Naomi la sodomie c'est son truc

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Naomi la sodomie c'est son truc

Cet article date de plus de dix ans.



Publié le 17/02/2012 17:37


Mis Ă  jour le 18/02/2012 11:03



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"L'arnaqueur des stars" a été jugé coupable d'abus de faiblesse sur la réalisatrice Catherine Breillat, à qui il aurait soutiré 700 000 euros.
"L'escroc des stars", Christophe Rocancourt, 44 ans, a été condamné vendredi 17 février par le tribunal correctionnel de Paris à 16 mois de prison dont huit ferme pour abus de faiblesse de la réalisatrice Catherine Breillat, 63 ans.
Il est sorti de prison dans la nuit de vendredi à samedi, bénéficiant d'un aménagement de peine, aprÚs ses deux mois de détention provisoire. Interrogé à sa sortie par France Info , le play boy a dénoncé "une belle farce" et annoncé son intention d'écrire un livre sur cette affaire. "Il n'y avait pas cet abus de faiblesse, il n'existait pas" , a-t-il insisté.
La cinĂ©aste l'accusait d'avoir profitĂ© de son Ă©tat d'extrĂȘme fatigue aprĂšs un accident vasculaire cĂ©rĂ©bral (AVC), pour lui soutirer 700 000 euros entre 2007 et 2009. Lui a affirmĂ© pour sa dĂ©fense que c'Ă©tait un prĂȘt pour un futur film dans lequel il devait jouer avec l'ex-top Naomi Campbell. Sulfureux et controversĂ©s, les deux personnages attirent la lumiĂšre : quelle est leur histoire ?
ArsÚne Lupin, arnaqueur des stars, playboy, imposteur, baratineur, etc. Les surnoms d'oiseau, la presse lui en a trouvé un tas. Lui n'a pas attendu les journalistes pour se donner des titres : futur énarque, ex-champion de boxe, producteur, fils de Sophia Loren, de Rockfeller, pilote de Formule 1, etc. A force de raconter des histoires, il a fini par en vivre une.
La lĂ©gende commence dans la misĂšre. Elle veut qu'il ait Ă©tĂ© arrachĂ© Ă  ses parents, pĂšre alcoolique et mĂšre prostituĂ©e qui vivent dans une caravane. Il est placĂ© dans un orphelinat Ă  Saint-Germain-Village, dans l'Eure. Ado, un gosse de riche passe dans une station de mĂ©tro et le protĂšge. Il traĂźne dans les fĂȘtes mondaines et arnaque Ă  19 ans les parents de sa copine. Il vend leur immeuble du XVIe, raconte LibĂ©ration dans un portrait . Ce n'est pas un tendre.
En 1990, il dĂ©boule Ă  Los Angeles. Il ne parle pas anglais. Il fait son trou, arnaque un type qui veut blanchir de l'argent, s'approche des jet-setteurs, se fait passer pour un ex-boxeur, s'installe dans une villa qui n'est pas la sienne, la vend, devient incontournable chez les stars, rencontre la fille du prĂ©sident gabonais Omar Bongo, y gagne un passeport bleu amĂ©ricain, se fait passer pour le descendant de Rockfeller Ă  New York. On le croit, mĂȘme s'il a un anglais approximatif. "C'est plus de la bĂȘtise, c'est de la connerie humaine, c'est pathĂ©tique, ce qui est encore plus pathĂ©tique, c'est qu'ils font des affaires. Des mauvaises, quand ils me rencontrent" , sourit-il face au prĂ©sentateur Thierry Ardisson (oĂč il parle souvent de lui mĂȘme Ă  la troisiĂšme personne, "on").
Ses aventures sont ponctuées de playmates -- il a un enfant, Zeus, avec l'une d'entre elles --, de stars, de voitures de luxes, d'un jet privé et aussi de séjours en prison. En 2001, en cavale depuis deux ans, il se fait serrer pour de bon au Canada et passe cinq ans à l'ombre entre Canada et Etats-Unis. En février 2006, il se dit "rangé, oui, tranquille" .
