Mon père me fait payer les fois où il doit venir me chercher à l'école après les heures de cours

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Vous êtes ici : Accueil / Droit familial / Garde des enfants / Le droit de garde du père: ce qu’il faut savoir
Le droit de garde ou « droit de visite et d’hébergement » est réservé aux parents qui lors de leur séparation ou divorce se doivent de statuer sur un système de visite et d’hébergement concernant leurs enfants.
Il existe différents types de gardes , comme celui de la résidence alternée chez les deux parents, où le juge donne alors la possibilité à l’enfant de vivre en alternance chez son père et chez sa mère . On peut par exemple citer les cas d’une semaine sur deux, de semaines “morcelées” du lundi au mercredi chez la mère et du jeudi au dimanche chez le père ( Demandez à être recontacté par un avocat spécialisé ).
Il revient alors au Juge aux Affaires familiales (JAF) de fixer les termes et les conditions estimés être dans l’intérêt de l’enfant.
Les parents peuvent donc se mettre d’accord sur le type de garde souhaité, bien que celui-ci devra être validé par un JAF. Dans le cas d’une séparation “plus compliquée”, il appartiendra alors au seul JAF de stipuler les arrangements à suivre après avoir pris connaissances des rapports d’experts.
Dans une France où, près de la moitié des mariages finissent par un divorce et un tiers des unions libres se terminent avant d’avoir passé le cap symbolique des dix ans, les questions de garde dans les ménages avec enfants se posent : la garde principale se fait-elle davantage en faveur de la mère ou du père ? On peut noter qu’en 2010, 73,5 % des enfants étaient en résidence principale chez leur mère contre plus de 80 % en 2003.
Il est vrai que dans la plupart des cas exposés, malgré une tendance qui selon les chiffres semble s’inverser, la mère est celle qui l’emporte majoritairement par rapport au père . On est donc en droit de se demander si le droit de garde du père est une cause à défendre ou d’une cause perdue.
Un père est tout aussi apte qu’une mère à prendre soin de ses enfants. Toutefois, d’après de nombreux sondages, il semble que la mère est la première personne légitime à assurer ce rôle. Il est donc nécessaire pour le père de faire valoir ses arguments auprès des juges et experts en charge en faisant par exemple appel à un avocat .
Injuste ? Peut-être pas, si l’on considère que dans 75% des cas de garde obtenus par la mère, 80 àa 90% des pères se disent d’accord avec cette décision concernant la résidence principale de l’enfant.
Dans les cas, certes moins nombreux, de désaccord flagrant entre la mère et le père , l’intervention de psychiatres, pédopsychiatres, assistante sociales, etc.. peut être sollicitée afin d’étudier quelle sera la meilleure solution pour l’enfant. Le juge statuera sur la décision finale qui accordera le droit de garde au père ou à la mère.
Dans une société où les pères semblent vouloir de plus en plus faire valoir leur droit légitime lorsqu’il s’agit de la garde de leurs enfants, il est tout de même important de se poser les bonnes questions concernant cette motivation, et de savoir si elle est d’abord dans l’intérêt du bien-être de l’enfant ou de celle du père (en citant par exemple la question de la pension alimentaire ) Il est donc important de se rassurer en se rappelant que tout est mis en oeuvre pour l’enfant et qu’il n’y a aucune volonté de diminuer l’influence paternelle avec son enfant.
La médiation familiale peut également offrir des solutions sans utiliser la justice et garantir une équité entre les parents.
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Le Sentiment de Culpabilité » Comment sortir de la Violence Conjugale?

Comment sortir de la Violence Conjugale?


Posted by Michaël LIZEN



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La violence conjugale, » une enfer au Paradis des femmes « – JE M'INFORME TV - […] femmes sont plus souvent victimes de la violence dans le couple. L’homme est également victime de violence conjugale mais les « hommes…



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La violence conjugale est la violence exercée par un conjoint sur l’autre. Le plus souvent, il s’agit de violence faite aux femmes .
