On ne peut pas la rater

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On ne peut pas la rater


On ne pouvait pas le rater. Le meilleur (et le pire) de la Fête de la musique




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On ne pouvait pas le rater
Olivia Leray
Du lundi au vendredi à 8h26 et 10h56



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franceinfo





























Des parisiens dansent dans la rue à l'occasion de la 40e édition de la Fête de la musique, le 21 juin 2022. (LUDOVIC MARIN / AFP)




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La Fête de la musique a soufflé mardi sa 40e bougie, et cela n'a pas échappé à Olivia Leray.
On va voir ce qu'il s'est passé chez nous en France pour les 40 ans de la Fête de la musique . Ça a d'abord commencé très très tôt, à 5 heures du mat' au marché de Rungis. Au programme : saucisse grillée, escargot, tripes et musique. Ça, c'est la vraie vie... Cette journée spéciale s'est poursuivie avec le reporter de franceinfo, Benjamin Illy, qui suivait les préparatifs. Et il a pas été déçu du voyage, avec un membre des "papys fous" qui lui a fait découvrir la "Tchoupette Mexicaine".
Côté réseaux sociaux, j'ai bien aimé le petit remix de la police nationale du département du Doubs . Mais je voulais absolument finir sur cette jeune femme sur Twitter qui a posté une vidéo avec ce message : " Je ne suis pas sûre d'assumer longtemps mais voici ma contribution en Ch'ti pour la #FeteDeLaMusique2022 "
Je suis pas sûre d'assumer longtemps mais voici ma contribution en Ch'ti pour la #FeteDeLaMusique2022 ! Luchi eud' Poscol Obispo #twitchfr pic.twitter.com/Sf7MOH84IB
Et je pense qu'on peut aisément finir là-dessus. Vivement l'année prochaine !
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Certains ont peur de ne pas trouver l’amour, d’autres de stagner professionnellement … D’où vient la peur de “rater sa vie” et qu’est-ce qu’elle implique intrinsèquement ?























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“Récemment, en faisant le bilan de ces dernières années, j’en suis venue à la conclusion que j’avais foiré, du moins ma dernière partie de vie”, confie blasée, Agnès*, 33 ans, chargée de marketing digital à Paris. Un sentiment partagé par Julie, 32 ans, community manager en région parisienne, qui évoque à demi-mots que le temps qui passe l’angoisse. “Autour de moi, je sens qu’on commence à paniquer parce que je ne suis pas mariée et que je ne risque pas d’avoir d'enfants tout de suite. Du coup, j’ai cette peur de l’échec sous-jacente qui me rattrape, comme si je passais à côté de ma vie ”, raconte-t-elle.
Comme elle, près d’un Français sur deux (47%) considère “passer à côté de sa vie”, selon les résultats d’un sondage Ipsos de septembre 2015. Un chiffre qui illustre parfaitement le flou et l’ambivalence qui entoure cette question. Parce que la réussite ou l’échec d’une vie ne signifie pas la même chose pour tout un chacun.
Amour, travail, famille : sur quelle échelle se base-t-on pour quantifier la réussite ? Le succès d'une vie ne se mesure donc pas aux seules performances, mais à ce qu’on appelle “l'accomplissement de soi”.
Preuve en est, la priorité accordée à la réussite sociale et professionnelle est en net déclin : “elle a chuté de 55 à 48% entre 2007 et 2015”, selon les statistiques de l'observatoire Sociovision relayées par Capital . Sans compter, qu'il n'y a rien de plus compliqué à quantifier que l' épanouissement personne l !
“Si à cinquante ans on n'a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie”, lançait Jacques Séguéla en 2009 sur le plateau de Télématin. Neuf ans plus tard, les ventes de montres de luxe sont restées vraisemblablement stables et pour autant et il semblerait que cela n’ait eu aucune incidence - ni en bien, ni en mal - sur le moral des Français, ni sur leur réussite personnelle. Mais alors, si la montre de luxe n'est pas l'unique signe de la réussite, qu’est-ce qui fait que l’on a souvent le sentiment de “rater” sa vie ou du moins cette angoisse latente ?
