Nouvelle carrière pour cette vétérane de l'armée
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« Si la vie vous intéresse » : Entretiens avec des vétéranes et des vétérans canadiens
« Je me souviens d’avoir entendu des histoires d’astronautes sur ce moment qui a changé leur vie, lorsqu’ils ont regardé la Terre pour la première fois depuis l’espace. Ils ont alors réalisé à quel point tout semble petit, interdépendant et sans frontières depuis cette hauteur », mentionne la D re Karen Breeck, vétérane des Forces armées canadiennes (FAC), qui a consacré la plus grande partie de sa carrière à administrer du soutien et des soins médicaux aérospatiaux. « Je pense que cette expérience peut être comparée à celle d’un soldat canadien dans un pays lointain, déchiré par la guerre ou frappé par une catastrophe, qui réalise dans ces moments-là à quel point nous sommes tous interdépendants et à quel point ce drapeau canadien fièrement posé sur votre épaule est précieux. »
La Semaine des vétérans, qui comprend le jour du Souvenir le 11 novembre, donne aux Canadiens et aux Canadiennes l’occasion de réfléchir à notre histoire militaire et de reconnaître les sacrifices des femmes et des hommes qui ont servi notre pays. Joignez-vous à nous alors que nous nous entretenons (virtuellement) avec trois vétérans canadiens exceptionnels — la D re Karen Breeck, Roy Goodall et Jane Hall — pour parler de leur carrière et de l’importance de se souvenir.
Roy Goodall, qui est vétéran des FAC et vice-président de Retraités fédéraux, a travaillé 36 ans comme officier en communications et en électronique avant de prendre sa retraite pour poursuivre une seconde carrière de planificateur financier indépendant. Sa carrière militaire lui a enseigné la valeur et l’importance du service communautaire. « Sans les bénévoles, beaucoup trop de choses n’auraient jamais lieu », explique-t-il. « Sans l’aide des bénévoles, les enfants ne participeraient pas à des sports organisés, et les événements communautaires et les programmes sociaux comme les banques alimentaires n’obtiendraient tout simplement pas de succès. »
M. Goodall nous rappelle également que, en plus de renforcer les communautés, le bénévolat épaule ceux qui ont besoin d’aide pour se remettre sur pied ou pour surmonter un traumatisme. En définitive, il fait remonter sa passion pour le bénévolat à « la culture militaire qui consiste à s’entraider dans les moments difficiles et à venir en aide aux communautés qui subissent des événements catastrophiques comme les incendies et les inondations ».
Jane Hall, une vétérane de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), a découvert que sa carrière lui a également inculqué une profonde conviction de la valeur de venir en aide à autrui. « Les pouvoirs extraordinaires accordés par le Canada à la police et à l’armée sont plus puissants lorsqu’ils sont utilisés pour assurer la sécurité des gens et aider les autres à recevoir le soutien que tant de Canadiens et Canadiennes tiennent pour acquis », déclare-t-elle. En fin de compte, elle considère son service comme un réconfort. « Pendant mes deux décennies de service, j’ai été frappée par la bonté et la décence des gens. »
La D re Breeck se souvient de sa carrière comme étant stimulante, gratifiante et imprévisible, car aucune journée n’était tout à fait pareille. Elle a accompli 20 ans de service dans les forces régulières des FAC en tant que médecin militaire. « Comme le promettaient les publicités de recrutement, il n’y avait pas vraiment de vie comme celle-ci, car la quantité d’aventure et de variété que l’armée m’a apportée au cours de ma carrière ».
