On aime ses petits seins et son vagin sans poil

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Lio


Lio : Incontrôlable, elle montre ses seins face à Vitaa et Camille Cerf

Lio : Incontrôlable, elle montre ses seins face à Vitaa et Camille Cerf

Passionné par le monde du showbiz français, il est un grand fan de Cyril Viguier, Bénabar ou encore de Chevallier et Laspalès. Il met sa passion pour l'actu des stars au service de son poste de rédacteur


Lio montre ses seins sur France 3- 13 septembre 2019.


Publié le 14 Septembre 2019 - 11h04

Ce vendredi 13 a apporté son lot de péripéties. France 3 pensait diffuser la sympathique et familiale émission "Les Enfants de la musique", avec la participation de plusieurs personnalité de la chanson. Lio était naturellement invitée, mais emballée par une danse sur "Tomber la chemise", l'artiste de 57 ans a dévoilé sa poitrine, sous les yeux effarés de Vitaa et Camille Cerf.
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Lio a fait du grand Lio. Vendredi 13 septembre 2019, France 3 diffusait son grand jeu musical, Les Enfants de la musique en prime time. Pour l'occasion, plusieurs grands noms de la chanson française avaient fait le déplacement, à l'image d' Herbert Léonard , Vitaa et Slimane, André Manoukian , Manau ou encore Francky Vincent . Ce n'est pas son Fruit de la passion qui a fait craquer l'interprète de Banana Split , mais bien un défi de playback sur Tomber la chemise , immense tube des années 1990 du groupe Zebda .
En fin d'émission, sur les coups de 23h00, Lio s'est tout simplement déchaînée pour faire gagner son équipe. " Je vais le faire, je vais tomber la chemise. Tu vas voir on va gagner ", a-t-elle dit à son acolyte, Frédéric François , tout en essayant de défaire sa robe cache-coeur. Quand la musique s'est lancée, la chanteuse de 57 ans a s'est lancée dans une danse endiablée, enlevant le haut de sa robe. À la vue de cette nudité pas vraiment réclamée par le reste de l'assemblée, les visages de ses partenaires de jeu se sont décomposés. Vitaa et Augustin Galiana n'ont su retenir leur étonnement, tout comme l'ancienne Miss France Camille Cerf également invitée.
Le présentateur de la soirée, Bruno Guillon et Gil Alma se sont alors mis à quatre pattes par terre, se prosternant devant Lio et Frédéric François, qui a tenté tant bien que mal de cacher sa poitrine avec un vinyle. Très amusée par sa prestation, l'ancienne jurée de la Nouvelle Star a également publié la séquence sur son compte Instagram.
Une publication partage par LIO (@lio_la_vraie) le 12 Sept. 2019 10 :01 PDT
Malgré la cocasse performance de Lio, Les Enfants de la musique n'ont pas attiré les téléspectateurs. Le jeu musical de France 3 se contente de la quatrième position, battu par Bull , la nouvelle série de M6. Le divertissement porté par Bruno Guillon a rassemblé 1,05 million d'auditeurs, soit 6,1% de part de marché.
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Source : What did we get stuck in our rectum last year ?, Adequate Man National Electronic Injury Surveillance System Insertion of Foreign Bodies (polyembolokoilamania): Underpinnings and Management Strategies, Brandon T. Unruh et al, The Primary Care Companion for CNS Disorders
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Publié par Rédaction E-sante.fr , le 29/12/2017 à 10:41
Ecouteurs, savons, baguettes magiques… Les médecins urgentistes sont parfois amenés à extraire des objets inhabituels des orifices de leurs patients . En témoigne la liste des corps étrangers retrouvés dans le vagin de femmes américaines en 2017. Publiée par le blog Adequate Man , elle suscite autant le sourire que la perplexité.
Cette liste s'appuie sur la base de données de la Commission américaine pour la sécurité des consommateurs. Et en 2017, les Américaines ont su se montrer créatives . L'une d'entre elles s'est présentée aux urgences avec… un téléphone et de l'argent dans le vagin . Interrogée par les médecins, la patiente a expliqué que son partenaire avait inséré les objets au cours d'un rapport sexuel.
D'autres femmes se sont débrouillées par elles-mêmes, s'aidant de bougies, réflecteurs de vélo, d'écouteurs et même d'une baguette magique pour enfants. Prenant parfois des risques inconsidérés, puisqu' un bout de métal rouillé a été extrait par les médecins.
La perle des maladresses revient tout de même à cette patiente qui a décidé d'utiliser des pierres de massage intime . Le fil reliant les 15 cailloux entre eux s'est brisé. L'un d'entre eux n'a pas pu être retrouvé.
Certains rapports évoquent plus la naïveté. C'est le cas d'une femme qui a voulu se rendre à la piscine en période de règles. Dédaignant le tampon, elle a choisi de s'insérer une éponge de cuisine dans le vagin .
Les explications sont rarement données par la base de données. Il faut tout de même saluer la franchise d'une patiente. Consultant à cause d'une balle en silicone coincée dans son vagin, elle a choisi l'honnêteté : le jouet lui servait quand son mari était en déplacement professionnel.
Les hommes ne sont pas épargnés par ces accidents. Trombones, fourchettes et câbles ont dû être retirés des membres virils de plusieurs Américains.
Le vagin mesure 8 à 12 centimètres en moyenne. Ces insertions excèdent donc, de loin, les capacités du corps humain. Ce qui expliquerait peut-être pourquoi ces mésaventures ont fini aux urgences. Mais qu'est-ce qui pousse les gens à tenter de telles expériences ?
Une étude réalisée en 2012 par des chercheurs de l'hôpital général du Massachussetts (Etats-Unis) apporte une piste de compréhension. Plusieurs pathologies mentales peuvent provoquer la polyembolokoilamanie (la manie de s'insérer des corps étrangers dans les orifices), comme une dépression ou un trouble borderline... mais aussi une simple curiosité.
Les chercheurs soulignent donc que, face à ces étranges expériences, les professionnels de santé feraient bien d' afficher un visage impassible . Seule la compassion peut aider à identifier le trouble et le prendre en charge. Les aventurières auraient, de leur côté, tout intérêt à se rappeler que si un objet n'est pas fait pour être insérer dans le vagin, mieux vaut s'abstenir .
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Avec ces photos de vulves, elle veut briser les tabous


