Norat se jette sur la queue de Rat

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Norat se jette sur la queue de Rat


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↑ « Queue-de-rat », Le Petit Robert de la langue française en ligne , 2021






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Pour les articles homonymes, voir Queue de rat .

Cet article est une ébauche concernant la coiffure .

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Le terme queue de rat , aussi orthographié queue-de-rat [ 1 ] , désigne une coiffure très populaire durant les années 1990 , encore visible de nos jours surtout aux États-Unis, en Allemagne et en Espagne. Autrefois, on nommait ainsi les formes fines que prenaient parfois la terminaison, sur la nuque, des perruques Louis XV.

Les cheveux sont relativement courts partout, à l'exception d'une mèche de cheveux plus longue à l’arrière du crâne. La queue de rat boucle naturellement, elle peut être portée teinte, tressée où sous forme de dreadlocks , d’autre part certains individus choisissent de porter plusieurs mèches distinctes. La queue de rat peut être aussi composée d’une bande de longs cheveux entre le haut du crâne et la nuque. La largeur de la queue de rat est variable selon les individus, c’est ainsi que parfois on peut confondre une queue de rat et une nuque longue .

La queue de rat peut être portée par les hommes comme par les femmes. Les queues de rat sont très majoritairement portées par des personnes de sexe masculin et plus particulièrement par des enfants et des adolescents. Les queues de rat portées par les femmes sont souvent fines et longues et commencent au niveau de la nuque, sinon elles sont semblables à une nuque longue .

Au cinéma, Eddie Murphy porte une queue de rat dans Un prince à New York et les padawans en portent dans Star Wars par exemple. On retrouve aussi des exemples de queues de rat dans les mangas comme Dr. Tofu dans Ranma 1/2 et Masaharu Niou dans Le Prince du tennis .

Dans le Marylin Universe, les queues de rat sont notamment portées par les Jalanes .


