Oh Miss Moo vraiment

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Oh Miss Moo vraiment
Miss Moo Moo 🐄 chews her cud neater & quieter than Miss Mary 🐷 does...
Welcome to the shitshow
New posts on the daily
As she drops crumbs and don’t even notice
She looks High af … how embarrassing
This is hilarious 😂🤣😂🤣😂🤣😂🤣💀💀💀💀💀


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MOONRISE
aka Le FILS DU PENDU - Frank Borzage avec Dane Clark, Gail Russell,
Ethel Barrymore, Rex Ingram, Lloyd Bridges, 1948, États Unis, 86m

Dans un petit
village américain, près des marais, le jeune Danny est
le souffre douleur de ses camarades de classe car ils savent que son
père est mort pendu après avoir tué un homme. On
avance dans le temps et Danny, adulte est toujours harcelé et
un certain Jerry n'hésite pas à se battre et à
lui lancer une pierre, qu'il ramasse et lui retire, causant sa mort.
Il dispose du corps et en profite pour essayer de séduire la
belle Gilly, fiancée avec Jerry. Il y arrive un peu
rapidement, à notre grande surprise, mais le sheriff et un
détective arrivé sur place, cherchent le meurtrier et
l'étau se resserre.

Soyons
honnête, c'est un peu de reculons que j'ai débuté
ce drame, cette fable morale qui s'annonçait un
mélodrame prévisible et nihiliste. Je n'aurai pas vu
venir le voyage psychologique du personnage principal, ni l'amour
sorti de nulle part. La galerie de personnages secondaires est
très sympathique. De Billy, simple déprit qui est
probablement ami de Danny depuis son jeune âge, en passant par
Mose, un homme reclus qui s'occupe de ses chiens et qui a une bonne
tète, en passant par le sheriff qui n'est pas
stéréotypé comme on pourrait s'y attendre. Gail
Russell est magnifique en professeur d'école qui se laisse
séduire. On devine que Jerry (Lloyd Bridges) ne devait pas
être un prospect idéal. Le réalisateur Franz
Borzage avait déjà une longue feuille de route
derrière lui et il est efficace. On notera une séquence
dans une grande roue pendant un carnaval ou la caméra suit
habilement les amants nerveux. Une belle découverte. 

En
supplément sur le dvd d'Artus, les bandes-annonces de la
collection Les Classiques. Offert en version originale anglaise avec
sous titres français en option. Mario Giguère

MOONSHINE
COUNTY EXPRESS aka LUTTE AU FINISH - Gus Trikonis avec John Saxon,
William Conrad, Susan Howard, Claudia Jennings, Maureen McCormick,
Jeff Corey, Morgan Woodward, États Unis, 1977, 1h28

Le
tyrannique Starkey (William Conrad, l'inénarrable Cannon de
la télé) règne sur une petite ville du Kentucky,
où il contrôle notamment le trafic d'alcool de
contrebande. Seul le vieux Pap Hammer (Fred Foresman) continue de lui
résister. Aussi Starkey décide-t-il d'en finir avec ce
concurrent récalcitrant. Mais le vieil homme a laissé
à ses trois filles un héritage de choix : des fûts
d'alcool datant de la Prohibition. Les trois donzelles
décident de jouer un sale tour à Starkey, et embauchent
un pilote de course, J.B. Johnson (John Saxon) pour effectuer leurs
livraisons. Après avoir essuyé un refus
catégorique du rachat de la distillerie, le notable
véreux, sentant son sale business menacé, décide
de la mort du livreur&ldots;

Réalisé
en 1977, à une époque riche en actioners ruraux, ce
MOONSHINE COUNTY EXPRESS est une sympathique petite pochade. Ainsi
nommée pour faire référence aux alcools
artisanaux de contrebande fabriqués la nuit (d'où leur
nom) pendant l'infâme Prohibition, la production de
"Moonshine" a donné lieu à un sous-genre,
dont les avatars ont rarement franchi les frontières
américaines. Réjouissons-nous donc de pouvoir
découvrir ce film méconnu, via une vieille VHS bon
marché (aux éditions Socai, avec une jolie jaquette
reproduisant l'affiche d'époque). Une découverte bien
dans l'air du temps, du reste, puisqu'il s'agit typiquement du type
de petites bandes auxquelles Tarantino entend rendre hommage avec ses
"Grindhouse movies".


