Nuru Massage: deux filles pour une bite

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Nuru Massage: deux filles pour une bite
Chez Barba, libraire , 1806 - 47 Seiten
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Deux filles pour une: comédie en trois actes et en prose
National Library of the Netherlands

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En façade, de banals salons de massages. En réalité, pour certains, des lieux qui proposent des prestations sexuelles. (Jean-Yves LacÎte pour "l'Obs")
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lesliekeeryanocankly a posté le 19 octobre 2015 à 21h57
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Labor omnia vincit improbus a posté le 19 octobre 2015 à 15h33
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jeanmiaux a posté le 19 octobre 2015 à 15h30
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azerqsd a posté le 19 octobre 2015 à 15h10
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mickaelli a posté le 19 octobre 2015 à 12h50
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C’est un microvillage blotti dans l’ouest du 17e arrondissement, l’un des plus chers de la capitale. Quelques rues paisibles bordĂ©es d’immeubles d’habitation cossus. Ici, entre les rues Fourcroy, Laugier, Rennequin et Pierre-Demours, on repĂšre surtout le ballet silencieux des jeunes mĂšres de famille qui vont et viennent de l’école plusieurs fois par jour. Tout est calme, ordonnĂ©, protĂ©gĂ© du bruit et de la fureur de la ville. La vie bourgeoise dans sa tranquille assurance
 mais aussi dans le maintien des apparences et des faux-semblants.
Car, depuis trois ou quatre ans, quelque chose a changé dans ce manÚge enchanté du 17e ouest. Dans cet environnement conservateur, à deux pas du marché de la rue Poncelet et du magasin Allo Kippa (spécialiste de la kippa et du chùle de priÚre), nichés dans cinq rues chics et discrÚtes, on trouve maintenant des salons de massage chinois. Des miniboutiques sans devanture, quasi invisibles, au pied des immeubles haussmanniens, qui sont les nouveaux "spots de débauche" du quartier. Huit salons au total dans ce minuscule périmÚtre résidentiel.
Massages bio, naturistes, tantrique, relaxant, thaĂŻ, chinois... Les appellations varient, le principe reste le mĂȘme. (Jean-Yves LacĂŽte pour "l'Obs")
Au Siam ThaĂŻ Spa de la rue Rennequin – rideau rose, fleur de lotus et un "Open" qui clignote en lettres de nĂ©on en vitrine –, une feuille scotchĂ©e sur la porte annonce le programme : massages chinois, thaĂŻ, tantrique, relaxant, naturiste ; et aussi massages individuels ou en couple. Il faut sonner Ă  la porte pour obtenir des renseignements sur les tarifs. Une Asiatique d’une quarantaine d’annĂ©es en minirobe rouge et noir coince l’ouverture de la porte avec son pied :
Comme on insiste, elle donne ses prix : 100 euros la demi-heure, 140 euros l’heure. Un peu plus loin dans la rue, au Rayon de Lune, dans une entrĂ©e qui ne doit pas faire plus de deux Ă  trois mĂštres carrĂ©s, deux femmes accroupies mangent des bols de nouilles, l’une en robe lĂ©opard, l’autre en top Ă  paillettes rouges.
Partout les vitrines sont opaques, les intérieurs étriqués, la déco glauque. On pense immédiatement aux ateliers clandestins du 11e arrondissement de Paris, ou de Belleville. Les rituels sont standardisés. Notre confrÚre reporter envoyé sur le terrain au salon Yang Qin Tang du 6 bis de la rue Fourcroy raconte :
Ce jour-lĂ , pour lui, c’était massage naturiste, 60 euros les 30 minutes. La suite ? Une cabine minuscule avec un matelas au sol recouvert d’une serviette blanche et d’un drap en papier hygiĂ©nique sur lequel le client s’allonge, nu. La masseuse, une Asiatique d’une trentaine d’annĂ©es, se dĂ©shabille elle aussi. Massage du dos Ă  l’huile, il se retourne. En dĂ©signant son sexe, elle demande :
La finition manuelle, dite "cerise", fait toujours l’objet d’une rallonge, nĂ©gociĂ©e entre la masseuse et le massĂ©, et est payable en liquide. FrĂ©dĂ©ric, la quarantaine, habituĂ© d’un salon un peu plus haut dans la rue, raconte :
Pas vu pas pris, une demi-heure plus tard tout le monde repart vers ses activitĂ©s courantes, façon passe-muraille. La multiplication des salons de massage chinois dans Paris, et maintenant dans toutes les grandes villes, est le secret de Polichinelle le mieux gardĂ© de l’Hexagone.
