Mon mari cocu

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Mon mari cocu
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Je l’ai rencontrĂ©e le jour de son anniversaire, par l’entremise de sa grand-mĂšre qui se chargea des prĂ©sentations. J’avais sĂ©duit la vieille alors qu’elle faisait des courses avec son mari et qu’elle parcourait mon magasin. « Mon Dieu mais qu’il est charmant. Je suis certain que qu’il plaira Ă  Delphine. Allez hop Jean-Jacques, on l’emmĂšne pour la fĂȘte de ce soir ». Je n’avais eu d’autres choix que de les suivre. Femme de caractĂšre et de moyens Ă  qui rien ni personne ne pouvait rĂ©sister, elle me prit par le bras et m’amena Ă  la rencontre de sa petite fille, une dĂ©licieuse donzelle qui dĂšs le premier regard fut conquise par mon sourire, mes yeux coquins et mes oreilles lĂ©gĂšrement dĂ©collĂ©es qui ne pouvaient qu’accueillir les confidences. Et en matiĂšre de confidences, elle en avait Ă  faire la petite Delphine. Un cƓur gros, un cƓur chargĂ© qui n’avait qu’une envie, celle de s’épancher sur une Ă©paule forte et bienveillante.
DĂšs la fin du repas, elle m’emmena dans un coin du salon m’expliquant au creux de l’oreille combien elle Ă©tait heureuse de ma prĂ©sence dans cette famille de monstres qui l’asservissait Ă  la biensĂ©ance bourgeoise. Faire attention Ă  son maintien, ne jamais prononcer un mot plus haut que l’autre, ne jamais contester l’autoritĂ© familiale, suivre les dictats des aĂźnĂ©s Ă©tait son quotidien alors que son seul souhait Ă©tait de vivre dans l’insouciance. La pauvre Ă©touffait. Mais ce dont elle souffrait le plus, c’était de la prĂ©sence imposĂ©e d’un beau-pĂšre adulĂ© par une mĂšre potiche, un pĂ©dant qui n’avait pour lui que des bourses bien garnies hĂ©ritĂ©es d’une fortune familiale Ă  laquelle il n’avait en rien contribuĂ©. Elle m’expliqua par le dĂ©tail sa solitude, son envie de voir son cher papa revenir pour que tout redevienne comme avant, son souhait d’assassiner l’intrus source de tous ses maux.
Je savais d’expĂ©rience que son pauvre paternel ne regagnerait jamais ni son foyer ni le cƓur de sa pĂ©tasse d’épouse mais je m’abstins de lui faire part de mon sentiment. J’avais Ă©tĂ© Ă  bonne Ă©cole. Comme disait grand-pĂšre : « Les jolies femmes, c’est comme les grands hommes, elles appartiennent Ă  l’humanité ». Mon vieux, son fils, m’avait aussi Ă©duquĂ© dans la retenue de tout amour idyllique : « Avec ta gueule passe-partout, ton sourire perpĂ©tuellement affectĂ©, ta gentillesse naĂŻve, tu feras toujours un parfait cocu. Tracasse, de toute façon on est tous comme ça dans la famille. Il faudra t’en faire une raison. C’est congĂ©nital. Chez nous, on nait cocu de pĂšre en fils. Quelle que soit ton orientation sexuelle future, tĂŽt ou tard tu seras abandonnĂ©. » J’avoue avoir eu bien du mal Ă  comprendre et donc Ă  accepter un tel discours fataliste qui avait l’art de m’agacer. Cependant, mon pĂšre avait raison et la preuve m’en fut donnĂ©e avec le temps et l’expĂ©rience.
