Oncle qui pleure

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Par ailleurs, un oncle en rêve, symbolise, presque toujours quelque chose de positif. Il vous ramène à votre enfance et à une époque qui s’est déjà écoulée. Donc, le rêve d’oncle a des explications oniriques concernant les valeurs familiales. Rêver d’oncle dans un rêve islamique est un bon présage car cela annonce un beau mariage et une bonne succession.
Faire le rêver de son oncle et l’embrasser , est en islam très bon pour vos finances. Rêver de parler à un oncle, peut dans certains cas être annonciateur de querelles de famille. Rêver d’un oncle mort en islam, est un signe d’héritage prochain. De même, rêver d’oncle qui meurt, est parfois le signe de conflits d’intérêts avec d’autres personnes dans le monde du travail. Voir un oncle défunt dans un rêve, peut indiquer la présence d’un adversaire méchant et très puissant. En islam, le rêve que son oncle est mort est plutôt un signe de désespoir. Rêver de son oncle décédé en islam, c’est parfois le signe que le rêveur a un terrible ennemi. Mais parfois, un oncle mort dans un rêve représente un signe positif comme un présage de longue vie.
Faire le rêve d’oncle qui pleure, indique qu’une situation n’est pas du tout positive pour vous. Si vous rêvez que vous avez tué votre oncle paternel, cela prédit que dans la vie réelle, vous aurez une grosse somme d’argent. Rêver d’un oncle malade , peut prédire des querelles et des conflits au sein de la famille.
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Mon oncle me fait des attouchements
Bonjour, voilà je sais plus quoi faire. J'ai 16 ans et depuis un peu plus d'un un j'ai un oncle qui profite de moi. Au début il me prenait juste dans ses bras donc je ne stressais pas mais apès il a commencé a me faire des caresses sur les cuisses dans le dos et puis sur les fesses et les seins et il essayait de m'emmbrasser et depuis quelque temps il met ses main dans mon soutient et ma culotte . J'ai vraiment peur, j'ai peur de ce qui pourrai me faire. Je n'en ai jamais parlé à ma famille pace que j'ai peur de leur faire du mal et puis j'ai l'impression que c'est de ma faute, que j'ai mérité tout ça et je me sent tellement mal. Je sais vraiment plus quoi faire, j'ai peur :s
Bonjour, La situation va en crescendo .. Tu as fait le premier pas en venant en parler ici. Qu'est qui te fais penser que c'est de ta faute ? Parce que non, ton oncle t'agresse sexuellement ! Il est le seul coupable. Tu ne feras pas de mal à ta famille, IL en fait, en t'en faisant. Il faut te protéger. Et pour cela qu'un moyen, rompre le silence ! Si tu n'arrives pas à en parler directement à ta famille, peut être passer par l'écrit. Ou déjà en parler à un de tes profs ? Il y en a un ou tu te sens proches ? Un adulte proche ? l'infirmière scolaire? Le psy scolaire ? Un prof d'une activité en dehors des cours (parfois nous sommes plus proche des profs de nos loisirs)
Dis-lui stop maintenant sinon tu ira le raconter à tout le monde. Ca devrait le calmer.
