On ma dit que c\’est toujours bien de faire exercice le matin moi et ma copine on a pris note de cet conseil et on le fait chaque matin

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Introduction : Le devoir est une obligation morale. Par conséquent, il se distingue de la nécessité qui s'impose à tous et ne laisse aucune alternative. En effet ce qui est 'necessaire' est ce qui ne peut pas ne pas être. Mais le devoir ne relève pas non plus d'une contrainte, l'obligation, ' etre obligé ' c'est d'une manière être lié à soi-meme elle est une autodétermination de la volonté et relève de l'autonomie tandis que la contrainte renvoie à une force extérieure à soi, qui s'exerce sur soi dans le but d'obtenir un effet indépendant de la volonté. L'obligation implique donc la volonté et la liberté de choix, en ce sens chaque sujet peut décider ou non de refuser de se soumettre à ses devoirs. Mais toute obligation n'est pas forcemment devoir. Les devoirs liés à une fonction ne sont pas un devoir moral. Le vrai devoir est donc, distinct de tout mobile sensible, autrement dit, faire son devoir ne rapporte rien et est indépendant de tout contexte particuliers. Le devoir étant universel, chaque sujet est tenu de le faire. Mais n'y a t-il pas des exeptions? Peut-on toujours agir moralement? Dans toutes les circonstances? N'existe t-il pas des cas particuliers qui admetteraient ou non l'immoralité d'une action? Mais qu'est-ce que bien faire? Autrement dit agir moralement? Accomplir son devoir n'est-ce pas une condition nécessaire à la liberté? L'action morale, ne permait-elle pas de se rendre libre? Enfin, n'existe t-il pas des cas particuliers? Par exemple, y a t-il un devoir absolu de vérité ou est-il parfois moral de taire ce qu'on sait? I ) Qu'est ce qu'agir moralement ? Le caractère rationnel du devoir Selon Kant, c'est la personne humaine elle-même qui est la mesure et la source du devoir. Kant ne nous demande pas autre chose que d'obéir aux exigences de notre raison. Le premier commandement s'énonce ainsi : « Agis uniquement d'apres la maxime qui fait que tu puisses vouloir en même temps qu'elle devienne une loi universelle «. Ainsi chaque sujet peut savoir où se trouve son devoir. Il lui suffit de se demander s'il peut vouloir que' la maxime de son action ' , le principe subjectif de son action, devienne une loi universelle, la même pour tous. Par exemple, puis-je vouloir que le mensonge soit érigé en règle universelle? Autrement dit, voudrais-je d'un monde peuplé de menteurs? Le deuxième commandement « Agis toujours de telle sorte que tu traites l'humanité, en toi et chez les autres, comme une fin et jamais seulement comme un moyen «. Par ce commandement Kant affirme que je ne dois me servir de quelqu'un pour espérer atteindre une fin souhaitée. Par exemple, je ne sauverai pas quelqu'un de la noyade juste pour esperer atteindre des compliments ou de la reconnaissance, car l'homme que j'aurai sauvé, je l'aurai considérer comme un moyen. Enfin, le dernier commandemant de la raison « Agis toujours de telle sorte que tu considères ta volonté raisonnable comme instituant une législation universelle «, souligne l'importance de l'autonomie morale. Selon Kant, je suis soumis à une loi, dont je suis moi même le législateur et tous les hommes s'y trouvent aussi soumis. Le devoir exige ainsi de n'obéir qu'a sa propre raison. Ainsi, d'après Kant, le devoir à un caractère rationel. L'action morale A) L'action morale est désintéressée Si faire son devoir, selon les exigences de ma raison c'est toujours bien faire, il faudrait se demander qu'est ce que signifie concrêtement' bien faire ' . Mais qu’est-ce qui fait que mon action peut être qualifiée de morale ? Kant, dans ses Fondements de la métaphysique des m½urs, tente de répondre à cette question. Selon lui , il est possible d'accomplir son devoir par vanité et intérêt mais on ne pourra qualifier cette action de morale. Une action morale est tout d'abord selon Kant une action purement désintéressée. Par exemple, un marchand rendant la monnaie à son client le fera par honnêteté s'il estime que c'est son devoir moral, mais il pourra aussi le faire par intérêt vis à vis de sa clientèle qu'il ne veut pas perdre. Il y a action moralement bonne que quand celle-ci est en conformité avec ce qui est moralement bien.Le marchand honnete accompli des actions moralement bonnes. On ne pourra alors dire qu'une action est bonne si elle est intéressée ou si celui l'accomplissant espère en retour de la reconnaissance. Selon Kant accomplir son devoir ne signifie pas agir par intérêt ou dans l'espoir de quoi que ce soit en retour, par exemple notre bonheur, mais c'est simplement agir par