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L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 13 septembre 2019 à 16h07 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 17h39

Les vulves sont au cœur du projet photo de Lily Rault, Tabou. e, qui espère ainsi aider les femmes à se réconcilier avec leur corps.
Comme beaucoup de femmes, Lily Rault n’a pas toujours eu des relations simples avec son corps, et la hache de guerre est loin d’être enterrée. Mais depuis qu’elle s’est lancée sur le projet Tabou. e , elle a commencé à doucement emprunter le chemin vers la paix. Photographier des vulves dans une démarche artistique, voilà la réponse de la trentenaire à ses propres interrogations et à la douleur qu’elle a longtemps supporté faute d’information. “J’ai commencé à réfléchir à ce qu’on infligeait à notre sexe quand j’habitais en Australie, raconte-t-elle. Je menais une vie nomade, et quand j’av ais des infections, je ne savais pas bien les traiter, je me sentais seule face à ces questions.”
Une fois réinstallée en France et à l’aube d’un deuxième switch de carrière qui la mène vers la photo, Lily Rault rencontre une gynécologue qui lui explique que les “soins intimes” détruisent la flore vaginale plus qu’ils ne la protègent ; elle comprend alors à quel point les femmes sont désinformées, même quand il s’agit de leur corps, ce qui ne les aide pas du tout à entretenir des rapports pacifiques avec ce dernier. “J’ai commencé à me dire qu’on n’avait aucune information sur nous-mêmes, et qu’on n’avait tout simplement pas accès à nos vulves, qu’on ne les connaissait pas, se souvient-elle. A germé l’idée de les photographier, mais je ne savais pas du tout à qui je pouvais demander ça, je pensais à contacter des travailleuses du sexe ou des actrices porno sans oser. Un soir, alors que je parlais de mon projet à des amies, elles m’ont dit qu’elles seraient partantes pour être mes modèles, et c’est comme ça que tout a commencé.” De ce verre entre copines à des expos en France et à l’étranger, Lily Rault nous raconte le parcours inattendu de son initiative, qui n’en a pas fini de se heurter aux tabous qui entourent le sexe féminin. Interview.
Pourquoi as-tu choisi de photographier cette partie de notre corps ?
Lily Rault – Les vulves m’intéressaient car elles symbolisent autant la jouissance que la douleur. Les deux sont taboues. Ces dernières années, on parle de plus en plus de la jouissance des femmes et de leur façon de se la réapproprier, mais moi, j’avais envie de m’intéresser à la douleur. Celle d’une mycose, d’un accouchement, d’une épisiotomie, de tout ce qui traverse le sexe d’une femme et que l’on tait. J’ai appris récemment qu’une femme perdait du sang pendant deux semaines après son accouchement, pourquoi on n’en parle jamais ?
Cela a-t-il été un shooting comme les autres ?
Pas du tout ! Même si je connaissais bien mes modèles, on a commencé par un bon apéro pour se détendre, on en avait besoin. On a beau être amies, c’était très intimidant. D’ailleurs, pour qu’on soit à l’aise, on a décidé qu’on était toutes à poil, comme ça on était à égalité. J’ai commencé par photographier les pieds de l’une pendant qu’une autre tenait la lumière, puis je suis remontée petit à petit et on a ensuite inversé les rôles. C’était une expérience très forte pour nous toutes et en regardant le corps des autres, on s’est rendu compte qu’on ne connaissait pas le nôtre. Je ne me rendais pas compte de la diversité des sexes féminins. J’avais lu, vu des dessins et des photos, mais le vivre en vrai, ça a changé beaucoup de choses, et ça a fait tomber des tabous.
Pourquoi avoir choisi de coller des photos de vulves sur des photos de voyage ?
