Mon pied sur sa gueule

Mon pied sur sa gueule




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Mon pied sur sa gueule
Archivé de: Lettres Gay – Numéro 75
Date de parution originale: Mars 1996

Date de publication/archivage: 2013-10-12

Auteur: Guillaume
Titre: Se soumettre au mâle
Rubrique: Dans la nuit des backrooms
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 5064 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Ah, le porc! Il était vautré par terre et il me léchait consciencieusement les bottes. Il se traînait comme une chienne en chaleur, le fils de pute! Faut avouer que mes bottes de gendarme, elles en jettent!

Il avait beau faire presque noir, je voyais bien sa langue aller et venir de bas en haut, puis remonter le long de la tige. J'ai fait gicler ma pine hors de mon fute pour me branler à l'aise. M'excitait le con! Il a levé son regard vers moi. Je l'ai vu me sourire de contentement et contempler mon engin tendu. Ça lui plaisait de se sentir soumis au mâle, de vénérer ma virilité, d'aduler l’autorité que je dégageais. Ah, elle aimait ça la petite salope, lécher les bottes d'un gendarme!

Tout en continuant de me branler la pine, j'ai levé le pied droit et je l'ai posé sur sa gueule de sous-merde, puis j’ai appuyé en lui écrasant le naze sous la semelle crantée. Il aimait de plus en plus. J'ai pas vu, mais j'étais sûr qu'il me la décrassait à la langue!

Le chien s'est allongé sur le dos de tout son long, il s'est posé de lui-même mon pied sur sa gueule, il s'est sorti le pieu et il a commencé à se cirer le jonc d'une main tout en caressant avidement ma botte de l'autre. J'ai appuyé plus fort pour finir par lui marcher dessus! Un pied sur sa gueule de truie, l'autre lui écrasant la pine. J'ai commencé à le branler comme ça.

J'avais déjà commencé à bricoler avec un mec en combi de mécano, juste à côté. J'ai accéléré mon branle et celui de mon voisin. Le slarve sous mes bottes a gueulé quand il a joui. Je lui ai largué ma jute partout, peu de temps avant que le gars en combi ne lui en fasse autant. Couvert de foutre, la sous-merde!