Il faut distinguer trois formes de violences :
Il ne faut pas confondre les violences conjugales avec les disputes d’un couple en difficultés. Quand on parle de la maltraitance conjugale, il y a toujours d’un côté l’agresseur et de l’autre la victime, tous deux bien identifiables.
Les conséquences de la violence dans le couple sont importantes pour la victime (l’homme ou la femme battue) ainsi que pour les enfants du couple. La santé et même la survie peuvent être menacées par la violence conjugale.
Même si les faits sont anciens, il est très important de sortir de l’isolement et d’en parler.
Ne pas rester seule mais parler de la situation que vous vivez à une personne en qui vous avez confiance (famille, amis,…) ou à un professionnel (médecin, psychologue, assistante sociale, avocat,…).
Si vous êtes victime de violence conjugale en France, des associations et professionnels vous accompagnent ici .

L’homme violent apparaît très souvent comme un être plutôt charmant en société. C’est pourquoi vous ne devez pas craindre le regard et le jugement des autres .
La femme battue doit savoir qu’elle est protégée par la loi.
Concrètement, vous allez devoir poser vos limites face à la violence (dire « stop, ça suffit ») et ne jamais excuser un comportement violent .
Rien ne justifie qu’un homme se comporte de façon violente avec sa femme !
Au lieu de l’excuser, il faut faire comprendre à l’homme que son comportement est tout à fait anormal :
☞ Il faut sortir de la dépendance financière vis-à-vis d’une personne violente et s’assumer financièrement si ce n’est plus le cas.
Si vous êtes en situation de danger, vous avez le droit de partir pour vous réfugier avec vos enfants dans un endroit plus sûr.
Pour qu’il comprenne bien que vous partez à cause de son comportement violent, le mieux est de partir au moment-même où vous êtes confrontée à un acte de violence.
Pourquoi est-ce important de partir ?
Parce que, comme je vous le disais, votre vie est en danger mais aussi et surtout parce que malheureusement, il ne changera pas !
Il y a fort à parier que la violence conjugale ne s’arrêtera pas.
Malgré cela, la plupart des victimes ne partent pas…
Pourquoi est-ce difficile de s’en aller ?
Il y a plusieurs obstacles qui empêchent les victimes de s’en aller :
☞ Le sentiment de honte et de culpabilité : la victime se sent responsable de la violence conjugale ou de l’échec de son couple.
« Si je suis victime, c’est de ma faute…
je ne sais pas comment m’y prendre avec les hommes… »
Il faut lutter contre les idées reçues :
« la violence conjugale ne concerne que les milieux défavorisés »,
« la femme battue a un mari alcoolique »…
De plus, une femme se sent souvent honteuse d’avoir été maltraitée aussi longtemps.
Mais il y a aussi le fait que les hommes violents n’ont pas forcément une « gueule de monstre ». Ils peuvent être polis, charmants ou adorables en public et ainsi faire durer longtemps l’enfer de la violence conjugale.
☞ La présence d’enfants peut compliquer le départ car on a peur de perdre le contact avec ses enfants mais en réalité, on protège ses enfants lorsqu’on quitte une personne violente.
☞ La dépendance affective. Quand on a pas une bonne estime de soi, on ne se sent pas toujours capable d’agir pour recommencer une nouvelle vie.
☞ La dépendance financière . On a peur de ne pas savoir s’en sortir seule.

☞ L’isolement social ou familial . Quand on est seul, on n’a pas la force ni le soutien nécessaires pour s’en sortir.
Vous pouvez aussi signaler les violences ou déposer plainte à la police et à la gendarmerie. Les policiers et gendarmes ont l’obligation d’enregistrer votre plainte même si vous n’avez pas de certificat médical.
Trop peu de victimes de violence conjugale osent porter plainte (moins d’un cas sur cinq) car elles ont souvent peur des représailles et qu’on ne les prennent pas au sérieux.
C’est de croire que le conjoint violent va changer.
Si la violence conjugale est très récente, vous pouvez encore espérer sortir le couple du piège (en fixant fermement vos limites) mais si vous en êtes victime depuis plus longtemps, vous devez vous rendre à cette règle de base dans les relations humaines: les gens ne changent pas .
