Nonne meurt d'essayer une queue

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Nonne meurt d'essayer une queue
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En procĂšs avec Katy Perry, une nonne meurt en plein tribunal
Publié le 12 mars 2018 à 11h55, mis à jour le 12 mars 2018 à 12h04
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Des pages justice aux pages faits divers. La bataille judiciaire que se livrent la chanteuse Katy Perry et des nonnes de Los Angeles depuis plusieurs années a pris un tournant tragique, vendredi, avec la mort de l'une d'elles. Soeur Catherine Rose "s'est effondrée en pleine audience" au tribunal de Los Angeles, rapportent les médias locaux. Agée de 89 ans, elle est décédée peu aprÚs. 
"Repose avec les anges, notre plus prĂ©cieux trĂ©sor", peut-on lire sur le site "Stand with the sisters" , "soutenez les soeurs", sur lequel les nonnes expliquent tout de leur conflit avec la chanteuse. Point-clĂ© ? La vente du couvent de Los Feliz, en Californie, que la chanteuse souhaite acquĂ©rir depuis trois ans. Cette bĂątisse de style mĂ©diĂ©val, construite en 1927 sur les hauteurs de Santa Monica, a accueilli dĂšs les annĂ©es 1960 les sƓurs de l’ordre du "TrĂšs SacrĂ© et ImmaculĂ© CƓur de la Vierge Marie BĂ©nie". AprĂšs l'annonce de sa fermeture, en 2001, les religieuses ont progressivement dĂ©sertĂ© les lieux. 
Soeur Catherine Rose sur Fox 11, quelques heures avant sa mort
Mais deux d'entre elles refusent de vendre le bien à l'interprÚte de "I Kissed a girl", contrairement à l'archidiocÚse de Los Angeles, qui l'a cédé à la chanteuse pour 10 millions de dollars. Les soeurs avaient, elles, préféré passer une transaction avec Dana Hollister, propriétaire de plusieurs restaurants dans la ville. Katy Perry et l'archidiocÚse avaient alors porté plainte pour dénoncer les tentatives "frauduleuses" de la femme d'affaires pour convaincre les deux nonnes d'accepter sa proposition. A l'automne dernier, la justice a estimé que Dana Hollister avait interféré dans la vente à Katy Perry et donné raison à la chanteuse.
Mais les soeurs Catherine Rose et Rita Callanan ne comptaient pas en rester lĂ  et souhaitaient porter l'affaire au Vatican. "Nous avons un accord avec Rome. C'est Ă©crit et cela dit qu'en cas de conflit, tout doit ĂȘtre rĂ©glĂ© Ă  Rome", affirmait vendredi Ă  Fox News soeur Rita. Soeur Catherine Rose avait, elle, choisi de s'adresser directement Ă  la chanteuse : "Katy Perry, s'il vous plaĂźt arrĂȘtez. Tout ça ne fait rien de bon, cela fait du mal Ă  beaucoup de gens".



Home Paranormal Cette tĂȘte a Ă©tĂ© conservĂ©e en souvenir de la premiĂšre nonne possĂ©dĂ©e !




