Ne t'enfuis pas parce que je vais te baiser toute façon

Ne t'enfuis pas parce que je vais te baiser toute façon




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Ne t'enfuis pas parce que je vais te baiser toute façon
Rocco baise trois générations en même temps ne t'enfuis pas parce que je vais te baiser toute façon
Paste this HTML code on your site to embed.

Taille de l'écran  :  
100% 
90% 
80% 
70% 
60% 
50% 


Size :
533 / 300
622 / 350
711 / 400
800 / 450
889 / 500
978 / 550
1067 / 600

Source : http://www.pornomaniac.fr/

A -
B - C -
D - E
F - G -
H - I -
J - K
L - M -
N - O -
P Q -
R - S -
T - U
V - W -
X - Y -


No compatible source was found for this media.

Foreground

---
White
Black
Red
Green
Blue
Yellow
Magenta
Cyan



---
Opaque
Semi-Opaque




Background

---
White
Black
Red
Green
Blue
Yellow
Magenta
Cyan



---
Opaque
Semi-Transparent
Transparent




Window

---
White
Black
Red
Green
Blue
Yellow
Magenta
Cyan



---
Opaque
Semi-Transparent
Transparent




Font Size

50%
75%
100%
125%
150%
175%
200%
300%
400%



Text Edge Style

None
Raised
Depressed
Uniform
Dropshadow



Font Family

Default
Monospace Serif
Proportional Serif
Monospace Sans-Serif
Proportional Sans-Serif
Casual
Script
Small Caps


Vue: 219,988 | Ajoutée: 19-08-2015

Italienne lesbienne la chatte poilue qui aime le sexe
Paste this HTML code on your site to embed.

Size :
465 / 300
542 / 350
620 / 400
697 / 450
775 / 500
852 / 550
930 / 600

Source : http://www.pornocrados.com/


Taille de l'écran  :  

 grand 
 moyen 
 petit 




http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 5 août 2022 - Remonter


La cousine - 1. Camille et Laurine


La soirée est un peu fraîche, ce qui n'est pas pour déplaire aux deux jeune filles qui, malgré une tenue plutôt légère, ont subi avec difficulté l'écrasante chaleur de ce début de mois de juillet. Camille et sa collègue, Laurine, sont venus à un séminaire dans une grande ville du sud de la France. Le voyage en train a été exténuant et, plutôt que de réserver un hôtel, Camille a fait un pari un peu fou dans lequel elle a embarqué sa collègue. Après une demi-heure de marche dans les rues de la ville, Laurine commence à s'inquiéter :
- Tu es certaine que ce n'est pas une connerie de débarquer à l'improviste chez ton cousin pour qu'il nous héberge ?
- Ne t'inquiète pas. On s'entend hyper bien, il sera ravi.
- Et s'il n'est pas là ?
- J'ai échangé avec lui par SMS. Il est là.
- Alors pourquoi tu ne l'as pas prévenu qu'on comptait dormir chez lui ?
- Parce que je veux lui faire la surprise, je te l'ai déjà dit. D'ailleurs, nous allons vite être fixées, nous y sommes.
Les deux jeunes femmes s'arrêtent devant le hall d'un grand immeuble qui semble assez chic.



Laurine suit sa collègue dans l'escalier :
- C'est l'un des cousins dont tu m'as parlé ? Un avec qui tu faisais du nudisme quand tu étais petite et que tu as revu il y a quelques mois ?
- Oui, c'est exactement ça.
Camille avait été un peu bavarde dans le train et n'avait pas pu s'empêcher de raconter en détail la visite de ses deux cousins. Sous prétexte de canicule, Camille était même parvenue à convaincre sa collègue de se passer de soutien-gorge, comme elle. Laurine sourit et dit :
- Il va te trouver trop habillée, dans ce cas.
- Crois-tu ?
Soulevant sa petite robe noir, Camille dégage une fesse nue, montrant à sa collègue qu'elle ne porte strictement rien sous sa petite robe.

images similaires

Camille s'arrête devant une porte :
- C'est ici.
Elle sonne, un peu excitée de retrouver son cousin et de découvrir la tête qu'il va faire en la voyant sur son palier. Elle sent déjà ses seins durcir sous sa robe. La porte s'ouvre. Raphaël est abasourdi :
- Camille ?!
- Salut Raphy !

images similaires

Raphaël sourit bêtement mais ouvre grand la porte et se met de côté pour laisser passer les deux filles, non sans en profiter au passage pour se rincer l'œil dans leur décolleté.
- Mais... qu'est-ce que tu fais là ?
- Je te présente Laurine, ma collègue. On est à un séminaire dans ta ville et je me suis dit que c'était l'occasion de te faire une surprise.
- Excellente idée, ça me fait bien plaisir de te voir.
Une fois la porte refermée, Laurine, un peu gênée par la situation, prend la parole :
- Bonjour... Je suis désolée, je m'impose un peu. Mais de toute façon, il ne faut pas qu'on s'attarde trop parce qu'on n'a pas encore trouvé d'hôtel.