Même si cela me paraît être “mes” objectifs, je sais bien qu’ils sont aussi le fruit de comparaisons aux autres, à mon entourage et qu’ils sont souvent l’oeuvre de pression sociale
“Je suis un peu tradi mais pour moi réussir sa vie, c’est être marié, avoir des enfants, un job cool et gagner de l’argent. Être propriétaire aussi et bien sûr être heureux en appréciant tout ça”, liste Kate , 29 ans. “Après, je ne juge pas ceux qui ne suivent pas ce chemin de vie et je ne considère pas non plus qu’ils ont échoué”, ajoute-t-elle.
Pour Agnès et Julie, rater ou réussir sa vie dépend juste des objectifs que l’on se fixe. “Pour ma part ce sont des objectifs à la fois sentimentaux et professionnels, et pour le moment aucun n’est atteint”, souffle Agnès. “Même si cela me paraît être “mes” objectifs, je sais bien qu’ils sont aussi le fruit de comparaisons aux autres, à mon entourage et qu’ils sont souvent l’oeuvre de pression sociale”, ajoute-t-elle. Une notion de comparaison qui pour l’experte Nayla Chidiac, docteure en psychopathologie et psychologue clinicienne , est même à la source de ce sentiment d’échec.
“Selon moi, le sentiment d’échec global de sa vie découle de deux notions : la volonté de satisfaire immédiatement ses désirs et la comparaison aux autres”, explique-t-elle. 
Ce qui se joue dans cette question de rater sa vie ou au contraire de la réussir, c’est en réalité la satisfaction des désirs . Les objectifs de réussite sont simplement une liste de désirs qui doivent nous conduire vers le bonheur et la plénitude.
“La difficulté principale, c’est qu’à cause de la société d’aujourd’hui, les réseaux sociaux et l’idée qu’on doit tout mener de front, on perd le contact avec ses propres désirs”, décrypte ainsi l’experte. D'autant que les femmes sont soumises à cette course contre le temps insufflée par la fameuse horloge biologique . 
Pour ne pas être déçu(e), le mieux c'est de se fixer des objectifs à court ou moyen terme et surtout d'être créatif dans la façon de la façon de les atteindre.
Sauf que les enfants - comme la Rolex - ne sont pas un gage de réussite (ni d’échec).
“Si philosophiquement, on peut craindre de rater sa vie, dans la réalité, ça semble complètement déconnecté”, rappelle Nayla Chidiac. “Ça dépend uniquement des critères que l’on se fixe soi-même ou que l’on hérite de nos proches ou de la société”, ajoute-elle.
Et d’ailleurs pour dissiper cette angoisse, l’idéal est de relativiser ses échecs dans un premier temps et surtout de faire des mises à jour de ses objectifs, régulièrement. "On n'a pas les mêmes attentes de la vie à 20 ans ou à 40", rappelle l'experte. "Pour ne pas être déçu(e) et avoir l'impression de rater sa vie, le mieux c'est de se fixer des objectifs à court ou moyen terme et surtout d'être créatif dans la façon de la façon de les atteindre".
Avant de conclure, “c’est une question tellement française . Dans les pays anglo-saxons, on se demande comment on réussit et jamais, pourquoi on rate”. 
*Nayla Chidiac, docteure en psychopathologie, psychologue clinicienne, fondatrice des ateliers d'écriture thérapeutique au Centre hospitalier Sainte-Anne, spécialiste du traumatisme psychique chez les adultes et auteure de plusieurs ouvrages.
Article publié en 2019, mis à jour en mai 2022
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Les spécialistes sont unanimes: dans le cadre d'une psychothérapie, il faut être deux, patient et thérapeute, pour avancer. (Sur la photo, André Wilms et sabine Azéma dans le film «Tanguy»). Crédit photo: Télérama productions




