Montrant en quoi elle est une reine

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Article détaillé : Élevage de reines .

↑ Henri Clément, L'Apiculture Pour les Nuls , Éditions First, 2014 , p. 107

↑ « Le blog de Reines d'Abeilles - Vie mort des Reines d'abeilles », Achat de reines d'abeilles ,‎ 25 novembre 2017 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 22 août 2018 )

↑ Gwen Pearson , « Royal Jelly Isn't What Makes a Queen Bee a Queen Bee », Wired ,‎ 2 septembre 2015 ( ISSN 1059-1028 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 10 mars 2019 )

↑ « Essaimage artificiel | L'Abeille du Forez » [ archive ] (consulté le 30 mars 2019 )

↑ « Le blog de Reines d'Abeilles - accouplement d'une reine d'abeille », Achat de reines d'abeilles ,‎ 8 novembre 2017 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 22 août 2018 )

↑ Pearcy et al. 2004

↑ (en) E. J. DuPraw, « Further development in research on the honeybee egg » , Glean. Bee Cult. , vol. 88, n o 2,‎ 1960 , p. 105–111 .

↑ Ethem Akyol , Halil Yeninar , Ali Korkmaz et İbrahim Çakmak , « An observation study on the effects of queen age on some characteristics of honey bee colonies », Italian Journal of Animal Science , vol. 7, n o 1,‎ 1 er janvier 2008 , p. 19–25 ( DOI 10.4081/ijas.2008.19 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 5 avril 2019 )

↑ (de) Josef Bretschko, Der Magazinimker. Leitfaden einer zeitgemässen Magazinimkerei , 1981 , 227 p. ( ISBN 978-3-7020-0395-1 )

↑ « Projet: la température maximale et le couvain - La ruche Warré » [ archive ] , sur www.ruchewarre.net (consulté le 25 février 2019 )

↑ LE DEVELOPPEMENT DES COLONIES CHEZ L’ABEILLE MELLIFERE ALP forum no 68 | février 2010 - Auteurs Anton Imdorf, Kaspar Ruoff, Peter Fluri. [ archive ]







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La reine des abeilles , ou plus simplement reine dans le contexte, désigne une femelle adulte accouplée qui vit dans une ruche . Elle est le seul individu femelle pleinement fertile de la colonie (il arrive que des ouvrières pondent mais n'étant pas fécondées, elles ne pondent que des mâles, ce qui donne une ruche bourdonneuse appelée à disparaître). Il y a normalement une seule reine adulte fécondée par ruche. Elle est la mère de la totalité des abeilles de la ruche si on exclut les ouvrières présentes dans la ruche mais venant d'une autre ruche (ce qui peut constituer jusqu'à 30 % des effectifs d'une colonie).

La reine se distingue des autres abeilles par sa plus grande taille (1,8 cm en moyenne une fois fécondée contre 1,2 cm pour une ouvrière). Son abdomen et ses organes génitaux sont plus développés. Son abdomen possède moins de poils et sa taille permet une ponte plus aisée dans chaque alvéole .

Contrairement aux ouvrières, le dard de la reine ne possède pas de crochet et ne reste pas pris dans la peau d'un animal lors d'une piqûre (dard rétractile), ce qui lui évite de mourir [ 1 ] .

Il est rare de pouvoir observer une reine à l’extérieur, alors qu’il est relativement facile de la remarquer à l’intérieur d’une ruche : elle est entourée de nombreuses ouvrières qui la protègent et la nourrissent.

Pour faire une reine, il faut 16 jours de l’œuf à la naissance mais si on fait naître une reine après un orphelinage, 13 jours peuvent suffire car l’élevage royal débute généralement sur un oeuf de 1 à 3 jours.
La reine est, à l'origine, une larve choisie par les abeilles ouvrières. Elle provient d’un œuf fécondé, identique à celui d'une ouvrière, mais pondu dans une cellule spéciale verticale, la cellule royale, plus vaste et de forme ronde, non hexagonale, contrairement à celle des ouvrières. La cellule royale mature ressemble à une cacahuète dans sa coque.

Les reines sont élevées généralement au printemps et jusqu'à l'automne en fonction des régions [ 2 ] .

Cet élevage a lieu en différentes circonstances :

La première reine éclose part à la chasse des autres cocons pour tuer les nymphes concurrentes.