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12 novembre 2018



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Les journaux de Rodez ayant racontĂ© des faits extraordinaires qui se passeraient Ă  l’orphelinat de GrĂšzes, prĂšs de Laissac, concernant une religieuse de cet orphelinat appelĂ©e sƓur Saint-Fleuret, je me suis rendu sur les lieux pour contrĂŽler ces faits, et voici, ce que je viens d’apprendre de sources, absolument autorisĂ©es et dont je garantis l’exactitude.
Il y a depuis quelque douze ans, Ă  l’orphelinat, une religieuse, originaire du canton de Bozouls, nommĂ©e en religion sƓur Saint-Fleuret, qui est atteinte d’une espĂšce de folie qui fait qu’elle se croit possĂ©dĂ©e du diable et que sa supĂ©rieure, ses compagnes, les autres sƓurs de l’orphelinat, et mĂȘme presque tous les ecclĂ©siastiques du pays le croient Ă©galement.
Cette maladie qui, d’aprĂšs les mĂ©decins, n’est qu’une dĂ©viation de l’hystĂ©rie, a eu comme prodrome une prĂ©disposition naturelle, qui est devenue aiguĂ« par l’influence du milieu ambiant, mais elle n’a rien de surnaturel ; c’est la rĂ©sultante d’une vĂ©ritable auto-suggestion.
Dans ses crises, la malade pousse des cris aigus, tellement retentissants que les paysans les entendent Ă  une grande distance du couvent : Il lui semble dans ces moments-lĂ , que le diable la mord ou la brĂ»le Ă  telle partie de son corps, et l’auto-suggestion est si forte qu’aussitĂŽt la crise passĂ©e, on trouve Ă  l’endroit du corps oĂč la pauvre sƓur souffrait si fort, soit une vĂ©ritable brĂ»lure sur sa peau, soit l’empreinte [p. 171] d’une mĂąchoire ou d’un certain nombre de dents qui viendraient de mordre.
SƓur Saint-Fleuret a l’horreur de tout objet religieux : le voisinage d’un christ, d’un livre de dĂ©votion ou d’une image pieuse la plonge immĂ©diatement dans un accĂšs presque rabique et, chose incroyable, elle n’a pas besoin de voir ces objets ; elle les sent, elle les devine quand on les approche d’elle si cachĂ©s qu’on les tienne, et elle se prĂ©cipite. AussitĂŽt vers eux pour les dĂ©truire ne pouvant absolument pas les souffrir.
De plus, elle devine souvent la pensĂ©e des personnes qui lui parlent, et elle leur rĂ©pond, mĂȘme dans leur langue, quelle que soit cette langue ; ainsi Mgr Lavignac, Ă©vĂȘque in partibus, est allĂ© la voir derniĂšrement ; sƓur Saint-Fleuret, qui pourtant n’était pas dans un moment de crise, a commencĂ© Ă  lui cracher Ă  la figure ; puis s’étant quelque peu calmĂ©e; elle a parlĂ© au prĂ©lat, et, finalement, comme il lui demandait en langue caraĂŻbe si elle Ă©tait fatiguĂ©e de cet entretien, elle lui a rĂ©pondu aussi en, langue caraĂŻbe : « Je le suis en effet laissez-moi tranquille et allez vous coucher. »
Quoique Ă©tant une simple paysanne qui n’a jamais reçu la moindre instruction, sƓur Saint-Fleuret parle trĂšs bien dans ses crises le grec, l’italien, le russe, l’anglais, l’allemand, etc., et elle rĂ©pond toujours parfaitement dans la langue qu’on lui parle.
C’est un sujet d’observation pathologique, rĂ©ellement merveilleux.
Le cardinal Bourret envoya Ă  GrĂšzes, il y a environ six ans, pour la visiter, un mĂ©decin-major di rĂ©giment, nĂ©vropathe trĂšs connu, par les travaux scientifiques spĂ©ciaux qu’il a publiĂ©s sur ces singuliĂšres maladies ; le major fut stupĂ©fait de la dĂ©moniaque de GrĂšzes, et il dĂ©clara que bulle part, ni Ă  la SalpĂȘtriĂšre, ni ailleurs, il n’a vu une malade plus incroyablement curieuse Ă  Ă©tudier.
Il a Ă©tĂ© fait une foule d’expĂ©riences, en prĂ©sence de nombreuses personnes professant les opinions religieuses ou [p. 172] philosophiques les plus opposĂ©es, en mĂȘme temps que les mieux placĂ©es pour se contrĂŽler les unes les autres et pour rendra toute erreur ou toute supercherie impossible, et il rĂ©sulte de la maniĂšre la plus rigoureuse et la plus mathĂ©matique que toujours, par suite du phĂ©nomĂšne de l’auto-suggestion (1), la malade distingue instantanĂ©ment l’eau bĂ©nite de celle qui ne l’est pas.
Elle la distingue toujours et sans jamais se tromper toutes les fois, qu’on recommence l’expĂ©rience ; elle la distingue mĂȘme sans la voir, c’est-Ă -dire qu’il suffit qu’on en porte quelques gouttes dans un flacon, aussi cachĂ© que possible, pour que, Ă  l’approche du liquide, la malade entre dans un Ă©tat d’exaspĂ©ration inimaginable ; alors, elle se prĂ©cipite comme une furie vers la personne, quelle qu’elle soit qui dissimule le flacon d’eau bĂ©nite et elle veut le lui arracher pour le dĂ©truire. Si cette personne rĂ©siste, la malade, l’injurie violemment et cherche Ă  la frapper ou Ă  la griffer ; sa surexcitation s’élĂšve jusqu’au paroxysme tant que le flacon reste prĂšs d’elle, et elle ne se calme que quand il a Ă©tĂ© Ă©loignĂ©.
Il y a quelque temps, le clergĂ©, espĂ©rant que Dieu, dans sa misĂ©ricorde ferait· grĂące Ă  la possĂ©dĂ©e et chasserait le malin esprit du corps de la malheureuse si on l’exorcisait ou si on essayait de l’exorciser, ne fĂ»t-ce qu’en approchant avec prĂ©caution du corps de la malade une hostie consacrĂ©e, eut recours Ă  ce moyen ; mais, Ă  peine l’hostie consacrĂ©e avait-elle pĂ©nĂ©trĂ© dans la chambre de sƓur s’excitait, s’exaspĂ©rait et sa cabrait exactement comme quand on approche d’elle de l’eau bĂ©nite, et sa crise durant tant que durait la prĂ©sence de l’hostie consacrĂ©e dans son trĂšs proche voisinage.
Un moment aprĂšs, on approcha d’elle, exactement de la mĂȘme maniĂšre qu’on avait approchĂ© l’hostie consacrĂ©e, une [p. 173] hostie non consacrĂ©e ; cette fois, la malade n’éprouva ni surprise, ni Ă©motion et ne fit de mouvement d’aucune sorte.
Cc cas n’est pas unique au monde. Si l’on veut bien se donner la peine de lire, par exemple, l’histoire des religieuses possĂ©dĂ©es de Loudun, l’on y trouvera Ă  peu prĂšs les mĂȘmes phĂ©nomĂšnes, de « don des langues » y compris.
Mais tout cela est fort intĂ©ressant. J’oserais mĂȘme ajouter que c’est plus intĂ©ressant que, toutes les questions au moyen desquelles le Bulletin de l’Institut GĂ©nĂ©ral Psychologique s’efforce savamment de nous faire luxer les mĂąchoires.
Je ne sais ce qu’il peut y avoir de vrai dans l’étrange histoire dont Paris-Nouvelles nous fait le rĂ©cit. %ais comme il est possible que les choses se soient rĂ©ellement passĂ©es telles qu’on nous le raconte, et comme les savants comprennent que l’on a pas tout dit quand on s’est avisĂ© de diagnostiquer « une dĂ©viation de l’hystĂ©rie » le fait de parler le caraĂŻbe et d’autres langues que l’on ne connaĂźt point, alors vous pouvez ĂȘtre sĂ»r d’une chose : c’est que messieurs les psychologues se gardent bien d’étudier les phĂ©nomĂšnes en question.
Heureusement que l’Institut GĂ©nĂ©ral Psychologique est lĂ  ! Il ne laissera pas Ă©chapper une occasion pareille pour tĂącher de s’affirmer et, pour son coup d’essai, frapper un coup de maĂźtre. Le groupe « groupe d’études des phĂ©nomĂšnes psychiques » n’a-t-il pas Ă©tĂ© constituĂ© pour cela ? Alors on peu y compter.
Source : Article parut dans la « Revue des Etudes Psychiques – Publication mensuelle », (Paris), 2e sĂ©rie -2e annĂ©e, 1902, pp. 170-173.
*La religieuse « possédée » de GrÚzes
Mordus par le « diable ». — Parlant des langues ignorĂ©es.


