Monter une queue en gardant son hijab

Monter une queue en gardant son hijab




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Monter une queue en gardant son hijab

www.yabiladi.com needs to review the security of your connection before
proceeding.

Did you know 43% of cyber attacks target small businesses?
Requests from malicious bots can pose as legitimate traffic. Occasionally, you may see this page while the site ensures that the connection is secure.

Performance & security by
Cloudflare


Bienvenue ! Connectez-vous à votre compte :
Un mot de passe vous sera envoyé par email.
S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici
Vous avez entré une adresse email incorrecte!
Veuillez entrer votre adresse email ici
Vous êtes en possession de croquis de vêtements, d’un logo et d’un nom de marque. C’est décidé, vous allez créer votre marque de prêt-à-porter ou plutôt tenter de créer une marque en essayant de vous positionner un peu différemment de la concurrence. Lancer une marque de vêtement n’est pas simple. Alors comment faire sa petite place dans un secteur bien encombré ?
Évitez de vous éparpiller. Il est préférable de cibler dans un premier temps une gamme de produits avec des objectifs de développement futurs. A titre d’exemple, Sianat à fait le choix de créer une ligne de vêtements islamiques pour femmes en gardant à l’esprit de créer plus tard une gamme homme et une gamme enfant.
Fixez-vous des objectifs, planifiez et définissez un plan pour votre marque. N’hésitez pas à noter tout ce qui vous passe par la tête et à vous faire un plan détaillé de ce que va être votre marque et à qui elle s’adressera.
Votre but n’est pas de créer une marque parmi tant d’autres, mais bien d’apporter un petit plus. Votre marque devra rapidement réussir à se démarquer et à acquérir une certaine notoriété. Il vous faudra planifier une stratégie marketing après avoir identifié les valeurs de votre marque et ses objectifs. Sianat a voulu proposer quelque chose qui sortait de ce qu’on pouvait généralement trouver pour agrémenter le vestiaire de la femme musulmane . Nous avons souhaité nous positionner un peu différemment en créant de beaux vêtements, pratiques, confortables et surtout simples : vous ne trouverez ni paillettes ni frou-frou chez Sianat.
Le meilleur moyen pour vous faire connaître est de parler de vous et de faire en sorte que l’on parle de vous. Pour cela, rien de tel que de choisir un nom de marque et un logo crédibles et facilement reconnaissables.
Évitez ensuite de tomber dans l’e-marketing horrible – mailing de masse, martelage, affiliation n’importe où et n’importe comment -, mais essayer surtout de maîtriser tous les canaux où votre marque peut-être visible pour que dans la tête des clients potentiels la marque soit assimilée à une marque de qualité. Choisissez des canaux cohérents avec votre image, c’est-à-dire des sites spécialisés et en rapport à votre thématique.
Partez également à la recherche d’ambassadeurs de votre marque et cherchez à communiquer chez des blogueurs influents ou encore à faire porter vos vêtements par des personnes qui ont déjà une certaine notoriété (nous en profitons pour lancer un appel ^^).
Pensez également à utiliser les réseaux sociaux pour entretenir et étendre votre popularité. Vous pourrez ainsi facilement entretenir des relations avec vos clients, en les informant en continu. Attention tout de même à l’usage que vous en faites, car tout ce que vous faites et dites sur ces réseaux sont le reflet de votre marque et participent à l’image que vous lui donnez.
Choyez les clients, ceux qui aiment votre marque et qui vous le font savoir, car cela permet de développer le bouche-à-oreille. Soyez à leur écoute et proposez-leur de parrainer d’autres personnes avec une petite réduction à la clé. En améliorant votre offre et la satisfaction de vos clients existants, ces derniers généreront un bouche-à-oreille positif autour de votre marque. Ne sous estimez pas la puissance du « téléphone arabe ».
Un autre moyen également peu coûteux pour étendre votre marque est de définir une stratégie de distribution afin de commercialiser votre marque en dehors du web, car votre e-boutique à elle seule sera loin de pouvoir toucher 100 % de votre cible. Ne cherchez pas dès le début à ouvrir une boutique physique, utilisez plutôt d’autres possibilités qui s’offrent à vous :
– Vendre des lots qui seront ensuite vendus par exemple dans des boutiques physiques déjà existantes.
– Participer à des salons dans lesquels une clientèle ciblée découvrira votre marque et organiser, pourquoi pas, des ventes à domiciles (idéal pour se rendre compte de l’impact de sa marque auprès d’acheteuses potentielles.)
Créer des vêtements de qualité, fédérer une communauté autour de votre marque, déployer et élargir votre offre et maintenir une approche cohérente avec votre image de marque dans tous les milieux et à tout moment : autant d’éléments qui, utilisés ensemble, se révéleront être efficaces pour construire la notoriété de votre marque.
une petite précision sur mon post antérieur. Pourquoi attendre quelques mois avant de lancer la confection. car certains grand groupe utilise des cabinets d’audit pour verifier si leurs marques n’est pas copié. Elhamdoullilahi j’ai été contacté par des avocats de Paris que mon ancienne marque avait des ressemblances avair une marque anglaise Elhamdoullilahi la production n’etait pas encore faite. Alors pour eviter une perte d’argent et temps.
faite vous même l’audite ou passer par l’INPI ils peuvent la faire pour vous moyennant € toujours moins chère…
As salamou’alaykoum Karima,
Excusez le retard de ma réponse aussi vous aiderai-je avec plaisir. Vous pouvez me joindre par l’intermédiaire de mon site (un clic sur mon nom devrait suffire). À vous lire.
merci pour ces conseils avisés. c’est toujours utile de connaître deux ou trois astuces avant démarre une ligne de vêtements. c’est un milieu assez singulier qui a ses avantages et ses inconvénients.
As salamoualaykoum
J’aimerai créer ma propre marque de vêtement , par contre je suis ni styliste ni modéliste je ne sais même pas dessu nier un chat.
Par contre je sais ce que je veux et j’ai des idées comment je dois m’y prendre dans ce cas pour de qui est de la création ( croquis…)
Aussi je me renseigne encore pour savoir quelle est le meilleur endroit pour ouvrir mon entreprise et déposer ma marque ( Maroc où je vis le plus ou en france…?)
Merci d’avance pour vis conseils
belle article, le principale reste de créer une marque de vêtement et tenue de qualité, même si tous les efforts sont faits et que la qualité n’est pas au rdv ça ne marchera jamais
J’ai pour projet de devenir entrepreneur dans le prêt a porter masculin.
Je n’ai aucune compétences dans le domaine et j’aimerai savoir comment crée des collections avec seulement l’idée des modèles ?
c’est marrant comment certains arabes ne changent pas ,toujours a vouloir le plateau d’argent a leur porte lool
Mon projet professionnel serait de créer une marque pour femme voilée, c’est-à-dire produire mes propres collections de vêtements, et ouvrir par la suite une boutique. Cependant, je voudrais savoir quelles études suivre pour réussir dans ce domaine, et pour apprendre le métier de styliste.
bonjour j’ai déjà créé ma marque de vêtement sauf que j’ai besoin d’un financement pour passer à l’étape de la production que me conseillez vous? merci pour votre réponse
Salamu alayki baraka Allahu fiki ukhty je prends notes de tes conseilss qui je penses bi idhni lah me seront tres benefiques , Allah y hafdek
as salam alaykoum
Je recherche une usine de production en france pour de la confection de vetement , si quelqun a une info …..
barak Allah oufik


