On dirait qu'elle a un gros appétit cette teen

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On dirait qu'elle a un gros appétit cette teen

Publié le

03 mars 2022 à 09h49

Véritable carton aux États-Unis, Yellowjackets débarque enfin en France, sur Canal+, tous les jeudis. Cette plongée angoissante dans l’enfer adolescent d’un crash d’avion ne laissera personne indifférent et ravira les fans de Lost ou de Twin Peaks.



On a aimé

Le casting, impressionnant
La scène du crash, inoubliable
L’ambiance vintage des années 1990
Les thématiques psychologiques





On a moins aimé

L’épisode 9, un peu trop psychédélique
La longueur des épisodes
Trop de questions sans réponses



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Dans la forêt, personne ne vous entendra crier
Une jeune femme court dans une forêt enneigée, apeurée, craignant manifestement pour sa vie. Et elle a bien raison, puisqu’elle tombe quelques minutes plus tard dans un piège fatal et sanglant. Bienvenue dans Yellowjackets , votre nouveau cauchemar, diffusé tous les jeudis sur Canal+ à partir de ce 3 mars 2022.
En 1996, un avion se crashe au milieu de nulle part. À son bord : une équipe de foot féminine censée disputer un championnat national dans quelques jours. Pour les survivantes de l’accident, commence alors une lutte pour leur survie, tandis que la forêt semble renfermer d’inquiétants cannibales… Puis, avance rapide pour échouer en 2021. Nous retrouvons plusieurs de ces adolescentes perdues, désormais adultes, après avoir passé 19 mois dans la nature. Ces rescapées semblent faire face à de sérieux troubles post-traumatiques, mais aussi à des tentatives de chantage pour dévoiler ce qui s’est réellement passé dans cette forêt, vingt-cinq ans plus tôt. Et ça ne semble pas être très joli.
Ne vous méprenez pas en voyant les premières images de ce thriller, avec ces adolescentes joyeuses et sportives, arborant les couleurs de leur équipe : Yellowjackets ne ressemble pas aux teen series habituelles ni à aucune série tout court. Cette première saison puise dans l’Histoire du petit écran avec un appétit gourmand, mêlant les genres et les inspirations avec malice. Tour à tour chronique adolescente, récit paranormal, critique acerbe de la société et de son sexisme, survival horrifique ou drame psychologique oppressant, Yellowjackets multiplie les fausses pistes et étonne par son impossibilité à être mise dans une case.
Difficile donc de vous décrire son ambiance glauque et fascinante, tant elle est unique en son genre. On y retrouve évidemment une forte similitude avec le roman Sa majesté des mouches de William Golding, dans lequel de jeunes garçons anglais échouent sur une île déserte et cèdent à la sauvagerie. Mais les références sérielles de Yellowjackets sont, elles aussi, bien particulières : les personnages suivis sur plusieurs époques façon Dark , les visions surnaturelles à la Twin Peaks , le crash d’avion et ses mystères comme dans Lost , la description ironique de l’enfer adolescent à la manière de Veronica Mars … Ces clins d’œil prestigieux se mélangent à merveille pour créer une atmosphère très originale et déconcertante.
Si l’on frôle parfois l’overdose devant cet assemblage d’influences et de genres si différents, la série nous saisit par sa maîtrise et sa capacité à distiller l’horreur par petites touches. Outre-Atlantique, les spectateurs n’ont d’ailleurs pas manqué d’échafauder des théories farfelues, semaine après semaine, tant la résolution de certains éléments narratifs se fait désirer. Qui va mourir, qui va survivre ? La suite au prochain épisode.
Mais ce qui captive le plus, dans Yellowjackets , c’est à n’en pas douter la qualité d’écriture de ses personnages. Comme dans de nombreuses teen series , chacune des lycéennes est aisément reconnaissable à première vue, grâce à une caractéristique principale. La timide Shauna vit ainsi dans l’ombre de sa meilleure amie, Jackie, la populaire et charismatique capitaine de l’équipe. On suit également la pragmatique Taissa, qui cache son homosexualité, l’intello Misty, rejetée par toutes ses coéquipières, ou la rebelle Natalie, adepte de sexe, drogue et rock’n’roll.
Mais on comprend très vite que ces adolescentes ne se laissent pas enfermer dans les cases qu’on leur a attribuées, tout comme la série en elle-même. Une mise en abyme magnétique, dans laquelle les protagonistes peuvent prendre toute leur ampleur. Chaque personnage possède ainsi une psychologie fouillée et multiple, loin des étiquettes que la société souhaiterait leur coller. La série aborde avec brio l’adolescence au féminin, le slut-shaming, la galère des premières fois ou le poids des injonctions. Le tout dans une ambiance vintage : les années 90 sont reconstituées avec une précision folle, nostalgique, presque chirurgicale.