Poèmes attribués
à Virgile : traduction nouvelle de Maurice RAT, GARNIER, 1935
"Le Cachat"
( Moretum ) est une
"idylle" de 124 hexamètres, qui décrit la matinée d'un paysan italien
se levant dès l'aube pour préparer son repas de l'après-midi, qu'il trouvera à son retour des champs : le nom du mets, fromage blanc mêlé d'herbes 
odorantes, a été donné au poème ( a ).
Ce poème, qui ne faisait pas partie de l' Appendice virgilien primitif, et dont ni Suétone ni Servius n'ont parlé, semble avoir été introduit dans le recueil ait moyen âge avec des pièces d'Ausone et des élégies en l'honneur de Mécène.
Il parait avoir été attribué à Virgile sans raison suffisante, à moins qu'on n'en veuille trouver une, comme on
l'a fait ( b ), dans une note d'Isaac Vossius au manuscrit de Leyde 849 (cat. XIII), disant qu'il a lu dans un
Ambrosianus l'indication que Virgile avait écrit un
Moretum , imité d'un ouvrage grec de Parthénius de Nicée. Mais l'imitation signalée, en admettant même qu'elle soit fondée, est-elle des plus
flagrantes ? En dépit ou non du Muttôtos de Parthénius, consacré à un hachis d'ail et d'olives noires, le Moretum semble bien avoir
une couleur exclusivement latine ( c ), et la note de Vossius a sans doute son origine soit dans une erreur, soit dans une simple hypothèse d'un Italien du xve siècle. Elle n'est point renforcée, en tout cas, par un texte de Macrobe
( d ), où l'auteur des Saturnales cite huit vers d'un certain Suéius
(le même peut-être dont il est question dans Varron) ( e ), qui, dans une idylle intitulée aussi
Moretum , parle d'un jardinier préparant le même repas que le paysan de
notre idylle :
Admiscet... cava silicis haec nunc partim,
Partim Persica, quod nomen sic denique fertur
Propterea quod qui quondam cum rege potenti,
Nomine Alexandro Magno fera proelia bello
In Persas tetulere, suo post Inde reventu
Hoc genus arboris in praelatis finibus Grais
Disseruere novos fructus mortalibus dantes.
Mollusca haec nux est ne quis forte inscius erret,
prosaïque fragment d'un poème didactique, remontant sans doute au début du
Ier siècle avant J.-C., et si médiocre qu'on voit mal que Virgile ait pu songer un instant à l'imiter pour le surpasser.
On voit mal aussi comment, en dehors de tout témoignage probant, on pourrait attribuer à Virgile cette idylle précise, simple, nue, dépourvue de toute rhétorique, privée de ces traits brillants et de ces ornements extérieurs à l'action, que l'on retrouve dans ses autres oeuvres. Et, malgré quelques possibles rapprochements de détails, on voit encore plus mal, pour les mêmes raisons, qu'on puisse l'attribuer à l'élégant, spirituel et étincelant Ovide
( f ).
Mais, en conservant l'anonymat à l'auteur du Moretum , il semble bien qu'il le faille faire vivre, non pas au temps d'Ausone, avec des pièces duquel son poème a été introduit dans
l' Appendice virgilien , mais à la bonne époque de l'âge classique, sinon au temps même de Virgile, comme on l'a supposé
( g ), du moins dans les premières années du premier siècle, comme incline à le penser M. Plessis, - date qui expliquerait mieux que toute autre les a rapports de langue et de style que l'idylle offre avec la poésie d'Ovide
( h )".
Quoique en marge de l'oeuvre de Virgile, et légèrement postérieure sans doute à cette oeuvre, cette idylle d'un poète inconnu plaira à ceux qui aiment
la poésie familière et, comme on dit de nos jours, réaliste, - mais dont le réalisme dru et naïf évite le prosaïsme ou la vulgarité par le choix des détails et par la fraîcheur du tableau.
( a )
"Le Cachat" ( Moretum ) est composé selon un plan très simple
: 1-15 : réveil du paysan Simylus ; il commence par ranimer le feu couvant sous la cendre du
foyer ; 16-52 : ensuite, il prépare la pâte du cachat ; 53-86 : il cueille en son jardin les herbes
aromatiques ; 87-118 : il pile les herbes, ajoute l'huile et le vinaigre, pétrit le tout (laitage et
herbes ainsi arrosées) en forme de cachat ; 119-124 : ayant ainsi pourvu à sa nourriture de la journée, Simylus part pour labourer.
( b ) Cf. Ribbeck,
App. Verg ., p.
14 ; Meineke, Anal.
Alex ., p. 272. 
( c ) Cf. F. Bücheler,
Rhein. Mus ., XLV, p. 323 (année 1890) :
