Oops Je ne t'avais pas vu

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Nombre de chapitres écrits : 2696 Sang : Joyeuse Supporter de : Anaconda 8D © avatar, icon, signature : Avatar par Eden Memories; Signature Rom's Date d'inscription : 28/12/2009 Chocogrenouilles : 0
Lorsque Griffith se rĂ©veilla, un coup de tonnerre fit trembler son lit. Le garçon grogna, dĂ©jĂ  de mauvaise humeur. En effet, il avait espĂ©rĂ© faire un tour dans le parc afin de se vivifier le corps et l'esprit avant une journĂ©e. C'Ă©tait foutu, et cela le mettait en rogne. Un ami Ă  lui s'approcha du garçon qui s'Ă©tait assis sur son lit aprĂšs avoir mit son chapeau sur son crĂąne. Essentiel. Le jeune homme avait un sourire aux lĂšvres, et Ă©trangement, cette expression ne plĂ»t pas Ă  Griffith. A juste titre, car son ami se jeta sur lui en le chatouillant. Il eut juste le temps de retenir son chapeau Ă  l'aide de sa main avant de s'Ă©craser sur son matelas sous le poids de son ami qui hurlait en rigolant. Griffith se dĂ©battait, essayant de faire voler le garçon hors de son propre corps. -AllĂ© Griffith, sors de ton brouillard! Quand tu te lĂšve avec une moue Ă©nervĂ©e c'est que c'est pas normal! Souris mec! -DĂ©gage! Mais lĂąche moi merde! -C'est mort mon gars, pas jusqu'Ă  ce que tu rigole. -Hahahahaha! VoilĂ , content? -Pas sincĂšre, mec! -Ma parole, je vais te tuer! DEGAGE! Griffith Ă©tait rouge tellement la colĂšre Ă©tait en lui. Son ami sentit qu'il dĂ©passait les bornes, et il lĂącha Griffith en lui disant qu'il ferait bien de vite se calmer, et d'autres choses que le garçon n'Ă©couta pas. Il fonça directement sous la douche et tourna le robinet d'eau froide, d'eau gelĂ©e. Quand il Ă©tait aussi Ă©nervĂ© dĂšs le matin, la journĂ©e s'annonçait tendue, et il dĂ©testait ça. Alors Ă  chaque fois, Griffith fonçait sous une douche glaciale, en espĂ©rant qu'elle anĂ©antisse le brouillard de colĂšre qui l'entourait, et laisse entrer en lui les pensĂ©es positives dont il faisait preuve chaque journĂ©e. Mais comme Ă  chaque fois, l'eau ne fit que le calmer, et lorsqu'il en sortit, Griffith soupira. Il sĂ©cha ses cheveux en les Ă©bouriffant Ă  l'aide de sa serviette, puis posa le cuir sur son chef. Personne n'Ă©tait prĂ©sent dans les douches, car il faisait en sorte de se laver lorsque tous Ă©taient descendus dĂ©jeuner. Ainsi, il pouvait enlever son chapeau sans risque que quelqu'un ne le surprenne. Lorsqu'il revint dans son dortoir, en effet, il Ă©tait seul. Griffith prit donc le temps de choisir ses habits en ce jour de week-end. Nous Ă©tions Samedi, et il pourrait voir Anaconda. Il savait qu'elle Ă©tait bien la seule avec Aisling en mesure de le remettre de bonne humeur. Aussi prit-il le temps de soigneusement choisir ses habits du jour. Le garçon enfila un jean qu'il accrocha plus fortement Ă  sa taille Ă  l'aide d'une ceinture de cuir. Puis il prit une chemise noir, assortie Ă  son humeur et Ă  ses chaussures: baskets Ă  semelle fine. Griffith fit passer la pierre de lune de Celian par dessus sa chemise afin de mettre un peu plus de luminositĂ© dans sa tenue tout de mĂȘme. Il enfila Ă©galement une petite veste grise avec un col en V par dessus sa chemise, et passa la pierre de lune par dessus. Enfin, il se dĂ©cida Ă  quitter les dortoirs. Dans ses pensĂ©es, Griffith ne faisait pas attention Ă  l'endroit oĂč il posait les pieds. Aucune surprise donc lorsqu'il glissa au bord d'une marche et s'Ă©croula sur les escaliers. Une flopĂ©e d'injures sortirent alors de sa bouche malgrĂ© les mĂąchoires qu'il avaient serrĂ©es lors du choc. C'Ă©tait la cerise sur le gĂąteau! Se relevant prĂ©cautionneusement, le garçon entreprit de rapidement quitter la salle commune et d'aller se noyer dans le lac. Mais alors qu'il arrivait Ă  la derniĂšre marche et s'apprĂȘtait Ă  traverser la salle commune Ă  une vitesse Ă©clair, Griffith rentra dans quelqu'un. Il rĂ©ussit Ă  ne pas tomber. Il se voulait vraiment de ne pas avoir Ă©tĂ© capable de faire attention Ă  son entourage, mais une note d'Ă©nervement sonnait dans sa voix lorsqu'il s'excusa auprĂšs de la personne qu'il n'avait pas encore identifiĂ©e. -Oups dĂ©solĂ©, je t'avais pas vu...