Depuis le début, je veux m’emparer du sujet de façon artistique. Je veux montrer qu’un sexe féminin, c’est beau. J’ai d’abord travaillé les couleurs en prenant beaucoup de photos au néon avec mon appareil numérique. Une fois que j’ai obtenu les couleurs que je voulais, j’ai choisi des photos argentiques de mes voyages qui matchaient. L’idée c’est qu’on ne reconnaisse pas tout de suite le sexe féminin, ça crée un effet de surprise. Et puis, je crois que la couleur permet de prendre de la distance avec la prise de vue sans filtre, c’est une forme de pudeur.
Quelle est la réaction des gens quand ils les voient ?
Justement, ils ne réalisent pas tout de suite. J’ai deux tirages qui sont affichés sur les murs de mon salon, et souvent on me dit “c’est sympa cette photo” , et quand j’explique ce que c’est, il y a toujours un moment de gêne. Ça me confirme qu’un sexe féminin, c’est encore tabou, pour les femmes comme pour les hommes. C’est pour ça que j’aime particulièrement le nom du projet Tabou.e . Je ne me rendais pas compte à quel point ça l’était quand j’ai commencé.
Oui, la première fois, c’était à l’occasion du 8 mars dernier. Le bar Saint-Sauveur, dans le 20ème arrondissement de Paris, cherchait des projets artistiques féministes et on leur a parlé de mes premières photos. Ils m’ont donné la chance d’exposer mes neuf clichés, que j’ai exposés à nouveau à l’Espace Lamarck ensuite. Puis, cet été, j’ai été invitée à participer au festival Garbicz en Pologne . Mais tout n’a pas été simple sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram.
Que s’est-il passé sur Instagram ?
J’ai voulu communiquer sur ces différentes expos et partager mes photos sur mon compte, qui est la vitrine de mon travail photographique. Je ne sais pas si j’ai été signalée ou si les robots ont fini par reconnaître les vulves, mais j’ai reçu un premier avertissement. Ça m’a énervée car mes photos n’ont rien de vulgaire ni de choquant, je fais un boulot éducatif. J’ai continué à poster et à partager des stories, jusqu’au jour où mes posts ont été supprimés et mon compte bloqué. J’ai dû rester un mois sans rien pouvoir faire sur Instagram, ce qui est très handicapant pour quelqu’un qui, comme moi, se lance comme photographe. Et quand petit à petit, j’ai récupéré mes accès, j’ai réalisé que plus personne ne voyait mes contenus, et que c’est encore le cas. Ce bannissement d’Instagram est au cœur de ce que je veux montrer avec Tabou. e , ça don ne du sens à ce que je fais mais ça m’attriste que le sexe féminin doive toujours être caché.
Le projet s’adresse-t-il aux femmes ou aux hommes ?
Il s’adresse à tout le monde. Ni les femmes ni les hommes n’ont des raisons d’être gênés. Statistiquement, il y a des chances qu’on ait tou·te·s vu une ou plusieurs vulves dans notre vie. Ce qui est sûr, c’est qu’on en sort tou·te·s, donc on peut se détendre ! (Rires.)
Comment aimerais-tu que Tabou. e évolue ?
J’aimerais poursuivre mes prises de vue avec d’autres modèles, d’ailleurs s’il y a des volontaires qui me lisent, elles peuvent me contacter . Je n’exclus pas de photographier par la suite des femmes transgenres, et je voudrais aller plus loin en montrant des vulves qui ont été abîm ées, que ce soit par un accouchement, des produits trop abrasifs, de la chirurgie esthétique ou une excision. Je ne m’interdis rien, je suis convaincue que l’art est politique et qu’il faut montrer le sexe des femmes. Personnellement, j’aurais aimé avoir des images et avoir plus d’informations pour éviter de commettre certaines erreurs. Si mon projet photo peut aider les femmes à faire la paix avec leur corps, alors j’aurai l’impression d’avoir fait avancer les choses.
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Modifié le 09/05/2019
à 12h40


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