un réflexe induit par la copulation qui, à l’origine, a joué un rôle dans le déclenchement de l' ovulation » , l'orgasme féminin est un trait homologue avec des racines évolutives très profondes et serait un réflexe hormonal ovulatoire associé à la copulation [ 9 ] , [ 10 ] , réflexe devenu inutile avec la transformation de l'ovulation induite (décharge d'hormones telles que la prolactine et l'ocytocine lors de la copulation comme chez les chattes et les lapines), en ovulation spontanée chez les femmes [ 11 ] . Pour Thierry Lodé [ 12 ] , le fait que l'orgasme consiste d'abord dans la libération brusque des glandes prostatiques et paraurétrales rend crédible cette hypothèse d'une origine archaïque de l'orgasme féminin liée à l'ovulation.

Les études modernes ont remis en question la théorie classique. Dans cette quantité de sources, se dégage de plus en plus le rôle prépondérant du clitoris . En ce qui concerne la place du vagin dans la génération du plaisir sexuel féminin, les avis sont divergents.

Selon une étude publiée en 2015 dans Journal of Sex & Marital Therapy (en) , seules 18,4 % des femmes parviennent à l’orgasme par la pénétration vaginale [ 13 ] .

Certains psychiatres , comme Philippe Brenot , assurent qu'il n'existe qu'un seul organe du plaisir sexuel chez la femme, le clitoris, et un seul type d'orgasme féminin. Cet orgasme survient par stimulation directe ou indirecte du clitoris [ 14 ] .

Ainsi, selon Masters et Johnson , l’orgasme obtenu lors du coït n’a pour origine qu’une stimulation indirecte du clitoris. Il existerait donc une sorte d'unité mécanique fonctionnelle vagino-labio-préputio-glandienne transmettant et transformant les mouvements de va-et-vient du pénis en frottement du capuchon et du prépuce sur le gland clitoridien rétracté. Cette théorie s’appuie sur le nombre important de leurs observations (environ dix mille réponses sexuelles), mais aussi sur les recherches faites sur l’ autostimulation féminine, ainsi que chez les femmes n'utilisant pratiquement jamais la stimulation vaginale de façon privilégiée lors de technique d'autostimulation.


Selon d'autres découvertes concernant le clitoris faites par le sexologue Andrée Matteau , l'orgasme dit « vaginal » met toujours en œuvre le clitoris, par l'intermédiaire de ses branches profondes qui encadrent les parois du vagin. La distinction entre orgasme vaginal et orgasme clitoridien n'aurait donc plus lieu d'être, même si les composantes psychologiques, affectives, physiologiques, anatomiques s'entremêlent tellement dans ce domaine qu'il est difficile d'isoler une zone ou un organe dans ce mécanisme. Il existe une partie interne de la structure clitoridienne, explique Andrée Matteau, sexologue :
« La partie extérieure et visible du clitoris, c'est cette petite perle que tout le monde peut identifier. Mais cette structure comporte également des nerfs qui aboutissent à l'intérieur du vagin, comme des pattes qui se rejoignent dans ces éponges que le docteur Gräfenberg a bien vaniteusement appelé le point G . Certaines femmes peuvent effectivement ressentir un grand plaisir de la stimulation de ces éponges qui sont fortement innervées. Elles peuvent les repérer par exploration manuelle et s'en servir lors de la pénétration pour amplifier les sensations. Mais de là à prétendre que le point G. procure l'ultime jouissance… »


Ainsi, il n'y aurait qu'un seul et unique type d'orgasme féminin. L'artiste Annie Sprinkle propose sept types d'orgasmes féminins : pendant le sommeil ; sans stimulation génitale (ce qu'elle appelle les « micro-orgasmes ») ; les classiques orgasmes vaginaux et clitoridiens ; lié à l'accélération du rythme respiratoire (obtenu lors de la pratique de certains sports, en riant, en toussant) ; orgasme combiné ; « megagasm » prenant tout le corps, plaisir à la fois émotionnel et physique qui peut durer une à deux heures [ 15 ] . Un extrait d'une enquête de F. Magazine , préfacé de Marie Cardinal en 1980, illustre parfaitement ce point de vue :
« La théorie psychanalytique a créé une séparation nette et sans appel entre deux orgasmes qu'elle veut étrangers l'un à l'autre. L'un symbolise la normalité, l'autre l'immaturité. Or, tout ceci est faux. Malgré les travaux récents et l'importance de la sexologie dans les médias, la confusion reste maintenue. En effet, il n'existe aucune différence entre un orgasme obtenu par une stimulation digitale ou buccale du clitoris et un orgasme provenant de l'excitation provoquée par le frottement du pénis (pendant la pénétration) sur le clitoris. Si dans ce dernier cas, on peut parler d'orgasme vaginal, c'est seulement parce qu'il y a eu, là aussi, stimulation clitoridienne. »

Dans Les Métamorphoses , Ovide rapporte comment Tirésias acquiert le don de divination. Alors qu'il se promène en forêt, il trouble de son bâton l'accouplement de deux serpents. Aussitôt, il est transformé en femme. Tirésias reste sous cette apparence pendant sept ans. La huitième année, il revoit les mêmes serpents s'accoupler, refait le même geste et redevient homme.

À l'occasion d'une querelle entre Jupiter et son épouse Junon sur le plaisir que prennent les femmes dans l'acte sexuel, ceux-ci interrogent Tirésias qui, par son expérience, en sait plus que quiconque. Malgré les signes que lui fait Junon de ne pas révéler le secret, Tirésias affirme que les femmes jouissent sept foi
Plan à trois vintage dans la forêt
Veronica Rodriguez étudie durement
Nouvelle carrière pour cette vétérane de l'armée

Report Page