On essaie le fleshlight

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On essaie le fleshlight
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Vue: 1,303,963 | Ajoutée: 10-07-2014

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Je suis caché dans la garde-robe de mon frère aîné... Mon nom, c’est Michael, j’ai 16 ans. Mon frère, c’est Luc, et il a 26 ans. Lui, c’est du genre branleur : il n’a jamais quitté la maison familiale alors que moi je cherche déjà à voir si nos parents pourraient me laisser aller en appartement bientôt et que notre sœur, née entre nous, est partie déjà depuis quelques années avec son copain.

Luc préfère rester dans sa chambre, au sous-sol, à écouter du rock, manger, dormir et, surtout, regarder du porno sur son ordinateur. Il y a quelques jours, j’ai découvert, caché sous son lit pas lavé depuis deux mois, entre un sac de chips passé date et une boîte de pizza qui date d’au moins une semaine, des revues de cul. J’ai alors su ce qu’il aime dans le sexe : des belles filles à l’allure innocentes et jeunes en train de se faire violer par des hommes matures avec des grosses queues pour leur écarter la gueule, le vagin ou l’anus. Depuis, j’allais en secret dans sa chambre pour me branler sur ces images excitantes.

Mais cet après-midi, j’ai faillis me faire prendre. Luc est entré dans sa chambre au moment où j’y étais, la queue à la main, en train de lire une revue, le croyant parti. J’ai juste eu le temps de me cacher et heureusement, il ne m’a pas vu sinon il aurait tout dit à notre père. Par la craque de la porte à moitié fermée, je l’ai regardé entrer et regarder dans sa chambre. En haut, notre mère lui disait de prendre sa douche car il « sentait fort ». Lui, il répondait qu’il allait le faire dans quelques minutes avant d’aller travailler à sa nouvelle job. Mon grand frère est habillé d’un jeans, t-shirt, pieds nu, la barbe pas rasée, les cheveux gras. C’est vrai qu’il a besoin de se laver mais en fait, il ressemble à pas mal de mes amis quand on n’est pas à l’école.

Bref, je le vois en train de fouiller dans ses couvertures où il en ressort un truc que je n’ai jamais vu de ma vie avant. Ça a la forme d’une lampe de poche mais transparent, avec un couvercle sur les deux bouts. C’est la fameuse Fleshlight. Je le vois baisser la braguette de pantalon, ensuite son sous-vêtement, et en extirper un pénis uncut de taille assez surprenante, plus gros et long que moi, évidemment. En hétéro que je suis, je ne trip pas sur les queues mais j’ai déjà comparé la mienne avec celle de mon ami Étienne. Ensemble, lui et moi, des fois, on se branle un à côté de l’autre en écoutant un film porno chez son père. Faudra que je lui parle de la Fleshlight!

Luc dévisse l’un des bouts où je vois un trou dans une sorte de gélatine dure. Ça a la forme d’une bouche. Un liquide transparent et visqueux en ressort, que je crois être du sperme qu’il a laissé dedans en matinée pour garder son jouet lubrifié pour l’après-midi. De son gros gland tout mouillé de précum et de salive, il enfonce sa queue dans le trou, jusqu’aux couilles velues. Il se met à baiser la chose en forçant avec ses bras, qui y vont sans ménagement. Après tout, ce n’est pas comme si une Fleshlight pouvait avoir mal de se faire violer ainsi!

Mon frère continue de se branler avec son jouet puis se met à jouir dedans de nouveau, probablement la deuxième fois de la journée. Il refoule ses cris de jouissance pour ne pas que maman l’entende d’en haut. Comme je l’ai précisé plus haut, je suis bien hétérosexuel. Mais ça m’a excité de voir mon frère baiser son jouet et ça me donne le goût de l’essayer moi aussi.

J’attends que Luc se déshabille complètement (je ne sais pas pourquoi, mais il avait gardé tous ses vêtements pour se branler) et qu’il quitte la chambre définitivement, avant de sortir du placard et de retrouver sa Fleshlight remise sous les couvertures de son lit. C’est collant de sperme tout autour, pareil pour le couvercle. Je le soulève et regarde par le trou de la fausse bouche, en tenant la fleshlight à l’horizontal pour ne pas faire couler le liquide sur le tapis de la chambre. Le nouveau sperme de mon frère y est encore tout épais, tout blanc.

Par un instant de folie, je baisse mon pantalon et mon boxer, retrouvant ma queue bandée à fond sous mes yeux. Je crache dans mes mains et j’étends la salive sur mon sexe. Je positionne le trou devant mon gland et je commence à pénétrer la Fleshlight doucement.

