Nuit de noces très perverse

Nuit de noces très perverse




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Nuit de noces très perverse
MARIAGE - Est-ce que les nuits de noces sont vraiment si exceptionnelles que ça? Les statistiques démontrent qu' entre 25% et 52% des couples ne consomment même pas leur mariage , alors nous nous sommes demandé comment cela est possible.
Apparemment, ils sont souvent épuisés ou ivres morts... Quoi qu'il en soit, voici sept histoires vraies racontées par de jeunes mariés au sujet de leur nuit de noces moins qu'idéale.
"Lors de la réception, mon mari a décidé de faire la danse du ver sur la piste de danse. Environ 20 minutes plus tard, mon meilleur ami est venu me voir en panique en me disant que mon mari était en train de se vider de son sang dans les cuisines. Je m'y suis précipitée et j'y ai trouvé mon mari et le cousin de mon père qui tentait d'arrêter le saignement avec des serviettes de papier. Il s'était fendu le menton en le fracassant sur le plancher de danse. Mon mari, qui avait l'air plutôt exsangue, a dit qu'il avait besoin d'un peu d'eau. Mais comme nous étions presque à la fin des célébrations, le bar était déjà fermé, alors je courais un peu partout à la recherche d'une bouteille d'eau. Lorsque j'en ai finalement trouvé une, je me suis de nouveau précipitée vers les cuisines, mais mon mari n'y était plus. J'ai immédiatement pensé que je le retrouverais à l'arrière d'une ambulance, mais non. Il était retourné sur la piste de danse avec un bandage sur le menton, et tout le monde le portait à bout de bras. Une fois la réception terminée, nous nous sommes dirigés vers l'hôpital le plus proche pour des points de suture, et c'est là que nous avons passé notre nuit de noces!" — Rebecca, 39 ans
"J'étais complètement paf à notre mariage, tellement que j'en ai perdu connaissance. Nous avions prévu une petite fête privée de 10 à 15 invités dans une suite après la réception, mais j'ai dormi tout au long de celle-ci. Ils ont commandé de la pizza et on m'a raconté que des gens sautaient sur le lit où je me trouvais pour essayer de me sortir de ma torpeur éthylique. Je n'ai absolument pas eu conscience de tout cela, et le lendemain, j'avais la pire des gueules de bois. Nous devions nous lever à 6h du mat' pour prendre l'avion pour Maui pour notre lune de miel. C'était l'horreur." — Damon, 35 ans
Tellement épuisée que je n'arrivais même plus à parler:
"Je m'étais imaginé ma nuit de noces comme une nuit blanche mémorable. Nous avons pris un bon bain chaud et à ce moment, je n'arrivais même plus à parler. J'étais obsédée par ma faim et ma fatigue, alors nous avons décidé de commander une pizza. Pendant que nous attendions, nous regardions le film 'Demain, on se marie!', et j'ai littéralement perdu connaissance. Pas un sommeil léger, mais un véritable K.O. Mon mari a dû me secouer assez violemment pour que je puisse manger un peu avant de retomber dans les limbes. Je n'avais aucune idée que je me sentirais aussi épuisée; j'ai dormi pratiquement trois jours entiers avant de me rétablir." — Leah, 27 ans
Une nuit de noces digne d'un conte de fées:
"J'ai demandé à mon garçon d'honneur et ses parents de m'aider à préparer notre chambre d'hôtel. Lorsque ma femme et moi y sommes entrés, il y avait des pétales de roses qui marquaient un sentier jusqu'au réfrigérateur ainsi que jusqu'au lit. Dans le réfrigérateur se trouvaient des fraises recouvertes de chocolat. Le sentier de pétales de roses qui allait jusqu'au lit nous a permis de constater que celui-ci était orné d'un cœur formé d'encore plus de pétales et flanqué de chandelles, ce qui rendait la scène encore plus romantique. Ma femme a adoré! Elle était surprise que j'aie trouvé le temps de mettre tout cela en scène. Elle a dit que c'était la chose la plus romantique qu'elle n’avait jamais vue." — Andrew, 27 ans
