Mon esclave me léche les pieds

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Mon esclave me léche les pieds

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Bonjour à toutes et à tous, voici ma première histoire ! Elle est plutôt basée sur la domination, j'en ferais surement d'autres plus sur le fétichisme des pieds en lui-même Bonne lecture !  « Clac » Jérôme fut tiré de sa rêverie par un claquement de doigts. - Embrasse mes pieds ! Ces mots étaient bien sur prononcés par Alexia, la princesse que Jérôme servait depuis près de deux mois. Alexia était une sublime lycéenne de 16 ans, blonde aux yeux bleus et au visage d'ange. Elle portait un haut rose décolleté laissant apercevoir une très belle poitrine, et un short en jean. Elle était assise sur le canapé, les jambes croisées, lisant un magazine de mode. Il était environ 20h un samedi soir, elle passait toute la soirée chez Jérôme, elle avait donc largement le temps de s'amuser avec lui. -Oui princesse, répondit Jérôme, sachant parfaitement qu'il valait mieux se dépêcher pour ne pas la mettre en colère. Jérôme était quand à lui un étudiant de 20 ans, grand, brun, aux yeux noisettes. Il était musclé et plutôt beau. Il se trouvait à quelques mètres d'Alexia, torse nu, à genoux face à elle, contemplant ses pieds en attendant qu'elle ne lui donne un ordre. Il se rua aux pieds de sa maîtresse dès qu'elle le lui ordonna, prit une de ses chaussures et commença à embrasser ses orteils doucement et avec passion. Elle avait des pieds de déesse. Une courbure parfaite, des orteils soignés. Ils rendaient fou Jérôme, qui était fétichiste des pieds féminins depuis des années mais n'en avait jamais vu de si jolis. Elle portait des chaussures à talon noires ouvertes à lanières, et ses ongles étaient vernis en rose fuchsia. Un sourire satisfait apparut sur son visage. Aussi grand et fort qu'il soit, son soumis était incapable de lui résister, et cela lui procurait un sentiment de toute puissance extraordinaire. -mmh ! Continues, ne t'arrêtes surtout pas ! -Oui Déesse Alexia, répondit Jérôme, d'une voix teintée de soumission. Après 20 minutes passées à lui embrasser le pied droit, elle lui ordonna de passer au gauche, ce qu'il fit pendant 20 nouvelles minutes. -Pas mal soumis, tu aimerais les lécher maintenant ? Jérôme était perplexe, c'était la première fois qu'Alexia lui demandait son avis pour quoi que ce soit. -Oui maîtresse bien sûr, répondit-il. Alexia eut alors un sourire sadique puis lui mit un violent coup de pieds en plein visage. -Tu n'as donc toujours pas compris ? Seul mon plaisir compte ! Tu n'es qu'un objet ! Un bon soumis aurait répondu qu'il n'avait pas d'avis et m'aurait supplié de les lécher pour me faire plaisir ! Pour la peine tu vas me servir de repose-pieds ! -Oui déesse Alexia, comme vous voudrez, répondit humblement Jérôme. Il se plaça alors à quatre pattes, perpendiculairement à elle, et elle posa ses pieds sur son dos, en croisant les jambes avant d'allumer la télévision. Cette position était très humiliante, et après un certain temps devenait douloureuse pour Jérôme. Le moindre mouvement était bien entendu exclu, sous peine de recevoir une punition mémorable. Après 2 heures dans cette position, les courbatures devenaient insoutenables. Alexia avait eu le temps de regarder un film, elle était de nouveau disposée à s'occuper de lui. -Bien esclave, j 'espère que tu as compris la leçon ! Maintenant lèches mes pieds ! -Oui déesse, à vos ordres ! Elle enleva ses pieds et il se mit de nouveau à genoux devant elle. Jérôme prit les pieds magnifiquement chaussés dans ses mains et commença à lécher ses orteils doucement. Après quelques minutes Alexia s'impatienta. -Lèche mieux que ça soumis ! Jérôme se mit alors à lécher plus énergiquement, de haut en bas, puis sur les côtés. Il adorait ça, lécher de si beaux pieds était pour lui une véritable extase. Il faisait exactement ce qu'Alexia désirait mais il reçut quand même un coup de pieds au visage. -Dessous maintenant ! ordonna-t-elle. Il adorait l'impatience et l'exigence de sa maîtresse, ses petits caprices. Cela lui