Nana enceinte joue seule

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GaspaJoe, gourde et fière de l'être!

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ha bon 3 garçons, je pensais que vous aviez 2 filles également, et que la jolie robe pour Camille, c'était pour votre fille.. je suis larguée lol
Autrement le changement, heu, cheveux plus courts et quelques kg de moins ? ;-)
coucou ,je viens de découvrir ton blog .etje suis dans le même cas que toi .J'ai toujours voulu une fille mes j'ai eu trois petit mecs un de bientot 5 ans et mes jumeaux de 6 mois et je ne changerai pour rien au monde.
je t'invite a aller voir mon blog si t'en a l'occasion^^


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Alexia




30 Mai 2016




2 commentaires


Et oui 3 garçons! Mon homme! Mais bizarrement je ne me sens pas seule du tout :D
Avant que Lylian pointe le bout de son nez je rêvais d'avoir une fille, j'avais été nounou, assistante maternelle... toujours que des filles! Limite l'idée d'avoir un garçon m'angoissait!
Enceinte de Lylian je n'ai su son sexe que 15 jours avant d'accoucher, il croisait les jambes le coquin, du coup la chambre était pastelle jaune et vert, couleurs neutre pour un garçon ou une fille... C'était mon premier alors pas grave si c'est un garçon, on aura d'autres enfants. Et quel amour de bébé il était!
Quand j'ai su que j'étais enceinte pour la deuxième fois, forcément j'espérais que ce soit une fille! Première écho, on me dit: "à 85% je pense que c'est une fille" youhouuuuu, trop happy! Deuxième écho, "c'est un garçon!" aïe, entre mon désir et le fait qu'on m'ait dit ça à la première écho, mère indigne: j'ai pleuré! Je me suis dit, les garçons sont moins proches de leurs parents à l'âge adulte en général, mes bébés vont me quitter!!! Il m'a fallu quelques jours et puis c'est passé, du coup on s'est vengé on a fait la chambre toute bleue :D Noa était un bébé facile mais beaucoup moins tranquille que son frère, et c'est toujours le cas aujourd'hui. UN petit bout en train!!
Pour Maël c'était le contraire, on espérait avoir un garçon!!! Et oui les garçons c'est génial, super proches de Maman, complices, plus cool que les filles que je trouve pestes! lol
Alors dans le doute je regardais quand même les décos de chambre pour les deux sexes, car la seule chose qui manque quand on a des garçons c'est pouvoir faire une déco bien fifille :D, les vêtements aussi sont trop craquants pour les petites princesses (pas pour rien que je fais des tutus :p ).
Et donc quand nous a annoncé que c'était un garçon nous étions super contents! Notre petit Maël est venu agrandir notre petite tribu de mecs! On lui a fait une chambre gris, blanc, taupe toute étoilée.
Je vous aime mes hommes d'amour, on discute de tout, même de trucs de fille et oui, je suis très libre avec eux, et puis après tout un jour ils auront une chérie alors ils sauront plein de choses!
Et eux aussi me parlent de filles hihi mais ça c'est top secret :x
PS: voyez-vous un changement physiquement sur moi?

lesdesirsdemaman © 2016 - 
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par Leslie Muya
Créé le 26/03/2019 à 16:03 , modifié le 26/03/2019 à 16:03


