Nikki Armand pour un homme qui a ce qu'il faut

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Un homme a Îté la vie à son épouse, vendredi 05 novembre 2021, dans le village de Kparissérou à Nikki.
DĂ©cĂšs d’une mĂšre de famille aprĂšs une dispute avec son homme vendredi 5 novembre et 2021. Selon les informations rapportĂ©es par le quotidien Daabaaru, la femme, mĂšre de trois enfants dont un bĂ©bĂ© de moins d’un an a Ă©tĂ© battue Ă  mort par son Ă©poux. Le prĂ©sumĂ© meurtrier de nationalitĂ© togolaise vit dans le village de sa femme avec ses enfants. Il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© par la police alors qu’il tentait de s’enfuir.



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Publié le 01 Jan 2018 par Augustin Roger MOMOKANA
Dr Armand Nghemkap est le dĂ©lĂ©guĂ© du Festival Komane pour la diaspora. Notre reporter s’est entretenu avec ce mĂ©decin urgentiste, rĂ©sidant en France, qui nourrit une passion dĂ©bordante de la culture. Il demeure optimiste quant Ă  l’avenir du Festival du film Ă©ducatif et culturel de Dschang qui souffre d’un manque criard de financement.
Dr Armand Nghemkap, vous ĂȘtes Ă  Dschang pour la troisiĂšme Ă©dition du Festival du film Ă©ducatif (Festival Komane) qui s’achĂšve dans quelques minutes. Quelle impression gĂ©nĂ©rale partagez-vous avec nous ?
Nous sommes Ă  la troisiĂšme Ă©dition. Une Ă©dition sous le thĂšme de la contribution du cinĂ©ma camerounais pour lutter contre les AVC au Cameroun. Un thĂšme Ă©ducatif. Le festival Komane est une manifestation qui a un volet Ă©ducatif et un volet culturel. Je garde de cette troisiĂšme Ă©dition une trĂšs bonne impression. C’est un festival qui depuis trois ans progresse. Le projet avance tout doucement et je crois que nous sommes sur la bonne voie. On a juste besoin que nous soyons accompagnĂ©s, soutenus massivement par le public pour que ce festival puisse grandir.
Qu’est-ce que le dĂ©lĂ©guĂ© de la diaspora que vous ĂȘtes fait pour contribuer au rayonnement de ce festival ?
Le dĂ©lĂ©guĂ© de la diaspora veille Ă  ce que le message passe. Il passe le message qu’il y a dans ce festival un volet culturel qui intĂ©resse la diaspora. Ce volet culturel qui consiste Ă  dĂ©couvrir et Ă  faire la promotion du patrimoine culturel camerounais. Le message est entrain de diffuser au niveau de la diaspora. Il n’a pas encore pris toute son ampleur. Mais ceux qui ont reçu le message ont une rĂ©action positive.
Combien de films nous viennent de la diaspora ?
Il y a deux films qui viennent de la diaspora. Il y a un film qui vient d’Afrique du sud et « L’Appel » de Patricia Nkwende qui rĂ©side Ă  Paris. Donc la diaspora a effectivement participĂ© avec deux films qui Ă©taient en compĂ©tition.
Justement, pour quiconque a assisté aux projections, il est ressorti que les films de la diaspora présentent des qualités professionnelles indéniables, par rapport aux productions locales !
J’ai remarquĂ© cette diffĂ©rence, notamment au niveau de « L’Appel » de Patricia Nkwende. On constate qu’on a une meilleure qualitĂ© d’image. On voit que le cadrage est diffĂ©rent. Il en est de mĂȘme pour le son. Malheureusement, je me rends compte que les productions locales souffrent beaucoup d’un problĂšme du son qui s’est quand mĂȘme amĂ©liorĂ© par rapport Ă  la premiĂšre Ă©dition, mais qui subsiste. Au niveau de la diaspora ils semblent travailler avec un matĂ©riel technique qui leur permet de surpasser ces difficultĂ©s-lĂ .
Est-il envisageable que Komane production acquiert à cet effet un matériel de haute facture pour les mettre à la disposition des réalisateurs désireux ?
Komane est un bĂ©bĂ© qui est entrain de grandir. Ce n’est pas possible dans l’immĂ©diat de pouvoir acquĂ©rir un tel matĂ©riel. C’est quand mĂȘme un matĂ©riel qui coĂ»te trĂšs cher. La structure Komane est tout Ă  fait naissante. Mais elle a dans ses ambitions d’acquĂ©rir du matĂ©riel pour amĂ©liorer ses productions.
Puisque vous parlez des ambitions, quel serait l’ambition de la diaspora pour le festival Komane ?