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Je m'appelle Amandine, j'ai 17 ans, je suis stagiaire commerciale dans la boite de mon père. Ce stage est d'ennui total, le travail est répétitif et peu gratifiant, mais bon... J'imagine qu'il faut gravir les marches une par une pour arriver au sommet. Je travaille dans le même bureau que mon responsable de stage “Arthur Hayden”, un imbécile fini : une bonne trentaine d'année peut être quarante, marié, un garçon... Il passe son temps à me reluquer, ce vieux dégueulasse, je suis sûr qu'il pense à moi quand il baise sa femme ! Il me force à porter un tailleur et des talons, soi-disant pour faire plus présentable face aux clients... Clients que je ne rencontre presque jamais... Pfff, un prétexte juste pour pouvoir reluquer le cul d'une petite jeune dans un vêtement moulant, quel enfoiré !
Très curieusement, après une visite de mon père, le président, dans nos locaux, son attitude à totalement changé. Visiblement il ignorait que j'étais la fille du patron, et sans doute s'imagine-t-il que le succès de mon stage aura une influence sur son obtention du poste qu'il brigue depuis des années.... Pathétique ! Désormais, c'est lui qui insiste pour m'apporter le café le matin et non l'inverse, il est à l'écoute quand je lui parle et il ne dit plus rien quand j'arrive en retard ou part en avance.... Il m'autorise même à le tutoyer et à l'appeler Arthur et fait même mon travail de son plein gré... C'est désolant comme ce type n'a vraiment aucune fierté. J'ai donc décidé de m'amuser un peu avec lui.
Un jour, alors que nous étions surchargés de travail, je décide de le provoquer un peu, je retire mes escarpins, pose les pieds sur le bureau, et commence à me vernir les ongles des pieds tranquillement en sifflotant. Au bout d'une demi-heure à me regarder me faire les ongles, Arthur ose enfin dire quelque chose :
 - Amandine, je t'ai donné quelque chose à faire, on est super à la bourre et je suis blindé de boulot là, faut que tu descendes à la compta ASAP stp
- Désolé, je peux pas remettre les chaussures avant que le verni ne sèche...
Il se force à sourire, je poursuis :
- Tu peux souffler dessus, pour que sa sèche plus vite, si tu veux.
Il rigole... Puis voyant que je ne souris pas, il reprend un air sérieux. Il me fixe du regard l'air surpris à se demander si je plaisantais ou non. En voyant mon regard faire un allez retour entre mes pieds et ses yeux il comprend que je suis sérieuse. A ce moment je me demande s'il va enfin porter ses couilles et m'envoyer bouler. Le silence dure une bonne minute, puis il se lève et va fermer la porte du bureau à clef, puis vient s'agenouiller à côté de moi, me regardant incrédule, puis tournant la tête vers mes pieds (toujours posé sur le bureau), il commence à souffler doucement. C'est désormais moi qui le regarde en toute incrédulité... ce mec est une victime :
- Wow ! Tu dois vraiment tenir à cette promotion. Lui dis-je.
Il baisse les yeux, puis hoche légèrement la tête pour faire oui. Il bredouille :
J'éclate de rire, retire mes jambes du bureau et me tient face à lui assise les jambes croisés sur mon fauteuil, tandis que lui reste agenouillé devant moi.
- Continue à souffler ! Lui dis-je.
A quatre pattes, il baisse la tête vers le sol et continue à faire sécher, de son souffle, le vernis de mes orteils. Le voyant prosterné ainsi à mes pieds je comprends que ce pitoyable individu ferai tout ce que je lui dirai, je relève sa tête avec mes orteils enfin secs. Je le regarde du haut de mon fauteuil et lui dit :
- Je ne sais pas encore si je vais t'aider, ça dépendra de toi
- Je serai sage, je ferais tout ce que tu.. ce que vous voudrez mademoiselle.
C'est bien ce que je pensais. J'attrape un de mes escarpins, le lance à l'autre bout de la pièce et lui ordonne “Va chercher !” bien décidé à humilier cette ordure.
- Quand je dis “va chercher”, c'est à quatre pattes, et avec la bouche.
Il acquiesce de la tête. Voyant qu'il se traîne à aller récupérer la chaussure je me lève et lui met coup de pied au cul le faisant tomber. J'ajoute :
- Plus vite, et je veux t'entendre aboyer !
Il s'exécute timidement, attrape la chaussure entre ses dents, vient à quatre pattes jusqu'à moi puis me la remet dans la main. Il supplie les larmes aux yeux :
Je retourne l'escarpin, crache sur la semelle, lui tend et lui ordonne :
- Lèche, c'est un ordre ! Lui crie-je
Il accepte finalement, tourne la tête puis lèche ma bave de la semelle de ma chaussure avec dégoût. J'attrape le peu de cheveux qui lui reste, lui ordonne de tirer la langue et en profite pour frotter la semelle de mes escarpins sur sa gueule de con jusqu'a ce qu'ils brillent et qu'il puisse voir sa pathétique petite tête dedans. Je le force ensuite à sucer les talons de mes escarpins en les lui enfonçant tellement profond dans sa petite gorge qu'il est à 2 doigts de régurgiter.
Je le fait s'allonger sur le dos. Tandis que, visiblement terrifié, il n'ose plus dire un mot, je m'assois sur son ventre. Mon pied sur sa gorge, le second juste devant sa bouche je le force à lécher la plante de mon pied. Il s'exécute docilement, mais trop doucement à mon goût, je le baffe donc avec le pied et renforce mon emprise sur sa gorge pour qu'il redouble de vigueur et lèche aussi vite qu'il ne le peut jusqu'à ce que la pression de mon pied sur sa gorge ne bloque sa respiration et lui fasse perdre connaissance... On commençait à peine à s'amuser... Je me relève, essuie mes pieds sur sa chemise, me rechausse, puis en ouvrant la porte du bureau, constate que plusieurs personne sont attroupés, essayant de comprendre ce qu'il se passe en voyant Arthur allongé et inconscient. Je leur réponds :
- Avec tout le travail qu'on a, il fait la sieste, vous vous rendez compte ?



scenario , histoire de fetichisme , fétichisme pieds , pieds feminins , histoire fetichisme pieds




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Commentaires
Kiffs
Remix


# Posté le samedi 30 juillet 2016 22:07
Modifié le lundi 01 août 2016 13:58

Arts-pedestres ,
Posté le mercredi 03 août 2016 20:06

AdoFeet
a écrit : " Voilà une histoire forte intéressante et originale ! "

AdoFeet ,
Posté le mardi 02 août 2016 13:55

Voilà une histoire forte intéressante et originale !

