Nola déteste la monotonie
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Propos recueillis...
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Par Damien Grimbert
Publié Mardi 29 avril 2014
Dix ans après la sortie de "Rêves Mécaniques", The Hacker est de retour avec "Love/Kraft", nouvel album en deux parties dont la première moitié est désormais disponible en digital (la seconde arrivera à la rentrée, en même temps que la sortie physique de l’album). Entretien avec un artiste toujours autant passionné.
Propos recueillis par Damien Grimbert
Pourquoi ce choix d’une sortie en deux temps ?
The Hacker : Pour plusieurs raisons. C’est un album un peu particulier pour moi, plus difficile que les autres ; je m’y suis repris à plusieurs fois, j’ai souvent changé l’ordre et la direction des morceaux… Du coup, autant le présenter d’une manière moins traditionnelle que les autres. Et puis l’un des thèmes de l’album, c’est la dualité qu’il y a dans ma musique, qui a toujours eu un côté un peu dur et agressif, et un côté plus soft et mélodique. C’est aussi pour ça que je voulais le présenter en deux fois avec une première partie plus rentre-dedans, assez dancefloor, et une seconde qui sera plus soft. Et, plus généralement, je me demande si le format album est encore viable aujourd’hui vu la manière qu’ont les gens d’écouter de la musique : ils vont plutôt écouter deux ou trois morceaux vite fait que l’album dans son intégralité...
Ces derniers temps, on vous a vu faire un mix italo-disco pour l’émission Overdrive Infinity de Teki Latex sur Dailymotion, aux platines du Vertigo (un club grenoblois) aux côtés de Brodinski , il y a quelques années déjà vous sortiez un EP sur Tigersushi, le label de Joakim… Il y a eu des rapprochements entre différentes scènes, différentes générations, qu’on n’aurait pas imaginés encore cinq ans auparavant… Comment voyez-vous les choses : chacun a fait un pas vers l’autre ?
Il y a un peu de ça... C’est vrai qu’il y a cinq ans, on aurait eu du mal à m’imaginer avec Brodinski par exemple, mais le temps passe, la musique change… C’est surtout une question de rencontres : je ne connaissais pas Brodinski, je l’ai rencontré via Gesaffelstein. À un moment, tu te rends compte qu’il y a des points communs avec les gens, des affinités qui se créent, et que musicalement, ça a du sens. Je trouve ça intéressant que les choses bougent, que ça ne reste pas figé… C’est un enrichissement mutuel en fait, et c’est pourquoi ces plateaux qu’on fait en ce moment avec Gesaffelstein , Brodinski, voire parfois des gens comme Surkin, fonctionnent. On a tous en commun, je pense, d'être assez éclectiques, on n’est pas enfermés dans un style unique. Moi, il n’y a rien qui m’ennuie plus qu’un DJ qui joue la même chose pendant trois heures. J’aime bien quand ça évolue, quand ça change, quand il y a des surprises. Après, j’ai mes goûts musicaux bien sûr. Par exemple, Brodinski, il est à fond dans le hip-hop, moi c’est pas trop mon truc, mais pourquoi pas. Au moins, c’est varié, il se passe des choses…
Avant la sortie de cet album, vous êtes passé par une phase de remise en question...
Oui, c’était il y a trois ou quatre ans, après le dernier album avec Miss Kittin en 2009. Je ne sais pas, j’ai eu une espèce de petit passage à vide, j’avais l’impression de me répéter, de faire toujours la même chose, sans évoluer… C’est pour ça que j’ai refait cet album plein de fois, je me disais « non, c’est pas assez bien, c’est toujours pareil, je me répète… ». Il y a plusieurs choses qui ont débloqué la situation : déjà j’ai changé ma manière de travailler, j’ai fait évoluer un peu mon studio, parce que je pense que j’avais atteint les limites d’une certaine formule que j’avais développée, avec uniquement de l’analogique, des vieilles machines. Moderniser un peu mon studio m’a ouvert de nouvelles perspectives. Ensuite, ce qui a joué aussi, c’est d’avoir l’avis de gens plus jeunes comme Gesaffelstein ou même Brodinski, qui me disaient « mais arrête Michel, c’est vachement bien ce que tu fais, tu te prends trop la tête, vas-y, n’hésite pas a sortir tes morceaux… ». Ç a m’a redonné confiance en moi.
Avez-vous abordé ce nouvel album avec un objectif particulier ?