Une personne violente reste une personne violente.
Même si comme la plupart des victimes vous avez au fond de vous l’espoir qu’elle change…
Même si vous avez envie de lui donner une autre chance…
Même si elle se montre plus attentionnée…
Même si elle vous présente ses excuses et vous promet de changer…
La violence conjugale se reproduira après des périodes d’accalmie.
Vous ne devriez jamais accrocher vos espoirs sur la possibilité que quelqu’un de violent change et devienne une personne respectueuse.
« Trois semaines formidables s’en sont suivies,
puis la routine a repris le dessus, et les insultes aussi ».
En fait, non seulement les gens ne changent pas, mais sous la contrainte, ils vont de mal en pis et deviennent encore plus de ce qu’ils sont déjà…
Alors pourquoi rester dans une relation où vous êtes malheureuse année après année ?
Si vous trouvez que vous êtes plus malheureuse dans la relation que vous ne seriez en dehors de la relation, alors vous devez envisager sérieusement de faire des changements.
Pensez à combien de temps vous allez encore vivre. Si vous êtes une « femme battue » et malheureuse dans votre relation aujourd’hui, êtes-vous prête à vivre aussi insatisfaite pour le reste de votre vie ?
Posez-vous les bonnes questions et vous trouverez la force de vous en sortir !

Auteur de cet article: Michaël LIZEN - Copyright ©2020 All Rights Reserved - Tous Droits Réservés
Bonjour, avec tout mon respect je me dis qu’il y a des ressemblances entre les femmes qui sont victimes des actes violents, on a souvent plusieurs enfants, je prends ça comme des signes que nous sommes des femmes pleines d’espoirs et courageuses.
Je suis avec mon compagnon depuis 5 ans et tant pis cette fois j’en parle. Il m’a mis une fois une claque où j’ai eu la marque de ses doigts, bleuté sur ma peau, mais les autres fois il m’a juste secouée violemment 4 ou 5 fois sur 5 ans. Par contre je ne savais pas que la violence psychologique pouvait être aussi forte avant. J’ai été enceinte tôt dans notre relation, cela faisait 9 mois que nous étions ensemble et je pensais que c’était l’homme de ma vie. Je ne savais pas que je rencontrerais un jour quelqu’un de perturbé comme lui mais ajd j’en ai marre. Je ne pense pas qu’il soit un pervers narcissique, mais qu’il a grandi dans un climat qui a forgé l’homme qu’il est. Après qu’il a su que j’étais enceinte, il a fait sa première tentative de suicide. J’ai tellement eu peur que je crois avoir perdu un des deux enfants qui étaient dans mon ventre. Il a fait plusieurs tentatives de suicides, précédées d’actes de violence mais plutot au niveau des paroles et du comportement comme tout exploser dans la maison, même ce qui ne lui appartenait pas. Le moindre sujet de contrariété le dépassait. Je restais car je ne comprenais pas comment il était possible de détruire notre vie comme il le faisait alors qu’on avait tout en main pour être heureux, je regardais sans comprendre en espérant que ça passe. J’ai encore été enceinte. Je suis incapable de vous expliquer pourquoi il est continuellement malheureux et je pense que je ne peux rien faire. Lorsqu’il l’a su il a recommencé ses tentatives de suicides (qui étaient plutôt des façons d’attirer mon attention et de transposer tout son mal-être sur moi). Lorsque les deux petits étaient bébés il cassait tout, des fois sans raison, je ne comprenais même pas ce qu’il s’était passé, imaginez-vous ? Quand le 1er était bébé et qu’il pleurait la nuit, n’en pouvant plus d’être la seule à me lever je lui ai demandé s’il pouvait aller s’occuper du petit, il a fulminé, à attrapé mon bébé et l’a secoué, puis il a tout de suite remarqué que je l’avais suivi car j’avais un mauvais pressentiment. Je lui ai dit que les Bébés