rappelait constamment que c'était elle qui décidait. Il se mit à lui lécher les semelles. Elles étaient très sales et avaient un goût salé très prononcé, mais Jérôme s'en fichait, il vénérait tout ce qui était lié à Alexia. Après avoir correctement nettoyé les semelles, il suça son talon car il savait que sa déesse aimait beaucoup ça, même si elle ne lui accordait pas un regard, de nouveau concentrée sur son magazine. Enfin Alexia lui fit lécher sous les lanières de ses chaussures. C'était long et pénible mais il le fit avec beaucoup d'attention et de dévotion, car il savait ce qui venait ensuite s'il s'appliquait. -Bien soumis, tu as mérité de lécher mes pieds nus, allez enlèves-moi mes talons ! -Merci beaucoup maîtresse ! lui répondit Jérôme. Il se réjouissait de cet ordre, il n'aimait rien plus que de lécher directement les pieds d'Alexia. -Mais ... tu vas commencer par nettoyer l'intérieur de mes chaussures, ajouta Alexia avec un nouveau sourire sadique. Elle adorait frustrer Jérôme, le voir contenir sa déception par respect pour elle. Celui-ci s'exécuta, heureux tout de même de lécher l'endroit que ses divins pieds avaient foulés toute la journée. Il n'avait jusque-là pas senti beaucoup d'odeurs car Alexia portait des chaussures ouvertes. La semelle intérieure, par contre, dégageait une odeur entêtante, mais tellement agréable ! Pendant qu'il léchait la chaussure, Alexia se leva et posa un de ses divins pieds sur le haut du dos nu de Jérôme, qui était à quatre pattes. Elle posa ses mains sur ses hanches et savoura sa domination totale. Jérôme compris immédiatement qu'il ne pourrait arrêter que lorsqu'elle aurait enlevé son pied. Après quelques minutes, il avait terminé, mais elle décida de faire durer le plaisir, si bien que Jérôme dut continuer à lécher encore et encore, beaucoup plus longtemps que nécessaire. Il avait presque oublié son désir des pieds d'Alexia lorsque celle-ci mis fin au nettoyage. Elle retira son pieds, se rassit dans le canapé, croisa les jambes et lui ordonna : -Allez soumis, assez joué, maintenant supplie-moi de te laisser lécher mes pieds ! Jérôme se redressa et se remit à genoux. -Je vous en supplie maîtresse, laissez-moi lécher vos pieds, répondit Jérôme, sans grande conviction. Il se prit alors un coup de pieds magistral en plein visage. -C'est ça que tu appelles supplier ? Il va falloir faire mieux que ça ! répondit Alexia, énervée. -Je suis désolé maîtresse. -Recommence ! Et vite ! -Je vous supplie, ô déesse vénérée, de me laisser l'honneur de lécher vos divins pieds, je me prosterne devant votre grandeur, repris Jérôme, avec passion cette fois-ci. -mmouais c'est mieux. Allez lèches mes pieds ! ordonna-t-elle en décroisant ses jambes C'était le moment que Jérôme attendait depuis plusieurs heures. Il se jeta littéralement à ses pieds et se mit à lécher frénétiquement, comme un animal. Il donnait de grands coups de langue sur ses orteils et sur le dessus de ses pieds. Il eut rapidement terminé cette partie qui ne procurait pas beaucoup de plaisir à Alexia, et sur son ordre il se mit à lécher entre les orteils. Il récupérait toute la crasse accumulée avec sa bouche mais il ne dit rien, il acceptait sa condition de mâle soumis. Alexia se sentait chatouillée entre les orteils et aimait beaucoup cette sensation. Elle baissa les yeux sur Jérôme et à la vue de cet homme grand et musclé s'occuper de ses pieds et la vénérer de tout son cœur, elle ressentie un état de bien-être indescriptible, elle sentait son désir monter, et son entrejambe devenir humide petite à petit. Il croisa son regard et compris immédiatement ce qu'il devait faire. C'était dans ces moment-là que leur complicité se manifestait, et qu'on pouvait entrevoir qu'au –delà de la domination ils avaient une vraie relation. Il prit délicatement son pied droit dans ses mains, en mettant une main sous son pied et en tenant sa cheville avec l'autre. Il se mit à lécher énergiquement la plante de son pied, de bas en haut en faisant de grands aller-retours. C'était difficile au début car il manquait de salive, sa langue accrochait, mais rapidement il