- Un hôtel ? Oh mais, je pense que vous pouvez dormir ici, si ça vous dit.
- Oh ce serait super ! Vous avez la place pour deux ?
- Oui la maison est grande. Il y a la chambre d'amis et on a un clic-clac dans le bureau.
Camille s'apprête à interroger son cousin sur le "on" de sa réponse mais Laurine est plus rapide qu'elle.
- Oh, c'est super gentil de votre part !
En disant cela, Laurine se penche et fait ressortir ses seins dans son décolleté. Le fait que, tout comme sa collègue, la jolie blonde ne porte pas de soutien-gorge n'a pas échappé à Raphaël.



- Laurine, on peut se tutoyer ?
- Bien sûr.
Camille inspecte les lieux, émerveillée, et toujours intriguée par la précédente réponse de son cousin, elle dit :
- C'est hyper grand ! Tu as besoin de tout cet espace ?
- C'est que je ne vis pas seul. Il y a Pauline.
Camille ne peut s'empêcher de laisser sa déception s'exprimer :
- Oh, bien sûr...
- Pauline est infirmière. Elle travaille de nuit cette semaine. Là, elle dort encore et elle se lèvera d'ici une ou deux heures pour retourner travailler.
- Ok, on va essayer de ne pas la réveiller alors.



- Vous avez mangé ?
- Non...
- Parfait, moi non plus. Je prépare rapidement de quoi grignoter. On va se faire un apéro un peu consistant.
Tandis que Raphaël s'affaire à préparer une multitude de petites choses à manger, il dit aux filles :
- Installez-vous, mettez-vous à l'aise.
Camille se demande si son cousin l'invite déjà se débarrasser de sa petite robe. Amusée de cette perspective, elle répond :
- On va au moins retirer nos chaussures.
Camille se penche alors en avant pour commencer à défaire les boucles de ses chaussures, offrant volontairement à son cousin une vue imprenable dans son décolleté où jouent librement ses seins.

images similaires

Voyant que Raphaël vient de s'arrêter face à elle pour se rincer l'œil, elle décide de s'assoir pour terminer de retirer ses chaussures. Sans surprise, sa petite robe remonte un peu quand plie les genoux et elle exhibe parfaitement sa moule quand elle écarte les cuisses. Elle ne regarde pas mais elle sait que Raphaël est déjà en érection :
- Qu'est-ce que tu nous prépares, Raphy ?

images similaires

- Oh, euh, surtout des crudités avec des petites sauces. Carottes, concombres... ça vous va ?
- C'est parfait, répond Laurine. Quand il fait chaud comme ça, ça nous fera du bien de nous enfiler ça.
Raphaël redresse la tête et regarde Laurine pour tenter de savoir s'il s'agit d'une maladresse de langage ou si elle s'amuse effectivement à sous-entendre des choses scabreuses. En découvrant le sourire de la jeune femme et la façon dont elle le regarde, il comprend qu'elle a volontairement utilisé "enfiler" pour sa polysémie.



Raphaël se reprend :
- Je vous sers quoi ?
- Qu'est-ce que tu as à offrir ? demande Camille.
- J'ai un blanc demi-sec au frais qui fera bien l'affaire, si ça vous convient.
- Vendu.
Raphaël revient avec trois verre et la bouteille débouchée. Camille prend le verre qu'il lui tend et, pendant qu'il sert Laurine, elle lui demande :
- Pauline, elle fait quoi exactement en tant qu'infirmière ?



Raphaël termine de servir Laurine et se sert un verre avant de leur faire signe de s'asseoir :
- Elle est plutôt dans les soins aux adultes qui sont en fin de séjour après un passage aux urgences. C'est moins lourd que pédiatrie ou gériatrie.
Laurine lui demande :
- Et elle a déjà réalisé pour toi le fantasme de l'infirmière en sous-vêtement sous sa blouse ?



- Dis donc Laurine, intervient Camille, je trouve que tu es bien indiscrète avec mon cousin...
- Héhé, ça ne me gêne pas, répond Raphaël. Oui, elle m'a fait le coup un soir, pour voir ma réaction.
- Et alors ? demande Camille prenant un air un peu détaché pour ne pas montrer la conversation commence à l'intéresser.



- Et bien, je lui ai expliqué que j'étais plus excité par l'absence de sous-vêtement que par les sous-vêtement eux-mêmes. Elle a accepté de ne rien mettre sous sa blouse...
Laurine regarde Raphaël avec intérêt :
- Pas même de culotte ?
- Non, pas de culotte, comme Camille.
Laurine sent le regard de Raphaël se poser sur ses cuisses, sans doute se demande-t-il si elle aussi en porte. Par réflexe de pudeur et tire sur le tissu pour couvrir ses cuisses.