En fait, depuis que je fais de la musique, l’idée, c’est toujours de me renouveler, mais dans mon propre style. Je ne vais pas faire un album dubstep ou trap parce que c’est la mode, ça ne m’intéresse pas et les gens ne comprendraient pas. L’idée est d’avoir toujours mon style, qui reste identifiable immédiatement, mais de réussir à apporter de nouvelles choses à l’intérieur.
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur ces cinq nouveaux titres ?
Pour A Thousand Times , j’ai collaboré avec Perspects, avec qui j’avais déjà fait le morceau Flesh & Bone , un de ceux que les gens connaissent le plus. Ce nouveau titre est un peu dans la continuité, c’est électro, moderne, avec un côté un peu new wave / années 80, mais fait de manière actuelle, pas rétro. Clear , en revanche, c’est un peu différent de ce que j’ai pu faire jusqu’à maintenant, Il y a clairement un côté Chicago house old school, avec un break de piano, c’était une manière de faire voir que j’aimais autre chose que les trucs darks habituels ! Driftin , Parallele Universe , et Pure Energy enfin, c’est vraiment du The Hacker : c’est techno, dark avec des influences Kraftwerk, Dopplereffekt… C’est plus dans la continuité de ce que j’ai fait depuis le début de ma carrière, mais en essayant d’y ajouter des éléments nouveaux, que ce soit dans la structure du morceau, les sons que j’ai utilisés… Mais ça reste vraiment du Hacker identifiable assez rapidement.
Love/Kraft part one , de The Hacker (Zone Music)
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Submitted by crimson_antics on Mon, 21/01/2013 - 00:57
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Il y a un peu de ça... C’est vrai qu’il y a cinq ans, on aurait eu du mal à m’imaginer avec Brodinski par exemple, mais le temps passe, la musique change… C’est surtout une question de rencontres : je ne connaissais pas Brodinski, je l’ai rencontré via Gesaffelstein. À un moment, tu te rends compte qu’il y a des points communs avec les gens, des affinités qui se créent, et que musicalement, ça a du sens. Je trouve ça intéressant que les choses bougent, que ça ne reste pas figé… C’est un enrichissement mutuel en fait, et c’est pourquoi ces plateaux qu’on fait en ce moment avec Gesaffelstein , Brodinski, voire parfois des gens comme Surkin, fonctionnent. On a tous en commun, je pense, d'être assez éclectiques, on n’est pas enfermés dans un style unique. Moi, il n’y a rien qui m’ennuie plus qu’un DJ qui joue la même chose pendant trois heures. J’aime bien quand ça évolue, quand ça change, quand il y a des surprises. Après, j’ai mes goûts musicaux bien sûr. Par exemple, Brodinski, il est à fond dans le hip-hop, moi c’est pas trop mon truc, mais pourquoi pas. Au moins, c’est varié, il se passe des choses…
Avant la sortie de cet album, vous êtes passé par une phase de remise en question...
Oui, c’était il y a trois ou quatre ans, après le dernier album avec Miss Kittin en 2009. Je ne sais pas, j’ai eu une espèce de petit passage à vide, j’avais l’impression de me répéter, de faire toujours la même chose, sans évoluer… C’est pour ça que j’ai refait cet album plein de fois, je me disais « non, c’est pas assez bien, c’est toujours pareil, je me répète… ». Il y a plusieurs choses qui ont débloqué la situation : déjà j’ai changé ma manière de travailler, j’ai fait évoluer un peu mon studio, parce que je pense que j’avais atteint les limites d’une certaine formule que j’avais développée, avec uniquement de l’analogique, des vieilles machines. Moderniser un peu mon studio m’a ouvert de nouvelles perspectives. Ensuite, ce qui a joué aussi, c’est d’avoir l’avis de gens plus jeunes comme Gesaffelstein ou même Brodinski, qui me disaient « mais arrête Michel, c’est vachement bien ce que tu fais, tu te prends trop la tête, vas-y, n’hésite pas a sortir tes morceaux… ». Ç a m’a redonné confiance en moi.
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En fait, depuis que je fais de la musique, l’idée, c’est toujours de me renouveler, mais dans mon propre style. Je ne vais pas faire un album dubstep ou trap parce que c’est la mode, ça ne m’intéresse pas et les gens ne comprendraient pas. L’idée est d’avoir toujours mon style, qui reste identifiable immédiatement, mais de réussir à apporter de nouvelles choses à l’intérieur.
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