Si j ai un conseil a te donner dis non tt de suite car la culpabilité que tu vas ressentir s il y a passage a l acte sera pire a vivre que l acte lui même
Bonjour ! Alors voila, lorsque j'avais 7-8 ans mon oncle me faisait des attouchements. C'est dur pour moi de décrire ce qu'il me faisait exactement, parce que c'est comme si je revivais le truc. Mais sur le coup ça me plaisait, j'aimais bien, je ne me rendais pas compte que c'était mal, jusqu'au jour où je lui ai demander de recommencer alors que ma mère était présente, c'est à ce moment là, quand j'ai vu le regard de mon oncle que j'ai compris que je ne devais pas le dire, que c'était mal. Pour confirmer mes doutes, j'ai poser quelques questions à mes soeurs pour savoir s'il leur faisait la même chose, et je crois bien que non. Il ne m'a pas violer, on est pas allé jusqu'au bout des choses, même si je ne me rappel pas de quand on a arrêter. Je n'ai jamais oublié, c'est comme si c'était dans un coin de ma tête et que je n'y faisais pas attention, je pouvais parler à mon oncle normalement, comme à sa femme... Puis j'ai eu un copain, j'en avais jamais parlé mais à lui si. Parce qu'il ne comprenait pas pourquoi je pleurais à chaque fois qu'on s'embrassait et que ça allait un peu trop loin. Le fait d'embrasser ne me dégoûte pas vu que mon oncle ne m'embrassait pas, mais pour le reste je me dis que j'ai un problème que tout est de ma faute parce que ce que je faisais avec mon oncle je recommence avec mon copain. Et puis je me sens mal de lui en avoir parler parce qu'il veut savoir ce qu'on faisait exactement, mais ça me dégoûte, j'ai peur qu'il veuille me faire la même chose pour me faire mal, que si on se dispute il me le ressorte. Pourtant il est là pour moi, il me prend dans ses bras lorsque je pleurs, je me sens protéger, mais dès qu'on recommence à aller un peu loin, sur le coup je dis rien, parfois même j'ai envie de vomir, et je pleurs ensuite même si j'essaye de retenir mes larmes... Je ne suis pas quelqu'un qui a la larme facile, je pars du principe que si quelqu'un me fait pleurer, c'est qu'il ne mérite pas mes larmes. Je suis le genre de fille qui reste + avec des garçons qu'avec des filles car je préfère leur compagnie, je suis assez sociable, je m'entend avec tout le monde, j'ai toujours d'assez bonnes notes, bac avec mention et tout et tout. Mais là cette situation me détruit. Je n'en parlerai au grand jamais à ma famille, car je ne veux pas affronter leur regard, leur réaction... J'aimerais voir un psychiatre mais ma mère estime que je n'ai pas vécut de vraies choses pour aller en voir un, et puis surtout en étant mineure au moment des faits je crois qu'il est dans l'obligation de le signaler aux autorités compétentes. Et je ne veux pas ça. Je ne veux pas continuer de m'appuyer sur mon copain surtout que notre relation commence à s'en faire ressentir. Il m'a connue joyeuse, hyperactive et tout, et là je suis à cran, je m'énerve pour rien, je suis toujours triste, j'ai peur de le perdre, ou pire qu'il reste avec moi par pitié... Je suis de confession musulmane, et je crois vraiment en Dieu, et je Le crains en même temps que je Le remercie pour la vie que j'ai eue car j'ai bien conscience qu'il y a pire. Surtout qu'on est pas allé au bout des choses, donc normalement je devrais tourner la page. Mais le fait de réitérer les mêmes actes avec mon copain nous fait du mal car on a peur que Dieu nous punisse. Il a beau me dire que c'est de sa faute, surtout qu'il sait ce que j'ai vécu et que ça devrait l'empêcher de vouloir faire ça, je sais que c'est de la mienne, parce qu'avant moi il n'a jamais fait ce genre de truc. On aimerait se marier dans un an, mais j'ai peur que je continue de bloquer sur ça après le mariage, même si je bloque principalement du fait que je sais que c'est mal par rapport à mon oncle car j'étais une enfant et lui un adulte, mais c'est aussi mal avec mon copain parce qu'on est pas marié. Je vous prierais de ne pas juger ma confession, tout le monde ne croit pas en Dieu et ce n'est pas là le sujet de la discussion, surtout que moi ça m'aide de pouvoir me repentir et tout, mais j'en ai parler juste pour expliquer pourquoi je me sens mal avec mon copain. Je ne lui ai pas dit que quand je pleurs c'est aussi parce que pour moi c'est un peu près la même chose, que je le ressent pareil, parce que je sais que ça va lui faire du mal, et qu'il s'en veut déjà suffisamment. Mais le pire c'est que maintenant quand mon oncle vient chez moi, j'ai envie de lui hurler qu'il a détruit ma vie, qu'il m'empêche d'être une fille normale, qu'il atteint aussi mon copain, que