En réfléchissant à son travail, la D re Breeck se remémore tout particulièrement son affectation de soldate du maintien de la paix à la fin des années 90 pour la Force des Nations unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD) en patrouillant en Syrie alors occupée par Israël. « À l’époque, il était encore assez inhabituel d’être une femme officière dans une mission de maintien de la paix », précise-t-elle. (En fait, elle était la seule femme du groupe comptant plus de 1 500 soldats affectés à cette mission!) « Être canadienne, porter un béret et un casque bleu de l’ONU aux côtés de soldats polonais et autrichiens pour maintenir la paix a été l’un de mes moments militaires dont je tire la plus grande fierté. »
Ce moment fort de sa carrière, parmi de très nombreuses autres expériences, a appris à la D re Breeck « combien il est rare et spécial de vivre dans un pays où règne la paix, où chacun peut voter librement et en toute sécurité ». À ce titre, elle considère que la Semaine des vétérans est un moment important, non seulement pour se souvenir des sacrifices de ceux et celles qui ont servi notre pays, mais aussi pour réfléchir à la chance que nous avons de vivre au Canada, en paix. « J’ai réalisé que j’avais littéralement déjà gagné la loterie de la vie le jour où je suis née au Canada », affirme-t-elle.
Lorsque nous avons demandé à ces trois vétérans ce que la Semaine des vétérans signifiait pour eux, nous avons obtenu, comme vous l’avez peut-être deviné, trois réponses différentes et percutantes. Roy Goodall a indiqué que la Semaine des vétérans peut être l’occasion d’agir et d’aider les vétérans pouvant être en difficulté. « Pour les Canadiens et les Canadiennes, une bonne façon d’honorer les vétérans consiste à appuyer les organisations qui aident les vétérans atteints de handicaps physiques et mentaux dans leurs communautés. » Il s’est également empressé de souligner que les employeurs ont un rôle à jouer pour aider les personnes qui quittent le service militaire. Il encourage vivement les entreprises à soutenir les vétérans canadiens en « reconnaissant la valeur de leur éducation, de leur culture et de leurs compétences militaires uniques lorsqu’ils postulent à un emploi ».
Pour Jane Hall, la Semaine des vétérans consiste à se souvenir des histoires de ceux et celles qui ont servi et à les garder en vie, dans notre cœur et notre esprit. Elle pense à son grand-oncle, Tilley Koen. Trop âgé pour servir pendant la Première Guerre mondiale, il avait réussi à s’enrôler quand même, en raison de son dévouement et de son enthousiasme. Elle veille également à enseigner à ses propres enfants l’histoire de leur grand-père, John Hall. Plutôt que d’apprendre à conduire avec la Honda Civic de sa mère comme un adolescent d’aujourd’hui pourrait le faire, il a acquis ses aptitudes au volant « comme conducteur de char dans la 5 e Division blindée canadienne à l’âge de 16 ans pendant la Seconde Guerre mondiale ».
Mme Hall est profondément émue par la bravoure et les sacrifices de Tilley Koen et de John Hall. Pour elle, le fait de cultiver des liens affectueux étroits avec ceux et celles qui ont servi est un aspect important du souvenir. « Les souvenirs des sacrifices et des services du passé ne s’estompent pas, parce que les émotions ne disparaissent pas. »
En plus de passer à l’action pour soutenir les vétérans et de donner du poids aux témoignages personnels sur le service militaire, la D re Breeck demande à la population canadienne de poser un geste de plus : « Je mets au défi tous ceux qui ne le font pas encore de passer quelques minutes à faire des recherches sur les guerres mondiales passées, les événements d’agitation civile, les conflits et le rôle des Forces armées canadiennes et des personnes qui en font partie, hommes et femmes. »
Bon nombre de Canadiens et de Canadiennes n’ont connu que la paix au cours de leur vie, sans jamais connaître la guerre, mais « cette histoire d’ère de la paix n’est pas à prendre à la légère ou à tenir pour acquis », affirme la D re Breeck.
En rendant honneur à ceux et celles qui ont défendu nos droits et nos libertés, on apprécie en partie la valeur — et le coût — de la paix. La D re Breeck encourage les Canadiens et les Canadiennes à tenir compte des célèbres propos du général Douglas MacArthur : « Par dessus tout, le soldat prie pour la paix, car c’est lui qui doit souffrir et porter les blessures et les cicatrices les plus profondes de la guerre ».