Comme il ne se voit pas, ce nouveau proxĂ©nĂ©tisme urbain en hyperexpansion prospĂšre dans la plus grande impunitĂ© , alors que le gouvernement ne cesse de marteler sa volontĂ© politique de lutter contre le proxĂ©nĂ©tisme en pĂ©nalisant les clients. Allez comprendre. Il existe çà et lĂ  quelques sursauts d’agacement.
Au Conseil de Paris par exemple, Nathalie Kosciusko-Morizet est montĂ©e au crĂ©neau . Dans certains quartiers comme le 9e, oĂč la prostitution est pourtant un sujet familier, les commerçants se sont constituĂ©s en association pour rĂ©clamer "la fermeture des salons qui ont envahi la rue et dĂ©valorisent le business". Certains ont mĂȘme placardĂ© des affichettes sur les vitrines :
Et espÚrent décourager les clients des salons environnants.
Mais ici, quartier Poncelet, rien de tout cela. ZĂ©ro rĂ©volte et encore moins d’agacement. Personne ne rĂąle, personne ne parle. "L’an dernier, la police a fait fermer un salon rue Rennequin, il a rouvert aussitĂŽt", se dĂ©sole Brigitte Kuster, la maire du 17e arrondissement.
Paris, 17e arrondissement. Huit salons ont ouvert au pied des immeubles, dans un périmÚtre de quatre à cinq rues seulement. (Jean-Yves LacÎte pour "l'Obs")
Le commissaire de l’arrondissement a, lui, refusĂ© de nous parler. Dommage. "Les salons ont poussĂ© comme des champignons en trĂšs peu de temps, et, comme ce sont de tout petits commerces invisibles, on a fait comme si on ne voyait pas", raconte Matthieu Doat, propriĂ©taire d’un cabinet de kinĂ©sithĂ©rapie au 23 de la rue Fourcroy.
Il y a deux ans et demi, lorsque le salon Lilas Violet s’est installĂ© dans la boutique mitoyenne Ă  son local – petite vitrine cachĂ©e par un rideau irisĂ© violet et guirlande lumineuse rouge –, Matthieu Doat a saisi l’ordre des kinĂ©sithĂ©rapeutes. Et demandĂ© Ă  son organisation de vĂ©rifier les qualifications des masseuses qui officiaient Ă  l’intĂ©rieur. DĂ©pitĂ©, il explique :
A la sortie de l’école primaire, Sophie s’énerve : la mĂšre de famille en a assez que ses gosses ramassent des prospectus salaces par terre, "des tas de flyers tombĂ©s des pare-brise avec des filles asiatiques Ă  poil en photo, je ne suis pas puritaine mais tout de mĂȘme".
Isabelle est aussi exaspĂ©rĂ©e
 mais par nos questions : "On a d’autres sujets bien plus importants que celui-lĂ . Je peux vous dire que la rĂ©forme des rythmes scolaires me soucie davantage que les histoires dont vous me parlez, d’ailleurs je ne remarque jamais aucune activitĂ© autour de ces salons", dit cette mĂšre de deux enfants en tournant les talons. Une autre, Brigitte, un bĂ©bĂ© au bras gauche et un petit garçon Ă  la main droite, ne voit carrĂ©ment pas de quoi il s’agit :
Dans le doute, on se dit qu’elle s’est peut-ĂȘtre moquĂ©e de nous 

Dans ce triangle d’or du "body-body", le manĂšge des entrĂ©es et sorties des salons est quasi invisible. "C’est un vrai mystĂšre, cette histoire", s’étonne Benjamin Nini, patron du restaurant du mĂȘme nom.
Les clients, Ă©videmment, rasent les murs. Des pĂšres de famille du quartier qui font un dĂ©tour par le salon de massage en rentrant du boulot ou en allant chercher le pain ? PlutĂŽt pas. Xavier, la cinquantaine et cadre dans l’édition, rectifie :
Robert, 35 ans, chauve mais plutĂŽt joli garçon, vient exprĂšs du 15e une fois par semaine, toujours le mĂȘme jour et Ă  la mĂȘme heure.