toute ma vie je me rappellerais ce qu'il m'a fait. Je ne supporte pas son regard sur moi, je me demande ce qu'il pense quand il me regarde, est ce qu'il s'en veut, est ce qu'il aimerait recommencer... Maintenant je veux juste réussir à calmes mes pulsions, à pouvoir voire mon copain sans qu'on s'embrasse, sans qu'il me touche, déjà pour Dieu, mais aussi pour que je me sente bien. Que j'arrête d'avoir des flash back où se mélangent les souvenirs de mon oncle avec ceux de mon copain, parce que je commence à les associer, j'ai peur de faire un transfert. Surtout que quand je vois qu'il est là, qu'il me dit qu'il va essayer de m'aider, quand je vois qu'il s'est renseigner pour me faire déculpabiliser, me dire que comment je suis est normale, que je n'ai pas à me sentir coupable. J'ai peur de finir par le détester alors que je l'aime plus que tout, que j'aime quand il me prend juste dans ses bras sans rien d'autres, que je pourrais y rester des heures, mais que nos corps ne soient pas trop collés. J'ai peur qu'il s'en veuille et qu'il se prenne pour un violeur car il sait que ça me fait du mal, parce qu'il ne l'est pas c'est juste un copain qui tente parfois de m'embrasser, de me toucher un peu, mais que dès que je le repousse il s'arrête, il ne me force à rien... Mais là je n'arrive pas à avancer, et j'avoue que je ne sais même pas où je veux avancer
Lors d'une agression, le seul responsable est l'agresseur et non la victime Ton oncle est responsable, si tu le dis et que cela fait des histoires, le seul et UNIQUE responsable est ton oncle. Il t'agresse, pourquoi n'aurait tu pas le droit de te défendre? Si cela crée des histoires, c'est lui qui a voulu cela en t'agressant .Si au lieu de cela il te mettrait une claque et que tu lui rendrais, trouverais tu cela juste de dire que tu serais responsable ?Non, car c'est lui qui a provoqué cela, surtout que cela s'empire et qu'il faut mettre le stopper. Suis les conseils des autres intervenant aussi;-)
J'ai également eu une histoire avec mon oncle... J'ai eu beaucoup de mal mais j'ai fini par porter plainte et à en parler à ma famille (dans ce sens-là car je n'ai pas réussi dans l'autre...) TU N'ES RESPONSABLE D'AUCUN DE SES GESTES !!! Par contre, si tu n'en parles pas maintenant, tu te sentiras responsables de beaucoup de choses... De trop de choses... Pas facile, j'ai cru perdre une partie de ma famille, j'ai toujours du mal avec son ex (c'était le mari de ma tante) mais au moins, je suis plus en paix avec moi-même... Courage !!!!
Coucou, Alors je ne sais pas si vous verrez mon post car avec mes études je n'ai plus eu le temps de poster. Puis ça allait mieux. Avec mon copain (on est toujours ensemble), on arrive à ne plus avoir de contacts physiques, c'est mieux ainsi, nous ne sommes plus malheureux. Je ne fais plus de cauchemars, je ne pleure plus chaque nuit ça va mieux 🙂 Mais, et il y a un mais malheureusement, suite à mes études, je n'ai plus le temps de faire aucune activité sportive régulière, je révise près de 12h par jour, et pendant ce temps je grignotte pour donner l'énergie "nécessaire" à mon cerveau pour réviser. Résultat : j'ai pris du poids. Je fais 1m65 pour 54Kg, mais j'ai commencé l'année à 50Kg. Vous me direz que ce n'est pas énorme, mais je me dégoûte, rien que d'y penser j'ai envie de vomir. Pas que je me suis déjà faite vomir, mais je commence à y penser. Parce que dès que je veux commencer à manger moins, c'est comme si j'étais hyperphage, je ne peux pas m'empêcher de manger, et même s'augmenter mes doses... Tout le monde me dit "ah mais t'as grossit dis donc", "ah mais t'as pris des cuisses", "avant t'étais toute mince"... Et j'en passe. Puis c'est vrai, avant j'étais musclé, le ventre plat, avec des abdos qui se dessinaient, bien sûr on en voyait pas mes os, tel n'était mon but. Puis je n'avais pas de but, j'ai toute ma vie fait 20kg en dessous de ma taille, tout en mangeant pour 10, tout le monde était étonné de tout ce que je pouvais manger alors que j'étais toute fine, et maintenant, je ne suis plus toute fine et continue de manger, manger, manger... J'ai commencé à noter chaque jour ce que je mangeais et à quel moment, pour m'inciter à réduire mes repas en me dégoûtant d'écrire touuuuuut ce que j'avais pu engloutir. Puis j'ai arrêté d'écrire car j'avais peur de finir par devenir anorexique. Mais aujourd'hui encore on m'a dit que j'avais grossit des jambes. Et j'ai décidé que j'écrirais de nouveau, et que je commençais mon régime : salade, fruit, yaourt vanille J'ai peur que dès que j'ai un problème qui est résolu, un autre arrive, et là c'est mon poids.