S e retourner. Encore se retourner. Ouvrir les yeux et les refermer. Tenter de trouver le sommeil. Compter les moutons. Regarder la lune. Se lever et descendre dans la Salle Commune. S'asseoir devant le feu presque Ă©teint et rester Ă  le contempler. Remonter dans la Salle Commune, se glisser de nouveau sous les draps et recommencer tout ce cirque. Ce n'est que sur les coups de minuit que je rĂ©ussis Ă  trouver un semblant de sommeil. Je m'Ă©tais rĂ©veillĂ©e quelques heures plus tard Ă  cause d'une chouette qui hululait Ă  ma fenĂȘtre. La propriĂ©taire de la bĂȘte dormait profondĂ©ment. J'avais beau balancer mon oreiller sur le lit de celle Ă  qui appartenait la bĂȘte, il s'Ă©chouait lamentablement contre les rideaux du baldaquin. Je ruminais, de rage. J'avais du mal Ă  m'endormir, et, quand je sombrais enfin, une saloper** de bĂȘte venait me troubler ! Et la propriĂ©taire qui ne se bougeait pas le derriĂšre ! MalgrĂ© mes lancers incessants d'oreiller, elle dormait toujours. DĂ©primant.
E t je me tournais, retournais, en ignorant les hululements de la chouette. Puis, au bout d'une trentaine de minutes, je me levais, mes membres douloureux, et me dirigeais vers la fenĂȘtre que j'ouvris. Un vent frais s'engouffra par la fenĂȘtre en mĂȘme temps que la chouette. Elle dĂ©posa au pied du lit de sa propriĂ©taire la lettre qu'elle tenait dans son bec et continua d'hululer. En vain puisqu'elle ne se rĂ©veilla toujours pas. Déçu, l'animal volant repartit d'oĂč il venait. Je reposais la tĂȘte sur l'oreiller que j'avais Ă©tĂ© rechercher par terre. Et je fixais maintenant le rideau qui se tendait au dessus de mon lit.
L e lendemain matin, mes yeux Ă©taient bouffis de sommeil. Lourds, pesants. Mes rĂȘves Ă©taient venus et repartaient aussi vite. Je m'Ă©tais levĂ©e dĂšs que le dortoir commença Ă  sortir de sa lĂ©thargie. Elles se levĂšrent en se plaignant de ne pas avoir assez dormi. Et moi alors ???? Je devais dire quoi ? Que j'avais passĂ© une nuit en enfer ? Ou qu'alors, j'avais passĂ© une super nuit Ă  observer la poussiĂšre voler dans un rayon de lumiĂšre lunaire ? Bien sĂ»r, je n'allais pas me vanter de mon exploit personnel : j'avais rĂ©ussi Ă  compter plus de huit cent moutons. C'Ă©tait magnifique de voir ces boules de poil noir ou blanche sauter par dessus l'unique barriĂšre de bois qui se dressait dans le champ. Elles auraient pu la contourner. Ça Ă©viterait que les trois quart se cassent la figure sur le rocher dissimulĂ© derriĂšre.
J e me dirigeais vers la salle de bain et m'aspergeais le visage d'eau avant de me regarder dans le miroir. J'avais d'énormes cernes sous les yeux. On avait l'impression que je venais de fumer comme pas possible et que j'étais complÚtement défoncée. C'était dur, le réveil aprÚs une nuit blanche. Je regardais la douche avec un air d'envie, mais je me disais aussi que je l'avais prise avant de me coucher, la vieille au soir. Et puis, à quoi bon d'en prendre une ? Pour me réveiller ? Non merci. Une douche froide m'aurait énervée et une douche chaude m'aurait endormie. Je laissais donc de cÎté tout ce que j'aurais voulu faire dans la salle de bain. Je retournais m'habiller dans la chambre.