Enregistrer mon nom, email et site web dans ce navigateur pour la prochaine fois que je commenterai.

© Al-Kanz, 2004 -2022, tous droits réservés.

Home » منبر حر | Tribune libre » Hoggar » ABROGATION DES LOIS ISLAMOPHOBES
By hoggar 2013-09-21 Updated: 2017-10-15 Aucun commentaire 6 Mins Read
Hoggar est un institut de recherche sur le Maghreb.
Hoggar se donne pour mission de contribuer à approfondir la compréhension des problèmes multi-dimensionnels des peuples du Maghreb et à faire entendre leurs luttes et leurs idées novatrices pour améliorer leurs conditions.
Hoggar publie et distribue des livres de haute qualité, attrayants et abordables.
Hoggar organise des sessions de formation et des forums pour la circulation et l’échange des idées.

Copyright © 1994 - 2021 Hoggar Institute
All Rights Reserved.
Interdiction du hijab à l’école et du niqab dans l’espace public ; prohibition des « prières de rue » ; interdiction faite aux mères portant le hijab d’accompagner leurs enfants lors des sorties scolaires ; obligation faite aux enfants musulmans de consommer dans les cantines de la viande non halal, notamment de la viande de porc ; volonté de prohiber le hijab à l’université et d’autoriser les entreprises à l’interdire sur le lieu de travail…
Nous assistons à une recrudescence des mesures et législations islamophobes, qui ont pour objectif d’accroître le champ d’application de la loi du 15 mars 2004 interdisant le port du hijab à l’école, et de renforcer le dispositif législatif d’exception contre les musulman•e•s.
Pour endiguer ce processus continu d’exclusion et d’interdiction, il apparait nécessaire à de plus en plus de musulman•e•s d’attaquer le mal à l’une de ses principales racines, en exigeant l’abrogation des lois et mesures islamophobes.
L’islamophobie se déploie avant tout à travers des mesures d’exception édictées par les élites, qui portent en conséquence une responsabilité dans les agressions physiques – parfois meurtrières – qui se multiplient contre des musulmanes.
Les forces de police prennent par exemple prétexte de la loi du 10 octobre 2010 sur le niqab, pour verbaliser des musulmanes voilées intégralement, arracher leur niqab, et faire monter par là même la tension dans les banlieues.
Les mesures d’État islamophobes, promues par la gauche aussi bien que par la droite (avec le concours des médias dominants), encouragent les pratiques racistes à l’encontre des musulman•e•s.
Pour autant, ces élites n’ont pas créé l’islamophobie, qui existait bien avant la « Commission Stasi », la loi de 2004 ou les premières « affaires » dites du foulard à Creil, en 1989. Si le personnel politique peut dire ce qu’il dit des musulman•e•s, c’est bien qu’une longue tradition islamophobe lui a fourni des mots, des images, une rhétorique et des figures pour le faire.
Parce que cette islamophobie est promue par les représentants les plus qualifiés de ce pays, en appeler à la morale ou aux « valeurs républicaines » pour tenter de l’endiguer apparaît dès lors comme une impasse. Si c’est au nom de ces « valeurs républicaines » que certain•e•scombattent l’islamophobie, c’est aussi en leur nom qu’elle est soutenue et diffusée.
De l’interdiction du foulard à celle de tout signe musulman à l’école
La loi du 15 mars 2004, qui prohibe le port du hijab dans les collèges et les lycées publics, les IUT et les écoles de commerce,occupe une place centrale dans le dispositif législatif qui vise les musulman•e•s.
Son entrée en vigueur a permis d’introduire le principe de l’interdiction du hijab, et par extension, celui de tout signe qui se rattache ou semble se rattacher à l’islam.C’est ainsi que certains personnels de l’Éducation nationale interprètent cette loi.
Dès lors, des interdictions sont faites à des mères portant un hijabd’accompagner leurs enfants lors des sorties scolaires ; des directeurs d’école et professeurs interdisent l’accès à l’établissement aux parents jugés trop ostensiblement musulmans ; des directeurs prohibent les jupes longues pour les jeunes filles musulmanes ; dans les cantines, des enfants musulmans se voient dans l’obligation de consommer de la viande non halal, notamment de la viande de porc.
