Nourrir six beautés

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François Pédron

22/06/2009 à 14:25


Un jour, une photo - la web série

Jacques Brel, ne nous quitte pas










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Avec 94 millions d’euros, le play-boy portugais est devenu le joueur de foot le plus cher de l’Histoire. Sur la route du Real Madrid, il a croisé Paris Hilton.
Conte moderne : la belle Américaine découvre la bête de foot européen. Mercredi 10 juin à l’aube, dans le club à la mode MyHouse à Los Angeles , Ronaldo, 24 ans, fête en beauté son transfert avec le plus grand club du monde : 94 millions d’euros, dont il ne touche que 10 %, sans compter quelques dizaines de millions supplémentaires issus de ses droits à l’image. Six ans qu’il enflamme les stades ! Elle, riche dès sa naissance, allume la jet-set depuis toujours. Lui depuis peu, mais il rattrape le temps perdu. Quand il a signé son premier contrat à Madère, il avait 8 ans et il a touché l’équivalent d’un demi-euro. Aujourd’hui, le footballeur le plus cher du monde gagne 200 000 euros par semaine. Son rachat a bouleversé et choqué la planète foot. Mais le président du Real Madrid prétend qu’il peut amortir la fortune investie en trois ans.
Beau, riche, insolemment doué, il a tout pour déplaire. Surtout à ses adversaires. Et tellement sûr de lui qu’il ne prend jamais la peine de cacher son arrogance d’hidalgo – bien qu’il soit sang pour sang portugais. Né à Funchal, capitale de Madère. En réalité, c’est tout simplement un enfant gâté. Pourri, même. Sa mère, Maria Dolores, n’a jamais eu d’yeux que pour lui, bien qu’il ait un frère et deux sœurs. Comme la mère des Gracques, Maria Dolores pourrait dire qu’elle n’a qu’un seul bijou, son fils. Un fils sûrement tombé du ciel puisqu’il ressemble si peu à ses géniteurs. Il est donc né «galactique»… Son père, José Diniz, jardinier, n’était pas un parangon de tempérance ; il disparaît assez vite : Ronaldo grandira sans modèle paternel. Sa mère est sa seule référence, son miroir, bien qu’elle ait des mensurations plus proches de la Mère Denis que de la Vénus de Cnide. Cristiano Ronaldo dos Santos Aveiro est un oiseau de paradis élevé dans une couvée de piafs lusitaniens.
Pourtant, il n’aura jamais le charisme des champions populaires nés comme lui dans les quartiers défavorisés, comme Pelé ou Zidane, devenus des exemples qui font curieusement l’unanimité, même chez ceux qui n’ont jamais touché un ballon de leur vie. Il ne déchaîne pas les passions comme l’autre Ronaldo le goinfre, ou Maradona le drogué : il horripile. Aujourd’hui, les tartufes de cette profession ravagée depuis longtemps par l’argent font semblant de se scandaliser des 94 millions d’euros de son transfert, dont il ne touchera que 10 %. Avec ces millions, on pourrait nourrir le Burkina-Faso pendant un siècle. Lui se contente de recevoir un salaire hebdomadaire de 200 000 euros et de mettre la monnaie sur un compte commun avec sa mère. Cette excellente cuisinière qui se servait d’abord, c’est visible, s’occupe aussi de la tambouille financière. Mais, à la maison, la morue n’a pas été détrônée par le caviar. Et le carrosse est toujours bien caché derrière la citrouille, même si l’enfant divin collectionne quand même les voitures les plus chères du monde, Rolls Phantom, Bentley Continental, Ferrari 599, Bugatti Veyron. Il faut bien que jeunesse se passe…
Au moins, il ne vit pas à crédit comme son nouveau patron, le sieur Perez, promoteur adulé, qui a emprunté 284 millions d’euros pour regarnir son vestiaire d’Ali Baba. C’est ce Florentino Perez qui avait naguère inventé le mot galactique, d’une prétention folle ; c’était le triomphe des surhommes venus d’ailleurs. L’expérience avait fini en eau de chorizo, les spationautes du foot ayant oublié qu’un match se joue à onze et qu’il faut aussi défendre avant de déclencher les olé du bon peuple qui vénère les gestes de prestidigitateurs : bicyclette, sombrero, aile de pigeon, etc. Perez n’a pas fini son marché ; il lorgne sur Ribéry, l’anti-Ronaldo. Balafré, dentu comme Jacques Brel, et tellement sympa ! D’autant qu’il est moins cher et plus fiable sur une longue saison. Ronaldo et Ribéry, c’est Phoebus et Quasimodo dans un «Notre-Dame de Paris» remixé à Madrid.