Il y a des inconvénients avec les reines produites dans la colonie. Aucun nouveau couvain ne naîtra pendant 41 jours au minimum, donc pendant plus longtemps que l'espérance de vie moyenne des ouvrières. Cela retarde sérieusement le développement de la colonie et réduira la récolte de miel. Des reines de qualité inférieure (plus petites et moins prolifiques) sont souvent produites. Aussi, la plupart des apiculteurs obtiennent d'un éleveur des reines sélectionnées pour leurs performances ou ils élèveront eux-mêmes des reines en utilisant leurs meilleures souches puis les introduiront dans leurs ruches (en éliminant la reine en place) dès qu'elles seront prêtes à pondre.

Le remplacement peut être forcé par un apiculteur, par exemple en coupant l'une des pattes médiane ou postérieure de la reine. Cela la rend incapable de placer correctement ses œufs au bas de la cellule de couvée; les ouvrières le détectent puis élèvent des reines de remplacement. Quand une nouvelle reine devient disponible, les ouvrières tuent la reine régnante en se regroupant étroitement autour d'elle pour élever la température de son corps, ce qui la fait surchauffer et mourir. Le phénomène est souvent un problème pour les apiculteurs qui tentent d'introduire une reine de remplacement.

Il existe 3 types de cellules royales. C'est souvent le nombre et la position des cellules royales sur un cadre qui permet d'identifier leur nature.

Dans un premier temps, des "amusettes", cupules non pondues sont construites sur les cadres. Ce ne sont pas encore des cellules royales. Elles sont à moitié construites et juste préparées pour être rapidement disponibles le jour où la colonie en aura besoin. Dès que la reine décide de préparer un essaimage, elle pond dans plusieurs de ces cupules, leur construction est alors complétée et les cellules seront operculées entre 7 et 8 jours après la ponte. La vieille reine pourra alors quitter sa ruche d'origine avec une partie de la colonie mais en laissant ses provisions pour les jeunes reines prêtes à éclore.

Tout au long de son développement, la larve royale sera nourrie exclusivement de gelée royale (sauf parfois pour les cellules d'urgence qui peuvent avoir reçu du pollen si aucune larve fraîche n'est disponible au moment où l'urgence survient). On a longtemps pensé que la composition de la gelée royale était ce qui permettait à certaines larves de devenir des reines mais c'est en fait l'absence d'alimentation en pollen qui permet le développement supérieur des organes génitaux [ 3 ] .

Attention, les cellules royales ne doivent pas être secouées après l’operculation car c'est le moment où la larve devient nymphe. Elle est alors suspendue verticalement la tête en bas dans sa cellule et simplement maintenue par un fil fragile. Si on doit déplacer ces cellules, elles doivent toujours être transportées verticalement [ 4 ] .

Une reine vierge est une reine des abeilles qui ne s'est pas encore accouplée à un faux-bourdon. Les vierges sont de taille intermédiaire entre les ouvrières et les reines fécondées et sont beaucoup plus actives que ces dernières. Elles sont difficiles à repérer lors de l'inspection d'un cadre, car elles franchissent les rayons, escaladent les abeilles ouvrières si nécessaire et peuvent même prendre la fuite si elles sont suffisamment perturbées. On peut souvent trouver des reines vierges accrochées aux parois ou aux coins d'une ruche lors des inspections.

Les reines vierges ont une faible phéromone de reine et ne sont souvent pas considérées comme des reines par les ouvrières. Une reine vierge fraîchement éclose peut être placée à l’entrée d'une ruche orpheline et son acceptation sera généralement très bonne, alors qu’une reine fécondée est généralement considérée comme une étrangère et court un risque élevé de se faire tuer par les ouvrières.

Lorsqu'une jeune reine vierge émerge d'une cellule de reine, elle va généralement chercher des rivales vierges et tenter de les tuer (en piquant), ainsi que toute reine non émergée. Les cellules de la reine qui sont ouvertes sur le côté indiquent qu'une reine vierge a probablement été tuée par une reine vierge rivale. Après l' essaimage d'un essaim primaire, les ouvrières peuvent empêcher les reines vierges naissantes de se battre et une ou plusieurs vierges peuvent alors accompagner un essaim secondaire ou tertiaire. Quand un jeune essaim s'installe dans une nouvelle ruche, les vierges reprendront alors un comportement normal et se battront à mort jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'une. Si l'essaim principal a une reine vierge et l'ancienne reine, cette dernière aura généralement le droit de vivre. La vieille reine continue de pondre. Quelques semaines plus tard, elle mourra de mort naturelle et l'ancienne vierge, maintenant accouplée, prendra sa place.