Frustra quaesivi argumentum quo
conversum esse de graeco Moretum comprobaretur... Contra faciunt non pauca ad
vitam romanam adumbrata ut "semodius frumenti", "Afra
fusca", "quadrae panis".
( f ) Cf. Lachèze,
Position de mémoire présenté à la Faculté des Lettres de
Paris , année 1907, et F.
Plessis l. c., p. 277, note 3. 
( g )
Cf. Lachmann, In Lucret.
comment ., p. 326 : ...
in Moreto, quod
carmen Vergilianis aetate par esse existimo . 
Déjà la nuit avait consumé deux fois cinq heures d'hiver
( 28 ) et l'oiseau-veilleur ( 29 ) avait annoncé le jour par son chant, quand Simylus
( 30 ), rustique cultivateur d'un petit champ, redoutant le triste jeûne du jour qui va
venir, soulève peu à peu ses membres étendus sur un vil grabat, et d'une main inquiète interroge les ténèbres
inertes ; il cherche le foyer ; à sa main qui s'y blesse, il l'a enfin senti.
La toute petite fumée d'un tison consumé y restait, et la cendre cachait la lueur de la braise
recouverte ; baissant le front, il approche du foyer sa lampe inclinée, tire avec une aiguille l'étoupe desséchée, et, en soufflant sans cesse, ranime le feu languissant. Enfin les ténèbres font place à l'éclat de la flamme qui a
repris ; du rempart de sa main il abrite sa lumière contre l'air et ouvre avec une clef la porte de sa cahute, qu'il embrasse du regard.
Sur la terre était répandu un pauvre monceau de blé ; il en prend pour lui autant qu'en contenait sa mesure, qui peut renfermer le poids de deux fois huit livres
( 31 ). Puis il s'en va, s'arrête devant la meule
( 32 ) et place sa lampe fidèle sur un petit appui de tout temps fixé dans le mur
pour cet usage. Alors il délivre ses deux bras du vêtement ( 33 ) qui les couvre, et, ceint d'une peau de chèvre velue, il balaye avec un plumeau
( 34 ) les cailloux et le giron des meules. Puis il met les deux mains à la besogne, en répartissant sa tâche à chacune : la gauche épand le blé, la droite, qui a le gros de l'ouvrage, tourne en cercles
incessants et emporte l'orbe ( 35 ). Cérès
( 36 ) écrasée sous le choc rapide des pierres tombe en courant. De temps en temps
la main gauche succède à sa sueur fatiguée et alterne avec elle : parfois Simylus entonne un chant rustique et
soulage son labeur de sa voix agreste ; quelquefois il appelle Scybale : c'était la seule gardienne de son
logis ; Africaine de naissance, tout en elle annonçait sa patrie, ses cheveux crépus, ses lèvres saillantes, son teint foncé, sa large poitrine, ses mamelles tombantes, son ventre un peu creux, ses jambes grêles, ses pieds prodigieusement
plats ; [ses talons, coupés de fentes continues, étaient durcis.] Il l'appelle, lui ordonne d'entasser du bois à brûler sur le foyer et de faire tiédir à la flamme l'onde glacée.
Quand la meule, au moment marqué, a fini son cours circulaire, il ramasse à la main la farine épandue, la
transverse dans le crible et l'y secoue : les débris impurs restent à la surface extérieure, et Cérès
( 37 ) nette et épurée tombe et coule par les trous. Alors sans perdre de temps il en rassemble les grains sur un ais poli, et y jette une onde tiède
; puis il mêle l'eau et la farine confondues, pétrit cette mixture d'une main dure, et, quand cette bouillie a pris de la consistance, en saupoudre de sel les grumeaux. Ensuite il amincit la pâte qu'il a domptée,
l'élargit sous ses paumes en lui donnant la forme circulaire qui convient, et y trace des carrés d'égales dimensions. Il la porte alors dans son foyer : Scybale en avait
au préalable nettoyé l'âtre comme il faut; il la recouvre de tuiles et entasse des braises par-dessus.
Tandis que Vulcain et Vesta ( 38 ) accomplissent leurs
tâches, Simylus ne reste pas un instant inactif ; il se cherche
une autre ressource contre la faim, et, craignant que Cérès
seule ne flatte pas son palais, il s'enquiert des mets à y joindre. Au foyer de sa cabane n'étaient point suspendues
des viandes de conserve, un dos et des morceaux de porc durcis dans le sel, mais, traversé de sparte
( 39 ) en son milieu, un fromage rond et une vieille botte d'aneth
( 40 ) bien serré pendaient là. Notre héros prévoyant se ménage
donc d'autres délices. 