Raphaël s'amuse du trouble de la jeune femme :
- Camille vous a-t-elle raconté que nous faisions du nudisme ensemble étant petits ?
- Oui, elle m'a même raconté les quelques jours que tu as passés chez elle avec ton frère à faire resurgir les souvenirs d'enfance...



Cette fois-ci, c'est Raphaël qui est troublé. Il ne s'attendait pas à ce que sa cousine puisse raconter ce genre de chose à une collègue.
- Oh... Je vois que tu es un peu plus qu'une collègue pour que ma cousine t'ait raconté cela.
- Oui, on est amie. Presque intime, non ?
Laurine se tourne vers Camille pour avoir son approbation.
- Si on considère qu'on a pratiqué l'échangisme ensemble avec nos hommes, je pense qu'on peut dire qu'on est effectivement intimes.
Ce n'est qu'en se tournant vers sa cousine que Raphaël remarque qu'elle a les cuisses écartées, la robe retroussée haut et qu'elle exhibe son entrejambe nu.

images similaires

Si Raphaël était bien excité par la tournure de la conversation, il lui semble qu'elle prend maintenant une tournure qui va un peu trop loin. Camille sent sa gêne :
- Excuse-moi, tu veux peut-être qu'on change de conversation ?
- Heu, non ça va. C'est juste étonnant que tu dises avec autant de naturel que si tu me racontais ce que tu as mangé ce midi.
- Il me semble que c'est plus intéressant que ce que j'ai mangé ce midi...



- Oui, mais ça commence à devenir très intime et, comme Pauline va bientôt se lever, je ne voudrais pas qu'elle nous surprenne au beau milieu de ce genre de conversation.
Laurine s'amuse de l'embarras de Raphaël :
- Elle a matière à s'inquiéter ?
- Quoi ? Mais non, je le suis fidèle !
- Jusqu'à quel point ?



Le jeune homme marque un temps d'arrêt avant de répondre.
- Je l'aime passionnément.
- Qui est-ce que tu aimes passionnément, mon chéri ?
- Oh !
Raphaël se lève, surpris de l'arrivée de sa copine, Pauline, dans le salon, vêtue d'une culotte blanche et d'un petit débardeur assorti.
- Pauline, je te présente Camille, ma cousine et une... collègue à elle. Elles sont en séminaire en ville et elles sont passés nous dire bonjour.
- Bonjour. Moi c'est Pauline.



Camille se lève :
- Bonjour, je suis Camille, la cousine de Raphaël. Laureline et moi sommes passés un peu à l'improviste... Excuse-nous.
- Il n'y a pas de mal. Raph' m'a parlé un peu de toi, ça fait plaisir de te rencontrer. Vous dormez à l'hôtel ?
Camille est un peu gênée :
- Heu, c'est ce qu'on avait prévu mais Raphaël nous a proposé de dormir ici... enfin, si tu es d'accord.



- Mais bien sûr, c'est une excellente idée !
- Mais on ne voudrait pas déranger...
- Si Raph' vous a proposé, c'est OK. Moi vous ne me dérangerez pas, je travaille de nuit donc on ne se croisera que le soir.
- Oui, Raphy nous a dit que tu étais infirmière. Pas trop dure de bosser de nuit ?
- Si, ça fout un peu les repères en vrac, mais après ces trois nuits, j'aurais une semaine de récupération. Je ne vais pas me plaindre.



Pauline s'assoit et commence à grignoter :
- Alors, vous parliez de quoi ?
Raphaël ne semble pas très enclin à raconter à Pauline sa visite chez sa cousine. Laurine répond :
- On parlait du fantasme des infirmières en sous-vêtements sous leur blouse.
Camille enchaîne :
- Tu l'as déjà fait, toi Pauline ?
Camille avale une gorgée de vin pour faire comme si sa question était anodine.

images similaires

- Heu, oui ça m'est arrivé quand il fait très chaud...
Laurine reprend la parole :
- Et sans sous-vêtements ?
- Comment ça ?
- Nue sous ta blouse, tu as eu l'occasion de le faire ?
Raphaël et Pauline semblent très gênés. Pauline bafouille :
- Oui, je l'ai fait... la semaine dernière, il faisait vraiment très chaud... ça s'est un peu vu... des patients et surtout mes collègues masculins...



Raphaël peine à avaler sa salive, il savait qu'elle l'avait fait pour lui, pas qu'elle avait réitéré l'expérience à l'hôpital :
- Quoi... tu... tu l'as fait au boulot ?
- Oui... Et je peux te dire que tout le monde était très gentil avec moi. Les patients pénibles devenaient soudainement plus dociles et mes collègues masculins plus prévenants. C'était loin d'être désagréable...
Laurine, excitée par le retour à une conversation coquine, demande :
- Et tu as pu observer des réactions... particulières ?