Plus tard, dans leur vie adulte, ces quelques survivantes ont aussi dû se reconstruire comme elles le pouvaient, chacune à leur manière, après avoir vécu l’impensable. Yellowjackets raconte ainsi leurs failles, leur folie (auto)destructrice, leur difficulté à nouer des relations durables… La série dévoile de multiples façons de survivre à un trauma, sans jamais édulcorer la douleur ou la déception d’une vie adulte ennuyeuse. Toutes ces femmes restent coincées à vie, une part d’elle résidant dans cette forêt terrifiante, l’autre dans une vie familiale ou professionnelle devenue insupportable. Leurs états d’âme résonnent avec nos propres angoisses, renforçant la terreur ressentie devant la série.
Pour incarner ces adolescentes et adultes, en proie à la folie et au doute, mais qui tentent de survivre malgré tout, Yellowjackets a misé sur l’un des meilleurs castings du petit écran. La ressemblance entre les jeunes actrices et leur version 2021 est simplement hallucinante. Les mimiques, les attitudes, les expressions, et même les voix : tout est si travaillé que le résultat est bluffant. Ce véritable travail d’orfèvre participe évidemment à notre attachement et notre identification à cette bande féminine.
Sophie Thatcher ( Le livre de Boba Fett ) et Juliette Lewis ( Tueurs nés ) partagent ainsi l’affiche pour incarner la tenace Natalie, Sophie Nélisse ( La voleuse de livres ) et Melanie Lynskey ( Créatures célestes, Don’t Look Up ) impressionnent par leur interprétation trouble de Shauna, tandis que Jasmin Savoy Brown ( The Leftovers ) et Tawny Cypress ( Heroes ), se complètent pour donner vie à Taissa, la terre-à-terre du groupe.
Mais il est impossible d’évoquer le casting sans donner une mention bien spéciale au duo Sammi Hanratty et Christina Ricci ( Sleepy Hollow, Matrix Resurrections ). Ensemble, elles composent le personnage de Misty, dont la dualité et la folie donnent des sueurs froides à elles seules.
Bref, avec une interprétation de grande qualité, des personnages complexes, une musique flippante à souhait, et une ambiance unique teintée d’un humour satirique bienvenu, on dirait bien qu’on a tiré le gros lot, non ? Il est vrai que sous ses airs de teen serie , Yellowjackets a tout d’une grande et pourrait bien marquer le petit écran au fer rouge. Des scènes comme celle de l’accident d’avion, qui débute le second épisode, risquent de rester longtemps dans la mémoire des sériephiles.
Mais, il y a un mais. L’intrigue s’étire tellement en longueur que l’on manque parfois de croustillant à se mettre sous la dent. À la fin de cette première saison, de nombreuses questions restent sans réponse. Certes, c’est tout le principe d’une série et cela appelle évidemment à regarder la deuxième tournée, déjà annoncée par la chaîne Showtime. Mais on aurait aimé en voir davantage après ces dix épisodes d’une heure chacun, aux airs de longue saison d’introduction. Pour une série aux soupçons de cannibalisme, Yellowjackets nous laisse donc plutôt sur notre faim, pour le moment.
Yellowjackets est diffusée chaque jeudi, à 21h, sur Canal+. La première saison est déjà disponible en intégralité sur MyCanal .
Après avoir fait sensation aux États-Unis, Yellowjackets était très attendue en France. C’est Canal+ qui a décidé de diffuser cet ovni, inclassable. Le pitch ressemble fort au roman Sa majesté des mouches , de William Golding, version girl power : l’avion d’une équipe de foot féminine s’écrase au milieu de nulle part, alors qu’elle devait participer à une compétition nationale. Perdues dans une nature sans merci en 1996, ces adolescentes vont devoir survivre, au risque de tomber dans la sauvagerie. Nous retrouvons quelques-unes de ces rescapées en 2021, alors qu’elles tentent toujours de se reconstruire après le drame. Yellowjackets fait bien honneur à sa réputation, avec un casting d’une grande qualité, des personnages attachants, et une atmosphère très originale. On est vite happés par ce récit adolescent, aussi horrifique que psychologique. Seuls la longueur des chapitres et un manque de résolution convaincante nous empêchent de mettre la note maximale à ces dix premiers épisodes. Mais nous pouvons parier que la seconde saison, déjà commandée, nous réservera bien des surprises.
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Crédit photo de la une :
Showtime

