On voudrait être son gode

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On voudrait être son gode
mon mec aime se goder quand il est saoul 
bonjour à tous, je suis nouvelle sur le forum, et je me poses quelques questions au sujet de mon mec. je vous explique cela fait maintenant 5ans que nous sommes ensemble, et très vite il m'a avoué qu'il aimé bien se mettre des godes, je ne suis pas du genre coincé, et j 'ai d'ailleur beaucoup entendu que cette pratique été naturelle car c'est avec la prostate que l'homme atteint son point g, seulement,nous allons devenir bientôt parent, et il me dit qu'il va jeter tous ses godes, que ça lui a passé, hors j'en trouve de nouveaux assez régulièrement, je ne veux pas forcément qu'il s'en débarasse, il me dit que non ça lui a passé, je sais que c'est faux, ce qui est bizard c'est qu'il n'a cette pulsion que l'orqu'il est bourré, je l'accepte tant bien que mal, mais c'est difficile, l'orsque je tombe sur une boîte mail qu'il n'a pas dissimuler,expret ou pas?(étant donné qu'a se moment là il a but) ou il a mis une annonce:cherche homme à goder!!je ne sais plus quoi penser évidement il me dit qu'il m'aime, nous allons avoir 1 bébé on a des projet mariage, j'ai peur qu'il passe à l'acte, et pour moi c'est comme si il me trompé avec une femme, je préfère que ce soit moi qui le gode et pas un homme. Voilà tout, j'ai besoin d'avoir des avis d'hommes ou de femmes. Merci
On peut imaginer que ton homme a des questionnement quant à son orientation sexuelle. L'alcool déshinibe et lui permet peut-être de l'exprimer. Parle avec lui, ça pourrait l'aider. Tout ça n'empèche pas que si tu ne te sens pas respectée tu ne dois pas accepter qu'il voit des hommes.
En tout cas à te lire je trouve que tu reporte beaucoup sur l'alcool, mais a-t'il bu lorsqu'il se procure ses sex toys? Je crois que tu pourrais lui conseiller de consulter, ses pratiques ne sont pas forcemment gènante mais peut-être que pour lui tout cela est compliqué à vivre.
merci pour cette réponse, je ne pense pas qu'il voit des hommes, il a déjàs eu une expérience avec un homme avant qu'on soit ensemble, et il n'en a pas gardé un très bon souvenir, je pense qu'il a des pulsions à certain moment notament avec l'alcool, mais qu'il ne passe pas à l'acte, nous en avons parlé, il ne se voit pas du tout vivre une relation avec un homme, son plaisir est seulement anal, nous avons des relations sexuels tout à fait normal et je sais qu'il prend son pied avec moi, je sais que lui même se pose beaucoup de questions, et c'est pour cela aussi que je me suis inscrite sur ce forum, afin de trouver quelques réponses à nos questions.
Le post a quelque année,mais je pense être mon témoignage until a nombre.. J'ai ma copine depuis 4 ans, elle sais depuis 2 ans que j aime bien les plug et gode, que j ai eu des rapport avec des mecs, … Ca a être très dur de l'avouer et assumer, mais surtout de me l'avouer.. mais, pour moi ce n'est que du plaisir anal. Tous ça quand je suis bourer aussi.. J'aller dans des sauna gay, et me fesai sodomiser.. mais je ne rechercher que le plaisir anal et d être soumis. Rien avoir avec le fais d être gay, juste d'être ouvert d esprit et être bien dans son corp ! ne voulants pas que ma copine ne sache pour le sauna, bourré j ai demander le gode ceinture, on en parle depuis plusieurs mois, et on devrai l acheter tres bientôt. Oui on perd un peu de masculinité et je comprend que ça ne vous excite pas toutes forcement. Mais vous aussi vous aimer bien une sodomie de temps en temps ? rien de gay, c est pas de l amour que l on a pour les homme, c'est le plaisir anal, c tout. Bref tous ça pour dire que je remercie ma copine pour m accepter comme je suis. a bientôt
oui, il est bourré quand il commande ses sex toys, quand je n'étais pas enceinte et que l'on faisait des soirés arrosé, on regarder ensemble les sextoys, mais je tiens à précisez qu'il n'est pas constament saoul, j'ai essayé de lui proposer de le goder quand il n'est pas saoul et il ne veux pas, je pense qu'au lieu de se masturber devant un film porno, il se masturbe autrement, et qu'effectivement avec l'alcool il a des pulsions désihibante. Il se pose des questions ça c'est sure, et moi aussi, c'est pour ça que je suis sur ce forum pour essayer d'en trouver.
ça relève peut être simplement du fantasme, les envies sexuelles et l'orientation sexuelle ça peut être différent , l'acte avec un homme ou autre le tente? c'est simplement cette pratique dans un cadre bien défini?