Je ne peux retenir ma voix lorsque mon pénis sensible d’adolescent excité se retrouve tout au complet dans cette fausse bouche qui me pompe la queue. C’est tout chaud encore dedans, dû au passage récent de mon frère. Je sens son sperme me mouiller le sexe et aider à la pénétration. Je soulève mon t-shirt par-dessus ma nuque pour dévoiler mon torse et me caresser pendant que je continue.

Soudain, j’entends des pas dans l’escalier. « Déjà Luc qui revient de la douche? Impossible. Ça fait juste trois minutes que je profite de son… Merde, pas le temps de penser, faut que j’me dépêche! » Et l’idée de me faire prendre par mon grand frère à utiliser sa Fleshlight et son sperme comme lubrifiant me fait jouir comme un fou. Comme lui, j'essaie de dissimuler mon cri et, très, très rapidement, je remets le couvercle dessus, mets le jouet sous les couvertures du lit et me recache rapidement dans le placard.

Ayant peur qu’il vienne fouiller dans sa garde-robe, je me cache au fond (c’est assez creux). C’est là qu’il entre dans sa chambre, la taille entourée de sa serviette de bain. Il l’enlève aussitôt et je peux voir toute sa nudité couverte de perles d’eau. J’ai eu raison de me cacher car le premier endroit où il se dirige est la garde-robe qu’il ouvre pour prendre son habit de travail. Mon visage est à la hauteur de son sexe, mais plus loin. Je suis comme hypnotisé par cette vision.

Depuis cet après-midi où j’ai découvert les plaisirs de la Fleshlight de mon grand frère, je l’ai utilisé presque chaque jour en revenant de l’école, quand Luc travaillait. Ça fait deux semaines, depuis. Parfois, je faisais exprès de me cacher dans son placard et, pendant qu’il se branlait avec son jouet, je le filmais avec mon appareil photo numérique. Je me filmais également en train de me branler avec, c’était excitant.

Je me suis alors rappelé de mon ami Étienne, qui a mon âge. Je voulais lui parler de tout ça, mais malheureusement il avait eu un accident de scooter quelques jours plus tôt et se trouvait chez lui, cloué au lit pour encore un moment, afin de mieux guérir. Les docteurs ont dit qu’il devait prendre congé de l’école et du sport : il doit bouger le moins possible.

Aujourd’hui, j’ai donc pris le risque d’emmener chez Étienne la Fleshlight de Luc, encore toute pleine de son sperme qu’il a laissé avant de partir à sa job. Lorsque j’entre dans la chambre d’Étienne, mon ami dort. Il est en sous-vêtement seulement, sur le lit, les couvertures enlevées (elles seront remises sur lui s’il a froid ou quand il dort). Autour de sa taille fine se trouve un bandage. Il a un corps assez beau, à demi musclé par les sports qu’il pratiquait. Il a du poil sur les jambes mais pas sur le torse. Il a des cheveux mi longs et un visage carré mais en même temps avec un restant d’enfance. Le tout le rendait très populaire auprès des filles. Mais en tant que gars straight comme moi, malgré tout, on préfère passer du temps entre copains.

J’entre donc doucement dans la chambre et il se réveille.

— Pas pire, pas pire… Qu’est-ce que tu fais de bon?

— Vu que ça faisait longtemps que je t’ai vu, je t’ai emmené une petite surprise…

J’ouvre mon sac à dos et en ressort la fleshlight.

— Tu vas voir, ça va te faire du bien… C’est comme… comment dire?... C’est comme un vibrateur pour femme, mais version homme! On entre sa queue dans le trou, pis on se laisse aller!

— Mais je peux pas le faire. Ça fait genre deux semaines que j’me suis pas branlé car j’ai de la misère à bouger mes bras!

Et c’est là que me vient en tête une excellente idée :

— Étienne… Toi et moi, on se connait depuis longtemps non?

— Pis on connaît assez nos corps l’un l’autre, hein?

— Euh… où est-ce que tu veux en venir?

Sans lui répondre, je vais verrouiller la porte de sa chambre, je m’approche de mon ami et lui baisse son boxer.

— Laisse-moi faire! Entre amis, on peut se donner un coup de main des fois!

Il essaie de bouger, mais il ne peut pas trop en faire, donc je réussis assez aisément à toucher sa queue et à lui mettre du lubrifiant dessus : ma propre salive en fait.