On
trouve dans MOONSHINE COUNTY EXPRESS des jolies filles en tenues
moulantes, avec gros plans complaisants sur les parties les plus
charnues de leurs anatomies, des "muscle cars"
pétaradantes - avec notamment une Plymouth Roadrunner, une
Chrysler Imperial, une Dodge Challenger et une Ford Mustang, mais pas
la Pontiac Trans Am de l'affiche, bizarre ! -, des personnages
truculents et caricaturaux qui ébranlent
régulièrement nos zygomatiques (mention spéciale
à William Conrad, en tyranneau gras du bide, et son homme de
main Sweetwater, fringué tout en blanc comme un maque
d'opérette). Saluons également le joli casting
féminin, et surtout le charme de John Saxon, acteur
décidément sous-estimé et une fois de plus
impeccable ! Bon, cela reste assez plan-plan, aucune nudité ni
effusion de sang à l'horizon, mais c'est du bon cinoche de
drive-in, torché avec conscience et honnêteté par
un artisan appliqué et plutôt doué pour la
direction d'acteurs. Stelvio

MOONTRAP
- Robert DYKE avec Walter Koenig, Bruce Campbell, Leigh Lombardi,
1989, États Unis

Une
expédition spatiale débusque sur un débris de
tacot en orbite un ballon de rugby transformable en alien, puis ira
se faire piéger sur la lune comme le titre du film l'indique
(je synthétise).

Oulala
cet alien (fonctionnant sur piles non fournies) arrive tout droit du
quart-monde de la SF : Les décors font une publicité
comparative inespérée en 1989 pour Legoland, l'espace
étant quant à lui découpé dans le papier
de mon dernier cadeau de Noël, les voyages spatiaux sont
pilotés par un marionnettiste qui se ferait jeter des cailloux
le dimanche au jardin public par les gamins qui regardent guignol,
les trois seules actrices n'ont même pas besoin de parler,
juste de pousser des cris, baragouiner ou prendre le frais,
d'ailleurs les dialoguistes - s'il y en a - continuent à
croire dans la concurrence de l'hyper puissance soviétique
dans la conquête de l'espace : heureusement leurs âneries
s'échappent à peine des casques des cosmonautes.

Walter
Koenig en routard de Star Trek manie du bout du petit doigt le
manche à balai des vaisseaux à deux commandes (en avant
ou à droite), et aussi, on se demande comment Bruce Campbell
s'est retrouvé sur ce plateau, heureusement un alien moins
salaud abrège méchamment ses souffrances.

Pourtant,
cet alien qui regorge d'incohérences et de maladroits
recopiages tous azimuts fait la joie de certains aficionados de la
tendance SF-SF fauchée, ce qui m'a valu de me faire
piéger à mon tour sur la lune. Vu la lenteur de son
rythme, j'aurais toutefois quelques scrupules à le conseiller
moi-même. En même temps, pour être totalement
sincère, je ne me suis pas encore résolu à le
réexpédier dans l'espace via la rampe de lancement
verticale du vide-ordures de mon immeuble.

Peut-être
soyez plus efficaces que moi : au lieu de traîner devant le
poste, ressortez donc la boite de lego de dessous le lit et allez
directement jouer avec la nouvelle baby-sitter qu'a pas l'air trop
farouche ? Bigeyes

The
MOORING - Glenn Withrow, 2012, États Unis

Une
dizaine de geek adolescentes participe à un camp de
désintoxication technologique, comprenez par là des
vacances sans facebook, sans laptop et sans téléphone
portable! L'horreur quoi... Nos petites nanas embarquent à
bord d'un bateau piloté par l'organisatrice du camp, une
quinqua sympa comme tout qui a même pris soin de balancer la
radio du bateau - cette conne - et remontent un fleuve que le
réalisateur Glenn Withrow a dû trouver tellement sympa
qu'il nous le présente comme un film de vacances, avec tout
plein de plans d'animaux s'abreuvant au bord de l'eau, d'arbres
surplombants la rive, de troncs séchés portés au
gré du courant, bref, la totale des clichés du genre
que même Paul Kener n'avait pas osé accumuler avec tant
de lourdeur dans son ineffable "Savage Water". Et tout
ça sur une musique et un montage dignes du guide "ce
qu'il ne faut pas faire au cinéma", ouvrage qui aurait
été incontournable s'il avait été
rédigé. Comme le moteur du rafiot péclote, notre
petite équipe de gonzesses en manque de lol fait halte sur une
plage qui se trouve être le territoire d'un redneck en
hors-bord et de sa grosse gonzesse crado aux dents jaunes. Le couple
va alors donner la chasse aux pétasses citadines et
décimer la colonie de vacances avec bien peu d'imagination.