PrĂšs de 70 ans aprĂšs la fermeture des maisons closes, ces escapades dĂ©complexĂ©es sonnent comme un retour du bordel de quartier. "Le 17e a toujours Ă©tĂ© le grand lupanar de Paris", explique Jean- Claude Janan, le prĂ©sident de l’association de commerçants Acaja, qui est aussi la mĂ©moire du quartier.
MĂȘme les commerçants du coin, curieusement les meilleurs alliĂ©s objectifs de ces Ă©tablissements, ne s’offusquent pas. Caroline Jammet, qui vend du linge de maison rue Pierre-Demours, affirme que "les boutiques drainent une nouvelle clientĂšle", et que c’est bon pour tout le monde. Chez Pou, la grande charcuterie-traiteur de l’avenue des Ternes, on envisage aussi la chose avec bienveillance : "Ça fait du chiffre d’affaires." Mais la perle revient Ă  la gĂ©rante de l’institut de beautĂ© La Main douce, rue Poncelet : "Pourquoi voulez-vous que ça nous dĂ©range ?" dit la dame occupĂ©e Ă  faire une manucure.
Nathalie Bensahel Photos : Jean-Yves LacĂŽte pour "l'Obs"
Un business trĂšs lucratif Foisonnant Ă  Paris depuis dix ans, les salons de massages se dĂ©veloppent maintenant dans les banlieues et en province. Initialement crĂ©Ă©s par des ThaĂŻlandais, ils sont dĂ©sormais ouverts par des Chinois. Selon la PrĂ©fecture de Police, il en existe 575 Ă  Paris, dont 300 au moins seraient des lieux de prostitution, oĂč se pratique le massage sexuel. Une partie de ces salons appartient Ă  des rĂ©seaux pouvant regrouper jusqu’à 20 établissements. Toujours selon la PrĂ©fecture, un salon employant plusieurs masseuses peut rapporter entre 10.000 et 20.000 euros par mois. Dans leur trĂšs grande majoritĂ©, ces Ă©tablissements sont immatriculĂ©s au registre du commerce et les masseuses y sont souvent employĂ©es lĂ©galement. Les gĂ©rantes ou "maquerelles", dites "mamasan", sont souvent d’anciennes prostituĂ©es qui ont obtenu des papiers – parfois en se mariant avec un Français. Elles recrutent leurs masseuses par petites annonces postĂ©es sur des sites comme Vivastreet ou via la communautĂ© chinoise. Et hĂ©bergent souvent leurs employĂ©es tout juste arrivĂ©es de Chine, ajoutant encore Ă  la dĂ©pendance financiĂšre de ces masseuses improvisĂ©es. Katia Pecnik
Police : dĂ©fense d’entrer En France, si la prostitution est une activitĂ© tolĂ©rĂ©e, les maisons closes sont interdites depuis 1946 (loi Marthe Richard) ainsi que le racolage et le proxĂ©nĂ©tisme. La Brigade de RĂ©pression du ProxĂ©nĂ©tisme (BRP) se concentre sur les rĂ©seaux de salons en mettant en place Ă©coutes, surveillances et coopĂ©rations avec le Groupe d’Intervention rĂ©gional et autres instances qui exercent des contrĂŽles. Une usine Ă  gaz, donc. Mais pourquoi les policiers n’entrent-ils pas simplement dans ces maisons closes ? "Ils ne sont pas habilitĂ©s Ă  pĂ©nĂ©trer dans un salon sans mandat et n’ont pas le droit d’infiltrer", explique Christian Kalck, commissaire divisionnaire et chef de service de la BRP. Suspecter des activitĂ©s de prostitution ou lire des tĂ©moignages de clients sur internet ne permet pas de dĂ©clencher une procĂ©dure. Il faut identifier le ou les proxĂ©nĂštes. L’enquĂȘte dĂ©marre donc en gĂ©nĂ©ral par un signalement ou une dĂ©nonciation
 et tourne vite court. Au total, 26 salons seulement ont Ă©tĂ© fermĂ©s en 2014. "La police se camoufle derriĂšre les procĂ©dures, s’agace Brigitte Kuster, la maire du 17e arrondissement de Paris. En vĂ©ritĂ©, dans ces salons, il y aurait largement de quoi dĂ©clencher des enquĂȘtes administratives – et donc provoquer des fermetures d’établissement –, pour des questions Ă©lĂ©mentaires de non-respect des normes d’hygiĂšne, d’Urssaf, d’absence de qualification des masseuses ou de travail dissimulĂ©." Enfin