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Parce que son premier accouchement a été traumatisant, cette maman a choisi de donner naissance à son quatrième enfant de manière naturelle chez elle et sans la présence d’une personne du corps médical. Désireuse de montrer les avantages d’un accouchement à domicile, Kara Baker s’est filmée pendant ce moment incroyable.
La vidéo laisse sans voix. Kara Baker, une maman américaine de 28 ans, est assise dans sa baignoire remplie d’eau et accouche calmement de son quatrième enfant. Tout est filmé et diffusé en direct le 23 mars. Le tout dure une trentaine de minutes. La maman est d’un calme olympien. C’est impressionnant. Elle est uniquement entourée de son mari (informaticien de profession) et de ses trois autres enfants : Brylie, 4 ans , Barrett, 3 ans, et Ash, 15 mois. Elle même n’est pas une professionnelle du monde médical . Mais elle a décidé de faire cela car son premier accouchement lui a laissé de mauvais souvenirs :
" Mon premier enfant est né à l’hôpital et sa naissance a été un événement traumatisant. J’ai donc décide de me renseigner et j’ai commencé à m’intéresser à la naissance naturelle dans l’eau. J’avais peur car je ne savais pas à quoi m’attendre et j’avais eu une péridurale pour mon premier." a-t-elle révélé au Daily Mail . D'après son témoignage , elle n'a pas eu son moment peau à peau avec bébé, elle n’a pas été encouragée à allaiter et que " le budget a été de 40 000 $ ".
Petit à petit, Kara Baker s'est donc tournée vers d'autres solutions pour accoucher. Durant sa troisième grossesse , elle n'a pas cessé de regarder des vidéos Youtube dans lesquelles des femmes accouchaient seules. Ca l'émerveillait de voir le miracle de la vie réalisé de cette manière. " Je pouvais voir le moment où les femmes abandonnaient leur peur pour accoucher sans douleur. " Elle a donc pris la décision d’accoucher seule à son domicile. Elle dit avoir fait confiance à son corps et à son bébé. Son mari a tout de suite soutenu cette décision.
En rentrant dans la baignoire , on la voit se masser tranquillement le bas du dos avec son mari à côté d'elle. Puis, elle respire lentement, change de position parfois et finit par donner naissance à une fille appelée Molly Fay Baker au bout d'une trentaine de minutes. Elle a choisi de montrer son accouchement en direct pour montrer une nouvelle facette de l'accouchement naturel et changer le regard négatif que porte souvent les gens.
" Regarder sur YouTube de vraies naissances m’a aidé à surmonter les stigmates de la naissance et les tas d'horreur qui nous sont racontées " estime-t-elle. " En diffusant la naissance en direct, j'espère changer la perspective des gens sur la naissance. Je veux que les gens sachent que le travail et l'accouchement ne doivent pas être douloureux ni craint. Donner naissance est ce pourquoi nous avons été créées. C'est vraiment un cadeau . "
Lors d'un accouchement, il peut y avoir certaines complications qui sont très difficilement gérables sans l’aide d’un obstétricien ou d’un professionnel de santé. Si l'accouchement venait à mal se passer, la maman n'aura pas la possibilité d'être bien et rapidement prise en charge. Lorsque l'on prend la décision d'accoucher seule, il faut être conscient des risques importants que cela implique autant pour le bébé que pour la maman. Accoucher à proximité d'une maternité réactive en cas de besoin peut déjà assurer une prise en charge rapide en cas d'urgence. L'accouchement à domicile en France est encadré. Pour qu'il ait lieu, il faut que la maman soit en excellente santé et que les circonstances de la naissance soient favorables. Par exemple : pas de grossesse gémellaire, pas de position du bébé par le siège. Pour accoucher à son domicile en France, il faut être encadrée et accompagnée d'une sage-femme libérale.
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G. Charpentier , 1881 ( p. 423 - 451 ).
book Nana (1880) Émile Zola G. Charpentier 1881 Paris T Chapitre XII Zola - Nana.djvu Zola - Nana.djvu/1 423-451 


Dernière modification il y a 5 mois par Le ciel est par dessus le toit


Vers une heure du matin, dans le grand lit drapé de point de Venise, Nana et le comte ne dormaient pas encore. Il était revenu le soir, après une bouderie de trois jours. La chambre, faiblement éclairée par une lampe, sommeillait, chaude et toute moite d’une odeur d’amour, avec les pâleurs vagues de ses meubles de laque blanche, incrustée d’argent. Un rideau rabattu noyait le lit d’un flot d’ombre. Il y eut un soupir, puis un baiser coupa le silence, et Nana, glissant des couvertures, resta un instant assise au bord des draps, les jambes nues. Le comte, la tête retombée sur l’oreiller, demeurait dans le noir.

— Chéri, tu crois au bon Dieu ? demanda-t-elle après un moment de réflexion, la face grave, envahie d’une épouvante religieuse, au sortir des bras de son amant.

Depuis le matin, elle se plaignait d’un malaise, et toutes ses idées bêtes, comme elle disait, des idées de mort et d’enfer, la travaillaient sourdement. C’était parfois, chez elle, des nuits où des peurs d’enfant, des imaginations atroces la secouaient de cauchemars, les yeux ouverts. Elle reprit :

— Hein ? penses-tu que j’irai au ciel ?