pouvaient mourir du syndrome du bébé secoué. Il a eu l’air de prendre conscience de certains problèmes chez lui, il ne l’a plus fait mais il n’a pas changé. Quand le 2ème est arrivé, le petit a passé quelques heures à pleurer car on avait oublié son biberon chez mes parents, je suis partie reprendre le biberon et en faisant demi-tour je l’ai pris giflant le petit de 3 mois car il ne supportait plus de l’entendre pleurer. Je suis allée chez mes parents avec le petit et j’ai expliqué ce qu’il s’était passé. J’ai encore aujourd’hui comme un poignard enfoncé dans ma poitrine qui ne partira jamais tellement j’ai eu mal de voir quelqu’un toucher de la sorte à mon enfant. Pourtant j’ai pardonné, j’étais perdue, p-e n’étais-ce que des actes isolés. J’ai été enceinte une 3eme fois… c’est dire si je suis optimiste ou trop bête, il a recommencé ses tentatives. Et la chose la plus douloureuse, après avoir levé la main sur mon enfant, est arrivée à ce moment là. Je lui disais ; désolée, je ne sais pas m’occuper de la maison car j’ai envie de vomir tout le temps (j’étais clouée, avec un stress supplémentaire que ça allait le frustrer). Il m’a dit: « Prends pas ça comme excuse, sinon : un coup de pied dans ta panse et on en parle plus ». Je n’aurais jamais imaginé qu’il aurait pu me dire ça, qu’un jour un homme avec qui je suis en couple puisse oser dire ça, à une femme enceinte, la mère de ses enfants, la femme qu’il aime prétendument, celle qui contient ce qui fait aussi partie de lui. Vous savez, même quand je passe un bon moment avec des amis, ceux qui commencent chacun à leur tour à être heureux car ils vont être parent, je pense continuellement à ce qu’il m’a dit, à ce que j’ai fait pour mériter cette violence, alors que la famille est la chose la plus importante pour moi. J’ai l’impression qu’ils sont heureux, et que nous, meme si on essaie de continuer ensemble, on se supporte plus. J’ai l’impression que j’ai tout fait pour lui donc qu’il n’aurait aucune raison de ressentir ça pourtant j’ai l’impression qu’il me hait malgré tout, et moi je n’aime plus l’homme qui me manque d’égare à ce point. Il est allé dans un hôpital psychiatrique a 2 reprises, car il a fait un œil au beurre noir à mon 2ème et que j’ai directement appelé la police. Je lui ai donné une dernière chance, même si je ne laisserai plus jamais faire quelque chose à mes enfants. Un an plus tard il recommence à ne plus garder son sang-froid lorsqu’il est frustré. Je ne veux pas que mes enfants gâchent leur vie car leurs parents ont des problèmes. Je ne part pas car c’est tellement agréable quand il ne s’énerve pas. Mais je vis avec une épée de Damoclès au dessus de la tête et je n’ai pas foi en l’avenir. Et avouons-le, j’ai peur de ce qu’il serait capable de nous faire à tous si je le laissais. J’ai peur qu’il puisse faire du mal à mes enfants dans mon dos. Que feriez-vous. J’ai envie d’être heureuse mais je veux encore plus que mes enfants soient heureux. Je sens que ce climat de tension qui revient effectivement en cycle attaque mon système nerveux. Je le trouve pathétique, je m’en veux qu’il soit le père de mes enfants, pourtant je suis tellement fière de mes enfants.
Bonjour,
Ça fait 14ans que je suis en couple, 10ans mariée et 2enfants.je suis tombée petit à petit dans une routine sexuelle de contrainte. Je n’ose pas dire viol, il n’y a jamais de coup mais insistance, négation de mon plaisir, culpabilisation, manipulation. Je n’entre pas dans les cases des violences conjugales mais je souffre. J’ai l’impression d’être un trou. Et pourtant on s’aime, il dit qu’il a compris. Après tout ce temps de contrainte, comment faire naître le désir en moi? J’ai l’impression de ne plus être capable de ressentir quoique ce soit .