 pour la premiĂšre fois dans une affaire de salon de massage asiatique, un capitaine de police de la sĂ»retĂ© territoriale appartenant Ă  la direction de la sĂ©curitĂ© de proximitĂ© de l'agglomĂ©ration parisienne (DSPAP) a Ă©tĂ© renvoyĂ© en correctionnelle "pour complicitĂ© de proxĂ©nĂ©tisme aggravĂ© et complicitĂ© de traite des ĂȘtres humains". Les enquĂȘteurs soupçonnent le ripou d'avoir abusĂ© de sa fonction pour couvrir, moyennant bakchich, un rĂ©seau de salons thaĂŻlandais dans les 7e, 12e et 17e arrondissements. Il sera jugĂ© au mois de novembre. K.P. Reprendre la lecture de l'article
Les maries impuissantes A l’HĂŽtel de Ville, on refuse de rĂ©cupĂ©rer la patate chaude. "Des opĂ©rations ont Ă©tĂ© menĂ©es pour dĂ©manteler ces chaĂźnes de salons de massage, dit HĂ©lĂšne Bidard, adjointe Ă  la maire de Paris, responsable des questions liĂ©es aux discriminations, mais ce n’est pas une politique municipale qui permettra de faire tomber ces nouveaux rĂ©seaux de prostitution." En juillet dernier, les Ă©lus de droite emmenĂ©s par Nathalie Kosciusko-Morizet ont tentĂ© de mobiliser le conseil de Paris en dĂ©nonçant "la rĂ©apparition de mini-maisons closes qui cachent des centaines de prostituĂ©es asiatiques en esclavage". Le groupe Les RĂ©publicains a rĂ©clamĂ© la crĂ©ation d’un label obligatoire des Ă©tablissements de massage, histoire de freiner la prolifĂ©ration des vrais-faux salons
 mais, de toute Ă©vidence, le dossier n’est pas en tĂȘte des prioritĂ©s d’Anne Hidalgo. Et c’est peu de dire qu’il avance lentement. Dans le 9e arrondissement, oĂč la multiplication des salons est un vĂ©ritable phĂ©nomĂšne, la maire, Delphine BĂŒrkli, met en place divers dispositifs pour dĂ©courager les acteurs du business. Une certification "No Sex", dont elle espĂšre qu’elle facilitera les poursuites pour proxĂ©nĂ©tisme, les salons non adhĂ©rents reconnaissant de facto pratiquer du massage sexuel. Une charte pour la reconnaissance d’un mĂ©tier de masseur de bien-ĂȘtre adoubĂ©e par les services de l’Etat. Enfin, une mobilisation des syndicats de copropriĂ©tĂ© afin qu’ils interviennent contre la vente ou la location Ă  des rĂ©seaux chinois. K.P. Reprendre la lecture de l'article
Marseille, la 2Úme ville de France, se situe encore trÚs loin derriÚre la capitale pour le nombre de salons de massage "chinois" ouverts au public. Je n'en connais pas. Le seul salon avec pignon sur rue n'offre pas de services particuliers et n'emploie aucune Asiatique. Je regrette de ne pas trouver une belle et jeune Chinoise car c'est la seule femme que je convoite. Mais la communauté chinoise, pourtant de plus en plus importante à Marseille, reste encore presque impénétrable au "longs nez" que je suis. Ah, que j'envie ces Parisiens sinophiles !
Des adresses... Vite !
Je me sens des chaleurs dans le bas ventre !
PROSTITUTION : LES SALONS DE « MASSAGES CHINOIS »
Sujet traité en dessins sur "L'actualité en dessins" = > http://actuendessins.fr
Si on veut éviter ce genre de salon, il faut régulariser la prostitution et non pas l'abolir, comme le veut Belkacem.
D'un cÎté, ca permettrait à l'Etat d'avoir une "communication" avec elles (et eux, car il ne faut pas oublier qu'il y a aussi des hommes). Il serait beaucoup plus facile de savoir si elles sont réellement indépendantes ou s'il y a un proxénÚte derriÚre.
Et puis, le fait de travailler dans un endroit propre et sĂ»r (et non pas au beau milieu d'une forĂȘt ou dans une camionnette) aura des consĂ©quences bĂ©nĂ©fiques, que ça soit en terme de santĂ© ou bien en terme de sĂ©curitĂ©.
quel sacerdoce le métier de journaliste, subir un finissage manuel par une asiatique de trente ans. Dur métier

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