J e descendis un quart d'heure plus tard, aussi rapidement qu'une tortue tentant de battre le record du 100m. J'avais la tĂȘte dans l'c.. Enfin dans un certain endroit et, quand j'Ă©tais comme ça, il ne fallait pas me dĂ©ranger. J'Ă©tais aveugle Ă  ce qui se passait autour de moi, concentrĂ©e Ă  ne faire aucune bĂȘtise. C'Ă©tait mon dĂ©fi de la matinĂ©e. J'avais le regard vague, lointain, lorsque je rentrais dans quelqu'un. Le temps que je fasse le lien entre ce qui m'arrivait et ce que je devais dire, la personne venait de s'excuser. Enfin s'excuser Ă©tait un bien grand mot. « Oups dĂ©solĂ© je ne t'avais pas vu... » Ă©tait plus appropriĂ©. Je tournais mes yeux Ă©clatĂ©s ( au sens figurĂ© hein ! ) vers la personne et je l'observais cinq minutes comme si je la connaissais pas. Puis, son visage s'imprima dans ma mĂ©moire et ma voix dit d'elle-mĂȘme :
« MAIS TU POURRAIS FAIRE ATTENTION, ABRUTI ! T'AS PAS LES YEUX EN FACE DES TROUS, MA PAROLE ! »
Nombre de chapitres écrits : 2696 Sang : Joyeuse Supporter de : Anaconda 8D © avatar, icon, signature : Avatar par Eden Memories; Signature Rom's Date d'inscription : 28/12/2009 Chocogrenouilles : 0
-MAIS TU POURRAIS FAIRE ATTENTION, ABRUTI ! T'AS PAS LES YEUX EN FACE DES TROUS, MA PAROLE Griffith Ă©carquilla les yeux devant tant d’énervement. Il haussa les sourcils, les nerfs Ă  vifs. Ne prenant mĂȘme pas la peine de regarder l’insigne de PrĂ©fet qui scintillait sur l’habit de la jeune femme qui se tenait devant lui, le garçon se contenta de l’observer avec un regard mĂ©prisant. Elle Ă©tait belle, blonde, avec ce qui pouvait ĂȘtre un beau sourire dans le cas oĂč elle dĂ©cidait d’étirer ses lĂšvres au lieu d’ouvrir grand sa bouche pour lui crier dessus. Griffith avait remarquĂ© les cernes qui tiraient la peau de ses yeux. Visiblement, elle n’avait pas passĂ© une trĂšs bonne nuit, et cela se ressentait dans son humeur plus que mĂ©diocre au vu de l’hurlement qu’elle venait de pousser. Le garçon essaya de se retenir, mais cette phrase Ă©tait trop offensante pour qu’il n’en fasse abstraction. Aussi, aprĂšs s’ĂȘtre raclĂ© la gorge, il la regarda droit dans les yeux. -OH TU TE CALME OUI ? C’est pas ma faute si t’as passĂ© une nuit Ă  en Ă©gorger un innocent, alors fais gaffe Ă  ce que tu dis, je suis pas d’humeur. Et puis je me suis excusĂ©, t’espĂšre quoi ? Que j’implore ton pardon ? Non mais ça va pas bien toi hein ! Ce n’était pas dans les habitudes du Poufsouffle de s’énerver ainsi. Surtout pas dĂšs le matin. Voulant Ă©nerver un peu plus son adversaire, le garçon la regarda des pieds
 Ă  son insigne. Il la remarqua, toute brillante et imposante. PrĂ©fĂšte. Il venait de mal parler Ă  sa propre prĂ©fĂšte. C’était une des choses qu’il ne fallait pas faire Ă  Poudlard. En temps normal, Griffith se serait de suite excusĂ©. Ou mieux, il n’aurait pas eu Ă  le faire car sa bonne humeur n’aurait pas Ă©nervĂ© la jeune fille. Mais ce matin lĂ , il Ă©tait vraiment en rogne contre tout et tous, et mĂȘme la PrĂ©fĂšte en Chef ne l’aurait pas arrĂȘtĂ© dans son brouillard. D’un geste brusque et machinal, il remit son chapeau en place. Comme si le cuir l’aidait Ă  se calmer, Ă  attĂ©nuer la colĂšre qui serrait ses mĂąchoires. Un grondement sourd d’éclair retentit dans toute la salle commune, Ă©nervant Griffith un peu plus. Cela faisait dix secondes durant lesquelles il avait oubliĂ© le sale temps qui hurlait au dehors. Et cette nouvelle lui rappela alors la journĂ©e exĂ©crable qui s’annonçait. Une sorte de dominos express de mauvaises nouvelles qui suffit Ă  abattre quelqu’un jusqu’au coucher. -Et merde ! Quelle journĂ©e de merde, quel matin de merde, quelle colĂšre de MEEEERDE ! Jamais il n’était vulgaire. Jamais il ne prononçait de jurons tellement il dĂ©testait ceux qui se servaient de ces mots. C’était pour lui un tel manque de respect que lorsqu’il en disait, c’était par une occasion vraiment spĂ©ciale. Il jeta un coup d’Ɠil par une fenĂȘtre de lĂ  oĂč il Ă©tait, et, ne voyant que des trombes d’eau s’abattre sur le parc, il soupira bruyamment. Puis son regard se posa sur sa PrĂ©fĂšte qu’il regarda dĂ©daigneusement. -C’est bon, t’as fini de passer tes nerfs sur moi ou t’as encore besoin d’un bouc-Ă©missaire ? Vint alors le temps de la rĂ©alisation : il n’avait pas son sac. Il devait retourner dans son dortoir, fouiller dans ses affaires pour trouver ses livres et ses cahiers, puis descendre et se retrouver nez-Ă -nez avec quelqu’un qui l’énerverait encore et toujours. Soupirant, il ne prĂ©vint pas la jeune femme et retourna dans son dortoir. En arrivant devant son lit, le garçon attrapa son sac de cours qui gisait au sol. Il le vida entiĂšrement puis a
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