Le
plus embarrassant dans "The Mooring" n'est pas tant qu'il
s'agisse là de l'un des pires survival vus sur les
écrans depuis au moins trente ans, ni même qu'il
réunisse le plus incroyable casting de boudins jamais vu
à Hollywood, ou encore qu'il excelle dans la mièvrerie
hardcore sur musique de pleurnicheuse histoire de bien montrer qu'on
est là face à une tragédie quoi merde!, mais que
tous les efforts réunis pour parvenir à ce
résultat proviennent de la même unité familiale:
les Withrow. En effet, le scénario pourri de "The
Mooring" est le fruit du travail conjugué de papa Glenn,
de maman Hallie Todd (également interprète de la cheffe
de camp) et de leur fille Ivy, actuellement en école de
cinéma. Autant d'énergie négative à
émerger de la même cellule familiale fait peur, il est
important d'interdire à ces gens de recommencer à
réaliser quoi que ce soit! Kerozene

MORPHMAN
aka LARVA - Tim Cox, 2005, États Unis    

Dans
la série "Mutants made in Nu Image", voici
MORPHMAN, également connu sous le nom de LARVA. On y croise un
jeune vétérinaire (Vincent Ventresca, vu dans MAMMOTH
du même Tim Cox en 2006) qui débarque dans un bled
d'éleveurs de bétail qui nourrissent tous leurs
bêtes avec la nourriture fournie gratuitement par l'usine
expérimentale du coin. Notre véto remarque rapidement
que certaines vaches souffrent et meurent des suites de la
présence de larves parasites dans leur organisme. Ces larves
carnivores grossissent à une vitesse hallucinante tout en
dévorant leurs hôtes de l'intérieur. Une fois
atteint la taille d'un gros oreiller et la forme d'une vague sorte de
chauve-souris jamais clairement identifiable, elles surgissent de
l'estomac à la façon de la bestiole d'ALIEN et s'en
vont agresser tout ce qui est à peu près comestibles,
humains compris. Des humains d'ailleurs bien mal barrés
puisque toutes les personnes ayant consommé de la vache
infectée se voient souffrir des mêmes symptômes et
pondent des créatures bizarres dans de grosses gerbes
sanglantes. Heureusement, notre vétérinaire est
végétarien, et très vite il soupçonne les
fournisseurs de nourriture à bétail
expérimentale. Bien entendu, personne ne le croit, à
l'exception de Jacob Long (William Forsythe, déjà
compromis dans le SHARKMAN/HAMMERHEAD de la série des mutants
de Nu Image) qui en a marre des bureaucrates capitalistes qui se
moquent des petites gens.

Ca
commence presque comme un film militant pro-vegan et critiquant la
société de consommation (Tim Cox serait-il
altermondialiste ?), mais une fois le cadre posé, les
méchants identifiés et les gentils réunis, on
sombre dans une série B de base d'une banalité
déconcertante et qui prend bien soin de ne pas exploiter des
éléments qui auraient pu donner un peu de corps à
un récit chiantissime. Le schéma et le
dénouement sont donc convenus et le scénario (sur
lequel ont quand même planché quatre scénaristes
!!) ne réserve absolument aucune surprise. Impossible de se
rattraper sur les monstres en CGI qui se déplacent à
vitesse ébouriffante et dont la morphologie reste bien
mystérieuse. Reste un peu de gore, en revanche la seule
scène de nu est soigneusement filmée de façon
à ce que le téton de la blonde à oilpé ne
soit pas visible. On souligne au passage la vitesse hallucinante avec
laquelle mademoiselle revêt son soutien-gorge au moment de
l'"accouchement" de son petit copain... Bref, c'est tout
pourri. Et puis le titre MORPHMAN est carrément mensonger. Kerozene

MORTUARY
- Howard Avedis, 1983, États Unis/Indes

D'un ennui total.
Tout commence avec un homme sur le bord de sa piscine qui se fait
frapper à coup de bâton. Ensuite deux jeunes volent des
pneus a un croque-mort. Ils découvrent que l'embaumeur en
question (qui est leur ancien patron) fais des
cérémonies, genre messe noire. L'un des deux gars est
tué par un inconnu avec une cape et le visage peint tout en
blanc, mais son chum n'est pas au courant et le tueur à la
cape vole la voiture du gars resté à l'intérieur.
Là s'installe l'ennui avec une fille qui pense que sa
mère veut la prendre pour une folle, d'un Christopher George
qui nous tape sur le système, d'un tout jeune Bill Paxton qui
est amoureux de la fille qui est supposée être folle. Il
manque une intrigue. On sait qui est l'assassin, ils veulent nous
tromper avec de fausses pistes, mais en vain, donc on se doute d'une
fin peu surprenante, mais qui nous réserve une tout petite
minime surprise. Vraiment pas un classique. Rana