"Je tenais absolument à ce nous fassions l'amour lors de notre nuit de noces. Même si nous avons fait la fête jusqu'à 2h du mat' et que nous étions complètement épuisés (sans parler de notre niveau d'ébriété!), nous avons tout de même tenu notre promesse. Le plus rigolo, c'est que j'avais prévu des dessous hyper sexy pour l'occasion, mais j'ai décidé de laisser tomber ce plan, et mon mari ne n'en m'a pas voulu un seul instant." — Jenna, 26 ans
"En un mot comme en mille, disons simplement que ma tante nous a pris en flagrant délit. Elle croyait que nous étions dans une autre chambre et a demandé aux employés de l'hôtel d'ouvrir la porte de notre chambre. Nous n'avons pas répondu aux coups à la porte en espérant qu'ils s'en iraient, mais ils ont ouvert la porte et ma tante est entrée avec deux employés et tous les cadeaux de noces! Nous étions complètement humiliés et leur avons intimé de sortir au plus vite. Inutile de dire que l'atmosphère a changé et qu'il ne s'est rien passé après cela, sinon une nuit de sommeil." — Lauren, 26 ans
"Jusqu'au grand jour, tous nos amis nous rappelaient sans cesse de profiter du moment, car la nuit est non seulement courte, mais très dispendieuse. Nous avons donc suivi leurs conseils et nous nous sommes solidement enivrés. Ma femme a complètement oublié la traditionnelle danse père-fille et en plus, elle s'est endormie durant le trajet entre la réception et l'hôtel. Lorsque nous sommes retournés à notre chambre, elle pleurait, car elle ne se souvenait pratiquement de rien. C'était assez rigolo." — Mark, 31 ans
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15 témoignages de relations toxiques avec des pervers narcissiques
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Vous trouverez sur cette page des témoignages de personnes ayant eu une relation toxique avec un(e) pervers narcissique (alias PN).
Ces témoignages sont structurés à travers des questions qui vous permettront de comprendre comment commence une relation avec un PN et comment elle évolue avec le temps.
Vous verrez ainsi l’évolution de la relation, du début de la relation jusqu’à la rupture et ce qui suit la rupture.
Vous identifierez également la personnalité d’un pervers narcissique et vous saurez comment vous devez agir et surtout, ce que vous devez éviter de faire.
A noter que les PN sont particulièrement attirées par les personnes qui manquent de confiance en elles, qui ont une basse estime d’elles, et qui sont en dépendance affective .
J’ai prévu d’écrire un court article sur les pervers narcissiques en plus de ces témoignages. Si vous êtes abonné à mes emails, vous recevrez cet article complémentaire.
Voici maintenant ces témoignages. Certaines personnes ont souhaité prendre un pseudo et d’autres ont souhaité garder leur prénom.
Isabelle : Tout allait bien…Un couple très fusionnel. Il était très attentionné. Je n’avais jamais vu un homme aussi à l’écoute de mes besoins.
Cristina : Au debout, j’étais heureuse et reconnaissante d’avoir rencontré enfin une personne qui s’intéressait à moi, si attentif, si à mon écoute. Il arrivait juste au bon moment avec les mots que j’avais besoin d’entendre. Pour mon entourage, c’était juste une évidence, on était faits l’un pour l’autre.
Mandy : Au début, il était parfait, des fleurs, des petits mots, toujours une petite attention, des compliments C’était la première fois que je vivais une telle symbiose dans une relation. Les mêmes envies d’avenir, c’était parfait.
Elisa : Je le trouvais fascinant, différent mais aussi très gentil et drôle. Il a très vite voulu qu’on parte en week-end tous les deux, m’a très vite dit « je t’aime », m’a dit qu’il voulait s’engager, qu’il était sérieux et fiable.