Catherine Breillat n'a pas toujours bonne presse. Comme Rocancourt, elle aime le scandale, mais dans un autre genre. Les histoires, elle les écrit depuis toute jeune. Née en 1948 à Bressuire (Deux-SÚvres), elle rédige L'homme facile qui paraßt en plein mai 1968. Elle a vingt ans. Son livre a été écrit alors qu'elle était encore mineure et son pÚre a signé le contrat d'édition avec Christian Bourgois. C'est cru, dérangeant. Le roman fait scandale, est jugé pornographique. Il est interdit aux moins de 18 ans.
Elle aime la littérature, mais son truc, c'est vraiment les films. L'école de cinéma de Paris lui a fermé ses portes, mais elle espÚre que ses bouquins vont lui permettre de passer à la caméra, comme Alain Robbe-Grillet. En 1971, elle est pour la premiÚre fois devant l'objectif avec sa soeur (Marie-HélÚne). DerriÚre, c'est Bernardo Bertolucci. Scandale et sexe encore, elle a un petit rÎle dans Le Dernier Tango à Paris . Une scÚne mimée de sodomie va trop loin. On parle de pornographie.
Elle réalise son premier film en 1976, Une vraie jeune fille . Echec. Cette année, la "loi X" est promulguée. Elle écrit des scénarios pour Maurice Pialat et Federico Fellini, réalise des films ( Romance, Anatomie de l'enfer , adapte Barbey d'Aurevilly). Catherine Breillat a le goût de la provoc, du brulot, du débat.
Bien que souvent honnie, elle enchaßne les films au début des années 2000. Mais il y a un accident. En 2005, elle fait une hémoragie cérébrale. Elle est touchée depuis par une hémiplégie et sous la menace de crises d'épilepsie à tout moment. Elle ne se sépare plus d'une seringue.
En 2006, la cinéaste voit Christophe Rocancourt. Elle le veut. "Je l'ai vu à la télévision (chez Ardisson) et j'ai voulu l'engager comme acteur pour adapter mon roman Bad Love. En avril 2007, je lui ai fait un chÚque de 25 000 euros en échange de l'écriture du scénario, ce qu'il n'a jamais fait" , dit-elle au Parisien (article payant) .
Elle raconte qu'il la sort de la solitude, sans ĂȘtre amants : "A l'Ă©poque, je n'avais pas 150 m d'autonomie. il m'invitait au restaurant... Il me coupait ma viande, tout comme il me tenait le chĂ©quier lorsque je rĂ©digeais les chĂšques" . Elle en signe douze Ă  celui qu'elle surnomme "Le Rauque" (pour ses faux airs de mafioso). L'un d'entre eux (135 000 euros) aurait Ă©tĂ© signĂ© alors qu'elle sortait d'une crise d'Ă©pilepsie. Dans les vapes, elle n'en a pas souvenir, dit-elle. "J'ai fini interdite bancaire. il m'a dĂ©possĂ©dĂ©e de mes fonds, mais aussi de moi-mĂȘme. C'est une forme d'assassinat" , lance-t-elle.
Dans son entretien au Parisien , elle ne s'épand pas sur son passage chez lui et Sonia Rolland (Miss France 2000 avec qui il a un enfant) en Normandie. Selon Libération , qui a consacré des portraits aux deux protagonistes ( ici et là ), "on s'appelle 'Cat', 'So', 'Chris'" et les deux amis "font 'dortoir' chez Breillat, juste séparés par une armoire" .
Aujourd'hui, elle dit vouloir "la vérité sur ce personnage, encensé par les médias" et ajoute qu'elle en mourra s'il n'est pas condamné. "La relaxe sera bien évidemment plaidée" , a promis mercredi un des avocats de Christophe Rocancourt. Pour lui, il s'agit d' "un dossier totalement vide qui s'assimile davantage à une promotion des films de Catherine Breillat sur Rocancourt qu'à une procédure judiciaire."
Christophe Rocancourt a dĂ©jĂ  passĂ© douze ans derriĂšre les barreaux. Catherine Breillat avait Ă©tĂ© sĂ©duite par "sa non repentance" . Il affirme aimer Nietzsche et la philo. Le penseur allemand Ă©crit : "Le remords est, comme la morsure d'un chien sur une pierre, une bĂȘtise" . "C'est avec moi-mĂȘme que je dois vivre" , disait l'arnaqueur Ă  LibĂ©ration .