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La relation entre un patient et son psychothérapeute détermine souvent la réussite ou l'échec d'une thérapie.
Trois ans déjà ont passé et Céline, 50 ans, se souvient encore très bien du moment où elle a cessé de se rendre, une fois par semaine, dans le cabinet de son psychothérapeute pour des séances en face à face qui duraient 45 minutes. «Je n'en pouvais plus, j'avais l'impression qu'il dormait en m'écoutant tandis que je ressassais mon malaise au bureau, se souvient-elle. Un jour, n'en pouvant plus, je lui ai dit que j'arrêtais la thérapie, nous avons eu quelques entretiens de bilan… Et, dans un même élan, j'ai enfin trouvé le courage de quitter ce travail où je n'étais pas respectée!» Avec le recul, Céline reconnaît donc que cette thérapie n'était pas si stérile que cela, puisqu'elle lui a permis de se sortir d'une impasse professionnelle dans laquelle elle s'enlisait.
Pour la psychothérapeute Laurie Hawkes, cette prise de conscience «à effet retard» est assez fréquente: «On juge la psychothérapie qu'on a faite comme on juge parfois ses parents quand on est devenu adulte: on trouve finalement qu'ils nous ont transmis de bonnes choses qu'on ne voyait pas sur le moment, mais on découvre aussi des “lièvres cachés” là où l'on croyait que tout allait bien.»
Une découverte n'empêchant pas toutefois la professionnelle d'affirmer qu'«il n'existe pas beaucoup de thérapies vraiment ratées, mais surtout des thérapies plus ou moins réussies, où l'on n'a pas pu aller assez loin, ou assez profond». En ce sens, même une thérapie de couple s'achevant par une séparation des partenaires ne constitue pas forcément un échec, «car même si le couple ne la voit pas comme telle, cette issue était peut-être nécessaire», estime Laurie Hawkes.
Et de raconter le cas de cette patiente qu'elle a accompagnée quelques années et qui, avoue-t-elle, la «hante encore».«C'était une femme intéressante, avec qui j'avais fait du bon travail, mais, à un moment, elle s'est mise à avoir des attaques de panique. Ensemble, nous n'avons pas réussi à les guérir. Elle a “séché” une séance, promis de venir à la suivante, séché celle-là aussi, puis la suivante - puis n'a plus donné signe de vie. Je l'ai relancée deux fois, avant de lâcher prise et de ne plus l'appeler. A-t-elle considéré sa thérapie comme ratée, à cause de ces paniques non guéries? Ou bien réussie, pour le mal de vivre persistant que nous avions guéri ensemble?»
«Ensemble». C'est dans ce mot que réside probablement la clé du processus: il faut être deux pour avancer, ainsi que le résume l'un des plus grands chercheurs sur l'efficacité thérapeutique, David Orlinsky, de l'université de Chicago, dans sa préface à la somme incontournable sur le sujet, L'Essence du changement (Éditions De Boeck): «La constante en psychothérapie, c'est une relation cocréée et nourrie par un client et un thérapeute, utilisée efficacement par le client comme source d'influence corrective dans sa vie.»
Du côté du patient-client, bonne volonté et honnêteté sont donc requises pour mener à bien le processus, ainsi que le rappelle avec humour la coach Émilie Devienne, qui vient de publier 50 exercices pour rater sa thérapie (Éditions Eyrolles): «Celui qui arrive en thérapie avec de mauvaises motivations, comme être toujours en joute avec le psy ou philosopher au lieu de ressentir, a toutes les chances d'aboutir à un clash.» Car, selon elle, l'une des qualités majeures du patient en thérapie est «d'accepter de ne pas tout savoir».
Pour Laurie Hawkes, ce sont les patients borderline avec lesquels le risque de «ratage» est le plus prégnant. Elle raconte d'ailleurs dans son dernier livre, Une danse borderline (Éditions Eyrolles) cet exercice délicat: «Ces personnalités sont tellement dans le “tout ou rien” ou le “blanc et noir” que le clivage est possible à chaque instant, explique la psychothérapeute. Une faute d'attention ou une erreur de jugement et ils peuvent alors à tout moment partir en claquant la porte… et ne jamais revenir.»
Du côté du thérapeute, les chances de faire échouer le processus tiennent aussi au lien qu'il instaure avec son patient et qu'on peut résumer par: «trop ou pas assez». «Dans le premier cas, le thérapeute intervient trop et, à force de vouloir “sauver son patient”, développe en réalité une emprise, explique Laurie Hawkes. Dans le deuxième cas, il n'intervient pas assez et n'est pas assez présent pour bousculer le patient comme il faudrait.»
Mais, confrontés à de telles difficultés relationnelles, certains patients apprennent à s'opposer, se défendre, grandir. C'est alors que même le moins bon de la thérapie peut provoquer des avancées notables. Un état de fait qui fait dire à Émilie Devienne qu'«en thérapie, on ne peut pas ne pas apprendre. Il y a toujours de nouvelles idées à grappiller… y compris celle qui invite, soudain, à changer de thérapeute!».
Pas un mot sur l'acting, cette pathologie déclenchée par la psychothérapie, dont les principaux symptômes sont: patient en état de semi-délire, submergé par des émotions qu'il/elle ne maîtrise plus au point d'en perdre la capacité à mener une vie normale, incapacité à travailler, à conduire, à mener à bien les tâches quotidiennes (cela peut aller jusqu'à l'hospitalisation), dépendance pathologique à l'égard du psy qui aboutit soit à une analyse interminable, soit à une rupture décidée par le psy ou le patient et qui est suivie d'un deuil atroce de plusieurs années.
Pas un mot sur l'acting, cette pathologie déclenchée par la psychothérapie, dont les principaux symptômes sont: patient en état de semi-délire, submergé par des émotions qu'il/elle ne maîtrise plus au point d'en perdre la capacité à mener une vie normale, incapacité à travailler, à conduire, à mener à bien les tâches quotidiennes (cela peut aller jusqu'à l'hospitalisation), dépendance pathologique à l'égard du psy qui aboutit soit à une analyse interminable, soit à une rupture décidée par le psy ou le patient et qui est suivie d'un deuil atroce de plusieurs années. Les psys affirment que ces cas sont rarissimes. Le psychiatre hospitalier auquel j'ai eu affaire m'a dit que cela arrivait "très souvent". Qui avait le plus intérêt à mentir ? Sujet tabou en France. Les Allemands, les Suisses et les Britanniques ont accepté l'existence du problème et cherchent à comprendre. Lecture recommandée : "Shouldn't I be feeling better by now ?" de Yvonne Bates. Pour un témoignage saisissant, voir "Folie à deux" (en anglais) de Rosie Alexander.
Patrick Dupuis le 17/04/2013 à 15:25
ne racontez pas n'importe quoi ! une thérapie qui se termine par une rupture est un échec Si vous n'avez pas d'enfant et que vous vous retrouvez en rupture à 45 ans ça parait mal parti pour en avoir, ou moins pour une femme, votre vie peut-être ravagée
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