Les premiĂšres annĂ©es, tout alla pour le mieux avec Delphine. DĂšs le premier soir de notre rencontre, nous avons partagĂ© sa couche avec l’assentiment de sa mĂšre qui, disait-elle, Ă©tait subjuguĂ©e par mes yeux rieurs et ma grande taille. Cet accord tacite et si rapide dans une cette famille bien-pensante m’étonna et me mis sur mes gardes. Je soupçonnais cette garce sur le retour ou sa vielle mĂšre d’ourdir Ă  mon encontre un complot cougardien. Il n’en fut heureusement rien et nous pĂ»mes vivre sans contrainte notre amour naissant, nous apprivoisant au fil du temps.
Par respect, je n’ai pas touchĂ© Delphine. Ni le premier jour, ni d’ailleurs les jours, les mois et les annĂ©es qui suivirent car Delphine voulait se rĂ©server pour celui qui serait l’élu dĂ©finitif de son cƓur. Je mettais cela sur le compte de son Ă©ducation rigoriste qui n’avait pas intĂ©grĂ© la laĂŻcitĂ© dans la chaleur des couettes. Je me rĂ©sonnais, estimant qu’il Ă©tait normal qu’elle veuille avoir la certitude que je serais toujours son fidĂšle complice et qu’elle usait ainsi du temps pour me mettre Ă  l’épreuve. C’est tout au moins le mensonge auquel j’aimais croire.
Elle avait une telle confiance en moi que je partageais jusqu’à l’intimitĂ© de ses plaisirs solitaires, y contribuant parfois lorsqu’elle frottait sa toison chatoyante contre mon corps velu pour ensuite, apaisĂ©e, dĂ©poser un baiser sur mon front avant de s’endormir. J’en Ă©prouvais fiertĂ© et satisfaction. Je n’en dĂ©sirais pas plus car, inexpĂ©rimentĂ© et sans doute bloquĂ© par son souhait de rĂ©serve, je ne pouvais guĂšre lui offrir plus.
Mais je la savais Ă  la recherche de l’élu parfait qui hantait ses pensĂ©es et, au fil du temps, cette compĂ©tition latente avec un rival potentiel me faisait souffrir car elle m’enlevait toute perspective exclusive. Elle tentait parfois de me rassurer, sans doute pour se rassurer elle-mĂȘme, surtout dans ses moments de dĂ©prime. « Jamais je ne t’abandonnerai me disait-elle les soirs de gros chagrin alors qu’elle se disputait avec sa mĂšre
 jamais
 tu m’entends
 jamais ».
Mais comme le dĂ©clare l’adage, il ne faut jamais dire jamais. Un jour de mai, Paul entra dans sa vie. Elle ne m’en a pas parlĂ© directement mais j’ai surpris quelques conversations tĂ©lĂ©phoniques durant lesquelles je l’ai entendue glousser, de ses gloussements satisfaits qui laissent entrevoir qu’un coq s’invite Ă  la fĂȘte.
Bien sĂ»r, je savais que notre histoire n’aurait qu’un temps et qu’il nous faudrait tĂŽt ou tard nous sĂ©parer. Nous nous Ă©tions connus trop jeunes. N’empĂȘche, on a beau faire, on s’attache, on s’imagine, on fantasme, on se projette. On voudrait ne plus former qu’un pour que cet un se confonde en un moment de toute Ă©ternitĂ©. Mais trĂȘve de philosophie et d’espoirs vains. Cet infĂąme Paul prenait de plus en plus de place dans la vie de Delphine que je sentais tiraillĂ©e entre notre amour solide mais platonique et ce mirliflore aux pieds puants. Car des pieds, il puait et je peux en attester moi qui par dĂ©pit accepta cet amour Ă  trois jusque dans les draps. J’avais tort, je le savais mais comment refuser ce triolisme sans ĂȘtre coupĂ© de celle qui Ă©gayait mes jours et mes nuits depuis si longtemps. C’était pour moi pĂ©nitence d’assister Ă  leurs Ă©bats auquel ils m’invitaient parfois, me tirant de mon rĂŽle de voyeur consentant mais nĂ©anmoins souffrant. Quelle horreur d’entendre cet idiot grogner et jouir en priorisant son propre plaisir sans penser Ă  celui de Delphine qui le suppliait d’ĂȘtre moins empressĂ©.