recouvrit la plante de pied de sa salive. Elle n'était pas très sale, mais sentait clairement la transpiration, ce qui ne gênait pas du tout Jérôme, bien au contraire, l'odeur des pieds d'Alexia était sans doute celle qu'il préférait. Il était dans un état second, obsédé par ces pieds si sublimes. Il prit le deuxième pied et fit la même chose. Alexia le laissait faire dorénavant, elle était de plus en plus excitée. Elle ne lâcha qu'un « mmh c'est bien esclave, continues comme ça ! ». Jérôme sentait son plaisir et redoubla d'efforts pour la satisfaire. Il se mit à lui embrasser et lécher les chevilles. Alexia était au comble de l'excitation. Elle commença à enlever son haut puis son short, que Jérôme finit de retirer. Elle laissa apparaître un corps aussi parfait que son visage, un corps de déesse. Elle portait également des sous-vêtements roses, assortis à son verni à ongles. Elle envoya valsé Jérôme d'un coup de pied, retira sa culotte et lui passa autour du cou, comme pour lui rappeler qu'il lui appartenait. -Merci maîtresse, c'est un honneur ! -J'espère bien, oui, répondit-elle, beaucoup de soumis en rêverait. -Je sais maîtresse, merci beaucoup, répéta Jérôme en lui embrassant les pieds en signe de reconnaissance. -Remets-moi mes talons esclave ! -Oui déesse, répondit Jérôme avant d'aller chercher ses chaussures. Il lui mit en manipulant ses pieds avec un luxe de précaution, pour montrer sa dévotion totale. De toute évidence, cela plus à Alexia, qui se mit à sourire. -Allez viens par-là ! Elle lui attrapa la tête et la plaqua sur son sexe. En bon soumis, Jérôme n'opposa aucune résistance. Il commença à lui embrasser le clitoris. Elle passa ses jambes par-dessus les épaules de Jérôme, toujours à genoux. Dans cette position il était totalement impuissant. Il était contraint de lui lécher le sexe jusqu'à ce qu'elle l'autorise à arrêter. Malgré tout elle appuyait sur sa tête pour son plaisir à elle, pour être consciente du pouvoir qu'elle avait. Jérôme excellait dans la pratique du cunnilingus, dont il avait une grande expérience, si bien que l'orgasme ne se fit pas attendre. Après seulement quelques minutes, Alexia se mit à hurler de plaisir. Elle maintint la pression sur sa tête et l'obligea à continuer, car elle voulait un deuxième orgasme. Jérôme en était ravi, il adorait cette position, il ne se sentait jamais aussi utile et autant à sa place qu'ainsi, la tête entre les jambes de se maitresse. Après plusieurs dizaines de minutes de léchage passionné, Jérôme parvint à la faire jouir une seconde fois. Alexia revint à elle et posa son regard sur son soumis. Elle se sentait tellement puissante dans cette position, et aimait tellement ça ! Elle retira ses jambes des épaules de Jérôme et le repoussa violement. -Bon je vais à la salle de bain, tu sais ce que tu as à faire soumis ! - Oui déesse Alexia. Alexia marcha jusqu'à la salle de bain, suivie par Jérôme, à quatre pattes. Elle entra et Jérôme se prosterna devant la porte. Il savait qu'il ne devait pas bouger car Alexia exigeait qu'il soit dans cette position lorsqu'elle ressortirait. Elle prit son temps et ouvra la porte environ une heure plus tard. Elle était en sous-vêtements, de nouveau roses, sa couleur préférée. Elle posa son pied toujours chaussé de ses talons hauts sur le dos nu de Jérôme puis claqua dans ses doigts pour signaler à son soumis de bouger et se dirigea vers la chambre, alors que Jérôme la suivait de nouveau à quatre pattes. Elle s'assit sur le lit double, et Jérôme sut immédiatement qu'il devait la déchausser. Ses pieds tous propres dégageaient un parfum exquis. Elle s'allongea sur le lit et regarda son téléphone en ordonnant sèchement : -Qu'est-ce que tu attends ? Embrasse mes pieds esclave ! Jérôme s'exécuta docilement. Ils terminèrent la soirée ainsi. Lorsqu'Alexia en eut marre, elle jeta Jérôme d'un coup de pieds signifiant qu'il devrait dormir par terre cette nuit-là. -Bonne nuit maitresse, dit Jérôme. -Bonne nuit soumis, lui répondit Alexia. Jérôme alla éteindre la lumière puit revint s'allonger à sa place, aux pieds de sa maitresse. A SUIVRE ... 