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LES ATHLÃ?TES ONT parfois ceci d'agaçant qu'ils ne se conforment pas aux schémas simplificateurs. Les organisateurs du meeting de Paris Saint-Denis ont placé leur réunion sous le signe des revanches et des duels, et ils ne se sont pas privés de mettre en perspective un prometteur coude-à-coude entre Marion Jones, sprinteuse référence de la planète athlétisme, et Muriel Hurtis, la fusée tricolore montant en pleine puissance. La demoiselle de Bobigny ne voit cependant pas la soirée sous le même angle : « Je ne prends pas ce 100 mètres comme un duel. Je l'aborde dans le même esprit que les courses précédentes : pour gagner. Je ne cours pas contre une autre fille mais contre huit. » Muriel Hurtis figure au rang des favorites, car elle est passée pour la première fois de sa carrière sous les onze secondes voici quinze jours lors de la Coupe d'Europe par équipes (10''96, troisième performance mondiale de l'année), et comme cela survenait derrière une performance très probante le mois précédent à Athènes (2 e en 11''06 derrière la championne du monde Zhanna Pintusevich), on s'accorde à considérer qu'il y a là une solide logique de progression.
« Essayer d'améliorer quelques détails »
« On nous aurait changé Mumu ? », s'interroge avec amusement un observateur avisé des choses de la piste. Ce « on » rime avec Guy Ontanon, l'entraîneur qui a accueilli Hurtis cet hiver dans son groupe d'athlètes, à Nogent-sur-Oise. Ce technicien étant (comme sa nouvelle élève) extrêmement modeste et assez réservé, il est difficile de percevoir tous les changements qu'il a apportés dans les méthodes d'entraînement de celle qui fut en 1998 championne du monde juniors du 200 mètres. Guy Ontanon assure tout de même qu'il avait déjà, à son arrivée, « des idées pour essayer d'améliorer quelques détails ». Il s'agissait notamment d'augmenter les quantités de travail et le nombre de séances d'entraînement (six par semaine désormais), « de s'orienter de façon plus pointue sur la vitesse de base, de changer totalement sa technique de sortie des starting-blocks, avec les pieds plus écartés, pour libérer ses grands segments ». Muriel Hurtis a en outre mis ses bonbons à la corbeille pour s'engager dans une démarche d'hygiène alimentaire sous la houlette d'un nutritionniste. Le public de Saint-Denis ne sera donc pas étonné de découvrir une athlète à la silhouette affinée, mais il lui faudra dans le même temps convenir que la jeune femme a conservé un solide appétit : car outre le 100 mètres obligatoire des meetings de Golden League, la nouvelle chef de file de l'athlétisme français courra ce soir un 200 mètres, tout spécialement monté par l'organisateur à son intention.
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Enceinte et angoissée, Karine enchaîne les consultations chez l'accoucheur pour divers petits maux mais surtout pour le plaisir...
AMOUR- Dans la salle d'attente, je ne peux m'empêcher de scruter les autres femmes. Et si elles ressentaient la même chose que moi? Je me surprends même à être agacée par les plus jolies. Celle-là par exemple, toute bronzée, juste canonissime avec sa jupe en mousseline et ses jambes de 15 kilomètres. Obligé, elle en pince pour lui. Maquillée, coiffée, parfumée...on dirait qu'elle va à un rencard.