Pourtant, comme tout héros d’épopée, Ronaldo a son talon d’Achille, bien naturel chez un sportif qui sollicite tellement ses mollets. On l’a vu quand les lutins de Barcelone ont épuisé les monstres de Manchester United en finale de la dernière Champions League (Coupe d’Europe des clubs). Ronaldo a été, tel Gulliver, ligoté par les nains. Il n’a pratiquement pas vu le ballon, ce qui, dans son cas, est un crime de lèse-majesté. Il a dû laisser sa panoplie au vestiaire, les passements de jambes, les talonnades, les courses folles au ras du gazon qui déséquilibrent les gardes-chiourme chargés de le contrôler, les passes les plus imprévues qui expédient trois défenseurs dans les cordes. Le maestro a fait un couac prolongé dans le merveilleux concert catalan. Le danseur étoile qui survole la piétaille s’est retrouvé les mains sur les hanches, boudeur, dans la position qu’il affectionne dès qu’on lui a piqué son jouet ; il laisse ses partenaires se débrouiller sans lui et, monarque provisoirement déchu, il attend, en préservant son Brushing, qu’on lui remette son sceptre. Hola, manant ! Qu’on me rende mon ballon !
Cette suffisance a lassé le bon peuple de Manchester, qui ne s’est pas manifesté quand les tiroirs-caisses ont tinté dans le bureau de sir Alex Ferguson. Alors que les fans réclament à «cœur» et à cris le sombre Tevez aux allures néandertaliennes, qui fait frissonner les gradins quand il fonce comme un bison vers le but adverse, écrasant tout sur son passage. L’ironie du sort… Entre Barabbas et Jésus, la foule choisit encore Barabbas ! Madrid l’a voulu, Manchester (managé par un Ecossais !) ne l’a pas retenu. En vérité, c’est maman Ronaldo qui a gagné : son grand fils est de retour. La mèche gominée toujours conquérante. L’œil de jais. L’épaule d’escrimeur. Il échappe aux brumes anglaises pour se retrouver dans la pleine lumière hispanique. Dans une arène à sa mesure : c’est lui le ­torero. Et les aficionados s’apprêtent à balancer des coussins sur le sable pour lui faire un épais tapis rouge. Lisbonne ou Porto n’avaient pas les moyens, l’excellente cuisinière a donc concocté un menu hispano-portugais : c’est Madrid qui met le couvert mais c’est le Portugal qui régale. L’enfant prodige est de retour.
Les caméras décortiquent le moindre de ses frémissements de rotule, mais sa vie privée – hormis quelques banals incidents de voiture – est aussi mystérieuse que l’origine de son génie. Son profil de médaille, son modelé proche de Praxitèle, sa lippe dédaigneuse, son œil du tigre, son nombrilisme (avoué) ont ému le monde gay ; leur bible «Gay News» l’a décrété l’homme le plus sexy de l’année. C’est leur choix. Ronaldo croit éluder toute ambiguïté en s’affichant avec de jolies filles. Métrosexuel, oui, mais pas efféminé. Les récentes images du champion dans les bras (les avant-bras, plutôt) de Paris Hilton, au club de Los Angeles MyHouse, viennent de faire le tour du monde. Si la créature était moins connue, moins maniaque de médias, si elle n’était pas escortée de sa sœur, Nicky – chacune étant le chaperon de l’autre –, l’idylle pourrait prendre autant de consistance qu’une mousse au bacalhau fouettée par maman Ronaldo. Mais un verre ne fait pas l’alcoolique et un baiser mouillé au champagne ne fait pas la grande passion, surtout quand il est surveillé par sept gardes du corps. D’ailleurs, maman Dolores a déjà récupéré son trésor. Elle gère bien entendu ses affaires de cœur et ne s’en cache pas : «Quand Cristiano est vraiment amoureux d’une fille, il l’amène à la maison.» Elle est toujours la première informée et adoube la provisoire promise pour une histoire qui dure le temps d’une séance de tirs au but. Après la chanteuse Luciana Abreu et le modèle Merche Romero, Nereida Gallardo, autre modèle, n’a tenu que sept mois et a été licenciée par SMS. Nereida a constaté sans rancune : «Sa mère est vraiment ultraprotectrice !»
Son parcours de Don Juan présumé est vraiment trop léger pour faire taire les rumeurs. Mais d’autres princes ont connu la même suspicion… Qu’importent les Luciana et Nereida, femmes d’une mi-temps. Nereida a prévenu les autres candidates : la seule femme qui compte dans la vie du champion, c’est sa mère. Quand il avait signé son premier gros contrat, il lui avait dit : «Maman chérie, tu ne seras plus jamais obligée de travailler.» C’est pour elle qu’il joue. Et gagne.