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Un impuissant avec une ceinture gode? Comment réagiriez-vous?
Question pour les femmes. Vous rencontrez un homme. C'est une histoire d'un soir. Ne mêlons pas l'amour à tout ça, ca complique toujours les situations les plus simples. Il vous dis je suis impuissant mais j'utilise un gode ceinture creux (nom barbare pour une prothèse) pour pallier à mon érection défaillante. Quelles seraient vos réactions? Oui, non. Hors de question. Tolérance. Merci pour vos réponses.
Vu les réponses que tu écris sur le forum spycho : "inutile de répondre à ce message car demain je serai mort" Crois-tu que les réponses vont te satisfaire ? Ici on parle des problèmes pas de suspicions 👋 
Merci pour ta réponse, même si je ne la comprend pas.
Edité le 01/10/2009 à 4:30 PM par mor32bn
En plus, il était tellement convaincu qu'il allait le faire qu'il a écrit ça sur 4 topics différents. Alors une question me vient soudainement à l'esprit: est ce bien "moros" qui a ouvert ce topic ou son fantome ???? Un fantôme avec un gode ceinture, ça doit en faire rêver plus d'une.
 Si ca te tente on peut parler de ma tentative, que dis-je, de mes tentatives ratées mais par rapport à la question c'est hors-sujet. Cordialement.
Que veux-tu que qui que ce soit te réponde ? Si on te dit "oui" tu vas chercher la petite bête pour te convaincre du contraire. Si on te dit "non", c'est la réponse que tu attends... Ton comportement négatif que l'on lit sur les autres forums où tu ne parles que suicide n'est pas le sujet dont on débat ici. Je sais que les hommes atteints d'impuissance passent par des phases dramatiques et ça se comprend, mais ils ont la dignité de ne pas venir provoquer directement les femmes en posant des questions auxquelles elles ne peuvent pas répondre n'étant pas en situation. Pour ma part, un mec qui ne me plaît pas, qui me propose un coup d'un soir et qui me parle de gode-ceinture, il reçoit une baffe parce que le prends pour un pervers. Pour le coup d'un soir, il faut que ça fasse tilt avant et qu'il y ait attirance, une femme ne va pas au pieu direct pour se faire sauter dans de telles conditions, ou alors c'est leur métier (que je respecte). Ton problème est : est-ce que tu prends ton pied avec ton jouet, est-ce que tu as fait tout ce qui était nécessaire pour pallier tes problèmes ? Maintenant, si c'est pour rester sur des questions qui n'en sont pas et qui ne régleront rien ici mais sans doute sur psycho, il n'y a aucun intérêt à te suivre dans tes idées morbides. Dirige-toi vers le modérateur pour savoir où poser ta question sexe/suicide et surtout savoir auprès de lui quel est l'impact de tes tentatives par rapport à ceux qui sont en détresse et qui veulent sans sortir et qui malheureusement te lisent. 🙏
Je vais faire court (pour une fois)..... + 10
Dido, tu as la mémoire courte, Moros ça me disait quelque chose, surtout l'histoire et rappelle-toi en septembre 2009 où il était venu faire l'intrus en usant de deux pseudos... Franck13270 et Moros, la paire.... et que tu avais dévoilé par captures d'écrans son stratagème.... Cette url n'existe plus + 20 http://forum.doctissimo.fr/doc [...] tm#t108675
Edité le 24/09/2015 à 11:36 AM par Solal
le gros pb , cest la solitude , as tu pensé a voir une pro ?? un massage complet ??