- Tu sais, je suis infirmière. Je m'occupe des toilettes de gars qui ne sont pas en mesure de se laver... nécessairement, j'ai déjà eu des patients en érection pendant la toilette. Mais oui, c'était aussi le cas ce jour-là... même pour certains de mes collègues.
Raphaël semble abasourdi. Pauline se lève :
- Bon il faut que j'aille me préparer pour le boulot... On se croisera peut-être demain matin quand je rentrerai du travail si vous ne partez pas trop tôt à votre séminaire.
Raphaël se lève :
- Les filles, à l'étage, il y a le bureau avec un clic-clac et la chambre d'amis. Je vous laisse vous organiser. La salle de bain est au bout du couloir. Je vous laisse, il faut que je discute avec Pauline. Bonne nuit.
Raphaël quitte alors la cuisine, suivant Pauline de près. Dès qu'ils sont sortis, Camille se lève et regarde Laurine :
- Wahou, tu te rends compte !? Pauline s'est amusée à s'exhiber au boulot ! Mon cousin s'est dégoté une fille très coquine.
- Oui enfin, elle avait sa blouse.
- Ce n'est pas très long une blouse, tu sais...
Pour expliciter son idée, Camille relève un peu le bas de sa minirobe pour exhiber sa moule.

images similaires

Laurine se lève à son tour :
- Bon, on débarrasse, tu crois ?
- Oui, il ne va pas revenir tout de suite... Il bandait comme un taureau en la suivant. Je pense qu'elle va s'occuper de lui. J'espère qu'ils ne vont pas faire trop de bruit parce que je suis crevée et j'ai besoin de sommeil.
- Va te coucher, je vais ranger ce que je peux.



Camille laisse Laurine ranger un peu la table et va se coucher, laissant à sa collègue la chambre d'ami. Quand Laurine quitte la cuisine dix minutes plus tard, en passant près de la chambre de Pauline et Raphaël, elle constate que la porte est entrouverte et entend la conversation :
- Ta cousine et sa copine sont très jolies... Elles t'excitent ?
- Camille est ma cousine et je ne connais pas du tout sa collègue.
- Cela n'empêche pas que tu peux les trouver excitantes...
- C'est toi qui m'a excité. Tu ne m'avais pas dit que tu avais passé une journée au boulot à poil sous ta blouse !
- J'avais un peu honte parce que ça m'avait beaucoup excitée... Mais toi aussi apparemment.
Laurine ose pousser un peu la porte pour observer dans la chambre. Elle voit alors Raphaël, allongé dans le lit qui tire sur la couverture et exhibe une érection formidable. Pauline est debout à côté de lui, ne portant plus que son petit débardeur.
- Mon salaud, ça t'excite que je m'exhibe pour d'autres mecs ?



- Oui... faut croire... Tu pars bientôt ?
- J'ai un peu de temps...
Montant sur le lit, Pauline enjambe son copain et, s'agenouillant au-dessus de lui, elle guide son sexe tendu entre ses cuisses pour le faire disparaître peu à peu dans sa fente. Laurine se dit que c'est un peu malsain de rester à regarder et s'en va tandis que Pauline commence à monter et descendre sur la tige raide.



Arrivée dans sa chambre, Laurine commence à se déshabiller et constate que sa culotte est toute humide. Elle commence à se caresser puis se dit que ce serait plus agréable de faire ça en regardant Raphaël et Pauline faire l'amour. Elle enfile donc sa nuisette rose et décide de redescendre discrètement. Arrivée au bas de l'escalier, elle constate que la porte est toujours entrouverte. Les gémissements qui viennent de la chambre indiquent que la situation a évolué.

images similaires

Se repositionnant dans l'embrasure de la porte, elle reprend son voyeurisme. Pauline est toujours emmanchée sur Raphaël. Elle voit la longue queue tendue entrer et sortir de la fente trempée de cyprine. Pauline est penchée sur Raphaël. Laurine tend l'oreille pour entendre ce qu'elle lui murmure :
- Tu la trouves belle Camille ?



- Oui...
- Tu aimerais la baiser ?
- Oui, mais je ne te tromperais pas... et c'est ma cousine.
- Et Laurine ?

images similaires

Laurine se concentre pour entendre la réponse :
- Oui, elle m'excite. Mais je ne te tromperais pas.
- Tan
Fête du sexe
Anissa la chef d’entreprise sexy et torride ne fait qu’une bouchée de sa grosse bite de black
Valeri Kay sait comment chevaucher une grosse queue noire

Report Page