Dernièrement, le Haut Conseil à l’Intégration a préconisé l’adoption d’une loi interdisant le port du hijab à l’université.Le hijab, ainsi que tout signe jugé islamique, sont considérés comme entrant en conflit avec le caractère séculariste de la république française, dont l’un des symboles est l’école laïque.
Ecoles, services publics, espaces publics, entreprises :l’extension permanente de l’interdiction du foulard
Certains ontdécidé d’étendre l’interdiction du hijab à d’autres services publics que l’école, quitte à avoir une appréciationtrès incertainede la définition d’un service public.En 2012, des élus socialistes ont proposé que l’interdiction du port du hijab s’étende aux femmes gardant des enfants à domicile.
Avec l’adoption de la loi du 10 octobre 2010 sur le niqab, nous sommes passés des services publics, à l’espace public. C’est d’ailleurs ce même souci de « neutralité dans l’espace public », qui a servi de prétexte à la prohibition des « prières de rue », alors que ces prières sont la conséquence du manque criant de lieux de cultes pour les musulman•e•s en France.
L’une des prochaines étapes de cette campagne islamophobe, semble devoir être l’adoption d’une loi qui permettrait aux entreprises de prévoir dans leur règlement intérieur une interdiction des signes religieux, au premier rang desquels les signes musulmans.
La nécessaire auto-organisation des musulman•e•spour combattre l’islamophobie
Parce que les musulman•e•s qui vivent en France sont touché•e•s de plein fouet par les mesures islamophobes, dont elles et ils subissent les conséquences au quotidien, leur auto-organisation est nécessaire.
C’est la condition premièrepourmener une lutte efficace contre l’islamophobie étatique, aussi bien que contre celle qui sévit dans la société, les associations, et les organisations politiques de droite comme de gauche.
Lorsqu’elles prennent en considération le racisme antimusulman, ces associations et ces organisations politiques souhaitent, volontairement ou non, imposer aux musulman•e•sleurs mots d’ordre, leur agenda politique, ainsi que la définition de l’islamophobie qui est la leur.
L’autonomie nécessaire des musulman•e•s doit permettre de se prémunir contre les risques de récupération politique, et de mettre à distance le paternalisme militant et les perspectives assimilationnistes.
Objectifs de la campagne pour l’abrogation des lois islamophobes
Le Code Noir et le Code de l’Indigénat dans les colonies, les lois de Nuremberg en Allemagne ou celles de Vichy en France, jusqu’à la loi sur la double peine contre laquelle une campagne exemplaire a été menée, sont aujourd’hui perçus comme discriminatoires et racistes.
De plus en plus de musulman•e•strouventtout aussi raciste l’islamophobie inscrite dans la loi. En menant une action spécifique sur la question de l’abrogation, cette campagne se veut complémentaire du travail de défense juridique et politique qu’effectuent un peu partout en France des collectifs de lutte contre l’islamophobie.
Nous invitons tous ces acteurs de terrain, tou•te•s les musulman•e•s, investi•e•s ou non dans le combat associatif et politique, ainsi que leurs soutiens (débarrassés de toute forme de paternalisme), à relayer cet appel pour faire vivre cette campagne, à travers les initiatives locales de leur choix (comités de quartiers, rassemblements, débats, marches, productions d’écrits, vidéos, sons, photos…).
Avec en ligne de mire, la date du 15 mars 2014, qui marquera le dixième anniversaire de la loi de 2004.
C’est collectivement que nous sommes discriminé•e•s, et c’est tout aussi collectivement que nous montreronsnotre détermination à lutter contre l’oppression islamophobe.
ABROGATION DES LOIS ISLAMOPHOBES (ALI) Mail : contact@abrogation-lois-islamophobes.org
معهد الهقار متخصص في البحوث حول البلدان المغاربية، مهمته المساهمة في تعميق الفهم للمشاكل المتعددة التي تواجهها الشعوب المغاربية وكذا التعريف بجهودهم وأفكارهم من أجل تحسين أوضاعهم.
كما يقوم معهد الهقار بنشر وتوزيع كتب ذات نوعية عالية وجذابة وفي متناول الجميع. إضافة إلى ذلك ينظم معهد الهقار دورات دراسية ومنتديات من أجل تنقل وتبادل الأفكار