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Commentaires
Kiffs
Remix



Création : 26/05/2015 à 17:10
Mise à jour : 03/09/2017 à 04:07

# Posté le lundi 15 juin 2015 20:37

jonnydu44 ,
Posté le lundi 31 août 2015 04:15

Excellente histoire, ça manque de chaussettes à mon goût mais c'est très bien écrit !

lothar ,
Posté le mardi 16 juin 2015 23:30

AdoFeet
a écrit : " Justement j'avais créé ce blog parce que je trouvais que va manquais en français des histoires de ce genre mais franchement continues parce c'est super "

AdoFeet ,
Posté le mardi 16 juin 2015 22:59

Justement j'avais créé ce blog parce que je trouvais que va manquais en français des histoires de ce genre mais franchement continues parce c'est super

lothar ,
Posté le mardi 16 juin 2015 17:21

AdoFeet
a écrit : " Très bien écrit et très excitant, j'adore! "
merci, venant de quelqu'un qui en a écrit autant ca fait plaisir :)

AdoFeet ,
Posté le mardi 16 juin 2015 00:31

Très bien écrit et très excitant, j'adore!

lothar ,
Posté le lundi 15 juin 2015 23:06


loic13ss ,
Posté le lundi 15 juin 2015 22:50


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(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Il se retourne se prosterne à mes pieds, embrasse ma main et la strap… La vue plongeante sur son dos et cul est magnifique de belles stries rouges avec quelques zones blanches, me fais bander… est-ce que je lui donne maintenant ma protéine ou tout à l’heure… attendons un peu…
— Quelques petites questions pour préparer la suite de ton éducation. Rappelle-toi qu’un esclave ne doit rien cacher à son Maître et qu’il doit perdre toute pudeur. La pudeur est un mot ignoré par les esclaves.
— Oui, Maître.
— Alors tu t’es branlé aujourd’hui ?
— Non Maître…
— Suis-je bête, avec la nouille dans son étui métallique comment aurais-tu pu faire… Mais tu aurais aimé…
— Oui Maître, ma queue, est excité et me fait mal…
— Normal la cage est faite pour cela…
— Oui Maître.
— Et hier et avant-hier non plus ? Tu n’as pas pu astiquer son asticot… Regarde-moi, je m’astique la verge, je n’ai pas de problème, sais-tu pourquoi esclave ?
— Oui Maître, vous êtes un Homme moi je suis qu’un esclave qui n’a pas le droit au plaisir sexuel.
— Bien… Et depuis quand la dernière branlette ?
— Quatre jours avant que vous m’achetiez Maître, car il y a eu d’abord la venue de la police à 6h00 du matin qui nous a réveillé et conduit au commissariat, où nous avons passé la journée et la nuit… nous tremblions de peur mes frères et moi. Le lendemain on a été conduit au tribunal avec interdiction de nous parler. Nous pleurions, même sans savoir pourquoi mes frères et moi…
— De vrais pleurnichards dans cette famille, qui n’existe plus d’ailleurs.
— Mon père allait d’un bureau à un autre sous bonne escorte policière.
— Cela lui a fait les pieds…
