Obsédée par son professeur
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Obsédée par son professeur
Body positive
Josée l’Obsédée et le fantasme du prof
Josée L'Obsédée
09 oct 2014
4
madmoizelle
Lifestyle
Body positive
Josée n’est pas qu’une femme qui court après les fantasmes. Parfois, elle devient elle-même le fantasme de quelqu’un… et ça ne se passe pas toujours comme prévu.
Le mec content de conclure parce que tu ne t'intéresses pas à lui et parce qu'il pense que tu es lesbienne, tu rajoutes à cela "tu viens de réaliser le fantasme de beaucoup de mes élèves" = SUPER ASSHOLE SPOTTED
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J’ai toujours eu un bon contact avec les professeurs dont je suivais les cours. Bonne élève, sérieuse, réfléchie, j’avais la réputation d’être une jeune fille sage et du haut de mes dix-sept ans j’avais bien du mal à me forcer à découvrir allègrement les joies de la vie et du sexe… En couple pendant plusieurs années, je n’étais pas si loin d’être pure et innocente, et j’étais en tout cas très coincée.
Quand mon histoire avec cet homme a cessé, je me suis enfermée dans un cercle de chasteté dont je ne suis pas sortie pendant longtemps. Puis un jour, des années après mon bac, j’ai redécouvert le sexe avec quelqu’un que personne n’aurait soupçonné, dans les limites de la légalité.
Dix-sept ans, toutes mes dents, et un grand sourire sur mon visage, ce n’était pas suffisant pour attirer vers moi les garçons de mon âge… ou alors je ne les remarquais pas. J’avais le sens de la répartie et tendance à taquiner les enseignant•e•S qui m’aimaient bien. Je me souviens d’un de mes profs de littérature à qui je répondais du tac au tac et avec qui j’allais parfois fumer une cigarette, ou à qui je demandais de me déposer à l’université le midi quand je n’avais pas cours. Je l’aimais bien, j’aurais bien été son amie s’il n’avait pas été mon professeur, mais sans plus.
Contrairement à la moitié des filles du lycée qui bavaient sur lui, j’étais une des seules à le regarder dans les yeux et à ne pas le prendre pour un morceau de steak bien juteux. C’est pour cela qu’il acceptait de me voir plus souvent en dehors de l’établissement, et qu’il a gardé le contact avec moi après le lycée : je n’étais pas dangereuse pour lui ou sa réputation et jamais, ô grand jamais, je n’aurais émis l’idée qu’il y ait plus entre nous.
Aucune raison de me jeter des fleurs : il était certes plutôt beau, plutôt charmant, très intelligent, tout à fait mon type… mais j’étais folle amoureuse d’un homme qui m’utilisait, jouait avec moi, et me rendait malheureuse. Que voulez-vous, la vie est parfois complètement débile. Il faut également savoir que pour protéger ma relation avec cet homme que j’aimais malheureusement jusqu’au désespoir, j’avais fait courir le bruit au lycée que j’étais lesbienne (alors que je suis pansexuelle… mais ça, c’est une autre histoire). José n’avait donc aucune raison de se méfier de moi, et c’était bien comme ça.
La fin du lycée, le bac en poche, le déménagement dans une grande ville loin de chez mes parents et de mes amis, la chasteté, les études… et Internet. Après deux ans sans contact, MSN (oui cette antiquité existait encore) a piaillé, et sur fond de musique danoise (Leonora), voici que José le prof refit son apparition.
Après plusieurs heures à discuter de tout et de rien, j’ai fini par proposer qu’on se revoie. J’étais en vacances chez mes parents, à quelques minutes à peine du lycée, je pouvais donc me tenir à sa disposition s’il le voulait. Il le voulait. Période de Noël oblige, il me proposa même de partager un peu de champagne avec lui pour fêter la fin d’année. J’avoue qu’au début, j’avais plus dans l’idée de se prendre un café en ville, mais c’est l’esprit innocent et libre que j’ai dit oui quand il m’a proposé de m’amener chez lui.
Les retrouvailles ont été très naturelles, comme si on s’était quittés la semaine précédente. Une fois chez lui, ce fut une tornade de nouvelles à raconter, de plaisanteries, quelques bières et du champagne. À l’époque, je ne buvais pas beaucoup et j’étais très sensible à l’alcool : en une heure à peine j’étais bien éméchée, et heureuse de l’être. J’ai tendance à être très honnête sous alcool et la conversation avait dérivé sur des sujets plus personnels et intimes. Je ne m’étais pas rendue compte que José se rapprochait de plus en plus de moi… jusqu’au moment où j’ai posé ma main sur son genou.