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ÉditĂ© par sebastienbillard Auteur parrainĂ© par melissabounoua
Il y a une petite dizaine d'annĂ©es, quand j'ai croisĂ© pour la premiĂšre fois un clip de Pierre Woodman, je n'y ai pas cru – coucou la dissonance cognitive .
Tout sonnait faux. Sa touche de jumeau honteux de Moscovici fini au pĂątĂ© de tĂȘte, ses "dĂ©cors" de maison de retraite, sa baise caricaturale, la fille Ă  peine majeure au bout de sa bite qui ne semblait pas comprendre un mot de français, et encore moins ses insultes, ou encore le chantage, la sujĂ©tion et la servitude manifestes qui suintaient de ses "Ă©bats", comme de tous les pores de son Ă©piderme.
L'éniÚme manifestation d'une masculinité bas du front 
En fait, la premiĂšre fois que j'ai croisĂ© du Pierre Woodman, je ne savais mĂȘme pas qui il Ă©tait, qu'il existait, qu'il avait un nom, un systĂšme, une tradition. Ce n'est que quelques jours plus tard, conviĂ©e Ă  un raout chez une sommitĂ© du porno français mainstream Ă  qui je dĂ©crivis ma dĂ©couverte, que j'apprenais que ce truc, que je pensais fake ou marginal, Ă©tait en rĂ©alitĂ© tout Ă  fait connu, cĂ©lĂšbre, adoubĂ© dans le milieu.
Que Woodman avait un public et une rĂ©putation Ă©normes, mĂȘme si une grande majoritĂ© des gens appartenant Ă  ce fameux "milieu", et Ă  qui j'ai pu ensuite en parler, me disaient, en substance : "C'est une ordure, mais ça marche", en insistant pour que le "c'est une ordure" ne paraisse jamais accolĂ© Ă  leur nom. TrĂšs bien, parfait, je n'ai pas persĂ©vĂ©rĂ©. Ce n'Ă©tait pas "ma guerre", de toutes façons.
Mais voici quelques jours, le personnage est rĂ©apparu dans mon champ de vision. En l'espĂšce, via l'Ă©pisode d'une sĂ©rie documentaire , Quarks, hĂ©bergĂ©e par Dailymotion, et partagĂ©e par une foison de mes contacts Facebook. À ma connaissance, c'Ă©tait la premiĂšre fois que Woodman Ă©tait aussi "bien" dĂ©crit – entendre : que la description correspondait Ă  mon ressenti de rapide spectatrice.
L'éniÚme manifestation d'une masculinité aussi bas du front que sûre d'elle, un babouin de plus faisant du porno comme d'autres font des livres , de la politique ou du cinéma , quelque chose d'aussi odieux que révoltant, certes, mais surtout tristement banal .
Et mĂȘme, avec pas trop d'efforts d'imagination, on pouvait parfaitement concevoir que les rĂ©alisateurs du documentaire ne "cautionnaient" pas le systĂšme Woodman : le montage, les morceaux choisis, mettaient trop en avant la violence beaufisante de l'Ă©nergumĂšne pour que cela soit dĂ» au hasard.
MĂȘme sans grille de lecture imposĂ©e par des commentaires ou une voix-off, on comprenait. Je comprenais. J'Ă©tais contente, le rĂ©sultat Ă©tait "pas si pire" face au tas de "c'est une ordure, mais ça marche – surtout ne dit jamais que je te l'ai dit" que j'avais pu rencontrer auparavant.
Quelqu'un a enfin osé dénoncer ses agissements
Quelques jours plus tard, j'Ă©tais encore plus contente : le site-magazine spĂ©cialiste de la "culture porn", le Tag Parfait, publiait un article autour du documentaire sus-citĂ© en le complĂ©tant d’élĂ©ments que le film ne montrait pas : que certains castings de Pierre Woodman s'Ă©taient visiblement dĂ©roulĂ©s de maniĂšre trĂšs "limite" (pour parler poliment) au niveau du consentement des castĂ©es.