Julia : Au début il se montrait attentif, prêt à tout pour me faire plaisir et me rendre heureuse. Il m’a invité dans un grand restaurant étoilé, pour me montrer son style de vie, indiquant que je ne méritais pas moins. Il m’a offert de beaux ensembles de sous-vêtements, m’envoyait des fleurs, de jolis messages plein d’amour. Il me complimentait sur mon physique, disant très souvent combien il était fier d’être avec une belle femme comme moi. Il disait que c’était moi qu’il attendait depuis toujours, qu’on était fait pour être et vivre ensemble. Il m’assurait de ses qualités, un homme fidèle, attentif, prêt à tout pour me faire plaisir. Tout cela me plaisait. Je n’ai jamais été habituée à tant d’attention, de cadeaux, de compliments. Il me faisait me sentir femme, désirable.
Charlotte : J’avais l’impression de ne jamais avoir rencontré quelqu’un qui me ressemble autant. Un vrai coup de foudre ! J’ai d’ailleurs décidé de quitter mon mari en quelques semaines (ma relation n’était de toute façon pas épanouissante, cela serait arrivé avec ou sans cette rencontre)
Caroline : Notre relation a débuté de manière très agréable. Il montrait son interêt pour construire une relation durable. Il était très attentionné, présent, galant, très doux et à l’écoute.
Angie : Au début tout était beau, il me comblait de cadeaux, des sorties improvisées. Une vie rêvée.
Valérie : Au début, c’était super. Il était si prévenant et élégant dans son attitude envers moi. Il m’envoyait des messages, se montrait disponible. Plein de promesses et de belles paroles.
Jean : Le début était parfait, idyllique. Ma femme était très amoureuse et totalement dévouée, presque trop.
Nita : Une relation très fusionnelle.
Valentina : La relation était purement idyllique. J’avais retrouvé le plaisir d’exister comme un enfant le ressent avec ses parents.
Marine : Il s’est montré très présent, beaucoup dans l’écoute, beaucoup dans la communication et l’empathie. Mais il s’adaptait à mes attentes. A ce moment, je traversais une période très significative qui me laissait vulnérable (explosion de mon enfance, suicide d’un proche, maladie parents… beaucoup de choses à porter à 20 ans seulement). Il a aussi montré qu’il n’avait pas eu un passé très simple, mais qu’il voulait mieux pour le futur. Il réveillait l’espoir en moi et cette volonté de construire.
Elishean : Au début de notre histoire, la relation se passait sans encombre dans le respect de l’un de l’autre avec d’agréables partages.
Isabelle : Moi, je ne voyais rien. Il faut croire que l’amour rend aveugle. Par contre, mon frère et ma sœur qui sont un peu plus âgés que moi, avaient décelé quelque chose de bizarre. Comme si c’était trop beau pour être vrai. Il était trop gentil envers tout le monde. Ils n’avaient pas confiance en lui.
Cristina : Il racontait ses expériences précédentes en travail ou en amour comme s’il n’avait pas eu vraiment de chance. Cela finissait au tribunal, soit il était persécuté, soit exploité. La maman de ses enfants était une vilaine sorcière qui l’avait fait souffrir. Je me disais que c’était injuste tout ce qu’il avait souffert, lui si bon, si gentil. Il parlait souvent de lui, mais je me disais que c’était normal parce que l’on faisait connaissance. On a fait le tour de mes amis mais j’ai rarement rencontré un de ses amis. Il disait qu’il avait déménagé pas mal de fois. Il était pressé pour se marier. Cela correspondait tellement à mes attentes, deux mois après, il m’a proposé en mariage et on s’est mariés six mois après avoir fait connaissance.
Mandy : Je savais qu’il avait un petit penchant pour l’alcool et la fumette, je voulais l’aider à arrêter. Il se montrait assez jaloux. Au début je trouvais ça mignon et c’est vite devenu pesant car je devais lui prouver que je ne le trompais pas. Il vérifiait mon téléphone régulièrement. Je mettais ça sur le compte de l’alcool. Il passait devant chez moi plusieurs fois par jour quand on n’était pas ensemble.
Elisa : Rien n’était bizarre. Il me paraissait simplement différent, inclassable. Je savais qu’il avait un passé difficile avec la drogue, qu’il avait été très marginal mais il s’en était sorti et semblait s’être rangé.