Et elle avait un frisson, tandis que le comte, surpris de ces questions singulières en un pareil moment, sentait s’éveiller ses remords de catholique. Mais, la chemise glissée des épaules, les cheveux dénoués, elle se rabattit sur sa poitrine, en sanglotant, en se cramponnant.

— J’ai peur de mourir… J’ai peur de mourir…

Il eut toutes les peines du monde à se dégager. Lui-même craignait de céder au coup de folie de cette femme, collée contre son corps, dans l’effroi contagieux de l’invisible ; et il la raisonnait, elle se portait parfaitement, elle devait simplement se bien conduire pour mériter un jour le pardon. Mais elle hochait la tête ; sans doute elle ne faisait de mal à personne ; même elle portait toujours une médaille de la Vierge, qu’elle lui montra, pendue à un fil rouge, entre les seins ; seulement, c’était réglé d’avance, toutes les femmes qui n’étaient pas mariées et qui voyaient des hommes, allaient en enfer. Des lambeaux de son catéchisme lui revenaient. Ah ! si l’on avait su au juste ; mais voilà, on ne savait rien, personne ne rapportait des nouvelles ; et, vrai ! ce serait stupide de se gêner, si les prêtres disaient des bêtises. Pourtant, elle baisait dévotement la médaille, toute tiède de sa peau, comme une conjuration contre la mort, dont l’idée l’emplissait d’une horreur froide.

Il fallut que Muffat l’accompagnât dans le cabinet de toilette ; elle tremblait d’y rester une minute seule, même en laissant la porte ouverte. Quand il se fut recouché, elle rôda encore par la chambre, visitant les coins, tressaillant au plus léger bruit. Une glace l’arrêta, elle s’oublia comme autrefois, dans le spectacle de sa nudité. Mais la vue de sa gorge, de ses hanches et de ses cuisses, redoublait sa peur. Elle finit par se tâter les os de la face, longuement, avec les deux mains.

— On est laid, quand on est mort, dit-elle d’une voix lente.

Et elle se serrait les joues, elle s’agrandissait les yeux, s’enfonçait la mâchoire pour voir comment elle serait. Puis, se tournant vers le comte, ainsi défigurée :

— Regarde donc, j’aurai la tête toute petite, moi.

Il la voyait dans une fosse, avec le décharnement d’un siècle de sommeil ; et ses mains s’étaient jointes, il bégayait une prière. Depuis quelque temps, la religion l’avait reconquis ; ses crises de foi, chaque jour, reprenaient cette violence de coups de sang, qui le laissaient comme assommé. Les doigts de ses mains craquaient, il répétait ces seuls mots, continuellement : « Mon Dieu… mon Dieu… mon Dieu. » C’était le cri de son impuissance, le cri de son péché, contre lequel il restait sans force, malgré la certitude de sa damnation. Quand elle revint, elle le trouva sous la couverture, hagard, les ongles dans la poitrine, les yeux en l’air comme pour chercher le ciel. Et elle se remit à pleurer, tous deux s’embrassèrent, claquant des dents sans savoir pourquoi, roulant au fond de la même obsession imbécile. Ils avaient déjà passé une nuit semblable ; seulement, cette fois, c’était complètement idiot, ainsi que Nana le déclara, lorsqu’elle n’eut plus peur. Un soupçon lui fit interroger le comte avec prudence : peut-être Rose Mignon avait-elle envoyé la fameuse lettre. Mais ce n’était pas ça, c’était le trac, pas davantage, car il ignorait encore son cocuage.

Deux jours plus tard, après une nouvelle disparition, Muffat se présenta dans la matinée, heure à laquelle il ne venait jamais. Il était livide, les yeux rougis, tout secoué encore d’une grande lutte intérieure. Mais Zoé, effarée elle-même, ne s’aperçut pas de son trouble. Elle avait couru à sa rencontre, elle lui criait :

— Oh ! monsieur, arrivez donc ! madame a failli mourir, hier soir.

Et, comme il demandait des détails :

— Quelque chose à ne pas croire… Une fausse couche, monsieur !