— Nous avons passé la nuit sur un banc gardé par des policiers, l’un qui était à côté de moi, sans se cacher pris ma main pour la mettre dans son pantalon… j’essayais de la retirer mais il me donna une gifle. Mes parents décontenancés ont rien dit… et je du caressé sa bite…
Je lui donne-moi aussi une gifle.
— On dit une verge quand on parle d’un Homme.
— J’ai caressé sa verge pendant longtemps… il semblait heureux, ses copains riaient car eux aussi avaient les mains de mes frères dans leurs pantalons.
— Vous n’aviez pas eu le verdict, mais eux le connaissaient et savaient que vous n’aviez plus de droits.
— Le lendemain vers 10h00 un juge vint nous chercher et dans son bureau il nous annonça le verdict… Tous réduits à l’esclavage et vendus. Il a fallu attendre la fin de l’après-midi pour que l’on vienne nous séparer et nous emmener au magasin où vous m’avez acheté Maître.
— Cela fait donc, si je compte bien six jours sans branlette… cela t’est arrivé souvent ?
Il était rouge en entendant mes questions sans aucune retenue de pudeur…
— Euh non Maître.
— Tu te branlais tous les combien ? Toutes les semaines ? Non… tous les jours, petit pervers…
— Oui Maître tous les jours et même parfois plusieurs fois par jour…
— Petit cochon…
Je lui prends ses couilles, les soupèsent…
— Bien pleines…
Je m’aperçois également que le BS ne lui comprime pas le scrotum car je peux le tourner sans problème, ses couilles ont une belle couleur… Je pourrai augmenter ou le poids ou l’écartement ou les deux… je verrai cela plus tard.
— Tu faisais cela toujours seul ? ou avec tes frères ou des copains ?
— Maître toujours seul.
— Je suis sûr que tu aurai aimé le faire en même temps que d’autres ou même mutuellement.
— Oh non Maître.
— Cela me donne des idées… Tu aimerais pouvoir jouir ? Tu le ferais devant moi et devant tes frères en servitude ?
— Non Maître, je préfèrerai le faire seul…
— Pourquoi ?
— Maître, j’avais peur que l’on se moque de moi en voyant ma v … queue.
— Mais actuellement tu te déplaces nu…
— Oui mais vous avez caché ma queue Maître et c’est plus facile…
— Moi j’ai une meilleure idée, mais il va falloir patienter encore un peu. Tu pourras encore patienter, petit esclave pervers ?
— Oui Maître.
Je voyais son tube à pénis frétillé, il devait bander et les ergots lui pénétré dans sa queue… la douleur va le faire débander…
— Tu sais que, comme tous mes esclaves, tu n’as pas le droit ni de jouir, ni surtout avoir d’orgasme comme moi j’en ai eu ce matin lors de ta sucette matinale. Un moment qui marque bien la journée ?
— Oui Maître.
— Toute faute de ce genre doit est punie sévèrement même si c’est sur ordre, donc auquel tu dois obéir. Mais si je m’aperçois que c’est seul, ou avec un autre esclave et sans mon autorisation, la sanction est terrible tant pour l’esclave que pour moi, car je devrai comme je l’ai fai
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