Julia : C’est quand j’ai rencontré ses enfants. Il tâchait de se contenir pour ne pas leur crier dessus. Il leur parlait mal. Parfois il s’énervait très fort en les grondant. Il les affublait de surnoms ridicules et humiliants. Puis il a commencé à me parler de ses nombreuses souffrances d’enfance. Sans jamais me dire de quoi il avait souffert. Il m’a dit que son ex l’avait beaucoup fait souffrir malgré tout ce qu’il a fait de bon pour elle. Il m’a confié de nombreux éléments obscurs et inquiétants qui l’ont fait souffrir , sans jamais donner de détails, en restant dans le flou, le faisant persister comme un héros. Il m’a indiqué que parfois il faisait des choses sous une emprise et qu’après il ne se souvenait de rien. Je trouvais que c’était un homme qui avait beaucoup souffert et que je devais lui offrir beaucoup d’amour, que je devais essayer de le faire parler pour lui faire extirper ces souffrances. Que mon rôle était de l’aider à aller mieux. En même temps, toutes ces aventures faisaient penser à un film de cinéma et sortaient de l’ordinaire.
Charlotte : Il insistait très fort pour que nous emménagions très vite ensemble. Je voulais avoir le temps de retrouver un équilibre avec mes enfants avant cela mais il insistait beaucoup. J’essayais de tenir bon mais j’avais droit à des jours de bouderies. Par ailleurs, nous avions croisé son ex femme un jour, qui avait fait une crise d’hystérie (en montant sur le capot de la voiture, en hurlant, en essayant de le frapper…) et elle m’avait dit « tu verras, toi aussi, il te rendra folle, il trouvera tes faiblesses et s’en servira contre toi… ». Cette phrase est toujours restée dans un coin de ma tête, heureusement.
Caroline : Il me paraissait parfois très précautionneux, et d’un coup adopter un comportement sans gêne. Ou bien se renfrognait quand ma réponse à une question ne paraissait pas rentrer dans sa logique puis il revenait rapidement à un comportement agréable. J’interprétais ce genre de choses comme de la maladresse ou des petits sautes d humeurs passagers et sans gravité.
Angie : J’ai été une fois chez une voisine et entre temps, il est arrivé pour venir me voir. Il était énervé que je n’étais pas là et m’a presque repoussée quand j’ai voulu lui faire un câlin. Je me suis dit qu’il était juste énervé parce qu’il y avait une casserole sur le feu et l’eau bouillait et moi je n’étais pas là pour surveiller.
Jean : Elle a voulu que je détruise toutes les photos de mes ex, et les album photo de mes voyages. De plus, notre mariage sans contrat, c’est à dire en communauté réduit aux acquêts l’embêtait beaucoup, car elle savait que ma maison ne lui appartenait pas.
Phoenix : Pendant les dix premières années, il y a eu quelques couacs ‎où pour une broutille, il me hurlait dessus, m’insultait. Je pleurais beaucoup, mais après il était de nouveau si gentil que je me disais que tous les couples vivaient ce genre de moments.
Nita : Nous avons eu très rapidement des disputes très fortes, exténuantes, quelque chose que je ne pense pas avoir expérimenté auparavant. L’impression, parfois, de devenir folle à ces occasions, une sensation d’impuissance de me faire comprendre ou respecter. Sa façon de parler toujours en « je » à des tiers quand il s’agissait d’un « nous » (par exemple des choses que nous avions réalisées ensemble ou qui nous appartenaient ensemble). Il ne me laissait pas aller dormir le soir selon mon rythme et me reprochait d’être toujours fatiguée. Dans notre sexualité, il était peu concerné par mon plaisir ou même par mon désir, pouvant devenir furieux si je refusais ou ralentissais, me comparant à son ex. Quand j’ai su qu’il m’avait trompée c’est lui qui a crié et m’a reproché la façon dont je l’avais découvert. Il y avait quelque chose qui ne me paraissait pas logique dans ce raisonnement, mais je ne voyais pas quoi. Comment j’ai interprété tout cela ? Pour moi c’était surtout incompréhensible, un étonnement sans bornes, et une bataille permanente pour essayer de faire entendre mes besoins ou mon avis.