J’avais honte de moi, de mon manque de courage. J’ai mĂȘme envisagĂ© de mettre fin Ă  mes jours en utilisant le six coups que son jeune frĂšre, un dĂ©bile de premiĂšre, cachait dans sa chambre. Mais Ă  quoi bon. À quoi bon aussi les tuer tous les deux en Ă©tendant Ă©ventuellement le carnage aux autres pompes l’air de la famille ; au fĂȘlĂ© de frangin, au cuistre de beau-pĂšre, Ă  la cougar nunuche, Ă  la vioque entremetteuse et son prince consort. À quoi bon
 je me raisonnais en pensant Ă  papa qui me disait souvent : « C’est notre chemin de vie de souffrir en silence. Sachons, fils rester dignes malgrĂ© les Ă©preuves ».
RĂ©signĂ©, j’endurais donc les frasques de cet imbĂ©cile imberbe avec l’espoir que Delphine se lasse et redevienne tout Ă  moi. Mais les mois passĂšrent et rien ni fit. Elle parlait mĂȘme Ă  demi-mot d’enfants. Imaginez-vous ma peine, moi qui adore les mouflets.
Et puis un jour, elle a ouvert la porte du placard et a sorti sa vieille valise. J’ai cru qu’elle s’en allait, pliant bagage pour aller vivre chez lui. Mais la valise Ă©tait pour moi. Elle m’a regardĂ©, Ă  poser un dernier baiser sur mon front en me disant : « Fallait bien un jour que je me dĂ©cide. J’espĂšre que tu seras lĂ  pour mes enfants et que tu leur plairas ». Puis elle a refermĂ© la valise et m’a rangĂ© dans le placard. Comme disait papa : « Dur dur la vie d’un ours en peluche. »
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La vie à deux, mensonges, infidélité, sexualité - Et pour illustrer ce sondage, un classique !
VIE DE COUPLE - J'ai parlĂ© de ce que je ressentais Ă  mon mari. Sans rien lui cacher. Ca n'a vraiment pas Ă©tĂ© facile. J'Ă©tais morte de honte. Mais je l'ai fait quand mĂȘme. Ca m'a probablement permis de sauver mon mariage, et je le referais sans hĂ©siter.
J'ai de la chance : j'ai Ă©pousĂ© mon Ăąme-sƓur.
La premiÚre fois que j'ai vu Nige, ma gorge s'est serrée et j'ai eu des papillons dans l'estomac. Un vrai coup de foudre. J'étais fascinée, émerveillée, et sidérée par le pouvoir qu'il exerçait sur moi.
Nous nous sommes rencontrĂ©s lors d'un atelier de reconversion professionnelle. Il faisait partie de l'Ă©quipe pĂ©dagogique, j'Ă©tais l'une des stagiaires. Je venais de mettre deux ans Ă  me remettre d'une maladie qui m'avait brisĂ©e et mortifiĂ©e, et j'avais pris l'habitude d'ĂȘtre extrĂȘmement franche, surtout quand ça me desservait.
« Les secrets rendent malade », disaient mes conseillers. Je voulais guérir, et j'ai donc fait fi de mon instinct en avouant à Nige et à tous les autres que j'avais un faible pour lui.
La seule chose qui m'importait, c'Ă©tait d'aller mieux.
Je ne sais pas pourquoi, mais mon honnĂȘtetĂ© a permis Ă  l'amour de naĂźtre entre nous. Quatre ans plus tard, nous sommes sortis ensemble. Huit ans- presque jour pour jour - aprĂšs notre premiĂšre rencontre, nous nous sommes mariĂ©s.
Ma soif d'honnĂȘtetĂ© m'oblige Ă  partager les secrets et les pensĂ©es qui me rongeraient de l'intĂ©rieur et m'empĂȘcheraient d'avoir confiance en moi.