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Publié le
21/04/2018 à 08:00







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La pénétration de l'homme par sa partenaire reste un "interdit" bien ancré.
"Mon ex a tellement adoré que nous n'avons fait que ça pendant deux heures. Quand je l'ai recroisé quelques mois plus tard, il m'en a tout de suite reparlé, me disant qu'il y pensait tout le temps et que ça avait été fou ." Naëlle, 29 ans, n'a pas oublié non plus cette fête d'été où, après plusieurs cocktails, ils ont remis le couvert pour une nuit, avec une expérience inédite : c'est elle qui l'a pénétré avec ses doigts. 

Si l'on parle facilement aujourd'hui de tantrisme, polyamour ou sodomie, il est une pratique que l'on avoue moins facilement : la pénétration de l'homme par sa partenaire. Avec un gode, on appelle cela le "pegging" en anglais, "chevillage" en français. Avec des doigts, pas de jargon particulier. Mais dans tous les cas, la chorégraphie classique s'inverse : l'homme est en position passive, tandis que la femme a le contrôle. Selon ses adeptes, cette pratique procure un plaisir physique pour l'un, très psychologique pour l'autre. 

Friand de nouvelles expériences sexuelles, Hugo, 32 ans, assume totalement avoir exploré l e plaisir anal de diverses façons . "Je ne me suis jamais enfermé dans un cadre hétéronormé, témoigne-t-il. J'ai découvert ce plaisir seul et je n'ai pas eu de difficulté à le faire avec des filles. Ça demande un lâcher-prise total et rend les orgasmes plus intenses. Pour moi, le sexe, c'est surtout une affaire de sensations." 

Souvent, les femmes initient la démarche pour donner plus de plaisir à des hommes réticents. Carine, 28 ans, voulait vérifier si ce mystérieux "point P", sorte de point G masculin existait vraiment. "J'étais avec mon copain depuis quatre ans. Lui était plutôt macho. Je savais qu'il ne serait pas facile d'aborder la question. On est partis à la recherche de ce fameux point P, d'abord avec mes doigts, puis avec un gode. Au début il avait des difficultés avec l'idée de se faire pénétrer, c'était une question de fierté. Une fois qu'on a trouvé cette zone de plaisir, c'était comme s'il avait ouvert les yeux. Il était alors bien plus demandeur que moi." 

Romy aussi a mené campagne longtemps avant que son copain ose sauter le cap. "À chaque fois que j'en parlais, il rejetait l'idée, en disant : 'jamais de la vie !'" Il aura fallu du temps et une bonne dose d'alcool pour que, de retour d'une soirée, le couple oublie ces sacro-saints principes. 

"J'ai commencé par une fellation , puis je me suis approchée délicatement du périnée avec ma main. J'ai vu qu'il adorait. Il s'est détendu, pour n'être plus que dans son plaisir. Alors j'ai utilisé du lubrifiant et mon gode vibrant, doucement. Il est entré en transe. Je le masturbais en même temps régulièrement. Il a joui plus intensément que d'habitude. Le lendemain, il a feint de ne se rappeler de rien. Avant d'avouer qu'il avait ressenti une immense vague de plaisir. Jamais il n'avait connu ça." 

Romy pense que le fait de n'avoir pas entièrement délaissé le pénis de son partenaire a été "le secret" de sa réussite. De nombreux hommes sont rebutés à l'idée de la pénétration. Si le rapport ne se concentre pas sur leur pénis, ils se sentent dévirilisés. "Dans les représentations genrées, l'homme se définit autour du pénis, explique le sexologue Philippe Arlin, auteur de Sexuellement incorrect (éd. De la Martinière). Quand les femmes sont curieuses du reste de leur anatomie, elles se font rappeler à l'ordre. Ne pas y faire référence pendant l'acte revient à prétendre qu'il n'en a pas et qu'il n'est pas vraiment un homme." 