Valentina : J’ai pu constater que son comportement ne correspondait pas à ce qu’il « revendiquait » telles que des façons d’aider son prochain, prendre soin de soi, etc. Mais je continuais la relation car je voulais vraiment m’en convaincre bien que j’avais en moi une déception face aux promesses non tenues sur des projets qu’il m’avait fait miroiter (partir en Italie, sorties, etc. )
Marine : il avait des réactions violentes qu’il justifiait. Je trouvais qu’il s’énervait trop sur les autres. Toujours des problèmes contre lui. Toujours lui la victime. Un jour, je parlais avec son coloc et j’ai été très sèchement sommée d’arrêter ce genre de comportement car il avait été trompé par le passé. Je pouvais comprendre, mais pas cette intensité, cette violence qui était en décalage avec moi. Et progressivement, je passais au second plan, mes ressentis n’étaient pas légitimes, j’étais une femme (très misogyne de base).
Elishean : Les premiers dérapages se sont très rapidement manifestés, à savoir au bout d’un mois à peine où il s’est montré soupe au lait, impulsif cherchant à me contrôler. Moi j’ai immédiatement vu cela d’un très mauvais œil. Mais cependant, dû au fait que je voulais tellement que notre histoire fonctionne j’ai accepté de passer l’éponge.
Isabelle : Ça s’est fait petit à petit. En fait, il était très intelligent et a réussi, avec les années, à me faire avoir de moins en moins confiance en moi. Une faible estime de moi-même s’est établie. Lui, il en profitait, et faisait paraître pour le bon conjoint. « Je vais t’aider, je vais m’en occuper, etc… » Par la suite, il me disait que je n’étais pas capable de faire telle ou telle chose par moi-même. Il se rendait indispensable.
Cristina : Dès la nuit de noces. Il m’a humilié à plusieurs reprises. Par exemple, pendant le repas de lune de miel, on était à table au resto. Il y avait un photographe et deux mannequins, une d’entre elles avec des cheveux rouges. Lorsqu’ils sont sortis, il a soudainement quitté la table et est revenu 20 a 30 minutes après. On avait déjà pris l’entrée, et j’attendais bêtement son retour. Il m’a alors dit que son fantasme, c’était les femmes rousses et il fallait qu’il aille la contempler. Je ne savais pas quoi dire, tellement j’étais confuse. Plus tard, dans la nuit de noces, lorsqu’on est rentrés dans la chambre, il m’a dit « Je te le dis tout de suite, ce qu’on va faire, on va faire vite car tu ne me plais pas du tout. Tu n’es pas mon genre. La seule raison pour laquelle je t’ai épousée, c’est parce que Dieu me l’a dit ». J’ai commencé a me sentir moche, inintéressante, bête. Comme si j’étais une ignorante alors que j’ai un très bon niveau d’études supérieures et un métier intéressant et des valeurs qui me sont chères. J’ai alors perdu la notion de qui j’étais. J’étais très fatiguée, je ne voyais pas clair.
Mandy : Au bout de deux ou trois mois, après notre première dispute, il m’a envoyé des insultes toute la nuit par sms. Il me disait que j’étais trop grosse pour que quelqu’un veuille de moi, que j’étais une pauvre fille, une grosse vache. Le lendemain, il est revenu avec des fleurs en m’expliquant que je l’avais poussé à bout et qu’il m’avait dit tout ça pour me faire réagir. Je me suis excusée car que je pensais que c’était de ma faute.
Elisa : les difficultés sont arrivées après deux mois de relation. Je me suis plainte d’une forme de distance, d’indifférence qu’il pouvait avoir parfois et il l’a mal pris. Au bout de quelques mois, après une crise de jalousie de ma part et un froid entre nous, il m’a dit qu’il me quitt
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