Aujourd'hui, voilĂ  mon secret : j'aime mon mari, mais j'ai souvent envie de le tromper.
Récemment, j'ai fait la connaissance de K en promenant la chienne. Quelque chose est passé entre nous. La conversation était facile, on échangeait des blagues sur les chiens et je suis rentrée à la maison pleine d'enthousiasme. Je me suis demandé si cet homme me plaisait. La réponse était sans équivoque : non. Il ne m'attirait pas physiquement.
J'Ă©tais contente de le croiser de temps en temps au cours de mes promenades. Je traĂźnais un peu plus longtemps que d'habitude. Il avait l'air Ă©mu, pas trĂšs sĂ»r de savoir oĂč il en Ă©tait. L'insatisfaction qu'il percevait dans son quotidien, ses relations et en lui-mĂȘme transparaissait dans des remarques en apparence anodines. Quoi qu'il en soit, il ne m'attirait vraiment pas.
Et puis, un jour, nous avons passé deux heures ensemble. La nuit tombait et il faisait froid. Normalement, je serais rentrée à la maison, mais je ne l'ai pas fait. Lui non plus. On est restés... là, tous les deux. On a parlé, plaisanté, passé un bon moment.
Quelqu'un qui promenait lui aussi son chien nous a demandé si nous étions ensemble. Je me suis affolée. J'ai pensé à Nige et je me suis sentie coupable. C'était devenu un secret.
Les jours suivants, je n'ai pas arrĂȘtĂ© de penser Ă  K, en me demandant quand je le reverrais. Je ne savais plus oĂč j'en Ă©tais : il ne m'attirait pas physiquement mais l'idĂ©e de lui plaire m'excitait.
Voici ce que je n'ai pas envie de vous dire : j'ai commencé à promener Molly devant chez lui, dans l'espoir de tomber sur lui « par hasard ».
« Il se trouvait » que je promenais ma chienne Ă  la mĂȘme heure que lui, vers dix-huit heures. J'Ă©tais déçue de ne pas le croiser.
Je pensais beaucoup Ă  lui. Au bureau, sur le trajet, en rentrant, Ă  la maison, le matin, en marchant, en passant du temps avec Nige.
Je pensais mĂȘme Ă  lui quand je faisais l'amour avec mon mari. Je me forçais Ă  ne plus y penser : K ne m'attirait mĂȘme pas, et je n'avais jamais fantasmĂ© sur quelqu'un d'autre au cours de mes rapports sexuels avec Nige.
L'effet cumulĂ© de ces pensĂ©es - de ces secrets - sur l'image que j'avais de moi-mĂȘme Ă©tait indĂ©niable.
Je me sentais coupable et j'avais honte de moi.
J'avais Ă©galement peur : passer Ă  l'acte me semblait si... facile. Si simple. Je savais qu'il suffirait de pas grand-chose pour que je me retrouve dans une situation impossible.
J'étais effrayée de constater que mon envie de sensations fortes allait prendre le dessus sur le serment que j'avais fait le 16 mars 2012. Détruire la confiance, l'intimité et l'amour qui nous avaient demandé tant d'efforts me semblait bien trop facile.
D'un cÎté, j'alimentais méthodiquement mon obsession parce que j'avais envie de tromper mon mari.
Que se passait-il donc dans ce mariage pour que j'en sois arrivée là ?
Des petites choses. Le moment Ă©tait venu d'avoir une discussion franche, mais rien n'Ă©tait perdu. Je vous le jure.
Et que se passait-il en moi pour que j'en sois arrivée là ?
J'avais peur d'aimer. On pourrait croire que je cherchais l'amour, mais je suivais en fait ce qu' Un cours en miracles décrit comme « la dictature de l'ego » : chercher quelque chose en faisant tout pour ne pas le trouver.