Son cabanon touchait un jardin, qu'entouraient palissade quelques plants d'osier et des roseaux sans cesse renaissants
( 41 ) à la tige légère; ce jardin occupait peu d'espace, mais il était fertile en herbes de toute sorte. Rien n'y manquait de ce qu'exigent les besoins du pauvre. Et parfois le riche demandait 
au pauvre plus d'un de ses produits. Il le cultivait à peu de frais, mais il y consacrait régulièrement ses soins : s'il arrivait que la pluie ou un jour de fête le retinssent libre dans son cabanon, si par hasard le labour cessait, il travaillait à ce jardin. Il savait planter des herbes de toute sorte, confier leurs semences au sein de la terre,
et leur distribuer habilement l'eau des ruisseaux voisins. Là florissaient les légumes verts, la bette aux longs bras épandus, la féconde oseille, les mauves,
l'aunée, le chervis, les poireaux qui doivent leur nom à leur tête ( 42 ) et aussi l'entêtant et froid pavot et la laitue qui repose agréablement des nobles mets
( 43 ) ; là poussent et croissent l'abondant et pointu radis, et le lourd concombre couché sur son large ventre. Cette provision n'était pas pour le maître du jardin (quel homme vécut plus que lui à
l'étroit ? ), mais pour le peuple : le jour des nones ( 44 ), il emportait sur son épaule les bottes qu'il voulait vendre à la ville, et il s'en revenait chez lui, la nuque allégée, mais la bourse pesante. Quelquefois - rarement - il rapportait des achats faits au marché de la ville. D'ordinaire l'oignon rouge et le poireau coupé en morceaux domptent son appétit, avec le cresson qui crispe les visages
par son goût piquant ( 45 ), l'endive et la roquette qui ranime Vénus engourdie
( 46 ).
Ce jour-là donc, songeant à quelque menu régal, il était entré dans son jardin. Et tout d'abord creusant légèrement la terre avec ses doigts, il en tire quatre gousses d'ail avec leurs racines
fibreuses ; puis il arrache de grêles chevelures d'ache ( 47 ) et la rue roidissante
( 48 ) et les coriandres ( 49 ) tremblantes au fil menu. Après avoir fait cette cueillette, il va s'asseoir près de l'âtre joyeux et réclame à haute voix un mortier à sa servante. Alors il débarrasse chaque gousse d'ail de son enveloppe noueuse, la dépouille de ses
membranes extérieures, qu'il éparpille sur le sol d'une main dédaigneuse, et qu'il balaie loin de lui : il n'en garde que les bulbes qu'il passe à l'eau, et qu'il met dans le creux de la pierre
( 50 ). Il les saupoudre de grains de sel, il y joint la croûte d'un fromage qu'a durci le sel et entasse
par-dessus les herbes que j'ai dites ( 51 ). Alors, de sa main gauche il ramène sa tunique par-dessous son aine velue;
de la droite il commence par amollir sous le pilon l'ail odorant ; puis il broie toutes les herbes qui confondent leur suc. Sa main tourne en
rond ; peu à peu chaque plante perd sa vertu propre ; elles n'ont plus toutes qu'une seule couleur. Ce n'est plus un ensemble vert, parce nos que les parties lactées s'y
opposent ; ce n'est plus la blancheur du lait, parce que toutes ces herbes de toute sorte l'ont altérée. Souvent une forte odeur poignarde les narines de l'homme et son déjeuner lui fait faire la grimace. Souvent il frotte du revers de sa main ses yeux larmoyants, et, furieux, il couvre d'injures la fumée innocente. L'ouvrage avançait, le pilon ne bondissait plus comme auparavant, mais il tournait, plus lourd, en des circuits plus lents. Alors Simylus y verse goutte à goutte l'huile palladienne
( 52 ), et répand par-dessus la vertu d'un peu de vinaigre, puis mêle de nouveau la pâte et, une fois
mêlée, la remue. Enfin avec deux doigts il fait le tour des bords du mortier, resserre en un seul globe les parties séparées de la pâte, pour lui donner l'aspect et le nom d'un parfait
cachat ( 53 ).
Cependant l'active Scybale, de son côté, retire le pain du four : Simylus le reçoit dans ses mains
joyeuses ; il n'a plus peur de la faim et, rassuré pour cette journée-là, il entoure ses jambes d'une paire de brodequins, et, couvert du bonnet rustique, il rassemble sous le joug et l'attelage ses dociles taureaux, les pousse vers son champ et enfonce en terre la charrue.