obéissance à la loi morale. Mais comment différencier concrêtement une action morale d'une action immorale? B) Agir ' par devoir ' et non ' conformément au devoir ' SelonKant, au delà de l'idée de désintéressement, une action n'est moralement bonne que si elle est accomplie par devoir et non simplement conforme au devoir . Autrement dit qu'elle soit faite, « non par inclination, mais par devoir. «. Selon Kant, la valeur d'une action, c'est 'la bonne volonté ', l'intention d'agir seulement par respect pour le devoir , en dehors de tout motif étranger. Si l'on prend l'exemple de se jeter à la mer pour sauver une personne de la noyade on peut distinguer deux cas de figure. Le premier, l'action accomplie simplement par devoir, indépendamment de toute autre considération. Le deuxième, l'action dictée par des préoccupations intéressées, le désir d'une récompense, l'espoir d'une reconnaissance, la volonté de mettre en avant son courage. La matière des actes est identique néanmoins la forme diffère. C'est evidemment la première action ayant une valeur purement morale. Celui ayant accompli l'action simplement par devoirs, ne se contente pas d'agir conformément a celui ci mais, agit simplement par pur respect de la loi morale. C'est autrement dit ce que Kant apelle ' L'impératif catégorique ', obéir au devoir, non pour gagner quoi que ce soit, mais par simple respect pour la loi morale. Kant opère ainsi la distinction entre l'impératif ' hypothétique' et l'impéatif ' catégorique'. L'impératif hypothétique représente la nécessité pratique d'une action possible, considérée comme un moyen d'arriver à quelque chose que l'on veut, par exemple ' fais du sport si tu veux la santé '. Un tel impératif peut aussi etre qualifié de conditionnel. En effet il formule une condition, autrement dit un moyen pour arriver à une fin souhaitée. Dès lors que l'on prononce 'Fais ceci, si …' on s'éloigne de la vraie morale. En effet, la vraie morale réside dans ce qu'apelle Kant, l'impératif catégorique, soit un impératif indépendant de nos désirs et inclinations. Autrement dit il est ' bon en soi ' et non ' bon pour '. L'action accomplie est alors bonne en soi, elle est sans rapport avec un autre but, et l'impératif la commandant est catégorique ' respecte la parole donnée ! ' L'impératif de la moralité ne peut etre que catégorique. Il doit etre inconditionnel et absolu. Transition : Le devoir n'est ainsi que l'intention et la volonté de bien faire, une action purement désintéressée, simplement motivée par le respect de la loi et, du caractère universelle de celle-ci. En ce sens, faire son devoir selon une action purement désintéressée et selon l'impératif catégorique est ' bien faire ' , autrement dit, agir moralement. Contrairement à une pensée commune, accomplir son devoir n'est pas une entrave à la liberté. L'action morale n'est-ce pas ce qui permet justement de se rendre libre ? Le devoir civique comme condition nécessaire à la liberté La notion de devoir évoque tout d'abord l'idée de contrainte et par conséquent l'absence de libertés. Mais contrairement à cette idée commune, on peut réellement considérer un lien entre liberté et devoir. B) Le devoir moral Le devoir moral permet aussi d’accéder à la liberté. Selon Kant, le devoir est justement ce par quoi l’homme découvre qu’il est libre. En effet le devoir moral n’a de sens que si l’homme est libre. L’homme libre a le choix d’agir à l’encontre de ses inclinations, par conséquent moralement, ou pas, cest a dire immoralement. En effet, l’obéissance n’a de sens que chez un sujet capable de désobéissance. C’est ainsi dans l’ exercice de son devoir que l’homme ressent sa liberté. Etre libre ce n’est pas céder chacune de ses envies ou chacun de ses désirs mais c’est bien raisonner et ainsi etre capable de s’élever au dessus de ce qui nous détermine. La raison rendrait alors possible la liberté intérieure, car elle permettrait de nous indiquer ce qui est universellement bon. Le fondement de la moralité doit donc se trouver dans l'autonomie de la volonté, celle ci n'obéissant qu'a une loi, celle formulée par le sujet lui meme grace à sa seule raison. L’impératif hypothétique, de l’intérêt, ne permet pas a l’homme d’etre libre, bien au contraire il le rend esclave de lui-même puisque il ne lui permet pas de s’affirmer mais simplement d’etre soumis a ses besoins, désirs et intérets. Seul est libre celui obéissant à l’impératif catégorique. Faire son devoir parce qu’on le doit, en se représentant la loi morale dans sa valeur absolue , cest a dire inconditionelle est la seule manière pour lhomme de s'affirmer et de se rendre libre. Car agir par devoir c’est, contrairement à ce que l’on pense, agir