Ce qui m'excitait dans cette attirance, et d'autres avant elles, c'était la croyance inavouée que l'amour est quelque chose de dangereux. Que si je me mettais à aimer mon mari sans réserve, cet amour m'engloutirait, m'avalerait toute crue. Que je n'existerais plus. Comme quand j'étais petite et que l'alcoolisme de ma mÚre noyait toute la famille dans son chagrin.
Ce qui me fascinait, c'Ă©tait aussi la possibilitĂ© que je sois, au fond, quelqu'un d'aimable, au sens propre du terme. Que je puisse ĂȘtre amoureuse en l'ayant choisi, et que cela dure.
Mais je pense que j'Ă©tais aussi attirĂ©e inconsciemment par l'idĂ©e que l'histoire des femmes de ma famille avait fini par me convaincre que je n'Ă©tais pas faite pour le bonheur et le grand amour. « J'ai de la chance : j'ai Ă©pousĂ© mon Ăąme-sƓur. » Ca ne durerait pas. Il fallait que je prenne les devants.
Le travail que je fais, et que j'enseigne, me rappelle chaque jour que j'ai le choix d'ĂȘtre celle que je veux ĂȘtre face Ă  mes dĂ©mons. Si je refuse de voir ce qui se passe en moi, j'aurai contribuĂ© Ă  me mettre en Ă©chec.
Si je dis la vérité, je pourrai aimer.
Alors j'ai parlĂ© de ce que je ressentais Ă  Nige. Sans rien lui cacher. Ca n'a vraiment pas Ă©tĂ© facile. J'Ă©tais morte de honte. Mais je l'ai fait quand mĂȘme. Ca m'a probablement permis de sauver mon mariage, et je le referais sans hĂ©siter.
Il y a des jours oĂč j'ai envie de tromper mon mari.
Mais il est plus important pour moi d'apprendre Ă  le connaĂźtre, et qu'il sache qui je suis, que de donner raison Ă  mes peurs.
Voilà pourquoi, chers amis, je dis la vérité.
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je suis infidÚle mais mon mari l'accepte 
Bonjour à tous depuis qqs mois j'ai entamé une relation avec un homme qui a est en couple et a 2 enfants De mon cÎté je suis mariée et j'ai également 2 enfants Cet homme je le connais en fait depuis 20 ans (cétait mon 1er amour). Nous nous étions quitté il y a 20 ans et jamais revu depuis. Il m'a recontacté il y a qqs mois et nous nous sommes alors revus plusieurs fois, en amis Puis un jour il m'a embrassé. Notre histoire recommençait Mon mari est au courant de cete relation et l'accepte De son cÎté sa femme ne le sait pas et il fait tout pour le cacher Nous avons convenu ensemble de ne pas mettre en danger nos couples respectifs car nous aimons chacun nos conjoints Mon souci c'est que cet homme est tres peu dispo et qu'aujourd'hui je souffre de cette relation. Qd nous sommes ensemble tout va bien mais des que nous nous séparons c'est le drame pour moi. Lui a l'air de mieux le vivre. Moi je l'aime, je pense que lui aussi m'aime mais il ne veut pas en parler. Il ne veut pas parler de ses sentiments. Mes pensées sont cesse occupées par cet homme et c'est ce qui me fait souffrir J'aimerai pouvoir vivre cette relation plus sereinement, ne garder que les moments de plaisir mais je n'y arrive pas. L'un de vous a-t-il déjà vécu cela ? Merci pour vos réponse
Vitale, Comment ton mari a su? Cette situation impose un déséquilibre dans ton couple. Si ton mari refusait ta relation adultérine, que ferais-tu? Lui donnes-tu le droit à aller avec une autre? Maintenant, tu ne parles que des sensations avec ton amant, pas de celle de ton mari. Pourquoi? Ressens-tu de la culpabilité pour ton mari? Ceci étant, penses-tu vivre un coup de foudre avec ton amant? Car cela répondrait à ta question.
Tout l'art de se foutre toute seule dans la merde et de venir demander de l'aide. Désolé , mais j'ai j
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