Au toucher de ma main qui se met à le masturber doucement, sa queue commence à gonfler jusqu’à devenir un peu plus grosse que la mienne. Il me dit, sur un ton à la fois choqué et excité :

— Tu sais, c’est presque un viol ça…

— « Presque »… Étienne, capote pas là. On s’est branlé je sais pas combien de fois ensemble depuis deux ans… Je t’ai vu, tu m’as vu… Que je te touche une fois là c’est pas si grave… Pis t’inquiète, non j’suis pas gay!

— C’est pas ça, c’est juste que… Bon, enfin, peu importe… Vas-y, je me laisse aller…

Je lui fais un sourire coquin et amical. J’empoigne alors sa queue par la base, la faisant encore plus gonfler. Elle pointe vers le haut et j’entre son gland dans le trou de la fausse bouche, puis le reste de sa hampe, très doucement. Je ne lui dis pas que le lubrifiant dedans est le sperme de Luc.

Le pauvre qui n’a pas joui depuis des siècles, il se met à éjaculer dans la Fleshlight après seulement vingt secondes de pompage. Son corps tremble, ses jambes se plient presque, ses orteils bougent et ses mains empoignent ses couvertures. Ses testicules se sont rapprochés de sa queue qui grossit et laisse sortir de longs jets de sperme dans le tube. Et sans penser, je le retire après sa jouissance, je baisse mon pantalon et me mets à me branler également avec sous le regard curieux d’Étienne. Je jouis presque deux fois plus vite que lui. Ensuite, pendant que je lave l'entrejambe de mon ami (c’est moi qui l’ai sali et ma mère m’a toujours dit de laver ce qu’on a souillé, alors…) on parle de tout ça et je lui raconte comment j’ai tout découvert. Finalement, il ne peut cacher son désir de réessayer le jouet.

— S’il te plaît Michael, ramène la Fleshlight d’autres fois!

Une autre semaine plus tard, je reviens chez Étienne après avoir revu Luc éjaculer deux fois dans sa Fleshlight en regardant une vidéo porno sur le net. Pendant que je branle mon ami doucement avec le jouet, je regarde sa queue au travers du matériel à demi transparent. Je peux voir son prépuce glisser sur son gland, les veines, les testicules qui se contractent… Étienne brise le silence :

— T’es sûr que t’es pas gay, ou bi?

— T’as l’air d’aimer ça me branler.

Il a les yeux brillants en me disant ça. Puis, voyant que je ne dis rien, il rajoute :

— C’est chiant que tu doives toujours attendre ton tour pour l'utiliser.

Une autre idée de génie me vient en tête. Le bout extrême à la fausse bouche est un autre trou. C’est plus petit, mais peut-être que… Je ne sais pas si je perds la tête, mais j’ose essayer : je baisse mon pantalon, je monte sur le lit à moitié et, tout en laissant la queue d’Étienne dans la bouche, j’entre ma queue dans le petit trou, et je pousse. Ça entre. Étienne ne dit rien et ne fait que regarder ce que je fais. Il est maintenant trop habitué à ma folie, je suppose!

Lorsque mon gland glisse sur le sien quand je suis au fond, c’est une trop bonne sensation. Je me mets à faire un va-et-vient qui nous fait baiser la Fleshlight les deux en même temps. Chaque fois que ma queue touche la sienne, ça fait comme de l’électricité et on a envie de jouir sans que rien sorte. Bientôt, le lit d’Étienne bouge sous nos corps qui baisent sans pitié le jouet sexuel. Il ne tarde pas le temps où nos queues se mettent à pulser, à gonfler. Le frottement est trop intense et on ne peut s’arrêter. Et lorsque le premier jet de sperme d’Étienne sort et noie mon propre gland, je me mets également à jouir sur son gland à lui. Nous nous mettons à jouir comme jamais dans la vie pendant les quinze prochaines secondes.

Je tombe presque sur mon ami à la fin, mais je me retiens. Sa chambre a une odeur de sexe qui l’envahit, ça ne sens que le sperme et la queue. On se retire donc chacun notre tour et je regarde le trou que j’ai pénétré : avec de la chance, mon frère ne remarquera rien!

Puis, je me rince, et je rince mon ami. Nous sommes en silence et je me demande si je n’ai pas été trop loin cette fois, et qu’il ne voudra plus qu’on fasse ce genre de truc ensemble. Mais, c’est tout surpris que je l’entends me dire, les yeux brillants encore :

— Hey, ça c’était hot! Tu reviens quand la prochaine fois, qu’on recommence?!


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