Nana était enceinte de trois mois. Longtemps elle avait cru à une indisposition ; le docteur Boutarel lui-même doutait. Puis, quand il se prononça nettement, elle éprouva un tel ennui, qu’elle fit tout au monde pour dissimuler sa grossesse. Ses peurs nerveuses, ses humeurs noires venaient un peu de cette aventure, dont elle gardait le secret, avec une honte de fille-mère forcée de cacher son état. Cela lui semblait un accident ridicule, quelque chose qui la diminuait et dont on l’aurait plaisantée. Hein ? la mauvaise blague ! pas de veine, vraiment ! Il fallait qu’elle fût pincée, quand elle croyait que c’était fini. Et elle avait une continuelle surprise, comme dérangée dans son sexe ; ça faisait donc des enfants, même lorsqu’on ne voulait plus et qu’on employait ça à d’autres affaires ? La nature l’exaspérait, cette maternité grave qui se levait dans son plaisir, cette vie donnée au milieu de toutes les morts qu’elle semait autour d’elle. Est-ce qu’on n’aurait pas dû disposer de soi à sa fantaisie, sans tant d’histoires ? Ainsi, d’où tombait-il, ce mioche ? Elle ne pouvait seulement le dire. Ah ! Dieu ! celui qui l’avait fait, aurait eu une riche idée en le gardant pour lui, car personne ne le réclamait, il gênait tout le monde, et il n’aurait bien sûr pas beaucoup de bonheur dans l’existence !

Cependant, Zoé racontait la catastrophe.

— Madame a été prise de coliques vers quatre heures. Quand je suis allée dans le cabinet de toilette, ne la voyant plus revenir, je l’ai trouvée étendue par terre, évanouie. Oui, monsieur, par terre, dans une mare de sang, comme si on l’avait assassinée… Alors, j’ai compris, n’est-ce pas ? J’étais furieuse, madame aurait bien pu me confier son malheur… Justement, il y avait là monsieur Georges. Il m’a aidée à la relever, et au premier mot de fausse couche, voilà qu’il s’est trouvé mal à son tour… Vrai ! je me fais de la bile, depuis hier !

En effet, l’hôtel paraissait bouleversé. Tous les domestiques galopaient à travers l’escalier et les pièces. Georges venait de passer la nuit sur un fauteuil du salon. C’était lui qui avait annoncé la nouvelle aux amis de madame, le soir, à l’heure où madame recevait d’habitude. Il restait très pâle, il racontait l’histoire, plein de stupeur et d’émotion. Steiner, la Faloise, Philippe, d’autres encore, s’étaient présentés. Dès la première phrase, ils poussaient une exclamation ; pas possible ! ça devait être une farce ! Ensuite, ils devenaient sérieux, ils regardaient la porte de la chambre, l’air ennuyé, hochant la tête, ne trouvant pas ça drôle. Jusqu’à minuit, une douzaine de messieurs avaient causé bas devant la cheminée, tous amis, tous travaillés par la même idée de paternité. Ils semblaient s’excuser entre eux, avec des mines confuses de maladroits. Puis, ils arrondissaient le dos, ça ne les regardait pas, ça venait d’elle ; hein ? épatante, cette Nana ! jamais on n’aurait cru à une pareille blague de sa part ! Et ils s’en étaient allés un à un, sur la pointe des pieds, comme dans la chambre d’un mort, où l’on ne peut plus rire.

— Montez tout de même, monsieur, dit Zoé à Muffat. Madame est beaucoup mieux, elle va vous recevoir… Nous attendons le docteur qui a promis de revenir ce matin.

La femme de chambre avait décidé Georges à retourner chez lui pour dormir. En haut, dans le salon, il ne restait que Satin, allongée sur un divan, fumant une cigarette, les yeux en l’air. Depuis l’accident, au milieu de l’effarement de l’hôtel, elle montrait une rage froide, avec des haussements d’épaules, des mots féroces. Alors, comme Zoé passait devant elle, en répétant à monsieur que cette pauvre madame avait beaucoup souffert :

— C’est bien fait, ça lui apprendra ! lâcha-t-elle d’une voix
Une mère italienne baise avec son fils
POV de madison Ivy
Deux brunettes au centre

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