Nous nous mangeons les uns les autres

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Nous nous mangeons les uns les autres
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Une exposition sur la question alimentaire au Nord et au Sud, dans le cadre du Festival TempoColor, à Liège.
Le secteur Arts plastiques du Centre culturel Les Chiroux propose, pour l’édition 2013 du Festival TempoColor , une série d’images qui feront le tour de la question alimentaire au Nord et au Sud, tout en nous interrogeant par rapport à nos propres habitudes et attitudes de consommateurs. Ce que je mange ne regarde que moi ?
Encadrés par un-e animateur-trice spécialisé-e, les groupes découvriront l’exposition et seront ensuite invités à débattre activement sur base d'un dossier pédagogique conçu en lien avec l’exposition. Pour qui?  Pour les jeunes à partir de 14 ans Plus d’infos ? Sur www.annoncerlacouleur.be
Visite commentée dans le cadre de la Journée mondiale de l’alimentation : mercredi 16/10, à 19h00 Infos sur le site Les Chiroux 
Les Chiroux - Centre culturel de Liège
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Du 17 septembre 2013 au 04 octobre 2013

Exposition accessible du mercredi au samedi, de 13h00 à 18h00

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le réchauffement climatique va-t-il nous cannibaliser ? ©Getty - Image Source
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Le réchauffement climatique aurait pour effet d'augmenter les cas de cannibalisme chez les ours polaires. Perspective effrayante.
C’est probablement dans un exemplaire de l’Almanach Vermot que j’ai découvert pour la première fois ce classique de la blague anthropophage : ‘’- Tu l’aimes bien ta mère ? - Oui ! - Alors reprends-en un morceau ! ’’ Je raconte très mal les blagues, mais celle-ci n’est pas non plus très drôle.
Il faut dire qu’au rayon des pires dystopies que nous pourrions être amenés à vivre, le cannibalisme est, en ce qui me concerne, la perspective la plus effrayante. Les deux livres qui m’ont le plus traumatisé ces dernières années y font référence : Mangez-le si vous voulez de Jean Teulé, dont l’action (culinaire) est inspirée d’un fait divers réel, dans le Périgord, au XIXe siècle ; et surtout La Route de Cormac McCarthy, roman post-apocalyptique, où le héros et son fils tentent de survivre dans un monde où l’homme n’est pas seulement un loup pour l’homme mais aussi un steak.
Si je vous parle de ce sujet, c’est à cause d’une dépêche de l’Agence France Presse intitulée Dans l’Arctique russe, le cannibalisme est en hausse chez les ours blancs ’’. On y apprend que les ours, ‘’ menacés à la fois par les effets du changement climatique et l’activité humaine ’’ auraient de plus en plus tendance à ‘’ s’entre-dévorer pour survivre ’’. Le manque de nourriture irait même jusqu’à ‘’ pousser les mâles à manger leurs oursons ’’.
Il faut préciser ici que ce phénomène de cannibalisme n’est pas inédit dans le règne animal. Vous trouverez sur la page de l’article Wikipedia consacré au sujet une photo saisissante d’un ‘ mononchidae mangeant un autre mononchidae ’ . Un des exemples les plus connus est aussi un des plus angoissants : celui de la mante religieuse qui dévore son amant après l’accouplement, véritable outil de promotion de l’abstinence.
Mais ce qui est effrayant avec cette histoire d’ours polaire, c’est de corréler la hausse des températures à une hausse du cannibalisme, et d’imaginer par conséquent que l’anthropo/cène fasse de l’anthropo/phagie son futur modèle alimentaire. Sur une planète à plus 4 degrés, la chair humaine aurait ses chances dans les meilleures brasseries.
Comme toutes les idées aberrantes, celle-ci mérite qu’on la considère sérieusement. A l’automne dernier, un certain Magnus Söderlund a provoqué un sacré boucan en défendant cette idée de dévorer son prochain pour lutter contre le changement climatique. Ce scientifique suédois, spécialiste du comportement, défend le principe, pas si bête, que nous pourrions manger nos morts plutôt que de la viande industrielle, ce qui aurait pour effet d’améliorer notre bilan carbone.
Précision importante : dans le monde de Söderlund, on ne mange pas son voisin vivant, on attend qu’il soit décédé. On attend aussi que les tabous autour de cette pratique soient levés, ce qui risque d’être assez long, nonobstant les conséquences sanitaires d’une telle pratique.
Encore que… ne sommes-nous pas déjà un peu cannibales ? C’est ce qu’on peut déduire de la lecture d’un article de l’anthropologue Fanny Parise pour le site The Conversation . On y apprend par exemple l’existence d’un projet de ‘ ’culture de champignons comestibles grâce à ses propres cheveux ’’ ou encore du projet ‘ ’DNA Beauty qui s’intéresse au futur de la beauté par l’intermédiaire d’une médecine esthétique rendant possible l’ingestion d’ADN d’autres individus’ ’.
Et que dire de la technique du compost humain, dont la pratique a été légalisée l’an dernier dans l’Etat de Washington aux Etats-Unis, et dont le développement est directement associé à l’idée d’une mort plus écologique : les cadavres, transformés en humus, sont directement associés au cycle de la vie ? Ce qui pourrait avoir pour effet de moderniser les vieilles blagues de l’Almanach Vermot : ‘’ Tu l’aimais bien ta mère ? Oui. Et ben reprends des pommes de terre !’ ’