L’ambition de la diaspora pour le festival Komane c’est surtout cette mobilisation, et profiter du festival Komane pour faire la promotion du riche patrimoine culturel camerounais. Mais le Komane a aussi une ambition pour la diaspora, c’est-Ă -dire que le festival Komane souhaite servir de plateforme de partage, d’échange de compĂ©tences entre les frĂšres et sƓurs camerounais rĂ©sidant dans la diaspora et les camerounais du pays, que ce soit au niveau des jeunes dĂ©butants qu’au niveau des professionnels. C’est cet Ă©change qui nous permettra de progresser, de faire nettement Ă©voluer le cinĂ©ma camerounais qui commence dĂ©jĂ  Ă  connaĂźtre un petit renouveau. La courbe descendante est dĂ©jĂ  entrain d’amorcer son ascension grĂące Ă  cette belle vision du cinĂ©ma camerounais qu’apporte le cinĂ©ma Komane. Une vision Ă©ducative, et une vision Ă©galement culturelle.
On l’a relevĂ©, le festival souffre Ă©normĂ©ment de manque de financement, Armand Nghemkap !
Oui le festival souffre d’un manque de financement. Parce qu’il est financĂ© par des fonds propres. Je rappelle que le festival Komane est un projet de l’AJAC (association des jeunes acteurs du cinĂ©ma camerounais). C’est ces jeunes acteurs camerounais qui, jusqu’à prĂ©sent, mettent leurs sous pour pouvoir faire vivre ce festival avec beaucoup de difficultĂ©s. Moi je suis Dr Armand Nghemkap, je leur apporte un tout petit soutien pour qu’ils puissent avancer. Mais ce soutien que j’apporte n’est pas suffisant. Nous souhaitons un soutien institutionnel du ministĂšre des arts et de la culture. Qu’il nous apporte un soutien financier pour qu’on puisse avancer dans nos objectifs. On souhaite aussi le soutien de la communautĂ©, notamment de la mairie de Dschang pour qui le festival est devenu un patrimoine culturel. On voudrait faire de Dschang une ville cinĂ©matographique de rĂ©fĂ©rence dans les annĂ©es Ă  venir. Et bien Ă©videmment on souhaite aussi un soutien des Ă©lites. Je comprends que lorsqu’un projet est naissant, il faut quelques annĂ©es d’observation pour voir s’il y a un certain sĂ©rieux, si les ambitions qui sont fixĂ©es ne sont pas des ambitions aventureuses. Je comprends aussi qu’on peut ĂȘtre en retrait parce qu’on observe pour savoir comment agir. Je souhaite que pour la quatriĂšme Ă©dition, que tous ceux qui nous observent puissent nous prĂȘter main forte.
Envisagez-vous des partenariats avec d’autres festivals Ă  l’étranger pour que non seulement vos meilleurs films soit diffusĂ©s lĂ -bas, mais aussi pour des Ă©changes de compĂ©tences ?
Ça fait partie des ambitions du Komane. C’est des choses qui se font dĂ©jĂ . Mais il faut que les choses aboutissent. Les choses ne se font pas comme ça du jour au lendemain. Mais il faut dire que ce ne sont pas les festivals Ă©trangers qui viendront financer le festival Komane. Parce que les festivals eux-mĂȘmes ont dĂ©jĂ  des difficultĂ©s de financement. Beaucoup de films qui ont Ă©tĂ© dĂ©couverts au Komane ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s Ă  des festivals Ă©trangers.
La réflexion a relevé le penchant pour les cinéastes camerounais à préférer publier leurs films sur les réseaux sociaux au lieu de programmer des projections en avant-premiÚre et les sorties officielles comme cela se fait normalement dans le cinéma.
Les reprĂ©sentants du ministĂšre des Arts et de la culture ont tenu une confĂ©rence sur comment rendre le cinĂ©ma rentable. On notait que certains cinĂ©astes prĂ©fĂšrent mettre leurs Ɠuvres sur youtube, sans aucune rentabilité et se plaignent par la suite qu’ils sont victimes d’une certaine piraterie, alors qu’ils pourraient, dans un premier temps, faire diffuser leurs Ɠuvres soit Ă  la tĂ©lĂ©vision soit dans les salles de cinĂ©ma. Mais cette rĂ©flexion a trouvĂ© ses limites parce qu’on sait trĂšs bien qu’il y’a trĂšs peu de salles de cinĂ©ma. On sait aussi que la piraterie est un flĂ©au dans le cinĂ©ma camerounais, tout comme dans la musique d’ailleurs.