28 Déjà la nuit avait consumé deux fois cinq heures
d'hiver ... Ce qui revient à dire : - C'était l'hiver, et la nuit durait déjà
depuis dix heures... Le tour : deux fois cinq pour dix, deux fois six pour douze, etc., est commun chez les poètes latins.
29
L'oiseau-veilleur ... Le coq, appelé plus communément
"le messager du jour", nuntius diei .

30
Simylus ... Nom propre, "le camus". Le manuscrit de Paris 8207
(XIIIe siècle) donne Simulus , qu'on trouve plusieurs fois aux tables du
Corpus .

31 . Deux fois huit livres... Cf. note 28,
in fine .

32 .
La meule. .. Sans doute une meule à main ( mola
trusatilis ). Cf. Caton, De Re Rustica , X.

33 .
Du vêtement. .. Une tunique à manches.

34 . Un
plumeau ... Un plumeau ? ou la queue ( cauda ) de la peau de
chèvre ? Il est difficile d'en décider.

35 . Emporte
l'orbe ... Cf. note 32.

38 . Vulcain et
Vesta. .. Le feu et le foyer.

39 .
Traversé de sparte ... Le sparte est une graminée dont la tige est à la fois flexible et difficile à rompre, lorsque après l'avoir coupée et fait sécher au soleil, on
la roule dans l'eau.

40 .
Batteur d'aneth ... L'aneth est une plante de la famille des ombellifères qui croît dans le midi de
l'Europe et que l'on cultive dans les jardins pour ses grains aromatiques. La variété la plus
courante, l'aneth odorant à fleurs jaunes ou fenouil bâtard, a une odeur forte et une saveur piquante, et
l'on emploie les graines en cuisine pour mariner les viandes. "L'indigent, dit Joseph de Maistre, qui a bien connu les paysans
italiens, - des paysans aussi pauvres que notre Simylus - ne sème dans son étroit jardin que
l'aneth, la menthe et le cumin."

41 .
Des roseaux sans cesse renaissants ... Sans doute les roseaux communs
( arundo cornmunis ), qui fleurissent en juillet.

42 .
Les poireaux qui doivent leur nom à leur fête ... Étymologie
fantaisiste : porrum , de porro , adv.,
"en avant".

43 . La laitue qui repose agréablement des nobles
mets ... La laitue, au temps de l'auteur du Moretum , était servie à la fin du repas.

Ce détail est confirmé par Martial, qui nous dit qu' "à l'encontre de ce qui se faisait chez nos dieux" . - et l'indication nous reporte aux premières années de l'ère
chrétienne - les Romains de son temps la mangeaient à la fin. Cf. Epigr ., XIII, 14
:


Cludere quaa cenas lactuca solebat avorum,

Dic mihi, cur nostras inchoat illa dapes?

44 .
Le jour des nones ... Jour du marché. 

45 . Le cresson qui crispe les visages par son goût
piquant ... Pline, Hist. Nat ., XIX, 44, nomme le cresson
"le tourment du nez" ( narium tormentum ).

46 . La roquette qui ranime Vénus
engourdie ... Sans doute Simylus était-il un peu sur l'âge : les anciens attribuaient en effet à la roquette des propriétés aphrodisiaques très
puissantes ; Ovide, Columelle, Martial sont formels à cet égard. On dit même que si certains peuples du midi de l'Europe mangent encore cette plante mélangée à la laitue, c'est moins pour sa saveur que pour les vertus merveilleuses qu'ils lui attribuent.

47 .
Ache ... L'ache, transformée par les Latins en plante potagère, et dont la variété la plus connue est le céleri.

48 .
La rue roidissante. .. La rue, qui est surtout un emménagogue énergique (rue, lat.
ruta , grec rhutê , de rheô ,
"je coule"), est aussi un excitant stomachique, nervin et diaphorétique. Cf. note 46.

49 . Les
coriandres ... La coriandre ( coriandrum sativum ) est une variété d'ombellifère, qui croît sur les bords du bassin méditerranéen. Ses fleurs, d'un blanc rosé, sont groupées en
"tremblantes" ombelles terminales ; ses fruits qui ont une odeur caractéristique de punaise
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