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.


Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux


JO de Londres 2012 : la judokate saoudienne autorisée à lutter voilée


JO de Londres 2012 : la judokate saoudienne autorisée à lutter voilée

Wodjan Ali Seraj Abdulrahim Shahrkhani, l'une des deux premières femmes saoudiennes présentes aux JO, pourra finalement participer au tournoi de judo en gardant son voile.
Alors que la Fédération internationale de judo avait soumis la participation de la judokate Wodjan Ali Seraj Abdulrahim Shahrkhani au retrait de son voile pour les épreuves, elle vient de faire un pas en arrière qui permettra finalement à l’athlète saoudienne de se couvrir la tête. « Nous pouvons confirmer que la Fédération (internationale) et le Comité olympique saoudien, sous l'auspice du CIO, sont parvenus à un accord selon lequel l'athlète pourra participer. La Fédération de judo va l'autoriser à couvrir sa tête de quelque chose qui ne compromettra pas sa sécurité et à laquelle ils ont recours dans les compétitions en Asie », a précisé le CIO, qui estime qu’il s’agit d’« une solution qui a été acceptée par toutes les parties ». Pour consentir à la participation de sportives saoudiennes, le prince Nawaf Ben Fayçal, responsable du sport en Arabie saoudite, avait exigé comme condition le port du voile islamique, la non-mixité et la présence d’un parent proche accompagnant les sportives. La jeune athlète de 18 ans devra affronter au premier tour du tournoi des plus de 78 kilos la Portoricaine Melissa Mojica, 13e au classement mondial.
Il semblerait que vous utilisiez un bloqueur d'annonces. Le site et les équipes de Terrafemina ont besoin de votre soutien.
Autoriser les annonces sur Terrafemina

Deux filles à gros sein dans un piquenique
Elle presque trop étroite pour le recevoir
Une latine et une blonde dans un cours

Report Page