Malgré son surnom de « reine », une reine des abeilles ne « dirige »pas la ruche. Sa seule fonction est de servir de reproducteur. Elle est continuellement entourée d'abeilles ouvrières qui répondent à tous ses besoins, lui donnent à manger et se débarrassent de ses déchets. Les ouvrières auxiliaires collectent et distribuent ensuite la phéromone mandibulaire royale , une phéromone qui empêche les ouvrières de démarrer des cellules royales.

La reine des abeilles est capable de contrôler le sexe des œufs qu'elle pond. La reine dépose un œuf fécondé (femelle) ou non fécondé (mâle) en fonction de la largeur de la cellule. Les faux bourdons sont élevés dans des cellules considérablement plus grandes que celles utilisées pour les ouvrières. La reine féconde l'ovule en libérant sélectivement le sperme de sa spermathèque lorsque l'ovule passe dans son oviducte.

Le chant de la reine est un son vibratoire produit par des abeilles reines vierges et reproduit pendant certaines périodes du développement des reines vierges.

Le chant est le plus souvent un signal de la première reine vierge naissante pour annoncer sa présence à la colonie. S'il y a d'autres cellules royales prêtes à éclore dans la ruche, les autres reines vierges peuvent y répondre avant même de sortir de leur cellule. Si ces réponses sont nombreuses et que la colonie est assez forte, la première reine vierge décidera de former un essaim secondaire pour quitter la ruche et éviter une série de combats dangereux. Si les réponses sont peu nombreuses, la reine essaiera d'aller tuer ces concurrentes dans leur cellule ou les combattra si elles sont déjà écloses.

Les reines fécondées peuvent chanter brièvement après avoir été relâchées dans une ruche.

Le son du chant est un sol ♯ (alias la ♭). La reine adulte lance une impulsion de deux secondes suivie d'une série de toots de quart de seconde. Les reines des abeilles africanisées produisent des chants plus vigoureux et plus fréquents.

Il faut noter que des ouvrières sont parfois aussi capables de chanter, notamment lors des essaimages pour guider l'essaim vers le site d'installation choisi par les éclaireuses.

Une nouvelle reine s'élance dans son vol nuptial 6 à 10 jours après sa naissance car elle a besoin d'une journée chaude et ensoleillée pour rejoindre une congrégation de faux bourdons . Elle va s’y accoupler avec plusieurs mâles (12 à 15), en plein vol [ 5 ] , jusqu’à ce que sa spermathèque soit remplie. Les mâles qui l’auront fécondée vont tous mourir peu de temps après l’accouplement, leurs organes génitaux ayant été arrachés. Les autres ne seront plus nourris par leur essaim d'origine une fois l'automne arrivé. Si le temps le permet, la reine peut retourner dans la zone de rassemblement des faux bourdons pendant plusieurs jours jusqu'à ce qu'elle soit complètement fécondée. Elle commence généralement à pondre 2 à 3 jours après son retour à la ruche. On estime à 20 % le nombre de reines qui ne reviennent jamais à cause d'un problème de localisation de la ruche ou de prédation par un oiseau.

La jeune reine vierge a peu de temps pour s'accoupler. Si elle est incapable de voler pendant plusieurs jours en raison du mauvais temps et qu'elle reste non fécondée, elle deviendra une « pondeuse de mâles ». Les reines qui pondent des mâles signent généralement la mort de la colonie, car les ouvrières ne disposent pas de larves (femelles) fécondées pour élever des abeilles ouvrières ou une reine de remplacement [ 6 ] . La ruche est alors dite « bourdonneuse ».

La reine stocke dans sa spermathèque jusqu'à 6 millions de spermatozoïdes pour engendrer plusieurs colonies, et ce pour le reste de sa vie (jusqu’à 7 ans).

Une fois installée, la reine pond en permanence de février à septembre, jusque l'équivalent de son propre poids en œufs chaque jour pour certaines reines d'abeilles domestiques (près de 400 000 œufs par an, ce nombre élevé étant nécessaire car la durée de vie des ouvrières n'est que de 30 à 45 jours), soit 1 500 à 2 000 œufs par jour au rythme de cinq à six par minute [ 7 ] .