Que rompu à la toute puissance de son fric, de sa réputation et de son hypersexualité , Woodman aurait, plus souvent qu'à son tour, essuyé ses gros pieds de hobbit sur l'assentiment de ses partenaires. Ou, pour le dire en deux mots, que certains de ses castings auraient davantage relevé du viol que de l'entretien d'embauche porno.
Enfin, applaudissais-je dans ma petite tĂȘte, quelqu'un osait, mĂȘme en y mettant les formes, dĂ©noncer ouvertement des agissements sur lesquels j'avais vu Ă  peu prĂšs tout le monde dĂ©tourner la tĂȘte ou, Ă  la limite, pester "sous le manteau".
Quelle ne fut donc pas ma surprise de voir que, peu aprÚs la publication de cet article, les réseaux sociaux s'enflammaient (de leurs désormais célÚbres indignations-feux de paille) à son sujet.
Qu'on y dénonçait la collusion, la connivence de son auteur, et du site-magazine qui l'avait publié, avec les agissements potentiellement répréhensibles de Woodman. Qu'on appelait (comme c'est surprenant) à sa dépublication, voire à un arsenal juridique susceptible de le classer comme "apologie du viol" et, ainsi, de le faire payer en conséquence devant un tribunal quelconque.
Aujourd'hui, l'incendie semble s'ĂȘtre calmĂ© et j'ai donc souhaitĂ© revenir avec Stephen des Aulnois, rĂ©dacteur en chef et directeur de la publication du Tag Parfait, sur le sale quart d'heure qu'il a passĂ© suite Ă  la mise en ligne de "Pierre Woodman se rĂ©vĂšle dans un documentaire".
"Je comprends et j’accepte ces critiques, mais j’ai Ă©tĂ© surpris de la virulence des rĂ©actions Ă  notre Ă©gard, dans le sens oĂč on nous fait porter le chapeau alors que nous essayons d’apporter un contrepoint que j’estime intĂ©ressant (mais aussi extrĂȘmement dur) au documentaire", commente des Aulnois, admettant certaines "maladresses" dans la forme de l'article signĂ© par Saint-Sernin .
"À titre personnel", poursuit-il, "Pierre Woodman n’est pas quelqu’un que je porte dans mon cƓur, je n’aime pas son porno, je n’aime pas le personnage, je trouve la façon dont il traite les femmes dans ses castings gerbante. Et c’est le cas pour l’ensemble de l’équipe, y compris l’auteur de l’article. Mais il est aussi extrĂȘmement clivant, il y a ceux qui le conspuent d’autres qu’ils l’admirent.
Le documentaire de la sĂ©rie Quarks permettait d’aborder ce personnage – qui relĂšve, malgrĂ© notre dĂ©sapprobation, d’une certaine rĂ©alitĂ© du porno. Je savais que traiter ce sujet allait ĂȘtre compliquĂ© et je n’ai pas Ă©tĂ© assez vigilant quant Ă  la façon dont l’auteur en a parlĂ©. Il y a trop d'ambiguĂŻtĂ©s et de complaisance dans le texte, qui ne correspondent pas aux valeurs qu'on dĂ©fend."
Le problÚme, c'est que la virulence des attaques contre le Tag Parfait dépassent, et de loin, tout ce que j'ai pu voir et entendre contre les pratiques, contre le "business" de Woodman. Comme le dit justement des Aulnois :
"Pierre Woodman manie trĂšs bien sa communication, en plus d’ĂȘtre respectĂ© dans le milieu professionnel (dont les actrices). Pour les mĂ©dias traditionnels, c’est un bon client et en tant qu’ancien flic, il a un parcours intĂ©ressant pour eux. Difficile de dire si c’est de la complaisance ou de la bienveillance. Ce n’est pas le premier documentaire qui sort sur lui, mais force est de constater qu’il est rarement mis face Ă  ses contradictions."
Pourquoi s'en prendre au messager ?
Alors pourquoi, encore une fois, s'en prendre au rapporteur et pas aux faits rapportĂ©s, ni au faiseur de ces faits ? Le Tag Parfait est-il plus accessible, plus "fragile" ? Est-ce qu'il ne serait pas "victime de son succĂšs" en faisant connaĂźtre, Ă  un certain grand public, une "figure" malheureusement culte du porno-cocorico, la tĂȘte haute et les deux pieds dans la merde ?