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En plein milieu de la bataille judiciaire qu'elle menait contre la star amĂ©ricaine Katy Perry, une religieuse de 89 ans est dĂ©cĂ©dĂ©e durant une des audiences au tribunal de Los Angeles. La bataille judiciaire qui oppose depuis plusieurs annĂ©es la chanteuse Katy Perry aux sƓurs d'un ancien couvent catholique a pris un tour tragique. SƓur Catherine Rose Holzman, 89 ans, est dĂ©cĂ©dĂ©e vendredi en pleine audience Ă  Los Angeles, selon les mĂ©dias US. L'archevĂȘque du diocĂšse de Los Angeles, JosĂ© Gomez, a confirmĂ© la mort de la nonne dans un communiquĂ©, indiquant que cette derniĂšre avait «servi l'Église avec dĂ©vouement et amour pendant de longues annĂ©es». Dans un entretien Ă  Fox 7 quelques heures avant son dĂ©cĂšs au tribunal, sƓur Catherine avait appelĂ© la star amĂ©ricaine Ă  renoncer au rachat de l'ancien couvent. «Katy Perry, s'il vous plaĂźt arrĂȘtez. Cela ne fait de bien Ă  personne, et beaucoup de gens souffrent» , a dĂ©clarĂ© la religieuse. La congrĂ©gation de la dĂ©funte est en conflit avec l'archidiocĂšse de Los Angeles et Katy Perry depuis la vente de leur couvent de Los Feliz. À l'Ă©poque, la chanteuse aurait proposĂ© 14,5 millions de dollars pour le bĂątiment. Bien qu'elle ait Ă©tĂ© acceptĂ©e par l'archevĂȘque de Los Angeles, cette offre est toujours en attente de l'approbation du Vatican.
En gros c'est : achĂštera t'elle un bout religieux, et ce envers dieu ?
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