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Par la grâce de l'univers gourmand, de kl-loth qui vient de publier sur son excellent blog DAILY LIFE une recette visant à faire cuire le président de la république dans un grand plat, (non sans lui avoir "pelé au préalable les jambes et les bras"), j'ai désiré poursuivre un peu le thème et le jeu du tandem de la petite cuisine cannibale.
kl-loth aurait bien aimé, si le comité de censure (assez chinois) de "Certains jours" ne s'y était pas violemment opposé, déguster la scène du péché originel, le Bon Dieu et les Saints du tympan de l'église d'Anzy le Duc CLICK + CLICK puisqu'elle eût un soir, l' hallucination sucrée d'un art sacré du Moyen Age en forme de spéculoos, depuis la vision ne nous quitte plus, par sa grâce disais je, car je fus à mon tour (et je ne suis pas la seule), interpellée par cette tentation impie en m'apercevant qu'il m'était désormais impossible de contempler le moindre tympan d'église romane sans avoir envie de croquer une cuisse d'apôtre ou une aile d'ange... Dieu Merci, les têtes ont été martelées !
kl-loth affirme à propos de son "président à cuire" qu'il ne s'agit pas là, d'un désir à l'endroit même de Monsieur Sarkozy, on n'en doute pas, connaissant les goûts extrêmement subtils de kl-loth,, il est certain que notre président beaucoup trop "dur à cuire", même dans une toute petite casserole, resterait pour la plupart d'entre nous, immangeable, car pour goûter de ce cuissot du chef (longtemps "joggingué" en plein air) dont seules rêvent les top models, il nous faudrait de grandes dents (comme celles des top models ?) or, nous ne sommes pas des top models. Quant au blog "Certains jours", louant servilement l'oxymore avec une dévotion sans pareil, (ni appareil ), il ne se risquera qu'à cuisiner les anonymes, la meunière ou le montagnard, quitte à les servir sur une toque en fourrure ou à vanter les délices d'un "gratin de myope" arrosé "maison" au vieux niais... Cela sera en plus, une occasion à point pour se souvenir des "chansons de Roland", pas BARTHES , l'autre! Le roi de la ripaille et du croquis gloussé avec ou sans cheveux sur la langue. Gloire à ROLAND TOPOR ! et ses textes toqués ("LA CUISINE CANNIBALE" entre autres) qui ne pensa pas à cuire le président, ni à sucrer les fresques d'un Jésus en forme de biscuits (issus pourtant de l'évêché), mais qui laissa à ses contemporains quelques "perles cannibales" agilement signées hantant voire taraudant (si c'est défendu c'est que ça doit être très bon), quelques plis inavouables de notre mémoire collective. Les plus grands chefs étoilés ont rêvé d'appliquer sa prose mais n'oseront jamais vous servir le menu à la lettre et remplaceront le myope ou la meunière par un banal dauphinois ou une sole assez vulgaire. Et vous ne goûterez sans doute jamais de cette exquise "cervelle de meunière" dont je ne résiste pas à livrer la recette ici, signée ROLAND TOPOR avec une admiration déjà régalée et un petit goût de reviens z'y...
A vos fourneaux donc, toutes dents dehors !
"Il faut d'abord la mettre dans l'eau froide pendant une heure ou deux, puis enlever la petite peau et les filaments sanguins qui l'entourent. Lorsqu'elle est bien épluchée, mettez la dans une marmite avec assez d'eau pour qu'elle baigne complètement, (rougissante d'être toute nue, frémissante, là, devant vous). Ajoutez une ou deux cuillerées de vinaigre, sel, poivre, un bouquet de fleurs et une petite gousse d'ail en gloussant. Quand la cervelle est cuite (il est inutile de se livrer à des excentricités), fendez la en deux, mettez la sur un plat, et versez dessus du beurre fondu. Si vous avez bien connu la meunière c'est encore meilleur. on peut servir dans une toque en fourrure mais les cheveux sont déplaisants et peuvent gâter le plat"
Merci à notre ami J.BIGOT from Paris d'avoir posé pour la photo tout en sonorisant et jouant de la paire de couteaux de l'artiste cuisinier M.PIET, dont les concepts supra culinaires ont fait le tour de monde, nous en reparlerons... Ici un concert improvisé de couteaux de cuisines amplifiés par une vieille machine pas trop conçue pour ça, avant d'attaquer la cervelle ...Cuisines et musiques cannibales à tous les étages. On fera suivre un jour, de bouches à oreilles...