Certains hommes trouvent en effet la pratique plus acceptable si elle n'empêche pas leur partenaire de s'occuper de leur pénis. Comme pour rassurer le schéma stéréotypé de l'homme viril dominant. "La pratique avec les doigts peut se faire en même temps que d'autres gâteries", rappelle la directrice de recherche CNRS au Cevipof, Janine Mossuz-Lavau, auteure de L'amour en France , une enquête à paraître aux éditions de la Martinière. 

Ophélie, 29 ans, ne peut envisager d'entrer en son partenaire qu'à certaines conditions. "Ça ne me plairait pas de le pénétrer sans que lui ne me pénètre. Sur l'utilisation d'un godemiché, je ne dis pas 'non' d'office, mais tout dépend du contexte... Je ne me vois pas derrière lui, à quatre pattes, avec un gros truc rose à paillettes." 

Derrière cette peur de perdre son statut, se loge aussi la crainte d'être considéré comme homosexuel. "L'homophobie, ce n'est pas la haine du 'pénétrant', mais celle du passif, de 'l'enculé', continue Philippe Arlin. On déteste les hommes qui ont un pénis et ne s'en servent pas. Avec le plaisir anal, il n'y a pas un homme qui ne va pas se poser des questions sur son homosexualité. Les femmes aussi pensent 'mon mari doit être un peu gay parce qu'il aime bien que je le tripote là'. Nous restons enfermés dans des représentations qui restreignent dramatiquement notre sexualité." 

Quand ses amis faisaient des blagues lourdes aux accents homophobes sur la pénétration, le partenaire de Carine détournait le regard, honteux. "Il n'assumait pas, je voyais qu'il était très gêné ", confie-t-elle. Après leur première fois, Romy a apprécié que son copain ne lui redemande pas explicitement de réitérer l'expérience. "J'aurais trouvé ça un peu gênant qu'il le formule verbalement, je pense que ça ne m'aurait pas plu." Peut-être son plaisir à elle n'aurait-il pas été le même. Durant leurs ébats, la tension de ce non-dit lui laissait une forme de toute puissance : seule elle décidait d'accorder, ou non, ce "bonus de jouissance" à son compagnon. 

C'est le "bon" côté d'un tabou : en transgressant un interdit, l'excitation est plus forte, le plaisir, décuplé. Sans lui, les femmes trouveraient peut-être moins leur compte dans cette pénétration. "J'ai aimé qu'il se laisse faire. Il me touchait à peine et j'avais énormément de plaisir. C'était très psychologique, se rappelle Romy. À la fois un mélange de transgression et de la vue de son plaisir dans un contexte un peu 'hard'." 

Pour Naëlle, cette inversion des rôles a eu un petit goût de revanche sur la relation avec son ex. "C'était un grand mec, beau, un peu macho, qui séduit facilement et dit où, quand, comment. Dans notre relation, c'était plutôt lui le boss. Là, j'avais le pouvoir : il était à ma merci, jambes écartées devant moi, les yeux fermés, en train de jouir comme jamais, dans une forme de don de soi. C'était comme avoir un pouvoir. Après ça, j'ai eu envie de convertir mes partenaires suivants, en leur disant 'si tu me fais confiance et que tu te laisses aller, tu vas forcément aimer'." 

De quoi rapprocher les partenaires et renforcer leurs liens autour du secret . "Je savais qu'il ne le ferait avec personne d'autre, qu'il ne le répéterait pas, assure Naëlle. Ce qu'il se passait, c'était juste entre lui et moi." L'expérience a renforcé la complicité de Romy et son ancien conjoint. "On a passé une barrière de confiance énorme. Ça a ouvert la porte pour tester des trucs sans honte, découvrir son plaisir et celui de l'autre. Avec les copains que j'ai eus ensuite, aucun n'a voulu tester. Et ça me manque." 





Quand je sodomisais mon mec avec un gode-ceinture







Initiateur de la discussion

Ana L'acrobate



Date de début

19 Septembre 2018





















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Dernière édition : 19 Septembre 2018













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