Et est-ce que des gens qui n'avaient jamais entendu parler de Woodman auparavant ne gagneraient-ils pas à s'en prendre à lui, à le menacer LUI de procÚs, voire à aller regarder du cÎté de ses castées pour leur demander leur avis ? Voir ce qu'elles sont "devenues" ? Comment elles ont vécu le truc ?
Sur un tout autre sujet, quoique connexe, le journaliste musical Jim DeRogatis – le premier, et quasiment le seul, Ă  avoir rĂ©vĂ©lĂ© les multiples plaintes pour viols et agressions sexuelles sur mineures dĂ©posĂ©es Ă  la fin des annĂ©es 1990 contre R. Kelly – dĂ©plorait rĂ©cemment :
"Le fait le plus triste que je retiens de toute cette histoire, c'est qu'aux yeux de notre société, personne n'a moins d'importance que les jeunes femmes noires. Personne."
Peut-ĂȘtre qu'en transposant cette histoire en Europe, et dans ce milieu d'un porno faisant son beurre des inĂ©galitĂ©s socio-Ă©conomiques entre Europe de l'Ouest et ex-bloc soviĂ©tique, ce seraient plutĂŽt les filles de l'Est "cartographiĂ©es" par un Woodman goguenard dont tout le monde se fout. Ce sont peut-ĂȘtre elles qui sont au plus bas du panier de notre "considĂ©ration sociĂ©tale".
Le souci, c'est que je ne sais pas si une fureur éphémÚre contre un article qui se contente d'en rendre compte contribuera à les faire un tant soit peu remonter.  
je comprends et j’accepte ces critiques, mais j’ai Ă©tĂ© surpris de la virulence des commentaires Ă  notre Ă©gard, dans le sens oĂč on nous fait revĂ©tir le chapeau alors que nous essayons de donner un contrepoint que j’estime agrĂ©able (mais aussi vraiment dur) au documentaire, commente des aulnois, admettant plusieurs maladresses dans la forme de l'article symbolise par saint-sernin . aujourd'hui, l'incendie semble s'ĂȘtre serein et j'ai donc voulu retourner avec stephen des aulnois, rĂ©dacteur en chef et directeur de la publication du tag parfait, sur le sale quart d'heure qu'il a passĂ© suite Ă  la mise en ligne de pierre woodman se rĂ©vĂšle dans un documentaire...
J'ai regardé des castings de Woodman. Effectués effectivement trÚs souvent avec des filles ou de jeunes femmes de pays de l'Est. Avec pour les préliminaires une traductrice qui parle en voix off.

En aucun cas on ne peut parler de viol, ou de non-consentement. Ces femmes, vu la nature du dialogue engagé ou le genre de magazines qu'on leur propose de lire avant passage à l'acte, comprennent évidemment - et acquiescent - ce qu'on attend d'elles.

Elles sont majeures et consentantes. Woodman aussi. Qu'il filme les scÚnes qui s'ensuivent n'est pas un délit (que je sache).

AprÚs chacun voit ça comme il veut..
Je confirme : les filles de l'Est ne comprenaient rien Ă  ce qu'il disait, les biftons compensant Ă©galement son gros bide
http://frenchdebilum.over-blog.com/
Et vous grands connaisseurs de sexualitĂ© dĂ©bridĂ©e. Vous demanderez Ă  une femme qui pratique pour la premiĂšre fois l’anal de prendre du plaisir sur une DP au bout de 15 minutes d’une premiĂšre anal et de crier de plaisir. DĂ©jĂ  une femme ayant une forte expĂ©rience a dĂ©jĂ  du mal la premiĂšre fois lors d'une DP, alors de soi-disant pauvre fille sans grande expĂ©rience sexuelle, je vous en parle mĂȘme pas. Ce genre de prouesse existe seulement chez le mytho woodman. Enlevez la poutre que vous avez dans les yeux et arrĂȘtez d’ĂȘtre des gogos par ce que vous bavez devant les filles de l’Est sans avoir jamais osĂ© partir dans ces pays les rencontrer.
Je suis relativeme
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