sans y etre poussé, en dehors de toute contraintes. Cest agir en toute autonomie, par pure obéissance a un ordre de la raison. Par conséquent agir en toute autonomie cest agir librement. Donc agir par devoir cest agir librement. Agir moralement serait alors une condition nécessaire de la liberté de chacun. Mais désobéir a la loi morale dans le cadre d'une situation bien particulière, ne permet pas aussi à l'homme d'etre libre? Désobéir a la loi morale est-ce toujours agir immoralement ? Quelles circonstances admettraient que désobéir a son devoir ce n'est pas toujours agir immoralement ? III ) Cas particulier N'avons nous pas, dans telles ou telles situations, un droit de mentir? Toute une tradition fait de la vérité un devoir, par exemple le christianisme considère que tout mensonge est un péché. Pourtant il existe des circonstances où je sais pertinement que dire la vérité nuira à autrui. Mais alors, Y a t-il un devoir absolu de vérité? Ou est-il parfois moral de taire ce qu'on sait ? La vérité est t-elle un devoir, c'est à dire un impératif universel ? A) Le devoir de vérité est absolu Kant, dans Sur un prétendu droit de mentir par humanité , défend l'universalité du devoir de vérité. Il part de l'examen d'un cas extrême. Admettons qu'un assassin me demande où mon ami se cache pour le tuer. Existe t-il un droit de se taire dans une telle circonstance? Kant répond que la véracité est un devoir absolu de l'homme envers chacun. Car si je décide de taire ce que je sais ( où se cache mon ami ) je ne commets aucune injustice à l'égard de l'assassin qui me force à parler , néanmoins j'en commets une à l'égard de la morale c'est à dire envers l'humanité. Etant, grace à l'exercice de sa raison, le fondateur de la morale, l'homme , s'il agit contre la morale, agit contre l'humanité elle-même. Dans une nouvelle intitulée Le Mur , Sartre raconte une histoire qui ressemble fortement à l'exemple Kantien. Un résistant est arreté et ses bourreaux le forcent à dire, sous peine de mort, où sont cachés ses amis. Le résistant voulant les protéger, leur livre une fausse addresse. Par malheur, entre temps, ses amis ont changés de cachette et se trouve justement à l'indresse qu'a indiqué le résistant, et sont par conséquent arretés. Selon Sartre, le héro de cette histoire n'aurait pas du refuser sa mort et n'aurait ainsi pas du mentir. Mais selon lui, il ne devait pas non plus dire la vérité mais justement se taire. Contrairement à Sartre, Kant va bcp plus loin et affirme que nous n'avons pas le droit de nous taire car se taire est encore un mensonge. Car exiger d'autrui qu'il mente pour nous etre utile est contraire a toute légalité. Ainsi, semble t-il qu'en ce sens, ' bien faire ' serait dire la vérité. Nous n'aurions par conséquent pas le droit de nous taire. Mais, contrairement à ce que dit Kant, n'y a t-il pas bel et bien des exeptions à la règle de vérité? B) Faut-il vraiment toujours dire la vérité ? 1) les circonstances du droit de se taire Faut-il vraiment toujours dire la vérité? N'existe t-il pas justement des circonstances bien particulière admettant un droit de se taire? Selon André Comte-Sponville, dans son Petit traité ds grandes vertus, la position kantienne semble insoutenable. Par exemple, sous la seconde guerre mondiale, celui qui cachait un juif ou un résistant devait-il livrer ce secret? Tout homme considèrerait qu'il est dans son devoir de se taire. Des professions considère aussi l'obligation de se taire comme étant un devoir absolu. Par exemple, le cas d'un médecin qui sait que son patient va mourir. Dans un tel cas, faut-il vraiment dire la vérité? Kant affirme qu'il faut le faire mais Yankelevitch rétorque que ce serait sans raison que d'infliger la torture du désespoir. Deux cas de figure peuvent être envisagé. Le principe de bienfaisance peut conduir à ne pas dire tout de suite la vérité pour ne pas nuire au patient. Mais la morale du devoir interdit que le médecin mente en cachant une partie de la vérité. C'est pourquoi devant la décision à prendre l'homme doit surtout envisager les conséquences prévisibles de ses actes. Une telle morale peut être appelée « conséquentialiste «, elle nous invite à une évaluation, au cas par cas du bien attendu ou au contraire du mal évité. Le «conséquentialite« objectera qu'il y a des circonstances où nous sommes certains que le respect d'une exigence « déontologique «, c'est à dire sans considérer les conséquences, aurait de graves répercutions. Par exemple, si suivant une exigence « déontologique « je dis à l'assassion, où se trouve mon ami, je ne prend donc nullement en compte les conséquences de mes
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