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Les soeurs Wang - Le couple d'esclaves Emilie Wang est une jeune femme accomplie : 25 ans, déjà directrice d'une start-up à succès, elle est également d'une grande beautée, son corps de mannequin et ses yeux bridées trahissant ses origines asiatiques ne laissent aucun homme indifférent. Dans son immense appartement en centre ville, Emilie déguste une tasse de thé assise dans son divan, tout en regardant la télévision les pieds posés sur le dos de celui qu'elle appelle “Poux”, se tenant à 4 pattes torse nu devant elle. En ce paresseux samedi soir, la jeune femme n'est vêtue que d'un débardeur rouge, un jogging blanc, une paire de chaussettes noires et d'épais et confortables chaussons blancs. La porte de l'appartement sonne, Shery, la femme de l'homme à 4 pattes, se dirige vers l'entrée de l'appartement, puis se retourne vers Emilie. - Attendez-vous quelqu'un mademoiselle Wang ? Emilie retire ses pieds du dos de Poux, pose la tasse de café à la place, se relève et marche en direction de la porte - Laisse Shery, c'est ma soeur qui vient me rendre visite, je m'en occupe. Dit-elle - Bien mademoiselle. Lui répond Shery Emilie ouvre la porte de l'appartement, laissant entrer Clara, une jeune adolescente de 16 ans, toute aussi ravissante que sa soeur. Clara saute dans les bras d'Emilie. Shery se tenant à distance : - Mademoiselle, votre soeur est aussi belle que vous. Clara remarquant la présence, de Shery, s'apprête à aller lui faire la bise : - Merci madame, je m'appelle Cla... Emilie interrompe sa phrase. - Clara, je te présente mon esclave Shery. Dit-elle en désignant cette dernière. Shery s'incline pour saluer l'invitée. Sans laisser dire un mot à Clara, Emilie l'entraine vers le salon et lui montre du doigt Poux, toujours à 4 pattes devant le divan, avec une tasse de café sur le dos. - Et voici Poux, lui n'a pas le droit de parler. - Emilie... Wow ! Je l'aurais pas cru sans le voir... Et donc, en gros ils font tout ce que tu leur dit de faire c'est ça ? Emilie récupère sa tasse de thé du dos de Poux, puis ordonne à Shery d'aller préparer une tasse de café pour sa soeur. - Oui Clara, ils font tout ce que je leur demande ! Poux, va saluer ma petite soeur ! Poux avance à quatre pattes, puis baisse la tête vers le pied chaussé d'une ballerine noire de Clara pour l'embrasser, mais l'adolescente recule son pied, hésitante : - Je sais pas si je suis prête pour ça... Emilie rigole. Elle siffle Poux. Ce dernier vient se prosterner devant elle. La jeune femme pose son pied ou plutot son chausson sur la tête de l'esclave en signe de domination. - Ecoute Clara, je vois pas ce qui te gène, c'est agréable comme sensation d'être obéie non ? - Oui, c'est clair mais bon... - Et pour eux, c'est agréable d'être traités comme des bêtes. Il sont comme... perdus sans leur maitresse pour les diriger. Pas vrai Shery ? Shery revient de la cuisine avec une tasse de café, qu'elle présente à la jeune Clara. - Mademoiselle Clara, servir votre sœur est un honneur pour moi et mon mari ! Répond Shery - Tu vois ? Ajoute Emilie Clara sourie. Elle et sa sœur s'assoient sur le divan. Emilie fait mettre Poux en position de repose pied puis pose ses pieds sur la nuque de l'esclave tandis que Clara, encouragée par sa soeur, fini par l'imiter et pose ses ballerines dans le bas de son dos. - C'est vrai que c'est jouissif ! Dit-elle. Mais comment tu les a trouvé ? - J'ai posté une annonce, “cherche couple soumis” ou un truc du genre, sur un site spécialisé. Répond Emilie. Je te montrerai quand t'aura 18 ans. Y'a plein de spécimens comme eux. - Oui mais, ils sont tellement dociles ! Emilie rigole de nouveau. Elle retire son chausson en s'aidant de la tête de Poux puis présente son pied dans sa chaussette noire sous le nez de l'esclave. Celui ci l'embrasse tendrement. - Ils étaient naturellement docile, mais il a quand même fallu les dresser un petit peu. Lui répond Emilie. La jeune femme claque des doigts, Shery arrive en courant puis s'agenouille devant les deux filles, les pieds toujours posé sur Poux : - Oui mademoiselle ? - Peut-être que ma jeune soeur aurait besoin d'un massage. Lui répond Emilie. Shery se décale en face de Clara