Bonjour j’ai étais frappé,menacée et de mort aussi , rabaisser
Il m’a forcé à faire des choses sexuellement avec d’autres ( etre ouverte ) comme il dit
Et en refusant je me faisais littéralement tabassée.
Je sortais à la boulangerie il disais que je draguer le commerçant
Il demandait meme à mon enfant de (5ans) si un homme m’a parler
Il avait le couteau en main contre moi et demandé à mon fils si un homme avait Parler avec moi, dès que je sortais c’était la paranoïa,
Si je raté un appelle je savais que j’allais y passé,
Il pose une arme à côté d’où on mange et me dit en rigolant qu’il va s’en servir contre moi s’il voit un truc bizarre
Il faisait envoyer des messages par d’autres numéros me disant « salut c’est Intel »
Ou salut cava ,?
Moi sachant que j’ai pas donné mon numéro je ne comprenais rien. Puis lui me frapper sans arrêter me rabaisser ,j’ai voulu sauté pour que ça s’arrête,
Il me révéler plus tard que c’était lui qui a fait faire ça pour me « tester »
Je me suis enfuie dès que j’ai su qu’il rentrer pas dessuite j’ai pris 2 sac j’ai couru avec , tétanisé j’ai récupéré mon fils à l’école et je suis partie chez un ami .
Il m’a retrouvé après avoir harcelé plusieurs personnes .
J’ai appelé les gendarmes car je sentais qu’il était en train de me chercher et à ce moment là il a envoyé un homme que je connaissais pas , il a fait 2 heures de route et quand j’ai tourné la tête il est apparu devant moi à toute vitesse .. je croyais que c’était mon dernier jour , les gendarmes sont arrivée il a pu s’enfuir mais ils l’ont interpellé, je suis aujourd’hui protégé et suivie par la justice et dites vous que vous rentrez chez vous avec la boules au ventre dans tout les cas j’ai encore peur mais je sais que tout le monde est au courant et que s’il relève la main ou s’approche de moi c’est prison en attendant son jugement dans un an.
S’il vous plaît fuyiez pensez à votre avenir ou vos proches , on a dit que j’avais j’le syndrome de Stockholm
Tapez sur internet ce que c’est . Bon courage à toutes et fuyez, j’ai vu ma mort dans ses yeux et aujourd’hui j’ai peur mais je suis pas frappé. Ça change beaucoup
Moi aussi j ai été victime de violences physiologiques pendant 30 ans avant que malheureusement de ma violences physiques quand notre fille était malade j ai cru comprendre qu il voulait mettre fin à mes jours quand j ai parlé divorce .Ensuite ma sœur est décédée. Et cinq ans après il a recommencé, je m suis tellement mis dans ma bulle ,pour me protéger semble t il .J ai de nouveau failli perdre la vie ,seulement le puzze c est remis en place 1 an après, sans ai suivit une hémorragie pendant 4 jours suite à un fibrome .Je m’en remettais petit petit ,un malaise, une chute et de de nouveau une entorse à la cheville, la même que lorsqu’il a fait sa colère, tout cassé sur moi son petage de plombs comme il dit .Bref je suis complètement perdue et j ai été dans un dénis pendant très très longtemps. Maintenant la peur au vendre chaque fois qu il ouvre la bouche et hausse le ton .J aimerais qu il se fasse soigner, il dit prendre conscience qu il est souvent en colère, énervé et hors de lui, en gris il ne supporte plus rien .Un burn out ou dépression ou bipolaire. Moi je n en peu plus,ma santé en prend un coup au cœur. Merci de me lire et faire suivre .La force de partir c est très très compliquée !!!
Bonjour j’ai lu vos messages et je suis émue triste sa me prend les tripes tellement nos galères sont similaires. A mes 1m58 je ne me démonte pas face à lui mais il a réussi a détruire une bonne partie de ma vie. Il m’est difficile voir impossible de partir. La peur oui 3 enfants qui peuvent être terriblement mal. Dur vie. Mais je tiens bon. Violence conjugale, dénigrement insultes et coups….. une belle mère qui ont se demande si elle prend pas partie de ses actes….sa fa
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