MOSQUITO -
Gary Jones, 1995, États Unis 

Après avoir
vu SKEETER, j'avais pas mal d’appréhension envers les
films de moustiques géants. Et pourtant, MOSQUITO
s'avère être une agréable surprise ! Un vaisseau
extra-terresrte lâche une capsule habitée sur Terre. La
capsule s'écrase, l'alien meurt. Un moustique vient lui sucer
le sang... La scène suivante, on observe un jeune couple en
voiture heurtant de plein fouet un moustique gros comme un doberman
volant. Le moustique s'éclate la face et gît fumant sur
la route. Autant dire que le film ne perd pas de temps à
montrer au spectateur ce qu'il veut voir ! Puis, plusieurs quidams se
feront sucer le sang de manière horrible (par les yeux ou par
les fesses nues d'une jolie campeuse par exemple). Les corps
s'accumulent, déséchés, vidés de leur
sang, verdâtres et radioactifs. Un groupe de survivants tente
de survivre aux assauts de ces bestioles vampires, dont un Gunnar
Hansen en redneck bedonnant. C'est drôle, pas
prétentieux, les SFX sont sympa, et il y a un peu de nu....
Que demander de plus ? Kerozene

THE
MOST DANGEROUS GAME - Irving Pichel/Ernest B. Schoedsack, 1932,
États Unis

Le classique tient
le coup. Voilà la mère de tous les films où l'on
chasse à l'homme. Tourné dans les décors de King
Kong, le comte Zaroff fait échouer les navires sur son
île pour chasser la plus dangereuse proie: l'homme. Fay Wray
est superbe, la jungle est magnifique, l'idée a
été reprise je ne sais plus combien de fois, vive
l'original. Le transfert dvd est correct sans plus et j'aurais
apprécié que la trame sonore soit nettoyée, mais
le plaisir y est quand même. Mario Giguère

MOTEL
HELL - Kevin Connor, 1980, États Unis

Ca faisait un bail
que je voulais voir ce film. Mon regard ayant croisé plus
d'une fois ces fameuses photos d'un gars armé d'une
tronçonneuse avec une tête de cochon sur la tête.
Farmer Vincent est bien connu dans la région, parce que le
bougre produit la meilleur viande fumée du pays. Et il
gère avec sa soeur un Motel: le Motel Hello, dont le
"O" de l'enseigne capote un poil. Farmer Vincent aime
provoquer des accidents de la route (à l'aide de piège
à loup par exemple) et utilise ses victimes, vivantes, d'une
façon assez innovatrice: il les plante dans son jardin. SI si,
il les plante en prenant soin de leur sectionner les cordes
vocales afin qu'ils ne se mettent pas à gueuler comme des
porcs. Après quelques jours, leur chair est plus tendre et il
ne reste plus qu'à mixer celle-ci à celle des porcs
pour produire la meilleure viande du pays. Le film est fait sur
le ton de la comédie par un Kevin Connor que l'on connaissait
plus habitué aux adaptations de Edgar Rice Burroughs
comme AT THE EARTH'S CORE ou autre THE LAND THAT TIME FORGOT. Et ben
on ne rit pas beaucoup, même si quelques moments sont fort
sympathiques (la "plantation", le duel à la
tronçonneuse), l'ensemble du film sent quand même
le gros studio. Difficile de parodier MASSACRE A LA TRONCONNEUSE ou
EATEN ALIVE en gardant l'aspect inquiétant - donc fascinant -
du film. Mais ça reste à voir. Kerozene

The
MOTHMAN PROPHECIES - Marc Pellington, 2002, États Unis

C'est
l'histoire vraie d'un vrai gars joué par Richard Gere, un
vrai gars vraiment tourmenté et qui l'a pas facile. Afin de
bien nous faire comprendre à quel point ce sera un choc pour
lui de perdre sa femme parce qu'ils formaient le couple parfait, le
cinéaste nous concocte une scène intense de couple
parfait : ils visitent une grande et belle maison en rêvassant
de leur futur de famille parfaite puis, sous l'impulsion de l'amour
passionné, ils font l'amour dans le garde-robe!! Or, mal leur
en pris. Ce garde-robe était le repère du papi
Belle fille qui joue avec un gros go
Une blonde aux gros seins se fait baiser dur
Une baise à l'hôtel

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