J’ai tout de suite su ce qui allait se passer. Mon ventre se serrait comme avant un examen. J’étais restée plusieurs années sans sexe, et mon expérience avec mon copain de l’époque n’avait pas vraiment fait de moi une experte. J’avais peur de le décevoir… et surtout de mal lire les signes. Pourtant, depuis les quelques jours où on avait repris contact, José et moi jouions à un petit jeu idiot. Chacun taquinait l’autre (sur à peu près tous les sujets) et on comptait les points. J’avais de l’entraînement après des années au lycée. Je gagnais donc largement. Et là, assise contre lui sur son balcon, je tentais de ne pas perdre le fil.
On en vint à parler de mon meilleur ami et de ses conquêtes. Puis de cette soirée en boîte gay où je m’étais sentie si perdue devant les strip-teasers, puis complètement affolée en boîte hétéro au point de mordre un mec qui me touchait (véridique : il a hurlé). Comme une idiote, je lui ai avoué qu’on ne m’avait pas touchée avec mon consentement depuis très longtemps.
Alors il s’est penché vers moi et m’a demandé : « Donc si je t’embrasse tu me gifles ? ». Là, forcément, ma bouche est devenue sèche et il m’a été impossible de répondre. Il m’a volé un baiser et… je n’ai pas réagi. Quand il s’est écarté, j’ai su que je devais faire quelque chose si je ne voulais pas perdre une occasion pareille. J’étais jeune, libre, célibataire, j’avais désespérément envie de contacts humains et soif de découvertes. J’ai donc pris mon courage à deux mains (enfin, une seule, car l’autre était sur son genou) et je l’ai embrassé à mon tour.
Au début, on n’a pas parlé du tout. On a profité du moment et les caresses sont allées en s’accentuant. Puis il a lâché la phrase qui m’a fait m’étrangler de rire (champagne, tout ça…) : « Tu as toujours été attirante parce que tu ne voulais pas de moi, ça pimente les choses. En plus tu étais mon élève… ». C’était très simple : j’étais un vieux fantasme qu’il réalisait, mais en toute légalité ! Le fait qu’il croit que je sois lesbienne augmentait aussi son intérêt pour moi.
Il m’a dit tout ça sans gêne, et finalement c’était aussi bien comme ça. Je lui ai dit que j’étais bisexuelle, et que le fait qu’il ait été mon prof n’en faisait pas moins un homme de lui. Pour être honnête, c’était également un de mes fantasmes de plaire à un de mes professeurs ! Qu’il ne le soit plus officiellement gâchait un peu la chose, mais pas tellement finalement car le sens du tabou était bien encore là, surtout pour la petite coincée que j’étais. On s’est donc bien entendus sur la chose.
José a fini par me lâcher et me prendre les deux mains pour me ramener à l’intérieur. Il m’a conduite dans sa chambre, et c’est là qu’il a retrouvé ses réflexes de professeur. Il m’a appris à répondre aux baisers et aux caresses du mieux que je pouvais. Il m’a appris à faire une fellation. Il m’a appris à me laisser aller quand lui voulait me faire plaisir. Tout cela en étant très conscient qu’il était réellement un professeur pour moi en la matière. Certaines fois, sa manière de m’expliquer les choses prenait un ton très professoral ! C’était excitant et grisant à la fois. Je n’arrivais pas à réaliser que j’étais dans le lit et les bras d’un ancien prof. Lui non plus ne réalisait pas trop, s’arrêtant parfois pour me regarder, sourire et reprendre.
Après l’amour, nous avons repris un verre de champagne. J’ai refusé de dormir chez lui. En riant, il m’a dit que je venais de réaliser le fantasme de plusieurs adolescentes actuellement en cours avec lui. Très sérieuse, je lui ai rétorqué qu’à l’époque je ne l’aurais même pas regardé pour ça. Il a conclu que c’était pour ça que notre petit intermède lui avait bien plu. Il m’a ramenée chez moi. Depuis, on s’écrit de temps en temps et on se voit pour de chastes cafés. Pas besoin de plus, chacun ayant assouvi son fantasme. Nous voilà devenus amis.
Quelques semaines après cette courte nuit d’amour, de retour dans mon appartement d’étudiante, j’ai repensé à cette soirée… et je me suis dit que j’avais évolué. J’étais à la hauteur. Je savais « sexer » maintenant ! Alors j’ai osé contacter l’homme qui me plaisait depuis des mois. Et sans avoir besoin d’alcool, j’ai réussi à le séduire et à le laisser m’emmener au lit.
Comme quoi, les professeurs sont utiles dans tous les domaines de la vie…
Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à :
jaifaitca@madmoizelle.com
On a hâte de vous lire !
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Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute
Psychanalyste et sexothérapeute
Publié le 07/03/2017 à 21h56
, mis à jour le 04/10/2018 à 10h54
Sommaire
Qu’est-ce que le fantasme de professeur ?
Historique et origine du fantasme du professeur
Limites légales et cas célèbres
Dérivés fantasmatiques du fantasme de professeur
Ce que révèle ce fantasme de professeur
Cas clinique d’un fantasme de professeur
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