En fait ç ane va pas, on fait comme si, mais en fait non. Rien ne va, tout est tempête dans ma tête. J'essaye de la mettre en sourdine mais elle est toujours là. Il se sent mal, il culpabilise tous les jours, il pense qu'il est un monstre, et j'essaye de le relever, le rassurer, et en même temps je contemple ce que j'ai fais. Comme je l'ai détruit, il était heureux, et je l'ai rendu comme ça, malheureux, en guerre avec lui même Je pleure, je veux dormir, et me réveiller dans plusieurs années, quand j'aurais la force de tout affronter, de tout soulever. Je ne peux pas voir sa souffrance, car elle est juste un reflet de la mienne. Je me dégoûte. Puis s'ajoute à cela ma graisse, que suis je devenue ?
Ma tante est enceinte. Une autre futur vie gâchée ? Mon copain m'a demandé si j'étais jalouse, pense-t-il que j'aime mon ... Je ne peux même pas le nommer par son titre. C'est trop dure, j'ai ma gorge qui se bouche, qui se bloque, comme si je n'arrivais plus à faire passer de l'air J'ai peur, de plus jamais pouvoir être heureuse, de ne plus jamais m'en faire, de ne pas avoir une vie normale. Oh je regrette tout ça, de m'être mise avec mon copain, de lui avoir fait du mal, de continuer lorsqu'il voit que parfois je ne suis pas bien. Je suis un monstre. Je suis devenue un monstre.
Bonsoir, Pourquoi tu dis que tu l'as détruis ? Tu parles bien de ton copain. Ton regard sur ton corps est inquiétant. La descente vers l'anorexie est extrêmement rapide. Arrête les calculs, ça créer une dépendance, dans la descente .. Que tu veuilles mincir, comme beaucoup de monde, mais vu comment tu parles de toi, c'est plus qu'une simple envie de mincir. L'engrenage est vraiment trop rapide, il faut te faire aider au plus vite. Ton généraliste, tu t'entends bien ? Tu n'es pas un monstre ! En quoi le serais tu ? Bon courage et "bonne soirée" enfin aussi bonne qu'elle puisse l'être vu que tu n'es pas bien ...
Lettre d'excuses Hey, salut toi. C'est moi, "....", la grande folle lol. Je voulais te faire cette lettre pour m'excuser. De quoi? La liste est malheureusement assez longue… Tout d'abord je tiens à m'excuser de t'avoir rencontré, parlé, car sans ça je n'aurais pas eu besoin de m'excuser pour le reste. Pardon de t'avoir séduit, pardon que tu m'ai aimé, pardon que tu te sois attaché à moi. Pardon de t'avoir fait part de mes problèmes. Pardon qu'on ai vécut dans l'ombre de mon oncle en faisant des choses qui n'étaient pas bien. Pardon d'avoir fait ces choses pas bien. Pardon d'en avoir pleuré. Pardon d'avoir recommencé. Pardon d'avoir re-pleurer… Pardonne moi de t'avoir fait culpabiliser plus que de raison. Pardonne moi de m'être autant reposée sur toi. Pardonne moi de ne pas être aussi forte que ce que tu croyais. Pardonne moi de ne pas pouvoir tout réparer. Excuse moi d'avoir fait irruption dans ta vie et d'avoir tout chambouler. Excuse moi de t'avoir rendu malheureux. Excuse moi de ne pas réussir à te sortir de là où je t'ai mis. Excuse moi d'être dure avec toi, excuse moi d'être dure avec moi-même. Excuse moi d'avoir raté la première fois mes études. Excuse moi de t'avoir fait limite regretter d'avoir réussi. Excuse moi de te faire sentir responsable pour toute ces choses. Excuse moi de me plaindre en permanence. Excuse moi de toujours déprimé. Pardon de t'avoir menti sur la marchandise et de ne pas être la fille pétillante que tu croyais. Pardonne moi de t'avoir entraîné avec moi. Pardonne moi de ne pas réussir à me pardonner. Pardonne moi de juste essayer de nier les faits, et de ne pas les réparer. Pardonne moi d'être une incapable. Pardonne moi de me dégoûter et de ne pas réussir à me prendre en main. Pardonne moi de continuer malgré tout ça à me reposer sur toi. Pardonne moi de continuer de te critiquer. Pardonne moi d'être moi. Pardonne moi d'être une pleurnicheuse. Pardonne moi de ne pas savoir ce que je veux. Pardonne moi de t'aimer mais de ne pas faire ton bien. Pardonne moi d'être folle. Pardon pour cette lettre qui ne va surement pas te faire sentir mieux. Pardonne moi de te laisser comme ça. Pardonne moi de te faire encore souffrir. Pardonne moi.