Quand sa spermathèque commence à se vider, elle ne peut plus pondre d'œufs d'ouvrières et sa diffusion de phéromones se modifie. C'est souvent le signe que la reine ne va pas tarder à être remplacée.

L'intensité de ponte pendant les mois de février à mai est directement liée à :

Wille a montré, au travers de l’analyse de 540 colonies d’Europe centrale, que 85 % des colonies atteignaient 90 % de leur production annuelle de couvain dans un intervalle de temps assez bref de 10 à 15 jours au cours de la période comprise entre le 27 juillet et le 12 août , indépendamment de la taille de la colonie. Cette période est plus précoce en Europe de l'Ouest où, après avoir atteint le paroxysme de son développement entre mi-juin et début juillet, la population d’abeilles recule fortement dès la mi-juillet. En trois semaines, elle diminue de 30 à 70 % [ 11 ] .

L'élevage des reines est le processus par lequel les apiculteurs élèvent des reines à partir de jeunes larves d'abeilles ouvrières fécondées à partir de ruches-souches de qualité. La méthode permet d'obtenir des reines de meilleure qualité que celles obtenues par remérage naturel. Cela permet également d'éviter une rupture de ponte de plus d'un mois en pleine saison. La méthode la plus couramment utilisée est connue sous le nom de "méthode Doolittle" où l’apiculteur "greffe" par "picking" des larves âgées de 24 heures ou moins. Les apiculteurs peuvent également utiliser d'autres méthodes d'élevage des reines telles que le kit Jenter, le split partant, le tableau Cloake et l'insémination artificielle.


L'abdomen de la reine des abeilles est plus long que celui des abeilles ouvrières qui l'entourent. Malgré cela, dans une ruche de 60 000 à 80 000 abeilles, il est souvent difficile pour les apiculteurs de trouver rapidement la reine. Pour cette raison, de nombreuses reines des colonies non-sauvages sont marquées d'une légère trace de peinture sur leur thorax. La peinture utilisée ne nuit pas à la reine et la rend beaucoup plus facile à trouver en cas de besoin.

Bien que la couleur soit parfois choisie au hasard, les éleveurs de reines professionnels utilisent une couleur qui identifie l'année de naissance d'une reine, ce qui les aide à décider si leurs reines sont trop vieilles pour conserver une ruche solide et doivent être remplacées.




Publié le 02/06/2012 à 12h09
- Modifié le 02/06/2012 à 17h50




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Potiche sans pouvoir pour les uns, symbole de l'identité britannique pour les autres, retour sur le réel pouvoir d'Élisabeth II à l'heure où elle fête ses soixante ans de règne.
Chaque année, le rituel est immuable : la reine pénètre dans la Chambre des lords, à Westminster, coiffée de la couronne impériale sertie de 3 000 gemmes, vêtue de la cape d'hermine brodée de dentelle d'or de Victoria portée par des pages, et lit le discours annuel du trône lors de l'ouverture de la session parlementaire. En réalité, un discours écrit au mot près par le Premier ministre britannique et qui présente sa politique à venir. Pour beaucoup, voilà résumée la quintessence du pouvoir d' Élisabeth II : une autorité morale, garante des traditions, soumise à la politique de son gouvernement. Elle prend la pose mais n'agit pas. La réalité est plus complexe.
Sur le papier, le pouvoir de la reine est bien réel, il ne tient qu'au monarque de l'exercer - Charles changera-t-il la donne ? Comme notre président de la République, la reine est chef des armées et elle nomme le Premier ministre issu de la majorité parlementaire. Elle est également chef de l'Église anglicane et entérine la nomination des prélats. Elle peut s'opposer à des lois, accepter ou refuser la dissolution du Parlement. Donc en théorie bloquer ou influer la vie politique du pays, ce qui n'arrive jamais car Élisabeth II tient à son impartialité politique. Elle est aussi la souveraine officielle de quinze royaumes membres du Commonwealth, de la Barbade au Canada en passant par la Nouvelle-Zélande , les Bahamas, l' Australie , les Grenadines, la Jamaïque, etc. Tous les matins, sauf le jour de Noël, elle passe plusieurs heures dans son cabinet à prendre connaissance des rapports, des notes confidentielles et parfois de projets de loi émanant de tous les pays dont elle est la reine. Avec ses secrétaires particuliers, elle se tient informée dans le détail des événements ou des problèmes survenus et reste ainsi l'une des rares personnes - avec le pape - sans doute la plus informée des affaires du monde.
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