puis lui demande : - Mademoiselle Clara, puis-je avoir l'honneur de vous masser les pieds ? Clara, interloquée se retourne vers sa grande soeur, celle-ci lui faisant oui de la tête, elle accepte finalement. - Merci mademoiselle. Lui répond Shery, qui commence ainsi à retirer les ballerines de l'adolescente, puis prend le pied de cette dernière dans son nylon, et commence à masser avec une maitrise trahissant des années de pratique. - Alors ? Demande Emilie à sa soeur - Wow, c'est vraiment bon, il faudrai que je me procure une esclave moi aussi ! Répond-t-elle. Est ce que Poux aussi, masse aussi bien ? Emilie, sourie puis gifflant doucement Poux de la semelle de sa chaussette répond : - Non non, Poux à interdiction complète, sauf exception de toucher mes pieds. C'est le rôle de Shery ça... Poux n'a d'ailleurs le droit de se relever qu'avec mon autorisation. - Et c'est quoi le rôle de Poux, alors, à part “repose pieds” ? Demande Clara. Emilie siffle Shery et lui pointe du doigt les 2 ballerines noires de Clara sur le sol. - Bien, mademoiselle. Répond-t-elle Shery attrape les chaussures au sol, se dirige vers Poux, l'attrape par les cheveux tandis que celui ci tire la langue. Shery fait ensuite glisser la semelle de la chaussure de Clara sur la langue de son mari, sous le regard bouche bée de l'adolescente. Emilie poursuit : - Généralement ils font du bon travail. Shery me sert de coussin chaud pour les pieds quand je dors, elle fait la cuisine, la vaisselle, la lessive. Poux fait briller ma collection de chaussure, comme tu t'en doute, le sol également, puis il est là pour me divertir quand je m'ennuie quoi... Shery vient s'agenouiller à côté de Clara, puis tend la paire de chaussures propres à la jeune fille. - Mademoiselle, vos chaussures sont elles suffisamment propre ? Clara acquiesce de la tête, tandis qu'Emilie s'empare d'une des chaussure, puis giffle Poux avec ! Clara s'interroge. Qu'est ce que tu fais Emilie ? Les chaussures sont propres non ? - Je sais. Répond-t-elle. Mais c'est bon de les maltraiter sans raisons de temps à autre sans raison. Ça les motives a rester docile, ça leur rappelle qui commande ici ! Et puis on va pas s'extasier parce qu'il a réussi à nettoyer 2 petites ballerines taille 36 de rien du tout. Emilie se lève et assène un violent coup de pied dans le ventre de Poux. Ce dernier gémit mais réussi à maintenir sa position à 4 pattes ce qui semble agacer Emilie. Elle ordonne à Poux d'aller chercher sa cravache. Il s'exécute et amène la cravache entre ses dents jusqu'à sa maîtresse. La jeune femme prend la cravache et ordonne à l'esclave de se mettre à genoux. Elle ordonne ensuite à Shery de placer les 2 ballerines de sa soeur entre les dents de son mari. - Emilie ? Tu m'expliques ? Demande Clara. - C'est très simple, Poux doit encaisser sans faire tomber les chaussures et sens les marquer de l'emprunte de ses dents, sinon il va passer un sale quart d'heure ! Emilie attrape la cravache à 2 mains puis commence à fouetter le corps de Poux, à de multiples reprises, puis elle lui donne de violents coups de pieds dans les côtes et dans l'estomac. Shery témoin de la scène supplie Emilie d'arreter : - Mademoiselle je vous en prie, cessez. D'un claquement de doigt Emilie ordonne à Shery de s'agenouiller et de rester silencieuse. Cette dernière s'exécute. Emilie renverse Poux sur le sol, celui-ci tient toujours les chaussures entre ses dents. Emilie attrape donc le reste de café des mains de sa petite soeur puis en verse le contenu sur le corps de l'esclave gémissant au sol de douleur. Elle ordonne ensuite à se dernier d'écarter ses jambes puis du talon de son chausson écrase ses testicules, faisant couler des larmes sur les joues de l'esclave qui avait réussi à se retenir jusque là. - Shery ! Ordonne Emilie Shery récupère les chaussures de la bouche de son mari puis les tend à Emilie pour inspection. Celle ci ne constatant pas de trace de morsure, s'exclame déçue : - Bravo Poux ! Shery, au pied, tu as le droit à ta récompense.  Dit Emilie en s'asseyant de nouveau dans le divan. Shery s'allonge sur le dos, permettant à Emilie de se déchausser en s'aidant de son visage, puis, attra
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