Silvania 1, Je l'ai détruit car il a tout pour être heureux : de très bonnes études, une famille qu'il aime et qui l'aime, des amis avec lesquels il s'entend très bien. Et malgré ça, parfois il n'arrivais pas à dormir. Malgré ça, il a pleuré à cause de moi. Malgré ça, j'étais là, et tel un virus j'ai tout contaminer, il ne va plus bien. Tous les soirs il repense à ce qu'on a fait, il culpabilise, il pense avoir fait mon malheur, il pense qu'il est un monstre. Il en perd même parfois l'appétit en plus du sommeil, il perd parfois la joie de vivre, il reste au lit toute la journée en se disant qu'il a rien de mieux à faire... Voilà pourquoi je suis un monstre, je l'ai détruit, et je me suis encore plus amoché comme ça
Ah et pour mincir, je sais que je serai incapable de vraiment maigrir. Suis je seulement capable de quoi que ce soit à part la désolation. Mon généraliste, je l'ai vue 2-3fois depuis que c'est mon médecin traitant, et je n'ai pas le temps de la voir. il faut que je réussisse mes études, j'ai bientôt finis l'année, je finis en Mai. Peut être que là tout ira mieux, retrouver une vie "normale", arriverais je à retrouver ma vie avant tout ça ? Avant m'être rappelé de mon oncle, avant d'avoir fait de tout ce qui est charnel une chose mal avec mon copain ? Vais je arrêter de souffrir ?
Tu lui as donné ? Bon je suis en désaccord avec ce que tu dis, vu que tu n'as pas à t'excuser ! C'est un grand garçon, il t'aime et ça c'est ainsi. Il a le droit de choisir qui il aime ou pas. Tu n'es pas un monstre, tu ne détruis pas tout. Ton oncle est un monstre. Lui t'a détruite. Mais tout est reconstructible Tu te verrais demander de l'aide à un professionnel pour un soutient psy ?

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31 décembre - Simone Iff - Simone Iff, féministe à l'initiative du "Manifeste des 343" en faveur de l'avortement, est décédée à Paris à l'âge de 90 ans , a-t-on appris mercredi 31 décembre auprès du Planning familial.
DEUIL - Quand un proche disparaît, on reçoit d'abord beaucoup de manifestations de soutien et de conseils. Certains nous sont utiles, d'autres moins. Voici 8 conseils, afin que vous sachiez exprimer des sentiments qui aideront cette personne.
Quand un proche disparaît, on reçoit d'abord beaucoup de manifestations de soutien et de conseils. Certains nous sont utiles, d'autres moins. J'ai récemment publié un article intitulé " Les 8 choses à ne pas dire à la personne qui fait son deuil " (en anglais), dont voici le pendant, afin que vous sachiez exprimer des sentiments qui aideront cette personne.
1. "Je sais que tu souffres beaucoup."
Ce qui n'est pas du tout la même chose que "Je sais ce que tu ressens", une phrase que j'éviterais absolument dans la mesure où, même si vous avez traversé des épreuves similaires, chaque personne porte le deuil différemment. A l'inverse, les mots "Je sai
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