07:36 Publié dans A tribute to , Impromptus , Mémoire collective | Lien permanent

oulaaaa la note longue!! je lirai à tête reposée.. ça a l'air chouette chez vous..

Écrit par : Fx | samedi, 16 août 2008

Pour une fois que je mets une note longue !
Et pour être vraiment être sûr que c'est chouette, il va falloir revenir. eh ben oui pas le choix:-)
Donc :Revenez quand vous voulez,les fenêtres sont toujours ouvertes.

Écrit par : frasby | samedi, 16 août 2008

















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Une plogue sympathique d'Alain Saint-Pierre, de CIBL 101,5 FM

Avis aux médiocres – L'émission de radio Musironie a pris connaissance du rapport « Planète vivante 2006 » publié par le fonds mondial de la nature. Les grandes lignes des conclusions de ce rapport sont qu'actuellement la consommation d'une partie de l'humanité dépasse de 25% les capacités biologiques de notre planète et à ce rythme, il faudra l'équivalent de 2 planètes Terre pour satisfaire la consommation humaine et ce dès 2050. Le Canada arrive au 4e rang des pays les plus rapaces à cet égard, après les Émirats arabes unis, les États munis et la Finlande.
En apprenant cette nouvelle, la première réaction de l'équipe d'animateurs-producteurs de Musironie a été unanime : « Aie, on est supposé être encore tous en vie en 2050, qu'est-ce qu'on va manger, sacrament ? » a déclaré Alain Saint-Pierre en considérant précieusement l'avant dernière bouchée de son Panini au saumon fumé. « Et qu'est-ce qu'on va boire surtout ? N'oubliez pas que le rapport mentionne que les changements climatiques vont affecter les réserves d'eau potable de la planète. » d'ajouter Guillaume Lévesque en s'ouvrant une Molbatt bien fraîche. « Le pire c'est qu'on n'aura plus rien à fumer, si toutes les terres agricoles sont affectées à la bouffe, il n'y aura plus de place pour cultiver les délicieuses variétés de plantes à boucane. » a renchéri Bob L'Aboyeur, en s'étouffant avec son gros batte à saveur chocolaté.
Habitués non seulement à dénoncer les situations désastreuses causées par l'humanité, mais aussi à suggérer des solutions concrètes et efficaces, les artisans de Musironie ont élaboré un plan pour sauver la Terre du désastre annoncé par les grands médiocres du monde entier. « Il faut absolument réduire la consommation » a déclaré Guillaume Lévesque. « Pour ça, il n'y a pas d'autres choix que de diminuer le nombre de consommateurs » d'ajouter Bob L'Aboyeur. « Il n'y a qu'une seule solution possible : faire la promotion du cannibalisme » de conclure Alain Saint-Pierre. Le joyeux trio d'animateurs invite tous les mauditeurs et mauditrices à ne pas manquer la présente émission de Musironie pour en savoir plus. L'émission est disponible au http://www.musironie.com/ et le vendredi 3 novembre à 14 heures sur les ondes de Radio-Montréal, 101,5 FM.
Sauvons notre planète, mangeons-nous les uns, les autres !

Veaux mieux en faire des farces,question de se farcir la dinde avant le temps des réjouissances qui fait honneur à tout ce trop beau monde sur terre.
C’est vrai que c’est particulièrement effrayant comme constat. Nous n’avons qu’une seule planète (pour l’instant, du moins), et il faut la protéger par tous les moyens. Par contre, très peu pour moi, le cannibalisme…la modération, c’est bien mieux ! Laissons les obèses s’empiffrer et mourir du cholestérol, et profitons-en pour réduire nos portions et ainsi alléger le fardeau qui pèse sur notre bonne vieille Terre… Quand tous les gros seront morts et qu’il ne restera plus que des gens en santé qui mangent santé, l’état global de la situation devrait être bien meilleur. Se manger les uns les autres ? J’aime ma viande maigre, désolé…

Mamie se fait planter un gode par sa petite fille
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Cette jeune demoiselle aime les plans à trois

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