© Association nationale des retraités fédéraux
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Veteran, United States Air Force Space Command
Pour quelqu’un qui prétend accorder beaucoup d’importance à la loyauté, le Président des États-Unis ne comprend pas qu’elle prend sa forme ultime dans l’engagement de nos militaires transgenres.
Pour quelqu'un qui prétend accorder beaucoup d'importance à la loyauté, le Président des États-Unis ne comprend pas qu'elle prend sa forme ultime dans l'engagement de nos militaires transgenres.
Chaque matin au réveil, je consulte les informations et les réseaux sociaux. J'aime bien démarrer la journée en partageant une pensée profonde ou un petit trait d'humour. Autant vous dire que je suis restée sous le choc devant cette série de tweets de Donald Trump:
Mais ma stupéfaction s'est immédiatement muée en une rage brûlante. Cela fait déjà sept mois que je vois notre président multiplier les exagérations et autres contrevérités, mais avec ces déclarations, il est vraiment tombé au plus bas.
Cette annonce a réveillé le souvenir amer de ma propre démobilisation. En 1991, membre d'une unité top secrète du Commandement spatial de l'armée de l'air, j'ai demandé l'accréditation correspondante; c'est alors qu'on a découvert que j'étais transgenre. Ç'a détruit à la fois ma carrière et mes chances de pouvoir poursuivre mes études.
J'ai tellement de questions qui me viennent. Le ministère de la Défense fait partie de l'exécutif. En sa qualité de chef de l'État, chef du gouvernement et "Commander in chief", je ne peux que supposer que Donald Trump a un réel pouvoir de décision dans ce domaine. Mais sa déclaration sur Twitter était trop floue pour permettre une interprétation précise. Prenez la formule "[le gouvernement] n'acceptera plus d'individus transgenres dans l'armée américaine, à quelque poste que ce soit". Cela s'étend-il aux fonctionnaires associés à l'effort de défense? Et les sous-traitants qui emploient des personnes transgenres? Vont-ils devoir les licencier?
L'idée du "fardeau" que représenteraient des "coûts médicaux énormes", elle, est une véritable déformation de la réalité. À ce jour, le laboratoire d'idées Williams Institute estime à 15.000 le nombre de militaires transgenres, tandis que le centre de réflexion RAND Corporation table sur 1320 à 6630 personnes, entraînant entre 2,4 et 8,4 millions de dollars de frais médicaux supplémentaires (soit 2 à 7 millions d'euros).
Mais si 6630 soldats se trouvaient démobilisés contre leur gré, il serait extrêmement coûteux de les remplacer. D'après une étude publiée en 2002 par le laboratoire d'idées Lexington Institute, il faut environ 38.000 euros pour recruter, entraîner et équiper un Marine – une somme qui monte à 290.000 euros pour un pilote de chasse diplômé de l'académie de West Point. En prenant pour base les frais engagés pour un Marine, on arrive à un total de quasiment 252 millions d'euros. À vue d'œil, on y perdrait beaucoup moins en conservant les militaires transgenres en activité... sans compter le fait que les nouvelles recrues n'auront pas leurs années d'expérience.
Donald Trump semble également convaincu que ces soldats vont provoquer des "perturbations" ou affaiblir l'engagement militaire. Pourtant, leur droit à intégrer l'armée au su de tous remonte à juillet 2016, et nul n'a jamais constaté de conséquences négatives sur le dévouement ou la cohésion de nos troupes.
C'est une réalité cruelle: l'année dernière, l'ouverture de l'armée aux personnes transgenres a poussé de nombreux soldats proches de la retraite à faire leur coming-out. Aujourd'hui, ils se préparent à perdre toutes ces années consacrées à leur patrie. Beaucoup de militaires de carrière, eux, ont des compétences peu adaptées à une reconversion dans la vie civile.
Pour un président qui prétend accorder beaucoup d'importance à la loyauté, Donald Trump est incapable d'en comprendre la forme ultime: se mettre volontairement en danger pour servir son pays.
À cet instant précis, dans le monde entier, des soldats, des matelots, des pilotes et des Marines défendent la nation américaine... en se demandant quand elle se décidera à leur rendre la pareille.
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