Qu’est-ce qui, d’aprĂšs vous, ces artistes recherchent Ă  travers les mĂ©dias sociaux ?
Je ne pense pas que diffuser son film sur les rĂ©seaux sociaux est une source de rentabilisation. Il y a peut-ĂȘtre une faible rentabilitĂ©, mais elle ne pourrait en aucun cas couvrir les frais de production. Je pense qu’ils recherchent plus la visibilitĂ©, c’est-Ă -dire sortir de l’ombre et trouver une certaine visibilitĂ©. Parce que je pense que lorsqu’on produit une Ɠuvre on a besoin qu’elle soit diffusĂ©e et apprĂ©ciĂ©e. Cette façon de diffuser expose les Ɠuvres Ă  la piraterie.
Vous ĂȘtes mĂ©decin et vous avez tenu Ă  ce que la sensibilisation aux AVC fasse partie du programme du Komane. Quelle importance vous accordez Ă  ces campagnes ?
Oui je suis un mĂ©decin urgentiste. J’ai dans mes combats de mĂ©decin la lutte contre les AVC. Je suis dans le cinĂ©ma parce que je pense qu’il ne doit plus cantonner dans sa fonction de divertissement. Le cinĂ©ma devrait ĂȘtre un outil Ă©ducatif de la santĂ©. Et dans les activitĂ©s du festival Komane qui se dĂ©roule sur trois jours, j’ai tenu Ă  ce que ce volet santĂ©, sensibilisation, Ă©ducation pour la santĂ©, information et messages de prĂ©vention dans les lycĂ©es et collĂšges de Dschang et de ses environs. Parce que si on veut faire passer un message de prĂ©vention pour sauver des vies il faut cibler la jeunesse. C’est cette jeunesse qui va diffuser, qui va transmettre ce message de prĂ©vention dans les cercles familiaux et qui pourra par la suite diffuser ces messages Ă  leur progĂ©niture et Ă  leurs descendances. Et c’est comme cela que, rapidement, de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, on va adopter un autre mode de vie. A savoir un mode de vie qui Ă©pargne de la malbouffe, qui privilĂ©gie une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e et qui permet d lutter contre la sĂ©dentaritĂ©. Parce que ce sont ces deux modes de vie-lĂ  qu’il faut adopter si on veut Ă©viter l’AVC. Aux Ă©lĂšves du lycĂ©e technique de ForĂ©kĂ©-Dschang je leur ai aussi donnĂ© les notions sur les signes annonciateurs de l’AVC et sur les facteurs de risque de l’AVC notamment l’hypertension et surtout les dangers qu’elle regorge la consommation de sel.
Lorsque l’artiste musicien congolais Papa Wemba est mort, vous avez dĂ©clarĂ© que les Ă©lĂšves du lycĂ©e de Fonakeukeu auraient pu lui sauver la vie. Avez bien Ă©tĂ© reçu cette annĂ©e au lycĂ©e technique de ForĂ©kĂ©-Dschang ?
Ça Ă©tĂ© un accueil triomphal. A la deuxiĂšme Ă©dition du Komane la sensibilisation a portĂ© sur le lycĂ©e de Fonakeukeu et le lycĂ©e classique de Dschang. L’accueil au lycĂ©e technique de ForĂ©kĂ©-Dschang a Ă©tĂ© chaleureux d’autant plus que ma notoriĂ©tĂ© m’a prĂ©cĂ©dĂ©. Le fait que j’avais dĂ©jĂ  sensibilisĂ© dans les Ă©tablissements scolaires de la rĂ©gion, beaucoup en Ă©tait informĂ© et quand je suis arrivĂ© ils Ă©taient trĂšs ouverts Ă  cette campagne de sensibilisation. Ils m’ont rĂ©servĂ© un accueil convivial, un accueil fraternel et je remercie le proviseur pour cette chaleur humaine avec laquelle il a accueilli ma dĂ©lĂ©gation et dans laquelle vous aviez Mami Ton qui est la marraine de la troisiĂšme Ă©dition du festival du film Ă©ducatif et culturel de Dschang.
Quelle est l’importance d’avoir une marraine ou un parrain pour un Ă©vĂ©nement comme le Komane ?
La premiĂšre importance c’est donner la visibilitĂ© Ă  l’évĂ©nement, la deuxiĂšme c’est de donner la crĂ©dibilitĂ© Ă  l’évĂ©nement, la troisiĂšme chose, une marraine comme Mami Ton donne la lĂ©gitimitĂ© Ă  l’évĂ©nement. Le festival est Ă  sa troisiĂšme Ă©dition et on a vu dĂ©filer Ă  Ds
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