Moi? Ben moi aussi... A chaque rendez-vous, c'est le branle-bas de combat dans ma salle de bains. J'ai besoin de deux heures pour trouver la tenue et les bons dessous (sexy mais pas trop). Il se passe un truc...Dans la tête de mon gynéco-obstétricien, je ne sais pas, mais dans la mienne, c'est l'ébullition à chaque consultation. Ça m'est tombé dessus au milieu de ma deuxième grossesse.
J'enchaînais les petits tracas de la maternité, si bien que je le voyais très souvent. C'était une période compliquée: je dormais mal, j'étais épuisée et très angoissée. Par quoi? Par tout en fait, aussi par une facture impayée que par la brutalité du monde dans lequel je m'apprêtais à élever mes enfants. Je ne trouvais de réconfort nulle part, pas même dans les bras de mon mari, perdu face à mes interrogations et mes sautes d'humeur. Le seul endroit où je me sentais bien, c'était dans le cabinet de mon gynéco.
Rien que de respirer le parfum boisés qui y planait (le sien sans doute) me rassurait. J'aimais sa bonne humeur, sa finesse d'esprit, la délicatesse de ses gestes, et surtout il me comprenait. Je pouvais tout lui raconter, mes doutes de mère, mes peurs de femme, il m'écoutait plein d'empathie et m'apaisait de sa voix doucement éraillée. Il n'était pas spécialement beau. Je dirais même que je ne me serais jamais retournée sur lui dans la rue. D'ailleurs, lors de ma première grossesse, il m'avait laissée indifférente. Mais là, sa blouse blanche et ses mains chaudes et tendres me faisaient un effet fou.
Le déclic s'est produit quand il m'a avoué être, lui aussi, insomniaque. Je ne saurais expliquer pourquoi ce point commun m'a tant agitée. Peut-être à cause de la complicité qui s'est alors nouée. Le soir-même, dans le silence de la nuit, je n'ai pas arrêté de penser à lui. Que pouvait-il bien faire? Est-ce qu'il pensait à moi aussi? Ou bien étais-je un numéro de plus dans son fichier patientes? Lui était-il déjà arrivé d'avoir du désir pour les femmes qu'il auscultait? L'intime est tellement mis à nu sur une table d'examen.
Furtivement, la machine à fantasmes se mettait en marche. Cette-nuit-là, je lui aurais parlé longtemps...A défaut, j'ai téléchargé Ruzzle sur mon smartphone. Un jeu de lettres en ligne auquel il m'avait dit jouer pour faire venir le sommeil. Je suis restée devant mon écran jusqu'au petit matin, espérant disputer une partie avec lui, abrutie et à l'affût du moindre pseudo. Comme s'il allait utiliser "gygy75".N'importe quoi, ce type était mon médecin, pas un plan cul! J'étais mariée depuis onze ans, enceinte, heureuse et comblée, même si, ces derniers temps, il ne se passait pas grand-chose. Ma libido était au point mort. Enfin, juste avec mon mari. Car, à la simple évocation de mon "doc gynéco", je grimpais aux rideaux.
Des scénarios hot affluaient dans mon cerveau effaré. Que m'arrivait-il? Je ne suis pas du genre à fantasmer, moi! Surtout sur le corps médical. Pourtant, le sien occupait de plus en plus mon esprit. Et vas-y qu'on papote au comptoir du café, dans la file d'attente du resto chinois, à la pharmacie...et que ça raconte ses enfants, ses vacances, sa femme. Ça me faisait bizarre de l'avoir en face de moi alors que d'habitude c'est entre mes jambes qu'il était. Était-il sympa comme ça avec
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