On lâche la moto pour s'envoyer en l'air

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Loisirs Pour vous, je me suis envoyé en l'air dans le ciel de la Nièvre
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Après la Seconde Guerre mondiale, l’État a besoin de pilote en réserve et investit des millions d'euros auprès des structures aéronautiques. Les Français découvrent alors le planeur, un aéronef ultraléger dont la technologie ne cesse de se perfectionner au fil du temps. À l’aérodrome de Nevers-Fourchambault, le Centre de vol à voile du Nivernais organise des vols dans le ciel de la cité ducale.


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Les talkies-walkies grincent des dents. Les radios s’animent. À l’aéroport de Nevers-Fourchambault, un homme vient m’accueillir aux portes d’un petit hangar. Un bob du Centre de vol à voile du Nivernais vissé sur la tête, Stève Brossard, président de l’association, m’entraîne dans ce bâtiment. Bien au chaud, quelques planeurs dorment sous leur bâche. Les portes de cette immense chambre où se reposent ces aéronefs ultralégers sont grandes ouvertes.
« Nos vols dépendent vraiment de la météo », commente Stève Brossard, assis à l’arrière de la voiturette. « Les conditions optimales, ce sont les belles journées d’été avec de petits cumulus, des petits nuages blancs un peu partout. Le planeur ne fait que descendre. Il faut donc trouver des zones d’air chaud, thermiques. Comme il monte, au bout d’un moment, il se détend en hauteur et refroidit. C’est là que se forme un cumulus. Nous, quand on voit des petits nuages, on est content, car cela veut dire qu’il y a de l’air qui monte. »
Au bout d’une piste de décollage en herbe, plusieurs volontaires attendent leur tour. D’autres patientent, les yeux rivés vers le ciel, attendant un proche qui s’envoie en l’air.
Plus haut, d’autres planeurs s’invitent à la partie. « Il arrive que l’on confonde des aéronefs avec des appareils de modélisme. Certains planeurs viennent parfois de loin », observe Stève Brossard. « Un bon planeur peut parcourir plus de 300 kilomètres. Cela dépend du pilote et de la météo, forcément. » Autour de lui, quelques personnes s’amusent à chercher les planeurs sur un site Internet recensant tous les vols en cours .
Un talkie-walkie posé sur une table se réveille. Dans les grésillements, une voix détonne, celle de Richard De Colligny. Il annonce son atterrissage. Sans un bruit, l’oiseau de tôle et de plastique vient se glisser sur l’herbe jaunie par le soleil. Mon tour est arrivé. Avec énergie, comme à un enfant qui réclame un nouveau tour de manège, Richard De Colligny, m’invite à le rejoindre. Il prend quelques minutes pour se présenter et surtout me briefer.
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Le club Nivernais a été relancé en 2017. Ensemble, les adhérents sont comme une bande de copains. Pourtant, Stève Brossard insiste : « C’est une activité qui prend du temps et de la logistique. »
Il vaut mieux savoir utiliser un parachute et ne pas avoir à s’en servir que l’inverse.
Il me tend alors un drôle de sac. « Enfile ce parachute » lâche-t-il. « Pour le déclencher, tu tires cette languette rouge. » Les explications sur le fonctionnement d’un parachute, quelques secondes avant de monter en l’air avec un appareil qui ne vole que grâce à la poussée d’Archimède me laissent perplexe. « Il vaut mieux savoir utiliser un parachute et ne pas avoir à s’en servir que l’inverse » sourit-il. L’instructeur pointe du doigt le tableau de bord. « Cet indicateur, c’est l’altitude. » Il est bloqué à 200 mètres. « C’est la hauteur par rapport au niveau de la mer. Là, tout de suite, au sol, nous sommes à cette hauteur-là. » Il enchaîne avec les autres voyants avant de refermer le cockpit.
Le moment tant attendu est arrivé. Les hélices du Morane-Saulnier d’Hervé Koller, le pilote qui va nous tracter, se mettent à tournoyer. Un rugissement s’échappe de la gueule de cette bête de métal. La corde qui relie notre planeur à l’avion se tend. Notre engin roule, sans un bruit, derrière Hervé. « Nous allons décoller avant lui », explique Richard. Soudainement, les vibrations des roues contre les touffes d’herbes cessent. Plus rien. Plus une secousse. Le décor semble se réduire. Tout devient plus petit. Nous décollons. « C’est parti », s’amuse mon pilote. Impossible de ne pas sourire à ce moment précis. Plus bas, l’ombre de notre planeur se dessine dans les champs en contrebas. Après un virage à droite, quelques légères turbulences nous chahutent.
« Hervé cherche quelques thermiques. Cela cause des turbulences. » Nous tournons en rond au-dessus de la cathédrale de Nevers que je n’avais pas reconnu sous cet angle-là. Nous gagnons de l’altitude. « On roule, on roule, on roule. Ça monte fort. Ça monte fort par ici. Allez Hervé », lâche Richard. Il se met à chanter. « On veut que ça monte?! On veut que ça monte?! » 1.000 mètres, 2.000 mètres, puis soudain, il tire un manche. La corde lâche. Plus rien ne nous relie à l’avion remorqueur. Plus rien. Le silence. Seul le son du vent qui caresse les ailes de l’appareil se fait entendre.
« Yahou?! » Comme à chaque vol, Richard est heureux. « Si tu as besoin d’air, tu peux ouvrir », me signale-t-il, le regard tourné vers l’horizon. J’ouvre la petite fenêtre de la cabine et un air frais s’engouffre dans l’habitacle. Hervé nous avait prévenus. « On perd 6 à 7 degrés là-haut », nous décrivait le pilote du remorqueur. Après plusieurs dizaines de minutes de vol et une légère nausée qui s’invite à la partie, nous décidons de regagner la terre ferme. « C’est normal. Le tout premier vol fait toujours cela. Je suis comme toi. »
« C’est incroyable ce que je vis. C’est impossible de mettre des mots là-dessus. » Richard ne se lasse jamais de voler. « Petit, je sautais déjà du haut d’une grange avec un drap pour planer. Heureusement ce n’était pas trop haut. J’ai toujours voulu voler. »
Le club utilise aujourd’hui un avion prêté par le comité régional d’aéronautique après un don de l’État. De manufacture française, c’est l’un des derniers Morane-Saulnier qui ait été conçu.
Évidemment, quand on vous met un parachute sur le dos, vous faites moins le malin. Mais, il vaut mieux savoir l’utiliser et ne pas avoir à s’en servir que l’inverse. Il y a quelques années, la législation française imposait le port de cet équipement aux usagers des aéronefs ultralégers. Aujourd’hui, la loi a changé et plus rien n’oblige les personnes à bord d’un planeur à s’équiper d’un parachute. Le Centre de vol à voile du Nivernais a préféré garder cette vieille habitude.
Fabien Agrain-Védille fabien.agrainvedille@centrefrance.com
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desros a posté le 17 août 2022 à 13h12
Ceux qu'on voit passer au-dessus de Nevers ont un moteur. Et pourtant on doit être écolo...
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