Full love♥♥ , ❆ partagez si vous voulez plus d'article sur mon blogue à propos de l'hiver ! ❆

N'oubliez-pas d'aller sur ma chaîne Youtube & vous abonner à moi pour avoir toute sorte d'autre vidéo ! 2 fois par semaine (environ) je vous pond des vidéos, donc ça vaut la peine ! 

Maquillage :

1. Le mascara ''Big Eyes'' de chez Maybelline® .


 J'en ai parler dans ma dernière vidéo, mais ce n'est pas des blagues quand je vous dis que ça donne un effet ''WOW!'' Ça vous donne l'impression d'avoir les yeux plus grand ouvert que sans ce mascara-là. Il est facile à appliquer, nous n'avons pas besoin de mettre 2 couche de mascara sur nos cils pour avoir du volume. La brosse fait tout le travail . Mais ce que je préfère par dessus tout de ce mascara-là, c'est qu'il y est deux brosses différentes. Je suis le genre de fille qui se ''beurre'' partout autour de yeux en m'en appliquant. Mais avec celui-là, c'est IM-PO-SSI-BLE ! Je me le suis procurer au Maxi, le prix par contre, je ne suis plus certaine ! 

J'en ai parler avant les vacansses, vers le mois de Juin je crois ou début Juillet en disant que des bons commentaires, vous vous rappelez? & bien c'est encore le cas aujourd'hui ! J'ai commencer a avoir les pointe très très sèches il y a peut être une semaine ou deux. J'ai commencer a m'en appliquer a presque chaque fois que je sortais de la douche & a toutes les fois que je me maquille et me prépare le matin . En peu de temps, mes cheveux son devenue vraiment vraiment beau ! Vous n'êtes pas oubligé d'en appliquer quotidiennement de l'huile, juste quand vos cheveux semble en demander, offrez-leurs ce petit soins capillaire & il vous remercieront en vous donnant une cheveux douce, brillante et en santé :) ! Dans le fond c'est comme la phrase : ''Satisfaction garantie, ou argent remis'', mais tu peut qu'être satisfait de ce produit !


Vernis à ongles:

1. ''Pink Punk'' de Sally Hansen®.

    Sur la photo il ressort fushia, mais ce n'est pas fushia ! C'est un beau rose, presque rouge ! Il s'applique bien, il dure longtemps (si vous n'êtes pas comme moi et que vous le gratter .. hi hi hi !), le seul problème, c'est qu'il ne sèche pas asser vite, JE trouve. Bon, il faut dire aussi que je ne suis pas la fille la plus patiente au monde, mais bref ! La couleur est trop magnifique, même si c'est rose, ça se porte avec vraiment n'importe quoi . *** PS: tout mes vernis je l'ai achète au Maxi, ils sont vraiment pas chers ! Vous pourriez faire comme moi, pour écon
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